[O1T] Déprogression
par une des fakes de Der » 11 Sep 2012, 15:07
La politique comme on l'aime, allez les najat belcacem et aurélie filippeti, on en prend de la graine !
Action, ça tourne
Action, ça tourne
par une des fakes de Der » 11 Sep 2012, 15:20
bitembois a écrit:
Apparemment elle se filme, et en rajoute pas mal.
Mais bon, c'était pour la bonne cause.
par une des fakes de Der » 11 Sep 2012, 15:28
fernando a écrit:Ilse Uyttersprot est tête de liste pour les prochaines élections communales d’Alost.
Ce qui est extrêmement curieux dans cette affaire, c'est que, par le passé, le curé d'Ennevelin s'appelait Uyttersprot. Enfin, ça se prononçait comme ça...
par une des fakes de Der » 11 Sep 2012, 22:35
LOUL ! Béru ne croit pas si bien dire...
J'ai connu des voisins à elle à Angers. Apparemment, ils l'ont vue souvent à poil(s). Bon, c'est ce qu'ils disaient. Jamais eu le courage d'en savoir plus.
J'ai connu des voisins à elle à Angers. Apparemment, ils l'ont vue souvent à poil(s). Bon, c'est ce qu'ils disaient. Jamais eu le courage d'en savoir plus.
par une des fakes de Der » 12 Sep 2012, 15:48
Thierry L'amour est dans le pré : Plus fort que François Hollande à Rennes !
Thierry était présent au salon de l'élevage Space à Rennes !
Alors que la septième saison de L'amour est dans le pré ne connaît pas la crise, rassemblant plus de six millions de téléspectateurs chaque lundi, voilà que l'un des agriculteurs emblématiques de cette nouvelle saison fait parler de lui. Il s'agit de Thierry, qui file le parfait amour avec l'une de ses prétendantes, Annie, rencontrée grâce à l'émission. Devenu une star depuis la diffusion de l'émission, Thierry doit gérer sa toute nouvelle notoriété. En effet, selon des informations publiées par le site Ouestfrance.fr, ce dernier a été la star du salon de l'élevage Space à Rennes !
Les aventures de nos agriculteurs préférés continuent de passionner les téléspectateurs sur M6. Hier soir, l'épisode diffusé sur la chaîne a rassemblé des millions de fans qui ont pu suivre la vie à la ferme des agriculteurs et de leurs prétendantes. Alors que Bruno et Annie se sont rapprochés, voilà que Thierry, l'un des candidats les plus emblématiques de cette saison, semblait plus amoureux que jamais d'Annie. Il faut dire que depuis sa participation à l'émission, Thierry ne peut plus faire un pas sans être remarqué ! En effet, selon des informations publiées par le site Ouestfrance.fr, l'agriculteur n'est pas passé inaperçu lors de sa visite au salon de l'élevage Space de Rennes. Véritable star du village et des magazines, l'agriculteur était très souriant pour assister à l'évènement. "Cela fait dix ans que je n'étais pas venu et c'est un vrai plaisir", a-t-il confié dans les allées du Space, au parc-expo de Rennes Saint-Jacques.
Très sollicité par les visiteurs, l'agriculteur n'a pas hésité à serrer des mains et a distribuer des bises et des autographes. D'ailleurs, ce dernier a également posé pour des photos souvenirs. C'est qu'il volerait presque la vedette au Président de la République, qui a inauguré le Space au même moment. En tout cas, Thierry semble bien vivre sa toute nouvelle notoriété. Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, ce dernier va se marier samedi avec Annie, la prétendante qu'il a choisie pendant la septième saison de L'amour est dans le pré. " Avec Annie, nous allons nous marier à l'église de Gavray. Le mariage civil se fera à la mairie de Ver. Nous attendons pour cette occasion tous les candidats de l'émission" a-t-il confié.
Toutes nos félicitations !
Thierry était présent au salon de l'élevage Space à Rennes !
Alors que la septième saison de L'amour est dans le pré ne connaît pas la crise, rassemblant plus de six millions de téléspectateurs chaque lundi, voilà que l'un des agriculteurs emblématiques de cette nouvelle saison fait parler de lui. Il s'agit de Thierry, qui file le parfait amour avec l'une de ses prétendantes, Annie, rencontrée grâce à l'émission. Devenu une star depuis la diffusion de l'émission, Thierry doit gérer sa toute nouvelle notoriété. En effet, selon des informations publiées par le site Ouestfrance.fr, ce dernier a été la star du salon de l'élevage Space à Rennes !
Les aventures de nos agriculteurs préférés continuent de passionner les téléspectateurs sur M6. Hier soir, l'épisode diffusé sur la chaîne a rassemblé des millions de fans qui ont pu suivre la vie à la ferme des agriculteurs et de leurs prétendantes. Alors que Bruno et Annie se sont rapprochés, voilà que Thierry, l'un des candidats les plus emblématiques de cette saison, semblait plus amoureux que jamais d'Annie. Il faut dire que depuis sa participation à l'émission, Thierry ne peut plus faire un pas sans être remarqué ! En effet, selon des informations publiées par le site Ouestfrance.fr, l'agriculteur n'est pas passé inaperçu lors de sa visite au salon de l'élevage Space de Rennes. Véritable star du village et des magazines, l'agriculteur était très souriant pour assister à l'évènement. "Cela fait dix ans que je n'étais pas venu et c'est un vrai plaisir", a-t-il confié dans les allées du Space, au parc-expo de Rennes Saint-Jacques.
