[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar King Kong » 11 Jan 2015, 22:36

fin de soirée à la synagogue ,vive la république laique
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar krouw2 » 11 Jan 2015, 22:54

tu peux pas comprendre, faut être patriote
Hollande 2027
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Messagepar Dageek » 11 Jan 2015, 23:05

avec ton high kick
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Messagepar dickadmin » 12 Jan 2015, 19:12

J'ai pas senti ce nouvel élan de solidarité tout à l'heure quand je me suis fait klaxonné pour m'être arrêté à un stop.
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Messagepar Dageek » 12 Jan 2015, 19:16

T avais pas de tract Je suis Charlie à l arrière de ta voiture, ou alors si, et t as juste croisé filou
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Messagepar krouw2 » 22 Jan 2015, 13:19

Cheur La Grosse Bertha

La BCE prête à lancer une offensive historique contre la menace de déflation

La BCE est la dernière à lancer une opération massive de « quantitative easing » après la Réserve fédérale américaine, la Banque d'Angleterre et la Banque du Japon. - Photo Robert Metsch/BCE


L’institut d’émission devrait annoncer aujourd’hui un programme de rachat de dette inédit dans la zone euro. Ce programme a été combattu jusqu’au bout par l’Allemagne, qui veut que les Etats poursuivent leurs réformes.
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BCE : ultime campagne dans les médias allemands contre le « QE »

On connaîtra aujourd’hui l’issue du bras de fer qui aura opposé jusqu’au bout la Banque centrale européenne au gouvernement allemand. L’institut d’émission est prêt à annoncer, cet après-midi, un programme massif d’achats de dette (dit « QE »). Bloomberg et le «Wall Street Journal » évoquaient hier un plan de 50 milliards d’euros mensuel, sur une période d’au moins douze mois. Période qui pourrait être prolongée à dix-huit mois. Anticipé initialement par les observateurs à 500 milliards d’euros, le « QE » pourrait alors atteindre 900 milliards. Il doit éloigner la menace d’une inflation trop basse en zone euro.

Si Berlin n’est pas contre cet objectif, tout dépendra des modalités décidées par la banque centrale. Angela Merkel veut surtout « empêcher que l’action de la BCE puisse apparaître comme le moyen de reléguer au second rang ce qui doit être fait (en Europe) pour la consolidation budgétaire et la compétitivité », a-t-elle martelé lundi à Francfort.


Depuis plusieurs mois, Mario Draghi, président de la BCE, a dû user de pédagogie et de diplomatie en affrontant en interne la Bundesbank allemande, opposée par principe à ce nouveau programme. Il a saisi l’occasion, il y a huit jours, lors d’une conférence dans la capitale allemande, pour y rencontrer la chancelière et le ministre des Finances, Wolfgang Schäuble. Selon la presse, Mario Draghi leur aurait présenté son plan d’action en incluant des options de nature à ménager l’opinion allemande.

L’une d’elles consisterait à contourner le régime de couverture mutuelle du risque entre toutes les banques centrales, prévu dans les statuts de l’Eurosystème, pour parvenir à une dose de chacun pour soi. Concrètement, l’hypothèse serait que chaque banque centrale rachète sa propre dette, pour éviter les risques de contagion. Mais cette option, qui enverrait un signal de « fragmentation » de la zone euro, est fortement critiquée dans les autres capitales européennes.
Une question de « timing »

La BCE est la dernière à lancer une opération massive de « quantitative easing » après la Réserve fédérale américaine, la Banque d’Angleterre et la Banque du Japon. L’attente de ce plan a déjà eu un effet certain sur la devise européenne, qui est tombée récemment sous la barre de 1,15 dollar. Plus tardive que les autres, cette intervention bénéficie d’un contexte qui peut être favorable aux consommateurs et aux entreprises en raison de la baisse du coût des matières premières, qui – si elles accroissent les pressions déflationnistes – peuvent aussi favoriser croissance et consommation, surtout si le crédit se fait plus facile à obtenir. Car en rachetant de la dette souveraine, la BCE cherche à pousser les investisseurs vers des actifs plus risqués, susceptibles d’aider à soutenir l’économie de la zone euro.

