[01T] Glorification de la région
par krouw2 » 27 Déc 2014, 00:39
Roubaix : interpellé, il tente de mordre les parties génitales d’un policier
Interpellé jeudi soir en flagrant délit de cambriolage, un Roumain de 36 ans, a tenté de mordre les parties génitales d’un policier lors de son transfert au commissariat central.
Jeudi soir, vers 19h50, une patrouille de police intervenait boulevard de la République à Roubaix alors que plusieurs individus avaient investi une maison inoccupée. Sur place, les policiers interpellaient un guetteur, posté devant la maison dont un volet et une fenêtre avaient été cassés. À l’intérieur, les policiers surprenaient deux individus en train de découper les tuyaux de cuivre du chauffage à l’aide de pinces-Monseigneur.
Le trio était interpellé par la police. Installé dans le véhicule des forces de l’ordre pour être emmené au commissariat, un des suspects, âgé de 36 ans, s’est alors penché pour mordre les parties génitales du policier qui était assis à ses côtés. Le fonctionnaire est parvenu à esquiver in extremis. Les trois suspects, des Roumains âgés de 14 et 36 ans, ont été placés en garde à vue.
Interpellé jeudi soir en flagrant délit de cambriolage, un Roumain de 36 ans, a tenté de mordre les parties génitales d’un policier lors de son transfert au commissariat central.
Jeudi soir, vers 19h50, une patrouille de police intervenait boulevard de la République à Roubaix alors que plusieurs individus avaient investi une maison inoccupée. Sur place, les policiers interpellaient un guetteur, posté devant la maison dont un volet et une fenêtre avaient été cassés. À l’intérieur, les policiers surprenaient deux individus en train de découper les tuyaux de cuivre du chauffage à l’aide de pinces-Monseigneur.
Le trio était interpellé par la police. Installé dans le véhicule des forces de l’ordre pour être emmené au commissariat, un des suspects, âgé de 36 ans, s’est alors penché pour mordre les parties génitales du policier qui était assis à ses côtés. Le fonctionnaire est parvenu à esquiver in extremis. Les trois suspects, des Roumains âgés de 14 et 36 ans, ont été placés en garde à vue.
Hollande 2027
par ruitos » 01 Jan 2015, 14:56
Scène d'horreur lors d'un réveillon de la Saint-Sylvestre près d'Arras, où un infirmier d'une trentaine d'années a tué trois personnes dont son ex-compagne et en a blessé deux autres, avant de se suicider.
D'après les premiers éléments de l'enquête, c'est une séparation mal acceptée qui aurait motivé le geste de cet infirmier libéral qui n'était semble-t-il pas connu de la justice avant le drame, selon le parquet d'Arras.
Vers 01H00 du matin, cet homme s'est invité dans un réveillon familial auquel participaient sept personnes, dans une maison mitoyenne de la commune de Sainte-Catherine (Pas-de-Calais), dans "un quartier résidentiel, tout ce qu'il y a de plus tranquille", a déclaré à l'AFP Adam Chodkiewiez, substitut du procureur d'Arras.
"Il s'en est pris immédiatement à son ex-compagne, deux personnes se sont interposées et c'est là que les coups de feu ont commencé", a ajouté M. Chodkiewiez.
Le bilan est très lourd: trois morts, parmi lesquels l'ancienne compagne du tireur et deux hommes âgés d'une cinquantaine d'années, et deux blessés dont un grave. Ce dernier, dont le pronostic vital est engagé, selon la préfecture d'Arras, a été hospitalisé à Lille.
Les deux dernières personnes qui participaient au réveillon ont alerté les secours. Très choquées, elles ont été prises en charge par les pompiers.
L'infirmier, après avoir tiré, a quitté les lieux à bord de sa voiture. Des policiers de la Bac, qui avaient reçu un signalement de ce véhicule l'ont repéré et l'ont pris en chasse. A l'issue d'une brève course-poursuite, le tireur s'est garé sur le parking du centre hospitalier d'Arras. "Avant que les policiers n'aient eu le temps de mettre pied à terre, il a retourné l'arme contre lui et s'est suicidé", a indiqué M. Chodkiewiez.
-'On m'a dit qu'il y avait un homme en cavale'-
Comme le tireur s'est donné la mort, "l'action publique est éteinte", a-t-il indiqué à l'AFP, expliquant qu'une information judiciaire pour recherche des causes de la mort serait ouverte.
La maison où se sont déroulés les faits, qui ne compte pas plus de deux niveaux, est située dans une impasse, dans un quartier bien entretenu de cette petite commune de quelque 3.500 âmes, a constaté un journaliste de l'AFP, tenu à l'écart, comme toute la presse, par la police.
Les enquêteurs de la police technique et scientifique sont restés de longues heures sur les lieux pour procéder à des relevés, afin de déterminer le plus précisément possible le déroulement des faits. Ils ont quitté la maison, placée sous scellés, peu après 09H00.
"On m'a dit qu'il y avait un homme en cavale avec un fusil de chasse, qui venait d'assassiner deux, trois personnes", a déclaré à l'AFP Céline, une voisine âgée d'une quarantaine d'années, visiblement encore très choquée.
Rentrée chez elle vers 02H00 du matin, après la fusillade, elle est tombée sur un voisin en larmes, qui lui a demandé d'aller chercher sa femme à la salle des fêtes. C'est en se rendant là-bas qu'elle a été stoppée par des policiers qui lui ont dit de se calfeutrer chez elle. "Ma soeur qui était ici avec son nouveau-né a entendu quatre coups de feu, dont trois d'affilée", a-t-elle ajouté.
Jean-Pierre, un autre voisin âgé de 60 ans, a accueilli chez lui peu de temps après les faits le propriétaire de la maison où se tenait le réveillon. Il décrit un homme complètement sidéré par les événements et incapable de raconter, se bornant à lui réclamer un whisky, une cigarette, pour se remettre de ses émotions et qui avait "l'air perdu", avant d'être pris en charge par les secours.