Très sollicité par les visiteurs, l'agriculteur n'a pas hésité à serrer des mains et a distribuer des bises et des autographes. D'ailleurs, ce dernier a également posé pour des photos souvenirs. C'est qu'il volerait presque la vedette au Président de la République, qui a inauguré le Space au même moment. En tout cas, Thierry semble bien vivre sa toute nouvelle notoriété. Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, ce dernier va se marier samedi avec Annie, la prétendante qu'il a choisie pendant la septième saison de L'amour est dans le pré. " Avec Annie, nous allons nous marier à l'église de Gavray. Le mariage civil se fera à la mairie de Ver. Nous attendons pour cette occasion tous les candidats de l'émission" a-t-il confié.
Toutes nos félicitations !
par une des fakes de Der » 12 Sep 2012, 17:45
Une femme qui avait menacé Nicolas Sarkozy a été condamnée à un an de prison ferme à Lille.
Une femme qui avait adressé des menaces de mort à Nicolas Sarkozy alors qu'il était président de la République a été condamnée lundi à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Lille, a-t-on appris mardi auprès de son avocate
"Elle a été condamnée à un an de prison ferme pour menaces de mort au chef de l'Etat", a indiqué Me Hassna Moubsit à l'AFP. "Elle a envoyé plusieurs mails à la fin du mois de février et début mars ainsi qu'une lettre manuscrite début avril", a-t-elle précisé.
Selon l'avocate, la femme, âgée de 35 ans, a refusé de se soumettre à une expertise psychiatrique et s'est revendiquée de l'extrême droite à l'audience. Sa peine s'additionne à celle d'un an de prison ferme prononcée la semaine dernière pour des menaces au couteau envers une employée de Pôle emploi de Lille. La prévenue avait déjà été condamnée en appel à Paris à un an de prison, dont six mois avec sursis, pour des lettres de menaces accompagnées d'une balle adressées au président Nicolas Sarkozy en 2009.
Une femme qui avait adressé des menaces de mort à Nicolas Sarkozy alors qu'il était président de la République a été condamnée lundi à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Lille, a-t-on appris mardi auprès de son avocate
"Elle a été condamnée à un an de prison ferme pour menaces de mort au chef de l'Etat", a indiqué Me Hassna Moubsit à l'AFP. "Elle a envoyé plusieurs mails à la fin du mois de février et début mars ainsi qu'une lettre manuscrite début avril", a-t-elle précisé.
Selon l'avocate, la femme, âgée de 35 ans, a refusé de se soumettre à une expertise psychiatrique et s'est revendiquée de l'extrême droite à l'audience. Sa peine s'additionne à celle d'un an de prison ferme prononcée la semaine dernière pour des menaces au couteau envers une employée de Pôle emploi de Lille. La prévenue avait déjà été condamnée en appel à Paris à un an de prison, dont six mois avec sursis, pour des lettres de menaces accompagnées d'une balle adressées au président Nicolas Sarkozy en 2009.
par une des fakes de Der » 13 Sep 2012, 11:44
Bordeaux: Un professeur roué de coups par un élève
Agressé par l'un de ses élèves après un désaccord lors d'un cours sur l'islam. Un professeur a été violenté mercredi après-midi au lycée Trégey à Bordeaux-Bastide, rapporte Sud-Ouest.
Lors d'un cours ayant pour sujet la religion musulmane, le professeur et l'élève de 18 ans se sont trouvés en désaccord. Le ton est monté, et le lycéen s'est énervé, renversant violemment une table. L'enseignant a alors fait évacuer la salle de cours. L'élève a ensuite été convoqué dans le bureau du conseiller principal d'éducation, où il s'est à nouveau énervé quand il a appris que ses parents avaient été avertis de l'incident. Il a commencé à dégrader le bureau, puis, croisant son professeur dans un couloir, il s'est jeté sur lui.
Interpellé par des policiers dans la cour
«D'abord bousculé, l'enseignant a reçu des claques de la part de son élève, un coup de poing et un coup de tête. Une jeune surveillante qui tentait de s'interposer et de ramener le jeune à la raison a quant à elle reçu un coup dans l'épaule et a évité un panneau d'affichage lancé dans sa direction par l'élève furieux», raconte encore Sud Ouest.
L'élève a été interpellé par des policiers dans la cour de l'établissement, et a été placé en garde à vue. Il est convoqué devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour violences sur personnes chargées d'une mission de service public.
Agressé par l'un de ses élèves après un désaccord lors d'un cours sur l'islam. Un professeur a été violenté mercredi après-midi au lycée Trégey à Bordeaux-Bastide, rapporte Sud-Ouest.
Lors d'un cours ayant pour sujet la religion musulmane, le professeur et l'élève de 18 ans se sont trouvés en désaccord. Le ton est monté, et le lycéen s'est énervé, renversant violemment une table. L'enseignant a alors fait évacuer la salle de cours. L'élève a ensuite été convoqué dans le bureau du conseiller principal d'éducation, où il s'est à nouveau énervé quand il a appris que ses parents avaient été avertis de l'incident. Il a commencé à dégrader le bureau, puis, croisant son professeur dans un couloir, il s'est jeté sur lui.
Interpellé par des policiers dans la cour
«D'abord bousculé, l'enseignant a reçu des claques de la part de son élève, un coup de poing et un coup de tête. Une jeune surveillante qui tentait de s'interposer et de ramener le jeune à la raison a quant à elle reçu un coup dans l'épaule et a évité un panneau d'affichage lancé dans sa direction par l'élève furieux», raconte encore Sud Ouest.
