stikky a écrit:qu'est ce qu'on s'emmerde pendant ses matchs
encore pire que sous l'ère vahid
+1... me suis endormi deux fois hier
Monsieur Girard il faut partir maintenant
par fernando » 26 Oct 2013, 13:57
Ca reste assez laborieux devant, on n'a pas pléthore d'occazes, mais c'est comme même de mieux en mieux, surtout si on repense au mois d'août.
Et puis Monpéyé et Nantes, faut pas s'attendre à les dominer outrageusement chez eux.
Franchement personne n'aurait misé 6 pts de pris sur ces 2 déplacements, chapeau Girard.
Et puis Monpéyé et Nantes, faut pas s'attendre à les dominer outrageusement chez eux.
Franchement personne n'aurait misé 6 pts de pris sur ces 2 déplacements, chapeau Girard.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 27 Oct 2013, 10:15
dodger a écrit:Un beau match de foot, c'est quand le LOSC gagne.
+1, le reste c'est accessoire. Comme dirait Pablo l'esthète du football, si vous voulez être sûrs d'avoir du spectacle, allez au cirque.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 05 Déc 2013, 14:50
René Girard peut-il (encore) le faire ?
Victorieux de l'OM (1-0) avant que le PSG ne tombe à Evian-TG (0-2), Lille n'est plus qu'à une longueur du leader de la Ligue 1. Déjà champion à la surprise générale il y a deux ans avec Montpellier, René Girard pourrait à nouveau menacer le PSG.
Pendant que Louis Nicollin se cherche un nouvel entraîneur après le départ de Jean Fernandez, René Girard s'est levé ce jeudi matin l'esprit léger. Loin des soubresauts qui secouent actuellement son ancien club, seulement 17e de Ligue 1 après 16 journées, le coach de Lille s'est encore un peu plus affirmé comme un prétendant au titre cette semaine après sa victoire arrachée dans le temps additionnel face à l'OM (1-0). Bien installé à la deuxième place du Championnat, le LOSC ne compte plus qu'un point de retard sur le PSG, battu sur la pelouse d'Evian-TG mercredi (0-2) ! L'homme qui avait mené le MHSC à un exploit improbable en devenant champion de France au printemps 2012 au nez et à la barbe du club de la capitale a très vite insufflé sa culture de la gagne à sa nouvelle équipe.
Des choix payants, une réussite indécente
Si le club nordiste en est là aujourd'hui, c'est en grande partie grâce à René Girard. En à peine quelques semaines, le gardois s'est mis les supporters nordistes dans la poche, ce qui n'était pas gagné d'avance. Certes, Lille ne pratique pas le plus beau football de l'Hexagone, mais les Dogues n'ont encaissés que quatre buts en seize matches ! En installant Vincent Enyeama et Pape Souaré, tous deux de retour de prêt, dans son onze de départ, Girard a fait des choix forts. Et payants. Sans compter que la réussite que traverse actuellement son gardien nigérian (1035 minutes d'invincibilité) défie l'entendement. La solidité défensive du LOSC lui permet même de pallier la mauvaise passe traversée par son leader offensif Salomon Kalou, qui n'a plus marqué depuis deux mois.
Un équilibre fragile ?
Champion de France et vainqueur de la Coupe de France en 2011, Lille possède beaucoup moins de talents individuels aujourd'hui. Le club nordiste peut-il donc tenir la distance et ennuyer les deux mastodontes du football français (Paris et Monaco) jusqu'à la fin de la saison ? Il est peu probable que le but d'Enyeama reste inviolé durant encore plusieurs mois, donc le LOSC devra retrouver un peu d'allant offensif pour maintenir son rythme. Une inconnue demeure également sur la capacité de réactions de cette équipe lorsque son équilibre sera fragilisé. Mais avec René Girard, elle possède un technicien plus déterminé que jamais, même si, comme il y a deux saisons, il refusera jusqu'au bout de nourrir une ambition aussi élevée devant les micros. L'affrontement face au PSG au Parc des Princes, juste avant la trêve le 22 décembre, pourrait calmer ses ardeurs. Ou les renforcer. Girard connaît la recette...
Victorieux de l'OM (1-0) avant que le PSG ne tombe à Evian-TG (0-2), Lille n'est plus qu'à une longueur du leader de la Ligue 1. Déjà champion à la surprise générale il y a deux ans avec Montpellier, René Girard pourrait à nouveau menacer le PSG.