Tous les voisins s'accordaient à décrire les occupants de la maison comme "des gens sans histoires".
D'après les premiers éléments de l'enquête, c'est une séparation mal acceptée qui aurait motivé le geste de cet infirmier libéral qui n'était semble-t-il pas connu de la justice avant le drame, selon le parquet d'Arras.
Vers 01H00 du matin, cet homme s'est invité dans un réveillon familial auquel participaient sept personnes, dans une maison mitoyenne de la commune de Sainte-Catherine (Pas-de-Calais), dans "un quartier résidentiel, tout ce qu'il y a de plus tranquille", a déclaré à l'AFP Adam Chodkiewiez, substitut du procureur d'Arras.
"Il s'en est pris immédiatement à son ex-compagne, deux personnes se sont interposées et c'est là que les coups de feu ont commencé", a ajouté M. Chodkiewiez.
Le bilan est très lourd: trois morts, parmi lesquels l'ancienne compagne du tireur et deux hommes âgés d'une cinquantaine d'années, et deux blessés dont un grave. Ce dernier, dont le pronostic vital est engagé, selon la préfecture d'Arras, a été hospitalisé à Lille.
Les deux dernières personnes qui participaient au réveillon ont alerté les secours. Très choquées, elles ont été prises en charge par les pompiers.
L'infirmier, après avoir tiré, a quitté les lieux à bord de sa voiture. Des policiers de la Bac, qui avaient reçu un signalement de ce véhicule l'ont repéré et l'ont pris en chasse. A l'issue d'une brève course-poursuite, le tireur s'est garé sur le parking du centre hospitalier d'Arras. "Avant que les policiers n'aient eu le temps de mettre pied à terre, il a retourné l'arme contre lui et s'est suicidé", a indiqué M. Chodkiewiez.
-'On m'a dit qu'il y avait un homme en cavale'-
Comme le tireur s'est donné la mort, "l'action publique est éteinte", a-t-il indiqué à l'AFP, expliquant qu'une information judiciaire pour recherche des causes de la mort serait ouverte.
La maison où se sont déroulés les faits, qui ne compte pas plus de deux niveaux, est située dans une impasse, dans un quartier bien entretenu de cette petite commune de quelque 3.500 âmes, a constaté un journaliste de l'AFP, tenu à l'écart, comme toute la presse, par la police.
Les enquêteurs de la police technique et scientifique sont restés de longues heures sur les lieux pour procéder à des relevés, afin de déterminer le plus précisément possible le déroulement des faits. Ils ont quitté la maison, placée sous scellés, peu après 09H00.
"On m'a dit qu'il y avait un homme en cavale avec un fusil de chasse, qui venait d'assassiner deux, trois personnes", a déclaré à l'AFP Céline, une voisine âgée d'une quarantaine d'années, visiblement encore très choquée.
Rentrée chez elle vers 02H00 du matin, après la fusillade, elle est tombée sur un voisin en larmes, qui lui a demandé d'aller chercher sa femme à la salle des fêtes. C'est en se rendant là-bas qu'elle a été stoppée par des policiers qui lui ont dit de se calfeutrer chez elle. "Ma soeur qui était ici avec son nouveau-né a entendu quatre coups de feu, dont trois d'affilée", a-t-elle ajouté.
Jean-Pierre, un autre voisin âgé de 60 ans, a accueilli chez lui peu de temps après les faits le propriétaire de la maison où se tenait le réveillon. Il décrit un homme complètement sidéré par les événements et incapable de raconter, se bornant à lui réclamer un whisky, une cigarette, pour se remettre de ses émotions et qui avait "l'air perdu", avant d'être pris en charge par les secours.
Tous les voisins s'accordaient à décrire les occupants de la maison comme "des gens sans histoires".
par GilbertSedman » 05 Jan 2015, 15:38
C'est donc cela la sélection naturelle.....
Dunkerque : l’enseigne de la CAF tombe et blesse une mère et sa fille
Des panneaux de l’enseigne de la CAF de Dunkerque sont tombés sur une mère et sa fille qui sortaient du bâtiment vendredi. Blessées, elles ont été transportées à l’hôpital. Depuis, la CAF est interdite au public. Elle rouvrira lorsque les lieux auront été mis en sécurité.
Les panneaux métalliques de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) de Dunkerque, rue de Paris, fixés au-dessus de l’entrée principale, ont probablement souffert, trop exposés aux rafales de vent. Vendredi, vers 11 h 40, une femme de 39 ans, enceinte, accompagnée de sa fille, âgée de 17 ans, sortent du bâtiment de la CAF. Juste à ce moment-là, les panneaux de l’enseigne se décrochent et leur tombent dessus.
La jeune fille a été blessée à la tête, tandis que la mère se plaignait de douleurs au bas-ventre. Elles ont été prises en charge par le SMUR et transportées au centre hospitalier de Dunkerque. Leurs blessures n’inspiraient pas d’inquiétude.
La CAF fermée au public
Depuis l’accident, par mesure de sécurité, un balisage a été posé autour de l’entrée principale, la condamnant, entraînant ainsi la fermeture de la CAF au public.
Il y a bien une autre entrée, côté du Pont-de-l’Europe, mais elle est impraticable à cause des travaux sur la façade et des échafaudages.
La CAF devrait rouvrir dans les jours qui viennent, en tout cas, dès qu’une entreprise de travaux publics aura sécurisé les lieux.
Dunkerque : l’enseigne de la CAF tombe et blesse une mère et sa fille
Des panneaux de l’enseigne de la CAF de Dunkerque sont tombés sur une mère et sa fille qui sortaient du bâtiment vendredi. Blessées, elles ont été transportées à l’hôpital. Depuis, la CAF est interdite au public. Elle rouvrira lorsque les lieux auront été mis en sécurité.