L'élève a été interpellé par des policiers dans la cour de l'établissement, et a été placé en garde à vue. Il est convoqué devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour violences sur personnes chargées d'une mission de service public.
par une des fakes de Der » 13 Sep 2012, 12:21
bérurier a écrit:Imaginez la même scène avec Roselyne Bachelot.
J'ai vomi.
par une des fakes de Der » 13 Sep 2012, 12:33
Karmé il a vomi aussi puis il s'est masturbé dans son vomi.
par une des fakes de Der » 13 Sep 2012, 12:57
Monsieur Déprogression
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Exhibition-sexuelle.-Un-taxi-porte-plainte-contre-Samy-Naceri_6346-2112549-fils-tous_filDMA.Htm
Un chauffeur de taxi parisien a déposé plainte contre Samy Naceri, mercredi. Il accuse l’acteur de l’avoir insulté avant d’exhiber son sexe.
Un succès et des frasques
Révélé en 1998 pour son rôle dans le film à succès Taxi, Samy Naceri fait surtout parler de lui pour ses démêlés judiciaires, ces derniers temps.
Emprisonné pendant 16 mois pour avoir porté un coup de couteau, en 2009, et condamné à une amende de 10 000 € pour exhibitionnisme et outrage à agent durant le Festival de Cannes, en 2011, le comédien fait cette fois l’objet d’une plainte pour exhibitionnisme sexuel.
Insultes et exhibition
Mercredi, l’acteur de 51 ans a eu maille à partir avec un chauffeur de taxi qui l’avait pris en charge, dans le VIIIe arrondissement de Paris.
Selon les premiers éléments de l’enquête, Samy Naceri aurait insulté le conducteur en sortant du véhicule, avant d’exhiber son sexe.
L’enquête a été confiée aux policiers du VIIIe.
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Exhibition-sexuelle.-Un-taxi-porte-plainte-contre-Samy-Naceri_6346-2112549-fils-tous_filDMA.Htm
Un chauffeur de taxi parisien a déposé plainte contre Samy Naceri, mercredi. Il accuse l’acteur de l’avoir insulté avant d’exhiber son sexe.
Un succès et des frasques
Révélé en 1998 pour son rôle dans le film à succès Taxi, Samy Naceri fait surtout parler de lui pour ses démêlés judiciaires, ces derniers temps.
Emprisonné pendant 16 mois pour avoir porté un coup de couteau, en 2009, et condamné à une amende de 10 000 € pour exhibitionnisme et outrage à agent durant le Festival de Cannes, en 2011, le comédien fait cette fois l’objet d’une plainte pour exhibitionnisme sexuel.
Insultes et exhibition
Mercredi, l’acteur de 51 ans a eu maille à partir avec un chauffeur de taxi qui l’avait pris en charge, dans le VIIIe arrondissement de Paris.
Selon les premiers éléments de l’enquête, Samy Naceri aurait insulté le conducteur en sortant du véhicule, avant d’exhiber son sexe.
L’enquête a été confiée aux policiers du VIIIe.
par une des fakes de Der » 13 Sep 2012, 21:05
150 euros pour 2 titres de Rihanna...
Hadopi : la première condamnation
L'homme a écopé de 150 euros d'amende pour avoir téléchargé illégalement de la musique.
Un homme de 39 ans a été condamné à 150 euros d’amende pour avoir téléchargé illégalement de la musique, jeudi à Belfort, devenant ainsi le premier internaute connu sanctionné pour une infraction à la loi controversée Hadopi.
Alain Prévot, charpentier de profession, a été condamné parce que sa ligne a été utilisée pour télécharger quelques morceaux de la chanteuse Rihanna, via le site Utorrents, alors qu’il avait déjà fait l’objet de plusieurs avertissements de la part de la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet.
«C’est ma femme qui les a téléchargés, mais comme je suis propriétaire de la ligne, c’est moi qui en suis responsable», a-t-il expliqué à l’AFP.
«Devant le tribunal, je n’ai pas cherché à nier quoi que ce soit, je suis de bonne foi. Même si je ne savais pas qu’avec ces deux chansons j’enfreignais la loi», a commenté l’internaute, qui affirme «ne pas connaître grand-chose à internet et au téléchargement».
Le tribunal a suivi les réquisition du parquet, qui réclamait 300 euros d’amende dont 150 avec sursis, et condamné M. Prévot pour «négligence caractérisée». Il n’a pas l’intention de faire appel.
«Le piratage est un délit passible de prison, alors que la négligence est punie d’une amende. Nous sommes sur des échelle de faute très différentes», a expliqué le procureur de Belfort, Alexandre Chevrier.
La condamnation, révélée par le quotidien régional Le Pays, survient au moment où Syndicat national de l'édition phonographique (Snep) rendait publique à Paris une étude montrant qu’en trois ans, le nombre de visiteurs uniques des sites de peer-to-peer (les seuls concernés par l’Hadopi) a baissé de 35% en France.
Pour le Snep, qui attribue cette baisse à l’effet dissuasif d’Hadopi, «il va être intéressant de voir quel va être l’effet de cette première condamnation sur les pratiques».
Un million d’avertissements
Le cas de M. Prévot est l’un des 14 dossiers transmis à la justice par la «commission de protection des droits» - l’organe de l’Hadopi chargé de mettre en oeuvre la «riposte graduée» au téléchargement illégal.
