bitadmin a écrit:ben, Hollande
Pour moi c'est le 1er, après?
[01T] Politix, fonctionnaire et Cie
par Nougets » 02 Avr 2014, 16:47
Aaah Christine, toujours dans le projet celle-la.
"Je n'ai jamais condamné un homosexuel. L'homosexualité est une abomination"
"Nous, les femmes, avons vraiment la séduction inhérente à notre ADN, de façon encore plus profonde que les hommes"
"On savait que DSK aimait beaucoup les femmes. J'ai trouvé ça énorme que ça sorte comme ça. Je vais vous le dire, j'ai pensé à un complot politique. Qu'est-ce qu'il y a d'extraordinaire à ce que DSK saute une fille ? Je pense qu'il en a sauté pas mal!"
http://www.lexpress.fr/actualite/politi ... 05393.html
"Je n'ai jamais condamné un homosexuel. L'homosexualité est une abomination"
"Nous, les femmes, avons vraiment la séduction inhérente à notre ADN, de façon encore plus profonde que les hommes"
"On savait que DSK aimait beaucoup les femmes. J'ai trouvé ça énorme que ça sorte comme ça. Je vais vous le dire, j'ai pensé à un complot politique. Qu'est-ce qu'il y a d'extraordinaire à ce que DSK saute une fille ? Je pense qu'il en a sauté pas mal!"
http://www.lexpress.fr/actualite/politi ... 05393.html
Expatrié.
par stikky » 02 Avr 2014, 16:54
Nougets a écrit: Qu'est-ce qu'il y a d'extraordinaire à ce que DSK saute une fille ? Je pense qu'il en a sauté pas mal!"
Si ça c'est pas un appel de phare je comprends plus rien !!!
en même temps y'a qu'avec un sex addict qu'elle a possibilité de se faire décalaminer le pot la Christine Boudin...
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par fernando » 02 Avr 2014, 17:01
Je n'ai jamais condamné un homosexuel. L'homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Le péché n'est jamais acceptable, mais le pécheur est toujours pardonné. (...) Je suis dans le péché, moi aussi, je suis une pécheresse, mais vous ne me verrez jamais faire l'apologie d'un péché".
Putain de débile intégriste et consanguine. A la prochaine manif plus de lacrymo, gaz moutarde ou zyklon B direk dans sa gueule.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par stikky » 02 Avr 2014, 17:43
fernando a écrit:Je n'ai jamais condamné un homosexuel. L'homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Le péché n'est jamais acceptable, mais le pécheur est toujours pardonné. (...) Je suis dans le péché, moi aussi, je suis une pécheresse, mais vous ne me verrez jamais faire l'apologie d'un péché".
Putain de débile intégriste et consanguine. A la prochaine manif plus de lacrymo, gaz moutarde ou zyklon B direk dans sa gueule.
Tu fais montre d'autant d'ouverture d'esprit qu'elle. C'est beau !
Vous êtes faits pour vous entendre !
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par King Kong » 02 Avr 2014, 20:40
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par King Kong » 02 Avr 2014, 21:51
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par ursulet » 03 Avr 2014, 16:11
http://alternatives-economiques.fr/blog ... treprises/
Les résultats du CAC 40 pour 2013 soulignent encore une fois combien le coût du capital pèse sur le tissu productif français : avec des profits en baisse de 8 %, les grandes entreprises augmentent leur distribution de dividendes de 6 %, au détriment de l’investissement.
En 2013, les entreprises du CAC 40 ont réalisé 48 milliards d’euros de profits, en diminution de 8 % par rapport à 2012. La croissance en panne dans la zone euro, le ralentissement des pays émergents, l’appréciation de l’euro et des dépréciations d’actifs se combinent pour expliquer ces moins bonnes performances.
Pour autant, les actionnaires de ces entreprises vont ressortir gagnants de cette baisse de forme puisque les dividendes progressent de 6 % pour s’établir à 39 milliards d’euros. Ainsi, un peu plus de 80 % des profits du CAC 40 sont utilisés à la distribution de dividendes.