Les panneaux métalliques de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) de Dunkerque, rue de Paris, fixés au-dessus de l’entrée principale, ont probablement souffert, trop exposés aux rafales de vent. Vendredi, vers 11 h 40, une femme de 39 ans, enceinte, accompagnée de sa fille, âgée de 17 ans, sortent du bâtiment de la CAF. Juste à ce moment-là, les panneaux de l’enseigne se décrochent et leur tombent dessus.
La jeune fille a été blessée à la tête, tandis que la mère se plaignait de douleurs au bas-ventre. Elles ont été prises en charge par le SMUR et transportées au centre hospitalier de Dunkerque. Leurs blessures n’inspiraient pas d’inquiétude.
La CAF fermée au public
Depuis l’accident, par mesure de sécurité, un balisage a été posé autour de l’entrée principale, la condamnant, entraînant ainsi la fermeture de la CAF au public.
Il y a bien une autre entrée, côté du Pont-de-l’Europe, mais elle est impraticable à cause des travaux sur la façade et des échafaudages.
La CAF devrait rouvrir dans les jours qui viennent, en tout cas, dès qu’une entreprise de travaux publics aura sécurisé les lieux.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par Xylophène » 05 Jan 2015, 15:55
GilbertSedman a écrit:C'est donc cela la sélection naturelle.....
Oui, bizarrement, ça n'arrive jamais lorsque l'on se trouve sous une enseigne Louis Vuitton.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
par bitadmin » 12 Jan 2015, 14:25
Déception, incompréhension et colère ce dimanche après-midi à Ghyvelde. En marge de la bande, on aurait pu s’attendre à voir beaucoup de Charlie sous les masques du carnaval. Ne désirant pas annuler la bande, la municipalité avait en effet pris le pari d’organiser une marche républicaine avant que ne retentisse le signal des fifres et tambours. En gros, il était prévu un moment pour le recueillement et les hommages aux victimes des attentats, et un autre pour le défouloir annuel en technicolor.
De nombreux carnavaleux ne l’ont pas entendu ainsi, laissant partir la marche républicaine, prévue sur un kilomètre, sans eux. Eux étaient là pour faire la fête, pas pour participer au formidable élan de fraternité qui a saisi la France. Alors, en attendant la fin de la marche qui a recueilli environ 200 personnes, ils ont bu. Beaucoup bu. On préférera mettre sur le compte de la jeunesse et de l‘alcool les messages indignes entendus ici et là, entre deux couplets à la gloire de Chantal ou de Jean-Bart. « Je suis outrée, je suis rentrée chez moi dégoûtée par ce que j’ai vu et entendu », témoigne Dominique, une Ghyveldois venue pour la marche et la bande. « Ce ne fut que provocations, insultes et propos racistes. C’est lamentable. »
L’organisation conjuguée de la marche et de la bande a été un fiasco total, même si quelques trop rares « masquelours » ont défilé derrière les élus ghyveldois et la banderole « Nous sommes tous Charlie ». Presque tous...
De nombreux carnavaleux ne l’ont pas entendu ainsi, laissant partir la marche républicaine, prévue sur un kilomètre, sans eux. Eux étaient là pour faire la fête, pas pour participer au formidable élan de fraternité qui a saisi la France. Alors, en attendant la fin de la marche qui a recueilli environ 200 personnes, ils ont bu. Beaucoup bu. On préférera mettre sur le compte de la jeunesse et de l‘alcool les messages indignes entendus ici et là, entre deux couplets à la gloire de Chantal ou de Jean-Bart. « Je suis outrée, je suis rentrée chez moi dégoûtée par ce que j’ai vu et entendu », témoigne Dominique, une Ghyveldois venue pour la marche et la bande. « Ce ne fut que provocations, insultes et propos racistes. C’est lamentable. »
L’organisation conjuguée de la marche et de la bande a été un fiasco total, même si quelques trop rares « masquelours » ont défilé derrière les élus ghyveldois et la banderole « Nous sommes tous Charlie ». Presque tous...
par krouw2 » 13 Jan 2015, 14:19
Quatre ans de prison pour avoir félicité les frères Kouachi
Par Judith Duportail, AFP, AP, Reuters Agences
L'homme a été condamné lundi par le tribunal de Valenciennes. Sa peine a été considérablement alourdie par le fait qu'il soit multirécidiviste, avec 16 condamnations déjà à son actif.
«Il devrait y en avoir plus des Kouachi. J'espère que vous serez les prochains (...) Vous êtes du pain béni pour les terroristes». C'est pour avoir tenu de tels propos, samedi soir alors qu'il était interpellé pour conduite en état d'ivresse, qu'un homme de 34 a été condamné lundi à 4 ans de prison. L'homme a eu beau assurer n'avoir plus aucun souvenir de ces propos lors de l'audience, raconte La voix du Nord, il n'a pas convaincu la présidente. Une peine sévère, au regard des autres condamnations prononcées ces derniers jours pour les mêmes actes, tournant plutôt autour des quelques mois de prison ferme.
Le prévenu, originaire de Douchy-les-Mines (Nord), a fait l'objet d'une comparution immédiate pour conduite sous l'emprise d'un état d'ivresse manifeste et refus de se soumettre aux vérifications en état de récidive, blessures involontaires, et apologie d'actes de terrorisme. Il avait percuté un autre véhicule et blessé légèrement un père et sa fille de 12 ans samedi à Haulchin (Nord).
Déjà condamné 16 fois
En plus de ces multiples chefs d'accusation, l'homme était en situation de multirécidive , avec 16 condamnations à son actif. Il est déjà passé en jugement pour quatre outrages à personnes dépositaires de l'autorité publique et trois rébellions, indique toujours La Voix du Nord. «La sévérité des peines prononcées s'explique grandement par les propos tenus faisant l'apologie des actes de terrorisme», a ajouté François Pérain, procureur de Valenciennes.