Pendant que Louis Nicollin se cherche un nouvel entraîneur après le départ de Jean Fernandez, René Girard s'est levé ce jeudi matin l'esprit léger. Loin des soubresauts qui secouent actuellement son ancien club, seulement 17e de Ligue 1 après 16 journées, le coach de Lille s'est encore un peu plus affirmé comme un prétendant au titre cette semaine après sa victoire arrachée dans le temps additionnel face à l'OM (1-0). Bien installé à la deuxième place du Championnat, le LOSC ne compte plus qu'un point de retard sur le PSG, battu sur la pelouse d'Evian-TG mercredi (0-2) ! L'homme qui avait mené le MHSC à un exploit improbable en devenant champion de France au printemps 2012 au nez et à la barbe du club de la capitale a très vite insufflé sa culture de la gagne à sa nouvelle équipe.
Des choix payants, une réussite indécente
Si le club nordiste en est là aujourd'hui, c'est en grande partie grâce à René Girard. En à peine quelques semaines, le gardois s'est mis les supporters nordistes dans la poche, ce qui n'était pas gagné d'avance. Certes, Lille ne pratique pas le plus beau football de l'Hexagone, mais les Dogues n'ont encaissés que quatre buts en seize matches ! En installant Vincent Enyeama et Pape Souaré, tous deux de retour de prêt, dans son onze de départ, Girard a fait des choix forts. Et payants. Sans compter que la réussite que traverse actuellement son gardien nigérian (1035 minutes d'invincibilité) défie l'entendement. La solidité défensive du LOSC lui permet même de pallier la mauvaise passe traversée par son leader offensif Salomon Kalou, qui n'a plus marqué depuis deux mois.
Un équilibre fragile ?
Champion de France et vainqueur de la Coupe de France en 2011, Lille possède beaucoup moins de talents individuels aujourd'hui. Le club nordiste peut-il donc tenir la distance et ennuyer les deux mastodontes du football français (Paris et Monaco) jusqu'à la fin de la saison ? Il est peu probable que le but d'Enyeama reste inviolé durant encore plusieurs mois, donc le LOSC devra retrouver un peu d'allant offensif pour maintenir son rythme. Une inconnue demeure également sur la capacité de réactions de cette équipe lorsque son équilibre sera fragilisé. Mais avec René Girard, elle possède un technicien plus déterminé que jamais, même si, comme il y a deux saisons, il refusera jusqu'au bout de nourrir une ambition aussi élevée devant les micros. L'affrontement face au PSG au Parc des Princes, juste avant la trêve le 22 décembre, pourrait calmer ses ardeurs. Ou les renforcer. Girard connaît la recette...
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par kaptn_kvern » 05 Déc 2013, 17:12
Auxerre non?
Hé dites! : nope juste qualifié en LDC avant de descendre.
Hé dites! : nope juste qualifié en LDC avant de descendre.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par fernando » 21 Août 2014, 09:27
Snakedriver a écrit:bah ça a été pareil 80% de la saison dernière non ?
Ouais, mais là y'a plus la ptit étincelle de gnaque qui nous faisait gagner 1-0 à l'arrache très souvent, façon Vahid, et qui rend à l'arrivée les matchs bcp plus supportables qu'un pauvre 0-0, même si dans le contenu c'était aussi triste l'an dernier. Y'avait un côté grisant à enchaîner les hold-ups.
Ca se justifiait à l'époque Vahid, mais là à la longue avec le budget et l'effectif qu'on a, n'avoir aucune ambition dans le jeu, même face à des équipes plus faibles, ça devient pénible. On a tendance à enchaîner les purges, faut se motiver pour mater un match du Lox.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par SAV » 21 Août 2014, 10:04
Snakedriver a écrit:de toute façon à mon avis la transition Seydoux/Coucke est pour cette année, Girard sautera donc en fin de saison.
Allez, plus que 36 matchs de championnat à subir !
J'espère aussi...
Si rien ne change au terme de cette saison wouala je rends ma carte.
Brigitte Macron 2027.
par ChevalierBlanc » 21 Août 2014, 10:40
En ce début de saison, j'avais pris le pack à tarif préférentiel " 3 matchs - 3 purges". Je ne suis pas déçu.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
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