85 % des profits partent en dividendes
Est-ce une année exceptionnelle ? Aucunement. Comme le montre le graphique ci-dessous, à la fin des années 1980, toutes les entreprises non financières – cela va donc au-delà du CAC 40 - distribuaient 30 % de leurs bénéfices en dividendes. En 2012, c’était 85 % ! Et la tendance est croissante ces 25 dernières années. Lorsque les entreprises françaises créent de la richesse, elles ne privilégient ni l’investissement pour préparer l’avenir et renforcer leur compétitivité, ni l’emploi, mais la rémunération des actionnaires.
2,6 fois plus de dividendes que d’investissements !
On en est arrivé à une situation où, alors qu’au début des années 1980 les sommes dépensées pour les dividendes représentaient la moitié de celles consacrées à l’investissement net (l’investissement brut auquel on retire la consommation de capital fixe due à l’usure et à l’obsolescence des machines anciennes), aujourd’hui elles représentent 2,6 fois plus que les dépenses d’investissement !
dividendes-investissements.jpg
Cette situation pénalise déjà le secteur productif français qui accumule les décennies de sous investissement chronique. Elle risque également d’entretenir la méfiance des investisseurs internationaux qui, selon le dernier sondage mensuel de Bank of America Merril Lynch, souhaitent une augmentation des dépenses d’investissement des grandes entreprises à une majorité de 58 %.
Un véritable pacte de responsabilité, celui qui « responsabiliserait » les chefs d’entreprise français et leurs actionnaires, devrait mettre sur la table la nécessité de privilégier l’investissement avant les dividendes. Au milieu des années 1970, le chancelier allemand Helmut Schmidt avait énoncé un théorème devenu célèbre : « les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après demain ». Un regard sur le capitalisme français contemporain montre malheureusement que désormais, « les profits d’aujourd’hui font les dividendes d’aujourd’hui, le sous investissement de demain et le chômage d’après demain ».
Les résultats du CAC 40 pour 2013 soulignent encore une fois combien le coût du capital pèse sur le tissu productif français : avec des profits en baisse de 8 %, les grandes entreprises augmentent leur distribution de dividendes de 6 %, au détriment de l’investissement.
En 2013, les entreprises du CAC 40 ont réalisé 48 milliards d’euros de profits, en diminution de 8 % par rapport à 2012. La croissance en panne dans la zone euro, le ralentissement des pays émergents, l’appréciation de l’euro et des dépréciations d’actifs se combinent pour expliquer ces moins bonnes performances.
Pour autant, les actionnaires de ces entreprises vont ressortir gagnants de cette baisse de forme puisque les dividendes progressent de 6 % pour s’établir à 39 milliards d’euros. Ainsi, un peu plus de 80 % des profits du CAC 40 sont utilisés à la distribution de dividendes.
85 % des profits partent en dividendes
Est-ce une année exceptionnelle ? Aucunement. Comme le montre le graphique ci-dessous, à la fin des années 1980, toutes les entreprises non financières – cela va donc au-delà du CAC 40 - distribuaient 30 % de leurs bénéfices en dividendes. En 2012, c’était 85 % ! Et la tendance est croissante ces 25 dernières années. Lorsque les entreprises françaises créent de la richesse, elles ne privilégient ni l’investissement pour préparer l’avenir et renforcer leur compétitivité, ni l’emploi, mais la rémunération des actionnaires.
2,6 fois plus de dividendes que d’investissements !
On en est arrivé à une situation où, alors qu’au début des années 1980 les sommes dépensées pour les dividendes représentaient la moitié de celles consacrées à l’investissement net (l’investissement brut auquel on retire la consommation de capital fixe due à l’usure et à l’obsolescence des machines anciennes), aujourd’hui elles représentent 2,6 fois plus que les dépenses d’investissement !
dividendes-investissements.jpg
Cette situation pénalise déjà le secteur productif français qui accumule les décennies de sous investissement chronique. Elle risque également d’entretenir la méfiance des investisseurs internationaux qui, selon le dernier sondage mensuel de Bank of America Merril Lynch, souhaitent une augmentation des dépenses d’investissement des grandes entreprises à une majorité de 58 %.