Au moment de son interpellation, il a tenu «des propos particulièrement virulents sur le bien-fondé des actes de terrorisme commis la semaine dernière», a précisé François Pérain. Outre les quatre ans d'emprisonnement, le trentenaire a écopé d'une annulation de son permis de conduire pendant deux ans et d'une interdiction de ses droits civils et de famille pendant trois ans.
Par Judith Duportail, AFP, AP, Reuters Agences
L'homme a été condamné lundi par le tribunal de Valenciennes. Sa peine a été considérablement alourdie par le fait qu'il soit multirécidiviste, avec 16 condamnations déjà à son actif.
«Il devrait y en avoir plus des Kouachi. J'espère que vous serez les prochains (...) Vous êtes du pain béni pour les terroristes». C'est pour avoir tenu de tels propos, samedi soir alors qu'il était interpellé pour conduite en état d'ivresse, qu'un homme de 34 a été condamné lundi à 4 ans de prison. L'homme a eu beau assurer n'avoir plus aucun souvenir de ces propos lors de l'audience, raconte La voix du Nord, il n'a pas convaincu la présidente. Une peine sévère, au regard des autres condamnations prononcées ces derniers jours pour les mêmes actes, tournant plutôt autour des quelques mois de prison ferme.
Le prévenu, originaire de Douchy-les-Mines (Nord), a fait l'objet d'une comparution immédiate pour conduite sous l'emprise d'un état d'ivresse manifeste et refus de se soumettre aux vérifications en état de récidive, blessures involontaires, et apologie d'actes de terrorisme. Il avait percuté un autre véhicule et blessé légèrement un père et sa fille de 12 ans samedi à Haulchin (Nord).
Déjà condamné 16 fois
En plus de ces multiples chefs d'accusation, l'homme était en situation de multirécidive , avec 16 condamnations à son actif. Il est déjà passé en jugement pour quatre outrages à personnes dépositaires de l'autorité publique et trois rébellions, indique toujours La Voix du Nord. «La sévérité des peines prononcées s'explique grandement par les propos tenus faisant l'apologie des actes de terrorisme», a ajouté François Pérain, procureur de Valenciennes.
Au moment de son interpellation, il a tenu «des propos particulièrement virulents sur le bien-fondé des actes de terrorisme commis la semaine dernière», a précisé François Pérain. Outre les quatre ans d'emprisonnement, le trentenaire a écopé d'une annulation de son permis de conduire pendant deux ans et d'une interdiction de ses droits civils et de famille pendant trois ans.
Hollande 2027
par Der » 13 Jan 2015, 14:33
loul
Beau raccourci.
devient juste: 4ans pour apologie du terrorismeconduite sous l'emprise d'un état d'ivresse manifeste et refus de se soumettre aux vérifications en état de récidive, blessures involontaires, et apologie d'actes de terrorisme
Beau raccourci.
On se fait des bisous et on s'encule.
par GilbertSedman » 13 Jan 2015, 20:46
Le terroriste Amedy Coulibaly avait contracté un prêt de 6000€ auprès de Cofidis
Selon des documents que nous nous sommes procurés en exclusivité, Amedy Coulibaly, le responsable de la mort de cinq personnes dans des attaques terroristes, la semaine dernière, à Montrouge et dans un supermarché casher de la porte de Vincennes à Paris, a contracté un prêt de 6000€, début décembre, auprès de Cofidis. Un prêt de «moyenne gamme», selon l’entreprise de crédit, qui n’est pas tenue de demander une justification de l’objet des dépenses.
Selon des documents que nous nous sommes procurés en exclusivité, Amedy Coulibaly, le responsable de la mort de cinq personnes dans des attaques terroristes, la semaine dernière, à Montrouge et dans un supermarché casher de la porte de Vincennes à Paris, a contracté un prêt de 6000€, début décembre, auprès de Cofidis. Un prêt de «moyenne gamme», selon l’entreprise de crédit, qui n’est pas tenue de demander une justification de l’objet des dépenses.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par bitadmin » 21 Jan 2015, 14:35
Dimanche, un peu avant 18 heures, les policiers ont interpellé un homme de 53 ans résidant à Outreau. Alcoolisé, le père de famille a planté un couteau de cuisine dans la jambe de son fils de 14 ans.
L’enquête réalisée au commissariat de Boulogne-sur-Mer a pu établir qu’après une promenade, ce père de famille est rentré fortement alcoolisé à son domicile. Il s’est restauré dans la cuisine puis en est ressorti avec un couteau à steak, qu’il a planté dans le mollet droit de son fils, âgé de 14 ans, installé dans un fauteuil pour regarder la télé.
C’est la sœur de la victime qui a appelé les secours. Le père a été interpellé avec un taux d’alcool dans le sang proche de 3,5 g/l.
Il devrait s’expliquer dans les prochains jours au tribunal de Boulogne.
L’enquête réalisée au commissariat de Boulogne-sur-Mer a pu établir qu’après une promenade, ce père de famille est rentré fortement alcoolisé à son domicile. Il s’est restauré dans la cuisine puis en est ressorti avec un couteau à steak, qu’il a planté dans le mollet droit de son fils, âgé de 14 ans, installé dans un fauteuil pour regarder la télé.
C’est la sœur de la victime qui a appelé les secours. Le père a été interpellé avec un taux d’alcool dans le sang proche de 3,5 g/l.
Il devrait s’expliquer dans les prochains jours au tribunal de Boulogne.
par GilbertSedman » 21 Jan 2015, 15:21
Tish nous avait caché son fils toutes ces années ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par kaptn_kvern » 21 Jan 2015, 18:09
Nan mais à un moment, faut arrêter de stigmatiser les habitants d'outreau lô. On parle pas d'un coup de bite sur son gamin, juste un coup de couteau. Si on peut plus s'amuser, à quoi ça sert de faire des gosses ?