Depuis l’entrée en vigueur de ce dispositif le 1er octobre 2010, l’Hadopi a envoyé plus d’un million de premiers mails d’avertissement aux abonnés pratiquant le téléchargement illégal, a-t-elle indiqué la semaine dernière en présentant un bilan de son action, rappelant que la France comptait 22 millions d’abonnés à internet.
Quelque 100 000 internautes ont reçu un deuxième mail d’avertissement et 340 seulement ont récidivé à l’issue de cette deuxième phase, dont 14 ont vu leur dossier transmis à la justice, et un seul à ce jour - celui de M. Prévot - a fait l’objet d’une condamnation.
Beau joueur, le charpentier belfortain a estimé qu’il s’en «tirait à bon compte» au vu des 1 500 euros qu’il encourait. «Je limite la casse», a-t-il commenté.
Sa compagne, avec laquelle il est en instance de divorce, a bien reconnu être à l’origine du téléchargement des deux titres, dans une déclaration sur l’honneur. «Elle est d’accord pour payer l’amende à ma place. Peut-être que ça va lui servir de leçon», a ajouté M. Prévot.
L’Hadopi est très controversée depuis sa mise en place. La ministre de la Culture Aurélie Filippetti veut réduire son budget et juge sévèrement son action.
Mais la présidente de l’Autorité, Mireille Imbert-Quaretta, s’est dite «assez satisfait(e) au bout de deux ans d’avoir réussi l’action pédagogique qui nous avait été confiée par le législateur».
(AFP)
Hadopi : la première condamnation
L'homme a écopé de 150 euros d'amende pour avoir téléchargé illégalement de la musique.
Un homme de 39 ans a été condamné à 150 euros d’amende pour avoir téléchargé illégalement de la musique, jeudi à Belfort, devenant ainsi le premier internaute connu sanctionné pour une infraction à la loi controversée Hadopi.
Alain Prévot, charpentier de profession, a été condamné parce que sa ligne a été utilisée pour télécharger quelques morceaux de la chanteuse Rihanna, via le site Utorrents, alors qu’il avait déjà fait l’objet de plusieurs avertissements de la part de la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet.
«C’est ma femme qui les a téléchargés, mais comme je suis propriétaire de la ligne, c’est moi qui en suis responsable», a-t-il expliqué à l’AFP.
«Devant le tribunal, je n’ai pas cherché à nier quoi que ce soit, je suis de bonne foi. Même si je ne savais pas qu’avec ces deux chansons j’enfreignais la loi», a commenté l’internaute, qui affirme «ne pas connaître grand-chose à internet et au téléchargement».
Le tribunal a suivi les réquisition du parquet, qui réclamait 300 euros d’amende dont 150 avec sursis, et condamné M. Prévot pour «négligence caractérisée». Il n’a pas l’intention de faire appel.
«Le piratage est un délit passible de prison, alors que la négligence est punie d’une amende. Nous sommes sur des échelle de faute très différentes», a expliqué le procureur de Belfort, Alexandre Chevrier.
La condamnation, révélée par le quotidien régional Le Pays, survient au moment où Syndicat national de l'édition phonographique (Snep) rendait publique à Paris une étude montrant qu’en trois ans, le nombre de visiteurs uniques des sites de peer-to-peer (les seuls concernés par l’Hadopi) a baissé de 35% en France.
Pour le Snep, qui attribue cette baisse à l’effet dissuasif d’Hadopi, «il va être intéressant de voir quel va être l’effet de cette première condamnation sur les pratiques».
Un million d’avertissements
Le cas de M. Prévot est l’un des 14 dossiers transmis à la justice par la «commission de protection des droits» - l’organe de l’Hadopi chargé de mettre en oeuvre la «riposte graduée» au téléchargement illégal.
Depuis l’entrée en vigueur de ce dispositif le 1er octobre 2010, l’Hadopi a envoyé plus d’un million de premiers mails d’avertissement aux abonnés pratiquant le téléchargement illégal, a-t-elle indiqué la semaine dernière en présentant un bilan de son action, rappelant que la France comptait 22 millions d’abonnés à internet.
Quelque 100 000 internautes ont reçu un deuxième mail d’avertissement et 340 seulement ont récidivé à l’issue de cette deuxième phase, dont 14 ont vu leur dossier transmis à la justice, et un seul à ce jour - celui de M. Prévot - a fait l’objet d’une condamnation.
Beau joueur, le charpentier belfortain a estimé qu’il s’en «tirait à bon compte» au vu des 1 500 euros qu’il encourait. «Je limite la casse», a-t-il commenté.
Sa compagne, avec laquelle il est en instance de divorce, a bien reconnu être à l’origine du téléchargement des deux titres, dans une déclaration sur l’honneur. «Elle est d’accord pour payer l’amende à ma place. Peut-être que ça va lui servir de leçon», a ajouté M. Prévot.
L’Hadopi est très controversée depuis sa mise en place. La ministre de la Culture Aurélie Filippetti veut réduire son budget et juge sévèrement son action.
Mais la présidente de l’Autorité, Mireille Imbert-Quaretta, s’est dite «assez satisfait(e) au bout de deux ans d’avoir réussi l’action pédagogique qui nous avait été confiée par le législateur».