Reste à connaître les montants et le calendrier de ce programme de rachats d’actifs. Le « QE » a été amplement débattu à la BCE lors de nombreux meetings internes et la question du « timing » a beaucoup d’importance. Il y a une certaine urgence à agir, vu les attentes des marchés. L’inflation est en effet passée en territoire négatif en zone euro en décembre (– 0,2%) et devrait le rester sur le début de l’année. Mais Mario Draghi devrait aussi rappeler qu’un QE ne fait sens que s’il y a un pendant côté réformes et discipline budgétaire dans les Etats concernés. Au vu de ce qui pourrait ressortir des urnes dimanche en Grèce, où le parti anti-austérité Syriza est en tête dans les sondages, la partie semble loin d’être gagnée.
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Messagepar krouw2 » 24 Jan 2015, 22:30

comment ça blase, "gauche radicale" alors que c'est une coalition large de la gauche et écologistes non fédéralistes, cheur la Merkel

En Grèce, la victoire annoncée de la gauche radicale

Alexis Tsipras finit sa campagne en apothéose. Devant une place Omonia pleine à craquer, au cœur d’Athènes, le président du parti de la gauche radicale Syriza apparaît comme une star, jeudi 22 janvier, parcourant la longue scène au son d’une musique rock et saluant la foule. Une bonne demi-heure d’un discours enthousiaste au cours duquel il promet « d’écrire l’histoire » à l’occasion des élections législatives anticipées qui se tiennent dimanche 25 janvier, et d’en finir avec « la corruption et le copinage » dans l’Etat grec.

Le clou du meeting est l’arrivée de Pablo Iglesias, le chef du parti espagnol Podemos (« Nous pouvons »), issu du mouvement des « indignés », au son de Leonard Cohen : « First we take Manhattan, then we take Berlin », chantait le poète canadien. Pendant l’accolade entre les deux hommes qui veulent bousculer l’Europe de l’austérité, en désignant la chancelière Angela Merkel comme responsable, la chanson continue : « Ils m’ont condamné à vingt ans d’ennui pour avoir voulu changer le système de l’intérieur. »

Lire l’analyse : En Grèce, les grands chantiers de Syriza
« Colère et rejet »

Alexis Tsipras est aux portes du pouvoir en Grèce et il a bien l’intention de changer le système. Son avance dans les sondages se creuse. Une étude publiée jeudi par l’institut GPO pour la chaîne de télévision Mega donne une avance de 6 % à Syriza (32,5 %) devant Nouvelle Démocratie, le parti du premier ministre au pouvoir, Antonis Samaras, qui plafonne à 26,5 %, alors que 10 % des électeurs se déclarent encore indécis. Alexis Tsipras parle comme s’il avait déjà gagné. De fait, une deuxième place serait une énorme surprise.

Nouvelle Démocratie elle-même fait campagne sur le thème de… Syriza. Plus précisément, comme cela avait déjà été le cas lors des législatives de 2012, sur la peur du chaos qui serait censé survenir si la gauche radicale prenait le pouvoir. Antonis Samaras, qui tentait encore au début de l’année 2014 de vanter la « success story » de la Grèce, a à peine essayé de défendre son bilan pour privilégier les attaques très agressives contre Syriza. Pas sûr que cela fonctionne. « La prolongation d’un gouvernement Samaras provoque plus de peur que l’arrivée de Syriza au pouvoir. La motivation première des électeurs interrogés dans les sondages, c’est la colère et le rejet », explique le politologue Elias Nikolakopoulos.
« Les gens de Syriza ne nous ont jamais menti. On veut que ceux qui ont gouverné précédemment partent et ne reviennent jamais », résume Anna, employée dans une entreprise multinationale

« Les gens de Syriza ne nous ont jamais menti. On veut que ceux qui ont gouverné précédemment partent et ne reviennent jamais », résume Anna, employée dans une entreprise multinationale venue assister au meeting d’Alexis Tsipras. Après cinq ans de crise, de récession, d’augmentation des impôts et de baisse des salaires, avec un taux de chômage de 25 % et une augmentation de la pauvreté, de plus en plus de Grecs ont envie de croire au slogan de Syriza : « L’espoir arrive ».

La seule question que se pose Athènes est : avec quelle majorité Syriza pourra-t-il gouverner ? Aucun sondage ne donne pour l’instant à la gauche radicale une majorité absolue de 151 sièges sur 300. « Mais on ne peut l’exclure », explique Elias Nikolakopoulos. Lors de son meeting à Athènes, Alexis Tsipras a demandé pour dimanche « un mandat clair comme le cristal, indiscutable », pour avoir les mains le plus libres possible dans des discussions qui s’annoncent très délicates à Bruxelles. « La voie que nous avons choisie exige détermination, conviction et résolution face aux grands affrontements qui nous attendent », a-t-il prévenu jeudi.