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par krouw2 » 25 Jan 2015, 13:04
Lille : une figure d'extrême droite soupçonnée de trafic d'armes
LIBERATION avec AFP 24 janvier 2015 à 17:21
Trois personnes, dont une figure de la mouvance identitaire du Nord, Claude Hermant, ont été déférées vendredi devant le juge d’instruction dans le cadre de l’enquête en commission rogatoire de la police judiciaire lilloise sur un trafic d’armes en bande organisée, a annoncé le procureur de Lille. «Ce jour, le juge d’instruction a ordonné le défèrement (de ces trois personnes) en vue de leur mise en examen», peut-on lire dans un communiqué du procureur de Lille, Frédéric Fèvre. Elles avaient été placées en garde à vue mardi.
Claude Hermant, âgé d’une cinquantaine d’années, proche des milieux de l’extrême droite locale, est employé dans une friterie dans le centre de Lille. Sont cités en vue d’une mise en examen les chefs «d’exercice sans autorisation, en bande organisée, d’activité intermédiaire pour la fabrication ou le commerce de matériels de guerre, armes ou munitions» et «d’association de malfaiteurs en vue de la préparation de crimes et de délits punis de dix ans d’emprisonnement», notamment. «Le parquet a requis la saisine du juge de la liberté et de la détention en vue de leur placement en détention provisoire», est-il encore dit dans le communiqué.
Ancien membre du DPS, le service de sécurité du Front national, Claude Hermant a également participé à des opérations barbouzardes en Afrique dans les années 1990 – sous la conduite de Bernard Courcelle, ancien patron du DPS. En 2001, il avait lui-même témoigné de ces activités dans Libération.
Une information judiciaire avait été ouverte au tribunal de grande instance de Lille le 7 mai 2014, et le juge d’instruction avait confié l’enquête à la police judiciaire de Lille. Mardi, une perquisition avait été menée dans une maison à Comines, en Belgique à une quinzaine de km de Lille, dans le cadre d’une commission rogatoire internationale du 18 décembre 2014 émanant des autorités françaises. L’opération avait été exécutée par des policiers belges, accompagnés de collègues français, selon le parquet de Tournai (Wallonie, ouest de la Belgique). Par crainte de présence d’explosifs, une trentaine d’habitations et plus de 80 personnes avaient été évacuées pendant plus de trois heures dans cette commune. Mais aucune arme ni aucun explosif n’avait été découvert.
LIBERATION avec AFP 24 janvier 2015 à 17:21
Trois personnes, dont une figure de la mouvance identitaire du Nord, Claude Hermant, ont été déférées vendredi devant le juge d’instruction dans le cadre de l’enquête en commission rogatoire de la police judiciaire lilloise sur un trafic d’armes en bande organisée, a annoncé le procureur de Lille. «Ce jour, le juge d’instruction a ordonné le défèrement (de ces trois personnes) en vue de leur mise en examen», peut-on lire dans un communiqué du procureur de Lille, Frédéric Fèvre. Elles avaient été placées en garde à vue mardi.
Claude Hermant, âgé d’une cinquantaine d’années, proche des milieux de l’extrême droite locale, est employé dans une friterie dans le centre de Lille. Sont cités en vue d’une mise en examen les chefs «d’exercice sans autorisation, en bande organisée, d’activité intermédiaire pour la fabrication ou le commerce de matériels de guerre, armes ou munitions» et «d’association de malfaiteurs en vue de la préparation de crimes et de délits punis de dix ans d’emprisonnement», notamment. «Le parquet a requis la saisine du juge de la liberté et de la détention en vue de leur placement en détention provisoire», est-il encore dit dans le communiqué.
Ancien membre du DPS, le service de sécurité du Front national, Claude Hermant a également participé à des opérations barbouzardes en Afrique dans les années 1990 – sous la conduite de Bernard Courcelle, ancien patron du DPS. En 2001, il avait lui-même témoigné de ces activités dans Libération.
Une information judiciaire avait été ouverte au tribunal de grande instance de Lille le 7 mai 2014, et le juge d’instruction avait confié l’enquête à la police judiciaire de Lille. Mardi, une perquisition avait été menée dans une maison à Comines, en Belgique à une quinzaine de km de Lille, dans le cadre d’une commission rogatoire internationale du 18 décembre 2014 émanant des autorités françaises. L’opération avait été exécutée par des policiers belges, accompagnés de collègues français, selon le parquet de Tournai (Wallonie, ouest de la Belgique). Par crainte de présence d’explosifs, une trentaine d’habitations et plus de 80 personnes avaient été évacuées pendant plus de trois heures dans cette commune. Mais aucune arme ni aucun explosif n’avait été découvert.
Hollande 2027
par ChevalierBlanc » 28 Jan 2015, 15:15
Arras : le fétichiste des sous-vêtements agressait des femmes la nuit
Mis à jour : 27-01-2015 15:39
FAIT DIVERS – Cet homme de 34 ans a été reconnu par plusieurs victimes. Il agissait la nuit et tentait d'arracher systématiquement des morceaux de collants ou les culottes de ses victimes. Il a été placé sous contrôle judiciaire ce lundi.
La police a pu remonter à lui en le faisant identifier sur son fichier photo. Photo : © Hache/AFP
Une obsession qui l'a rendu violent. Un homme a été placé sous contrôle judiciaire, ce lundi, pour avoir agressé des femmes à Arras. Cet Arrageois de 34 ans a été reconnu par plusieurs victimes. Selon La Voix du Nord, ce fétichiste des sous-vêtements féminins tentait d'arracher systématiquement des morceaux de collants ou les culottes.
Déjà incarcéré pour ces faits
Au moins deux femmes ont reconnu avoir été agressées sexuellement par ce prédateur dans le centre-ville d'Arras. Un juge d’instruction a été nommé pour identifier le nombre précis de victimes, qui pourrait s’étaler sur plusieurs années. Le trentenaire avait déjà été incarcéré pour le même type de faits.