(AFP)
par une des fakes de Der » 13 Sep 2012, 21:10
"Écoutez, je n’ai plus de ligne internet actuellement ! Quand j’aurai la ligne, je mettrai un code sur l’ordinateur, mais j’attends que Madame soit partie puisqu’on est en instance de divorce. On ne s’entend plus - ce n'est pas suite à ça - pour d’autres choses. "
En tout cas, moi depuis que j'ai vu le tribunal Hadopi, j'ai arrêté mes conneries...
En tout cas, moi depuis que j'ai vu le tribunal Hadopi, j'ai arrêté mes conneries...
par une des fakes de Der » 14 Sep 2012, 10:20
Quitter son club de coeur n'est pas toujours simple. En quittant l'Athletic Bilbao, Javi Martinez a déclenché la fureur des supporters et des dirigeants. Et est devenu le protagoniste d'une drôle d'affaire dans la nuit de samedi à dimanche.
« Est-ce que quelqu’un peut imaginer que je fasse une telle chose ? ». Voilà comment, sur Twittter, Javi Martinez a tenté de se défendre. Effectivement, on peut se demander quelle mouche pourrait l’avoir piqué pour agir de la sorte… Dans la nuit de samedi à dimanche, le joueur s’est introduit, de manière illégale, dans le centre d’entraînement de l’Athletic Bilbao, son désormais ancien club, pour récupérer les dernières affaires qui traînaient dans son casier ! Le joueur a donc démenti, mais le club basque a confirmé cette information !
L’Équipe revient aujourd’hui sur cette hallucinante histoire. Le joueur aurait ainsi escaladé les grillages de protection du centre, mais se serait fait surprendre par un vigile qui l’aurait neutralisé au sol. « Lâche-moi, je suis Javi Martinez », aurait alors lancé le joueur pour s’en sortir. Il était alors un peu plus de minuit. Une drôle de manière d’aller récupérer ses affaires, qui témoigne de l’odeur de soufre qui a entouré son transfert au Bayern Munich.
Tout était d’ailleurs mal parti dans ce transfert. Si le club allemand a accepté de payer la clause libératoire du milieu défensif à hauteur de 40 M€, Javi Martinez ne s’est pas montré irréprochable, sautant quelques étapes pour forcer son départ. À tel point que même après l’officialisation du transfert, Bilbao avait des motifs de mécontentement. « Le joueur avait un contrat en vigueur. Il a passé la visite médicale avec le club allemand sans notre consentement. Nous sommes donc en train d’évaluer si nous devons lancer ou non des actions juridiques », avait même déclaré le président du club basque, José Urrutia. Avec son effraction en pleine nuit, Javi Martinez n’a pas fait grand-chose pour arranger son cas et sa réputation désormais désastreuse du côté de San Mames.
« Est-ce que quelqu’un peut imaginer que je fasse une telle chose ? ». Voilà comment, sur Twittter, Javi Martinez a tenté de se défendre. Effectivement, on peut se demander quelle mouche pourrait l’avoir piqué pour agir de la sorte… Dans la nuit de samedi à dimanche, le joueur s’est introduit, de manière illégale, dans le centre d’entraînement de l’Athletic Bilbao, son désormais ancien club, pour récupérer les dernières affaires qui traînaient dans son casier ! Le joueur a donc démenti, mais le club basque a confirmé cette information !
L’Équipe revient aujourd’hui sur cette hallucinante histoire. Le joueur aurait ainsi escaladé les grillages de protection du centre, mais se serait fait surprendre par un vigile qui l’aurait neutralisé au sol. « Lâche-moi, je suis Javi Martinez », aurait alors lancé le joueur pour s’en sortir. Il était alors un peu plus de minuit. Une drôle de manière d’aller récupérer ses affaires, qui témoigne de l’odeur de soufre qui a entouré son transfert au Bayern Munich.
Tout était d’ailleurs mal parti dans ce transfert. Si le club allemand a accepté de payer la clause libératoire du milieu défensif à hauteur de 40 M€, Javi Martinez ne s’est pas montré irréprochable, sautant quelques étapes pour forcer son départ. À tel point que même après l’officialisation du transfert, Bilbao avait des motifs de mécontentement. « Le joueur avait un contrat en vigueur. Il a passé la visite médicale avec le club allemand sans notre consentement. Nous sommes donc en train d’évaluer si nous devons lancer ou non des actions juridiques », avait même déclaré le président du club basque, José Urrutia. Avec son effraction en pleine nuit, Javi Martinez n’a pas fait grand-chose pour arranger son cas et sa réputation désormais désastreuse du côté de San Mames.
par une des fakes de Der » 15 Sep 2012, 08:41
krouw2 a écrit:Thierry L'amour est dans le pré : Plus fort que François Hollande à Rennes !
Thierry était présent au salon de l'élevage Space à Rennes !
Alors que la septième saison de L'amour est dans le pré ne connaît pas la crise, rassemblant plus de six millions de téléspectateurs chaque lundi, voilà que l'un des agriculteurs emblématiques de cette nouvelle saison fait parler de lui. Il s'agit de Thierry, qui file le parfait amour avec l'une de ses prétendantes, Annie, rencontrée grâce à l'émission. Devenu une star depuis la diffusion de l'émission, Thierry doit gérer sa toute nouvelle notoriété. En effet, selon des informations publiées par le site Ouestfrance.fr, ce dernier a été la star du salon de l'élevage Space à Rennes !