Lire le reportage : Dans cette Grèce déclassée prête à voter Syriza
Compromis

S’il n’atteint pas cette majorité absolue, deux possibilités s’offrent à lui. Créer un gouvernement de coalition avec des petits partis ou se contenter de leur soutien au Parlement dans le cadre d’un gouvernement minoritaire. Le premier des partenaires potentiels est To Potami (« la rivière »), créé en 2014 par le journaliste Stavros Theodorakis, en troisième position dans les sondages avec 5,8 %. Ce parti centriste libéral pose comme condition la conclusion des négociations avec la « troïka » des bailleurs de fonds (Banque centrale européenne, Fonds monétaire international, Commission européenne) pour permettre le versement de la dernière tranche de l’aide financière, alors que Syriza claironne qu’il veut en finir avec la « troïka ».

L’autre hypothèse est une alliance avec les Grecs indépendants, un parti de droite populiste. Il est aussi virulent que Syriza sur la « troïka », mais c’est bien leur seul point commun. Le parti présente toutefois l’avantage d’être perçu comme un allié moins exigeant que To Potami. Les derniers sondages le donnent légèrement au-dessus de la barre des 3 % nécessaires pour être représenté au Parlement. M. Tsipras a exclu toute alliance avec « les partis du mémorandum », comme le parti socialiste, le Pasok, ou Kinima, la formation que vient de créer l’ancien premier ministre socialiste, Georges Papandréou, qui a claqué la porte du parti créé par son père. Le président du Pasok, Evangelos Vénizélos, et M. Papandréou ont tout de même déclaré qu’ils étaient prêts à soutenir un gouvernement Syriza.

Qu’il ait ou non la majorité absolue ne change pas fondamentalement les problèmes que devra affronter Syriza dans ses relations avec l’Union européenne et le FMI. Si Alexis Tsipras et ses principaux lieutenants ont infléchi leur discours pour rassurer aussi bien l’électorat que l’Union européenne, ils vont être contraints à des compromis dans les discussions avec Bruxelles. Au risque de rebuter sa frange eurosceptique, qui représente environ 30 % du parti. « Ce courant de gauche est discipliné et légitimiste. Il ne tentera pas de renverser son propre gouvernement », tempère Elias Nikolapoulos, qui prédit cependant en février et mars « des mois diaboliques » pour la vie politique grecque.
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Messagepar fernando » 25 Jan 2015, 11:32

loul le PS qui sent de la crainte de voir un gouvernement de gauche arriver au pouvoir dans un pays européen
parce que ça fait un moment qu'on ne peut plus qualifier de gauche les socio-démocrates européens, dont le PS, ils sont aussi à gauche que les travaillistes anglais ou les démocrates américains

Et quel tocard ce Cambadélis...

En France, le PS gêné par la perspective d’une victoire de Syriza

LE MONDE | 23.01.2015 à 11h44 • Mis à jour le 24.01.2015 à 09h11 | Par Nicolas Chapuis

Au Parti socialiste, l’embarras se traduit souvent par une économie de mots. Pour résumer la position de son parti sur l’élection législative du dimanche 25 janvier en Grèce, le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, donne dans la formule : « Nous sommes inconditionnellement pour la victoire de la gauche rassemblée. » La probable victoire de Syriza place les socialistes face à un dilemme de taille. D’un côté, la difficulté de soutenir Alexis Tsipras, le chef de file de cette gauche radicale décomplexée, qui veut mettre fin à l’austérité et renégocier la dette, en contradiction complète avec les positions de François Hollande sur la scène européenne et intérieure. De l’autre, l’impossibilité de se ranger aux côtés d’Antonis Samaras, le premier ministre conservateur sortant, symbole d’une droite « austéritaire » que le PS combat en Europe.

La gauche française pâtit de l’effondrement de son allié traditionnel, le Parti socialiste panhellénique (Pasok), miné par les affaires de corruption et coupable aux yeux des électeurs d’avoir participé à la coalition avec les conservateurs. Georges Papandréou, l’ancien premier ministre et actuel président de l’Internationale socialiste, s’en est allé de son côté fonder un nouveau parti social-démocrate.