La dernière agression au lieu, vers 2 heures, ce samedi 17 janvier. Une jeune femme de 32 ans rentre chez elle, à pied, à Arras. Elle sera agressée par le suspect dans le hall de son immeuble. Ce dernier aura eu le temps de commettre des gestes répréhensibles, avant de prendre la fuite face aux cris de la victime, non sans emporter avec lui un morceau de collants.
Mais où va-t-on ? Même plus le droit de collectionner dans cette région.
Mis à jour : 27-01-2015 15:39
FAIT DIVERS – Cet homme de 34 ans a été reconnu par plusieurs victimes. Il agissait la nuit et tentait d'arracher systématiquement des morceaux de collants ou les culottes de ses victimes. Il a été placé sous contrôle judiciaire ce lundi.
La police a pu remonter à lui en le faisant identifier sur son fichier photo. Photo : © Hache/AFP
Une obsession qui l'a rendu violent. Un homme a été placé sous contrôle judiciaire, ce lundi, pour avoir agressé des femmes à Arras. Cet Arrageois de 34 ans a été reconnu par plusieurs victimes. Selon La Voix du Nord, ce fétichiste des sous-vêtements féminins tentait d'arracher systématiquement des morceaux de collants ou les culottes.
Déjà incarcéré pour ces faits
Au moins deux femmes ont reconnu avoir été agressées sexuellement par ce prédateur dans le centre-ville d'Arras. Un juge d’instruction a été nommé pour identifier le nombre précis de victimes, qui pourrait s’étaler sur plusieurs années. Le trentenaire avait déjà été incarcéré pour le même type de faits.
La dernière agression au lieu, vers 2 heures, ce samedi 17 janvier. Une jeune femme de 32 ans rentre chez elle, à pied, à Arras. Elle sera agressée par le suspect dans le hall de son immeuble. Ce dernier aura eu le temps de commettre des gestes répréhensibles, avant de prendre la fuite face aux cris de la victime, non sans emporter avec lui un morceau de collants.
Mais où va-t-on ? Même plus le droit de collectionner dans cette région.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par GilbertSedman » 31 Jan 2015, 10:05
Source vdn d'hier :
Sasha Minéo, jeune Lillois de 20 ans, a été enfermé dans la maison des secrets de « Secret Story 6 », sur TF1, en 2013. « La production est venue me chercher, histoire d’avoir un mouton noir dans la bergerie... Généralement, les gens qui sont choisis ne sont pas sélectionnés pour leurs qualités intellectuelles », explique-t-il. Or Sasha a eu son bac à 14 ans, a sauté plusieurs classes et est aujourd’hui diplômé d’un master de chimie et d’un autre en management. « Je n’y suis pas allé pour les paillettes mais parce que c’était une expérience à vivre et que c’était un job d’été sympa. » Et plutôt rémunérateur : entre 2 et 3 000 € par mois.
Lucide sur le jeu, il admet n’en tirer aucun autre bénéfice. « Ça ne m’a rien apporté. Et il faut être capable d’assumer les traces qu’on laisse, surtout sur le net. » De nombreux articles lui collent à la peau. Parfois peu flatteurs. « C’est une machine à broyer les gens. Pour quelqu’un qui n’est pas bien structuré mentalement, ça peut être dangereux. » Aujourd’hui salarié d’un cabinet de conseil bancaire, il n’envisage aucun retour vers l’univers de la téléréalité.
Tish va te crever, rip chacha
Sasha Minéo, jeune Lillois de 20 ans, a été enfermé dans la maison des secrets de « Secret Story 6 », sur TF1, en 2013. « La production est venue me chercher, histoire d’avoir un mouton noir dans la bergerie... Généralement, les gens qui sont choisis ne sont pas sélectionnés pour leurs qualités intellectuelles », explique-t-il. Or Sasha a eu son bac à 14 ans, a sauté plusieurs classes et est aujourd’hui diplômé d’un master de chimie et d’un autre en management. « Je n’y suis pas allé pour les paillettes mais parce que c’était une expérience à vivre et que c’était un job d’été sympa. » Et plutôt rémunérateur : entre 2 et 3 000 € par mois.
Lucide sur le jeu, il admet n’en tirer aucun autre bénéfice. « Ça ne m’a rien apporté. Et il faut être capable d’assumer les traces qu’on laisse, surtout sur le net. » De nombreux articles lui collent à la peau. Parfois peu flatteurs. « C’est une machine à broyer les gens. Pour quelqu’un qui n’est pas bien structuré mentalement, ça peut être dangereux. » Aujourd’hui salarié d’un cabinet de conseil bancaire, il n’envisage aucun retour vers l’univers de la téléréalité.
Tish va te crever, rip chacha
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par krouw2 » 14 Fév 2015, 13:05
Lens: une jeune femme enceinte frappée en pleine rue parce qu’elle était voilée?
Publié le 13/02/2015
Une Lensoise de 23 ans, enceinte de 5 mois et voilée, témoigne avoir été agressée, mardi devant la CPAM, par une femme qui aurait proféré des insultes à caractère racial. Toujours en état de choc, elle confie son traumatisme.