Un véritable pacte de responsabilité, celui qui « responsabiliserait » les chefs d’entreprise français et leurs actionnaires, devrait mettre sur la table la nécessité de privilégier l’investissement avant les dividendes. Au milieu des années 1970, le chancelier allemand Helmut Schmidt avait énoncé un théorème devenu célèbre : « les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après demain ». Un regard sur le capitalisme français contemporain montre malheureusement que désormais, « les profits d’aujourd’hui font les dividendes d’aujourd’hui, le sous investissement de demain et le chômage d’après demain ».
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
par fernando » 03 Avr 2014, 16:28
85 % des profits partent en dividendes
Le problème en France, c'est le coût du travail et la rigidité du marché du travail.
Ecoutons un peu les bons conseils de Pascal Lamy & consorts pour redresser l'économie de notre pays. Alignons-nous sur le SMIC roumain, simplifions le code du travail à un recto-verso A4.
Le taux de chômage sera toujours de 12%, mais au moins on pourra faire monter le taux de distribution des dividendes à 96%.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Dogue-son » 03 Avr 2014, 17:06
fernando a écrit:85 % des profits partent en dividendes
Le problème en France, c'est le coût du travail et la rigidité du marché du travail.
C'est pas pour ces entreprises là qu'il faut diminuer le coût du travail et fluidifier la gestion des contrats de travail, mais pour toutes les autres, les petites
I used to be a fan. Now I'm an air conditioner
par fernando » 03 Avr 2014, 17:17
Dogue-son a écrit:C'est pas pour ces entreprises là qu'il faut diminuer le coût du travail et fluidifier la gestion des contrats de travail, mais pour toutes les autres, les petites
Qu'on cherche à baisser la pression fiscale (en faisant un meilleur usage de l'argent public) sur les PME et les boîtes soumises à la concurrence internationale, ok. Je crois que tout le monde s'accorde sur ce constat à part le front de gauche, la CGT, FO, etc.
Qu'on prétende vouloir baisser le coût du travail en baissant les salaires, bah non. Vivre avec un SMIC c'est déjà assez dur comme ça.
Et l'argument qui consiste à dire qu'il faut casser toute régulation du marché du travail pour faire baisser le chômage, on voit bien en Espagne, en Grèce, etc. que ça ne marche pas et que ça ne sert à rien à part précariser un peu plus les salariés et leur mettre un peu plus la pression.
Qu'il y ait trop de bureaucratie, de normes, de réglementation alakon pour les entreprises certes, que les boîtes n'embauchent pas car les salariés sont trop bien payés ou trop protégés, c'est de la filsdeputerie falacieuse.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Dogue-son » 03 Avr 2014, 17:39
Il ne s'agit pas de casser toute régulation mais d'adapter cette réglementation, faite pour contrer les abus des gros, aux contraintes des petits.
ça concerne des trucs simples comme les délais réglementaires entre deux contrats de CDD, le nombre de renouvellement autorisé d'un CDD...
ça concerne des trucs simples comme les délais réglementaires entre deux contrats de CDD, le nombre de renouvellement autorisé d'un CDD...
I used to be a fan. Now I'm an air conditioner
par krouw2 » 03 Avr 2014, 17:56
+1 avec DS le modo bannisseur, ras le cul des gros :)
aidons les TPE et PME , pas besoin de pacte de compétitivité méyouk. Ayons un système avec une flexisécurité , 90% des offres d'emplois sont en cdd, elle existe déjà l'inégalité professionnelle
aidons les TPE et PME , pas besoin de pacte de compétitivité méyouk. Ayons un système avec une flexisécurité , 90% des offres d'emplois sont en cdd, elle existe déjà l'inégalité professionnelle
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