« Tsipras a levé un espoir dans son pays »

Selon les derniers sondages, les socialistes pourraient tout simplement être balayés du Parlement. Un scénario noir pour le PS, qui espère qu’en dernier lieu Syriza aura besoin d’une alliance avec les socialistes pour former une coalition majoritaire. Dans les dernières projections de l’institut Alco, le parti de la gauche radicale, en bénéficiant de la prime de 50 députés accordée à la formation arrivée en tête, pourrait obtenir 147 sièges sur 300. Un accord pourrait être envisagé avec le Dimar, petit parti de gauche qui devrait gagner quelques sièges. « Nous pensons qu’il faut qu’il y ait une alliance entre les partis de gauche, car Syriza ne sera pas majoritaire seule, veut croire M. Cambadélis. Un gouvernement minoritaire, ce serait déraisonnable. »

L’hypothèse d’un parti de la gauche radicale qui parvient seul au pouvoir en Europe n’enchante pas les responsables socialistes. Lundi 19 janvier, le Front de gauche, une partie des écologistes et quelques élus de l’aile gauche du PS ont tenu meeting commun à Paris en soutien à Syriza. L’ébauche pour certains d’une alliance alternative au sein de cette gauche, où la politique économique menée par François Hollande ne fait pas l’unanimité. Jean-Luc Mélenchon, proche d’Alexis Tsipras, pousse dans ce sens.

Nombreux sont également les socialistes qui, à la gauche du parti, se réjouissent de la percée de Syriza. « Tsipras a levé un espoir dans son pays et dans toute la gauche européenne, estime Emmanuel Maurel, député européen et chef de file de l’aile gauche du PS. C’est révélateur de la faillite des partis traditionnels, englués dans les politiques d’austérité, sans imagination ni capacité de résistance. Syriza porte un discours socialiste traditionnel qui s’assume, et pas du tout radical. »

Minimiser la contagion

Pas question pour autant parmi les dirigeants du PS de faire des parallèles avec la situation française. « C’est à nous d’inventer notre propre modèle », tempère M. Maurel. « Si Syriza existe en Grèce, c’est parce qu’il y a eu un effondrement du Pasok, ce n’est pas le cas en France, rappelle Carlos Da Silva, porte-parole du PS et proche de Manuel Valls. Le PS a vocation à organiser durablement le débat à gauche, dans le respect de ses partenaires. »

Pour minimiser le risque de contagion, les responsables socialistes mettent volontiers en avant la mue que Syriza aurait effectuée avant de prétendre diriger le pays. Malgré son hostilité aux traités européens actuels, le parti ne prévoit notamment pas de sortie de l’euro dans son programme. « Il n’a échappé à personne que le discours de Syriza a totalement changé », assure Carlos Da Silva. A la direction du PS, on veut même croire à un effet positif sur le rapport de forces en Europe, à l’heure où la France plaide pour une politique de l’investissement. « Cela renforcera ceux qui sont pour la relance en Europe et pour la croissance, explique M. Cambadélis, qui assure que « le programme de Syriza est plus proche de celui du Pasok que de celui du Front de gauche ».

Mais face à la volonté de M. Tsipras de renégocier la dette et d’en effacer une partie, les dirigeants socialistes bottent en touche. François Hollande lui-même, qui a défendu le plan d’austérité en Grèce aux côtés de la chancelière allemande, Angela Merkel, n’a pas voulu s’exprimer sur le résultat de l’élection. Tout juste a-t-il glissé : « Les gouvernants auront à respecter les engagements pris. » Si les sondages se révèlent exacts, M. Hollande pourra en discuter de vive voix avec Alexis Tsipras dans les semaines à venir.
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Messagepar krouw2 » 25 Jan 2015, 13:12

Nando va faire péter un pétrus ce soir pour fêter la victoire du peuple
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Messagepar fernando » 25 Jan 2015, 13:13

J'vais déguster un bon whisky devant BFM Tv pour fêter ça.
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Messagepar ursulet » 25 Jan 2015, 14:16

Moi j'achète des actions Dassault, Lagardère Lockheed si ils gagnent.
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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ursulet
 
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Messagepar fernando » 25 Jan 2015, 16:40

Vers un triomphe d’Alexis Tsipras en Grèce ?

Le Monde.fr | 25.01.2015 à 15h10 • Mis à jour le 25.01.2015 à 15h29 | Par Alain Salles (Athènes, envoyé spécial) et Adéa Guillot (Athènes, correspondance)

La victoire de Syriza est annoncée. La dynamique de fin d’élection joue en faveur de son président, Alexis Tsipras, et l’écart semble se creuser avec Nouvelle démocratie. Selon un sondeur, l’écart entre les deux partis pourrait dépasser dix points, lors des élections législatives du dimanche 25 janvier. Ce qui constituerait un triomphe pour Alexis Tsipras.