Les faits se sont produits devant cette borne de la CPAM, que la jeune femme enceinte voulait utiliser pour imprimer un
La voix encore faible, la Lensoise de 23 ans raconte, effarée, l’agression dont elle dit avoir été victime devant la CPAM, avenue Van-Pelt, mardi vers 16 h 45. En arrêt maladie depuis un accident du travail, elle est enceinte de 5 mois. Pour les besoins d’une procédure, elle devait retirer une attestation pour la déposer dans la boîte aux lettres de son avocat avant 17 h 30. « Très affaiblie, j’étais en pyjama, avec un gilet au dessus. J’en avais pour une minute à imprimer l’attestation à la borne extérieure installée depuis peu, relate-t-elle. Il y avait une dame qui imprimait un papier, je lui ai demandé si elle en avait pour longtemps, elle a gentiment répondu que non. Puis elle s’est retournée et a eu l’air choqué en me voyant. Elle a eu un sourire narquois et j’ai vu qu’elle s’amusait à réimprimer le même papier, puis elle jouait sur l’écran, on voyait qu’elle voulait m’impatienter… »
Insultes à caractère racial et coups dans le ventre
La dame finit par s’en aller, en glissant visiblement : « Si tu veux que ça aille plus vite, retourne dans ton pays ». Elle s’éloigne et la jeune femme entend des insultes à caractère racial. « Je lui ai dit en haussant la voix Tu attends d’être loin pour crier ça, la vieille. Là, elle a donné ses papiers et son sac à la femme qui l’accompagnait et elle a couru vers moi. Elle m’a frappée, a arraché mon voile. Je lui ai dit d’arrêter, que j’étais enceinte. Là, elle s’est concentrée sur mon ventre à coups de poing, pour me défendre j’ai donné un coup qu’elle a reçu dans le nez. Elle continuait à m’insulter, me criait Tu fais des gosses pour toucher les alloc’ en France. Heureusement, un homme est venu nous séparer. » Il aurait néanmoins refusé de venir témoigner au commissariat, expliquant être pressé.
La jeune femme se rend au commissariat tout proche, suivie dit-elle par la dame qui venait de l’agresser. « Elle a jeté sa carte d’identité au policier qui la lui demandait. Elle criait que je faisais des enfants pour toucher de l’argent, que c’était moi qui l’avais agressée… Puis elle est partie en rage. » La victime ira à l’hôpital puis chez le médecin et déposera plainte, présentant un certificat médical faisant état d’une incapacité totale de travail (ITT) de huit jours. « Depuis, je n’ose plus sortir de chez moi toute seule, ma mère m’accompagne partout. Le pire, c’est que je n’ai même pas osé lui dire d’emblée qu’étant enceinte, j’étais prioritaire. Je comprends que les gens soient énervés depuis les attentats, mais il ne faut pas faire d’amalgame ni exprimer sa peur par la violence. Mon voile n’est pas une provocation. »
Publié le 13/02/2015
Une Lensoise de 23 ans, enceinte de 5 mois et voilée, témoigne avoir été agressée, mardi devant la CPAM, par une femme qui aurait proféré des insultes à caractère racial. Toujours en état de choc, elle confie son traumatisme.
Les faits se sont produits devant cette borne de la CPAM, que la jeune femme enceinte voulait utiliser pour imprimer un
La voix encore faible, la Lensoise de 23 ans raconte, effarée, l’agression dont elle dit avoir été victime devant la CPAM, avenue Van-Pelt, mardi vers 16 h 45. En arrêt maladie depuis un accident du travail, elle est enceinte de 5 mois. Pour les besoins d’une procédure, elle devait retirer une attestation pour la déposer dans la boîte aux lettres de son avocat avant 17 h 30. « Très affaiblie, j’étais en pyjama, avec un gilet au dessus. J’en avais pour une minute à imprimer l’attestation à la borne extérieure installée depuis peu, relate-t-elle. Il y avait une dame qui imprimait un papier, je lui ai demandé si elle en avait pour longtemps, elle a gentiment répondu que non. Puis elle s’est retournée et a eu l’air choqué en me voyant. Elle a eu un sourire narquois et j’ai vu qu’elle s’amusait à réimprimer le même papier, puis elle jouait sur l’écran, on voyait qu’elle voulait m’impatienter… »
Insultes à caractère racial et coups dans le ventre
La dame finit par s’en aller, en glissant visiblement : « Si tu veux que ça aille plus vite, retourne dans ton pays ». Elle s’éloigne et la jeune femme entend des insultes à caractère racial. « Je lui ai dit en haussant la voix Tu attends d’être loin pour crier ça, la vieille. Là, elle a donné ses papiers et son sac à la femme qui l’accompagnait et elle a couru vers moi. Elle m’a frappée, a arraché mon voile. Je lui ai dit d’arrêter, que j’étais enceinte. Là, elle s’est concentrée sur mon ventre à coups de poing, pour me défendre j’ai donné un coup qu’elle a reçu dans le nez. Elle continuait à m’insulter, me criait Tu fais des gosses pour toucher les alloc’ en France. Heureusement, un homme est venu nous séparer. » Il aurait néanmoins refusé de venir témoigner au commissariat, expliquant être pressé.
La jeune femme se rend au commissariat tout proche, suivie dit-elle par la dame qui venait de l’agresser. « Elle a jeté sa carte d’identité au policier qui la lui demandait. Elle criait que je faisais des enfants pour toucher de l’argent, que c’était moi qui l’avais agressée… Puis elle est partie en rage. » La victime ira à l’hôpital puis chez le médecin et déposera plainte, présentant un certificat médical faisant état d’une incapacité totale de travail (ITT) de huit jours. « Depuis, je n’ose plus sortir de chez moi toute seule, ma mère m’accompagne partout. Le pire, c’est que je n’ai même pas osé lui dire d’emblée qu’étant enceinte, j’étais prioritaire. Je comprends que les gens soient énervés depuis les attentats, mais il ne faut pas faire d’amalgame ni exprimer sa peur par la violence. Mon voile n’est pas une provocation. »
Hollande 2027
par GilbertSedman » 18 Fév 2015, 18:07
Douai : abasourdis par l’alcool, ils voulaient à tout prix des prothèses auditives
Deux Douaisiens un peu paumés, surtout rongés par l’alcool, ont été condamnés pour avoir cambriolé l’audioprothésiste Afflelou et avoir tenté un casse dans l’agence de voyages Albatour à Douai, le 19 janvier.