Les aventures de nos agriculteurs préférés continuent de passionner les téléspectateurs sur M6. Hier soir, l'épisode diffusé sur la chaîne a rassemblé des millions de fans qui ont pu suivre la vie à la ferme des agriculteurs et de leurs prétendantes. Alors que Bruno et Annie se sont rapprochés, voilà que Thierry, l'un des candidats les plus emblématiques de cette saison, semblait plus amoureux que jamais d'Annie. Il faut dire que depuis sa participation à l'émission, Thierry ne peut plus faire un pas sans être remarqué ! En effet, selon des informations publiées par le site Ouestfrance.fr, l'agriculteur n'est pas passé inaperçu lors de sa visite au salon de l'élevage Space de Rennes. Véritable star du village et des magazines, l'agriculteur était très souriant pour assister à l'évènement. "Cela fait dix ans que je n'étais pas venu et c'est un vrai plaisir", a-t-il confié dans les allées du Space, au parc-expo de Rennes Saint-Jacques.
Très sollicité par les visiteurs, l'agriculteur n'a pas hésité à serrer des mains et a distribuer des bises et des autographes. D'ailleurs, ce dernier a également posé pour des photos souvenirs. C'est qu'il volerait presque la vedette au Président de la République, qui a inauguré le Space au même moment. En tout cas, Thierry semble bien vivre sa toute nouvelle notoriété. Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, ce dernier va se marier samedi avec Annie, la prétendante qu'il a choisie pendant la septième saison de L'amour est dans le pré. " Avec Annie, nous allons nous marier à l'église de Gavray. Le mariage civil se fera à la mairie de Ver. Nous attendons pour cette occasion tous les candidats de l'émission" a-t-il confié.
Toutes nos félicitations !
non,mais y'a des tarés qui demandent une signature, parce qu'un mec passe dans une émission de merde !!! y'a vraiment des malades !!
par une des fakes de Der » 17 Sep 2012, 19:34
Gloups !
En Grèce, la police vous conseille plutôt d’appeler les néonazis
De Kalamata, Grèce) Kalamata, au sud-ouest du Péloponnèse, est une petite ville calme, endormie sous les rayons écrasants du soleil de l’été malgré l’ombre imposante de la chaîne montagneuse du Taygète. Un endroit sans histoire, où le temps semble s’écouler à un rythme plus lent, sans aucun lien avec les mégalopoles comme Athènes ou Thessalonique, d’où nous parviennent de temps en temps quelques images inquiétantes de pauvreté ou de montée de la violence.
Et pourtant, Kalamata a elle aussi ses problèmes dus à la crise qui frappe la Grèce : des groupes de mendiants à chaque carrefour, le plus souvent des immigrés illégaux venus d’Asie et d’Afrique et laissés à la dérive après avoir franchi la porte d’entrée de l’Europe. Enfin, disons plutôt que Kalamata avait elle aussi ce genre de problème.
Un étrange « miracle » durant l’hiver
Durant l’hiver, un « miracle » étrange s’est produit : il n’y a plus de mendiants aux carrefours, plus d’immigrés clandestins vendant à la sauvette des CD piratés. D’abord, naïvement, on se dit que l’Etat grec a enfin décidé de gérer le problème de l’immigration clandestine, et de s’occuper de tous ces pauvres gens laissés à la merci des mafias prêtes à leur tendre une main secourable, le tout pour un prix modique. Et puis, au détour d’un article de l’un des journaux régionaux, la vérité se révèle. Noire comme une nuit de la fin des années 30.
Non, ce n’est pas la police qui est intervenue, non, ce n’est pas l’Etat qui a décidé d’enfin assumer ses responsabilités.
C’est Aube dorée, « Chrissi Avgi » en grec. Ce groupement est plus une milice paramilitaire qu’un parti politique. Son idéologie est clairement affichée, sans le moindre complexe ou la moindre dissimulation : ouvertement raciste, xénophobe, Aube dorée revendique son attachement à l’idéologie nazie, arborant des photos d’Adolf Hitler – dont elle qualifie le jour de la mort de terriblement triste – et un symbole voisin de la svastika comme emblème.
C’est Aube dorée qui a nettoyé les carrefours de Kalamata, qui a organisé les bastonnades, ratonnades et passages à tabac nécessaires pour chasser de la ville des pauvres gens sans ressources et sans défense – pour nettoyer les rues comme on le ferait pour de la vermine.
Ce sont les milices d’Aube dorée qui se sont substituées à la police et à l’Etat grec en toute impunité, et qui revendiquent ouvertement leurs exploits dans les journaux.
Malheureusement, l’histoire ne s’arrête pas là. Durant l’été, les lecteurs attentifs ont pu lire les récits des pogroms organisés par Aube dorée dans les banlieues défavorisées d’Athènes. Lire un article est une chose. Entendre directement le récit de crimes encouragés – suscités – par la police grecque près de vous est tout autre chose.
Un soir à Kalamata, une Grecque aperçoit un homme de couleur dans son jardin. Inquiète, elle téléphone à la police. La réponse de la maréchaussée est rapide, et très claire : non, la police n’enverra aucun de ses officiers sur place, cependant, la dame peut appeler Aube dorée, qui viendra faire le
nécessaire.
Serviable, le policier à l’autre bout du fil donne à la dame le numéro de téléphone à composer pour obtenir l’assistance des milices du parti néonazi. Choquée, la femme raccroche et se refuse à obtempérer.
Elle attend.
Toujours inquiète, elle finit par retéléphoner à la police. Même réaction : qu’elle appelle donc Aube dorée, et son problème sera réglé. Non, la police n’interviendra pas, elle n’en a pas les moyens. A nouveau, la femme raccroche. Il n’est pas question pour elle de demander aux néonazis de venir.