Bon voilà. Encore l’alcool. Dimanche 18 janvier dans la soirée. Fernando Martinez (35 ans) et F. M. (37 ans), son cousin, boivent quelques verres ensemble. L’idée remonte comme ça à la surface de la bouteille, au détour d’une gorgée : Fernando Martinez propose « un p’tit billet » à F. M. pour qu’il l’accompagne chez Afflelou, rue de Paris. On est en pleine nuit, l’audioprothésiste n’est pas ouvert, Martinez n’a aucun problème de surdité mais il est armé d’une tenaille et force la porte d’entrée. F. M. est là pour faire le guet. C’est pas discret. De son immeuble voisin, un témoin prévient la police... les deux cousins sont vite interpellés. En s’enfuyant, Martinez a égaré sa tenaille et un casque audio dérobé chez Afflelou.
Jugés pour ce vol mais également une tentative, la même nuit, dans l’agence de voyages Albatour, les cousins reconnaissent les faits. Et finissent par endosser chacun leur (vrai) rôle. Car pour soulager Fernando Martinez, en récidive, F. M. avait d’abord accepté de dire qu’il était le voleur. Ça n’a pas tenu très longtemps. « J’ai pas réfléchi, dit F. M. (capuche blanche) à la barre. Avec le billet de 20 € qu’il m’avait proposé, j’aurais pu faire des courses car c’était la fin du mois. » « Le meilleur moyen d’avoir ce petit billet, c’était d’avoir un travail », lâche Me Stéphanie Galland, son avocate. Mais il n’en a plus depuis des lustres. Comme Martinez d’ailleurs (capuche noire), malgré sa formation de coffreur : « Ça n’allait plus, j’ai pas réussi à trouver du boulot ». L’alcool, le traitement de substitution et une certaine tentation de l’argent facile ont fait le reste. « Il y a une véritable immaturité et une certaine fragilité chez M. Martinez », note Me Lila Lambert, son conseil. Et surtout un (déjà) solide casier judiciaire, avec une condamnation en octobre.
Fernando Martinez est condamné à six mois ferme, une peine à laquelle s’ajoute la révocation de quatre mois de la condamnation d’octobre. F. M., lui, écope d’« un d’avertissement » : 105 heures de travail d’intérêt général. Un pied à l’étrier pour espérer pouvoir verser un jour les 7 400 € de dommages et intérêts ?
Deux Douaisiens un peu paumés, surtout rongés par l’alcool, ont été condamnés pour avoir cambriolé l’audioprothésiste Afflelou et avoir tenté un casse dans l’agence de voyages Albatour à Douai, le 19 janvier.
Bon voilà. Encore l’alcool. Dimanche 18 janvier dans la soirée. Fernando Martinez (35 ans) et F. M. (37 ans), son cousin, boivent quelques verres ensemble. L’idée remonte comme ça à la surface de la bouteille, au détour d’une gorgée : Fernando Martinez propose « un p’tit billet » à F. M. pour qu’il l’accompagne chez Afflelou, rue de Paris. On est en pleine nuit, l’audioprothésiste n’est pas ouvert, Martinez n’a aucun problème de surdité mais il est armé d’une tenaille et force la porte d’entrée. F. M. est là pour faire le guet. C’est pas discret. De son immeuble voisin, un témoin prévient la police... les deux cousins sont vite interpellés. En s’enfuyant, Martinez a égaré sa tenaille et un casque audio dérobé chez Afflelou.
Jugés pour ce vol mais également une tentative, la même nuit, dans l’agence de voyages Albatour, les cousins reconnaissent les faits. Et finissent par endosser chacun leur (vrai) rôle. Car pour soulager Fernando Martinez, en récidive, F. M. avait d’abord accepté de dire qu’il était le voleur. Ça n’a pas tenu très longtemps. « J’ai pas réfléchi, dit F. M. (capuche blanche) à la barre. Avec le billet de 20 € qu’il m’avait proposé, j’aurais pu faire des courses car c’était la fin du mois. » « Le meilleur moyen d’avoir ce petit billet, c’était d’avoir un travail », lâche Me Stéphanie Galland, son avocate. Mais il n’en a plus depuis des lustres. Comme Martinez d’ailleurs (capuche noire), malgré sa formation de coffreur : « Ça n’allait plus, j’ai pas réussi à trouver du boulot ». L’alcool, le traitement de substitution et une certaine tentation de l’argent facile ont fait le reste. « Il y a une véritable immaturité et une certaine fragilité chez M. Martinez », note Me Lila Lambert, son conseil. Et surtout un (déjà) solide casier judiciaire, avec une condamnation en octobre.
Fernando Martinez est condamné à six mois ferme, une peine à laquelle s’ajoute la révocation de quatre mois de la condamnation d’octobre. F. M., lui, écope d’« un d’avertissement » : 105 heures de travail d’intérêt général. Un pied à l’étrier pour espérer pouvoir verser un jour les 7 400 € de dommages et intérêts ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par n.iiicolas » 22 Fév 2015, 17:03
Vers 19 heures, ce jeudi soir, les services de police sont requis sur la commune d’Anzin, où deux individus seront finalement interpellés pour vol en réunion avec arme.
Les deux individus, dont l’un est un jeune mineur, sont suspectés d’avoir tenté de voler un scooter, après avoir menacé son propriétaire avec un cutter et lui avoir administré des coups de poing au visage. La victime s’est également fait dérober son portable.
Ce qui est pour le moins inhabituel, c’est l’identité de l’un des deux suspects, puisqu’il s’agit du propre frère de la victime. Les deux suspects, dont le jeune mineur, ont tout deux été ramenés au poste de police, où ils ont été placés en garde à vue jeudi soir
Les deux individus, dont l’un est un jeune mineur, sont suspectés d’avoir tenté de voler un scooter, après avoir menacé son propriétaire avec un cutter et lui avoir administré des coups de poing au visage. La victime s’est également fait dérober son portable.
Ce qui est pour le moins inhabituel, c’est l’identité de l’un des deux suspects, puisqu’il s’agit du propre frère de la victime. Les deux suspects, dont le jeune mineur, ont tout deux été ramenés au poste de police, où ils ont été placés en garde à vue jeudi soir
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
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