Pourtant, quelques minutes plus tard, les milices d’Aube dorée déboulent. Il n’y a plus personne dans le jardin de la femme. Mais, à quelques dizaines de mètres de là, se trouve une maison occupée par un Pakistanais. En quelques minutes, les gorilles en uniformes paramilitaires l’encerclent. Puis ils y foutent le feu.
Fin de l’histoire.
Nous ne sommes pas en 1938. Nous ne sommes pas en Allemagne. Nous sommes en 2012, en Grèce, un pays connu pour sa douceur de vivre et l’hospitalité de ses habitants. Un pays ruiné par une gestion corrompue, et surtout par les volontés absurdes de gouvernements étrangers et de banquiers centraux qui n’ont aucune idée, aucune conscience du monstre qu’ils sont en train de réveiller et de nourrir, encore et encore, avec chaque mesure d’austérité inique et inefficace qu’ils imposent par la force à un pays exsangue.
rue 89.
En Grèce, la police vous conseille plutôt d’appeler les néonazis
De Kalamata, Grèce) Kalamata, au sud-ouest du Péloponnèse, est une petite ville calme, endormie sous les rayons écrasants du soleil de l’été malgré l’ombre imposante de la chaîne montagneuse du Taygète. Un endroit sans histoire, où le temps semble s’écouler à un rythme plus lent, sans aucun lien avec les mégalopoles comme Athènes ou Thessalonique, d’où nous parviennent de temps en temps quelques images inquiétantes de pauvreté ou de montée de la violence.
Et pourtant, Kalamata a elle aussi ses problèmes dus à la crise qui frappe la Grèce : des groupes de mendiants à chaque carrefour, le plus souvent des immigrés illégaux venus d’Asie et d’Afrique et laissés à la dérive après avoir franchi la porte d’entrée de l’Europe. Enfin, disons plutôt que Kalamata avait elle aussi ce genre de problème.
Un étrange « miracle » durant l’hiver
Durant l’hiver, un « miracle » étrange s’est produit : il n’y a plus de mendiants aux carrefours, plus d’immigrés clandestins vendant à la sauvette des CD piratés. D’abord, naïvement, on se dit que l’Etat grec a enfin décidé de gérer le problème de l’immigration clandestine, et de s’occuper de tous ces pauvres gens laissés à la merci des mafias prêtes à leur tendre une main secourable, le tout pour un prix modique. Et puis, au détour d’un article de l’un des journaux régionaux, la vérité se révèle. Noire comme une nuit de la fin des années 30.
Non, ce n’est pas la police qui est intervenue, non, ce n’est pas l’Etat qui a décidé d’enfin assumer ses responsabilités.
C’est Aube dorée, « Chrissi Avgi » en grec. Ce groupement est plus une milice paramilitaire qu’un parti politique. Son idéologie est clairement affichée, sans le moindre complexe ou la moindre dissimulation : ouvertement raciste, xénophobe, Aube dorée revendique son attachement à l’idéologie nazie, arborant des photos d’Adolf Hitler – dont elle qualifie le jour de la mort de terriblement triste – et un symbole voisin de la svastika comme emblème.
C’est Aube dorée qui a nettoyé les carrefours de Kalamata, qui a organisé les bastonnades, ratonnades et passages à tabac nécessaires pour chasser de la ville des pauvres gens sans ressources et sans défense – pour nettoyer les rues comme on le ferait pour de la vermine.
Ce sont les milices d’Aube dorée qui se sont substituées à la police et à l’Etat grec en toute impunité, et qui revendiquent ouvertement leurs exploits dans les journaux.
Malheureusement, l’histoire ne s’arrête pas là. Durant l’été, les lecteurs attentifs ont pu lire les récits des pogroms organisés par Aube dorée dans les banlieues défavorisées d’Athènes. Lire un article est une chose. Entendre directement le récit de crimes encouragés – suscités – par la police grecque près de vous est tout autre chose.
Un soir à Kalamata, une Grecque aperçoit un homme de couleur dans son jardin. Inquiète, elle téléphone à la police. La réponse de la maréchaussée est rapide, et très claire : non, la police n’enverra aucun de ses officiers sur place, cependant, la dame peut appeler Aube dorée, qui viendra faire le
nécessaire.
Serviable, le policier à l’autre bout du fil donne à la dame le numéro de téléphone à composer pour obtenir l’assistance des milices du parti néonazi. Choquée, la femme raccroche et se refuse à obtempérer.
Elle attend.
Toujours inquiète, elle finit par retéléphoner à la police. Même réaction : qu’elle appelle donc Aube dorée, et son problème sera réglé. Non, la police n’interviendra pas, elle n’en a pas les moyens. A nouveau, la femme raccroche. Il n’est pas question pour elle de demander aux néonazis de venir.
Pourtant, quelques minutes plus tard, les milices d’Aube dorée déboulent. Il n’y a plus personne dans le jardin de la femme. Mais, à quelques dizaines de mètres de là, se trouve une maison occupée par un Pakistanais. En quelques minutes, les gorilles en uniformes paramilitaires l’encerclent. Puis ils y foutent le feu.
Fin de l’histoire.
Nous ne sommes pas en 1938. Nous ne sommes pas en Allemagne. Nous sommes en 2012, en Grèce, un pays connu pour sa douceur de vivre et l’hospitalité de ses habitants. Un pays ruiné par une gestion corrompue, et surtout par les volontés absurdes de gouvernements étrangers et de banquiers centraux qui n’ont aucune idée, aucune conscience du monstre qu’ils sont en train de réveiller et de nourrir, encore et encore, avec chaque mesure d’austérité inique et inefficace qu’ils imposent par la force à un pays exsangue.
rue 89.
par une des fakes de Der » 17 Sep 2012, 19:37
ça me rappelle que chaque jour, je dois demander à un certain nombre d'élèves de cacher de ma vue leur blouson avec la croix celtique et leur 88...
par une des fakes de Der » 17 Sep 2012, 22:00
otto a écrit:Gloups !
En Grèce, la police vous conseille plutôt d’appeler les néonazis
De Kalamata, Grèce) Kalamata, au sud-ouest du Péloponnèse, est une petite ville calme, endormie sous les rayons écrasants du soleil de l’été malgré l’ombre imposante de la chaîne montagneuse du Taygète. Un endroit sans histoire, où le temps semble s’écouler à un rythme plus lent, sans aucun lien avec les mégalopoles comme Athènes ou Thessalonique, d’où nous parviennent de temps en temps quelques images inquiétantes de pauvreté ou de montée de la violence.
Et pourtant, Kalamata a elle aussi ses problèmes dus à la crise qui frappe la Grèce : des groupes de mendiants à chaque carrefour, le plus souvent des immigrés illégaux venus d’Asie et d’Afrique et laissés à la dérive après avoir franchi la porte d’entrée de l’Europe. Enfin, disons plutôt que Kalamata avait elle aussi ce genre de problème.
Un étrange « miracle » durant l’hiver
Durant l’hiver, un « miracle » étrange s’est produit : il n’y a plus de mendiants aux carrefours, plus d’immigrés clandestins vendant à la sauvette des CD piratés. D’abord, naïvement, on se dit que l’Etat grec a enfin décidé de gérer le problème de l’immigration clandestine, et de s’occuper de tous ces pauvres gens laissés à la merci des mafias prêtes à leur tendre une main secourable, le tout pour un prix modique. Et puis, au détour d’un article de l’un des journaux régionaux, la vérité se révèle. Noire comme une nuit de la fin des années 30.
Non, ce n’est pas la police qui est intervenue, non, ce n’est pas l’Etat qui a décidé d’enfin assumer ses responsabilités.
C’est Aube dorée, « Chrissi Avgi » en grec. Ce groupement est plus une milice paramilitaire qu’un parti politique. Son idéologie est clairement affichée, sans le moindre complexe ou la moindre dissimulation : ouvertement raciste, xénophobe, Aube dorée revendique son attachement à l’idéologie nazie, arborant des photos d’Adolf Hitler – dont elle qualifie le jour de la mort de terriblement triste – et un symbole voisin de la svastika comme emblème.
C’est Aube dorée qui a nettoyé les carrefours de Kalamata, qui a organisé les bastonnades, ratonnades et passages à tabac nécessaires pour chasser de la ville des pauvres gens sans ressources et sans défense – pour nettoyer les rues comme on le ferait pour de la vermine.
Ce sont les milices d’Aube dorée qui se sont substituées à la police et à l’Etat grec en toute impunité, et qui revendiquent ouvertement leurs exploits dans les journaux.
Malheureusement, l’histoire ne s’arrête pas là. Durant l’été, les lecteurs attentifs ont pu lire les récits des pogroms organisés par Aube dorée dans les banlieues défavorisées d’Athènes. Lire un article est une chose. Entendre directement le récit de crimes encouragés – suscités – par la police grecque près de vous est tout autre chose.
Un soir à Kalamata, une Grecque aperçoit un homme de couleur dans son jardin. Inquiète, elle téléphone à la police. La réponse de la maréchaussée est rapide, et très claire : non, la police n’enverra aucun de ses officiers sur place, cependant, la dame peut appeler Aube dorée, qui viendra faire le
nécessaire.
Serviable, le policier à l’autre bout du fil donne à la dame le numéro de téléphone à composer pour obtenir l’assistance des milices du parti néonazi. Choquée, la femme raccroche et se refuse à obtempérer.
Elle attend.
Toujours inquiète, elle finit par retéléphoner à la police. Même réaction : qu’elle appelle donc Aube dorée, et son problème sera réglé. Non, la police n’interviendra pas, elle n’en a pas les moyens. A nouveau, la femme raccroche. Il n’est pas question pour elle de demander aux néonazis de venir.
Pourtant, quelques minutes plus tard, les milices d’Aube dorée déboulent. Il n’y a plus personne dans le jardin de la femme. Mais, à quelques dizaines de mètres de là, se trouve une maison occupée par un Pakistanais. En quelques minutes, les gorilles en uniformes paramilitaires l’encerclent. Puis ils y foutent le feu.
Fin de l’histoire.
Nous ne sommes pas en 1938. Nous ne sommes pas en Allemagne. Nous sommes en 2012, en Grèce, un pays connu pour sa douceur de vivre et l’hospitalité de ses habitants. Un pays ruiné par une gestion corrompue, et surtout par les volontés absurdes de gouvernements étrangers et de banquiers centraux qui n’ont aucune idée, aucune conscience du monstre qu’ils sont en train de réveiller et de nourrir, encore et encore, avec chaque mesure d’austérité inique et inefficace qu’ils imposent par la force à un pays exsangue.
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