A son arrivée, en voiture, vers 10 h 40, au bureau de vote du quartier populaire de Kypséli, non loin de son domicile personnel, deux gardes du corps se sont précipités pour tenter de lui ouvrir un passage dans une cohue de plusieurs centaines de journalistes et caméras du monde entier, la plupart arrivées dès 6 h 30 du matin. Après avoir glissé son bulletin dans l’urne sous les flashs des photographes, le président du parti de la gauche radicale a dû monter sur une table dans le hall principal de l’école pour arriver à se faire entendre.

900 journalistes internationaux

Entre d’un côté la bataille des journalistes pour avoir le meilleur plan ou la meilleure photo et de l’autre une dizaine de militants criant à plein poumons le slogan « Le temps de la gauche est arrivé ! », Alexis Tsipras a donné, en grec, puis en anglais, un dernier message aux électeurs grecs :

« Le choix est plus clair que jamais. Soit la troïka revient et poursuit le travail de Samaras et la catastrophique politique d’austérité, soit on va vers une renégociation dure et difficile avec nos partenaires pour reconquérir une vie digne. »

Le mot de « dignité » est d’ailleurs revenu à quatre reprises dans son discours, qu’il a complété en anglais en disant que « le temps de la démocratie, de la solidarité et de la coopération » était arrivé. M. Tsipras arborait un sourire, franc, épanoui : « Notre avenir commun en Europe n’est pas celui de l’austérité, c’est celui de la démocratie, de la solidarité et de la coopération. »

Même dans un bureau de vote du quartier touristique de Plaka au centre d’Athènes, il y a presque davantage de journalistes que de votants. De la télévision russe à des journalistes japonais, les caméras se pressent pour sonder le cœur des électeurs grecs. Le monde entier a de nouveau les yeux tournés vers la Grèce. Quelque 900 journalistes internationaux sont accrédités pour ces élections, alors qu’il n’y en avait que 700 lors des législatives de 2012.

« On veut retrouver notre honneur »

Une électrice, Areti, ne veut pas dire pour qui elle vote, mais fait clairement comprendre qu’elle ne choisira le parti au pouvoir, Nouvelle Démocratie. « Les choses doivent changer. Il faut que l’on puisse retrouver un peu d’espoir. Pendant ces années de crise, les Grecs ont été déshonorés devant le monde entier. On veut retrouver notre honneur. »

Katarina clame haut et fort qu’elle a voté Syriza « car c’est le seul moyen de retrouver notre dignité » et espère que le parti « aura une majorité absolue ». Pour Vassilis Sklias, un ancien fonctionnaire européen, cette majorité est nécessaire pour faire passer les réformes : « Il faut assainir la fonction publique pour mettre fin au système clientéliste créé par le Pasok et Nouvelle démocratie, avec leurs cortèges d’employés du parti. » Il espère que l’Europe va tenir compte du message venu de Grèce. « Que va-t-il se passer si on attaque cette gauche pro-européenne ? Cela profitera à l’extrême droite anti-européenne. On est prêts à discuter. Nous voulons rester dans le cadre institutionnel européen. Nous ne voulons pas devenir Cuba. »

Alex, un ingénieur venu avec ses deux enfants, claironne qu’il a voté Nouvelle Démocratie « même s’ils ont fait de mauvaises choses ». Il n’est pas effrayé par une victoire de Syriza, qui ne lui fait pas perdre son sourire : « Ils ont promis tellement de choses que tout le monde sait qu’ils ne pourront pas les appliquer, et heureusement, car elles sont dangereuses. Dès lundi, ils reviendront à la raison et suivront les règles. »

« Les lendemains seront difficiles »

Sur la place Syntagma, le stand de Nouvelle Démocratie est presque désert. Une poignée de militants discutent. Antonis Birbilis s’occupe de ce stand depuis plusieurs élections. Il espère encore que les indécis peuvent encore changer les événements, mais il n’y croit guère. Et il a peur : « Tsipras va rapidement décevoir ses électeurs. Il donne de l’espoir à tout le monde, mais les lendemains seront difficiles. »

Loin d’Athènes et des caméras de télévision étrangères, le premier ministre, Antonis Samaras, a voté dans son fief de Pylos, dans le Péloponnèse. « Aujourd’hui, nous décidons si nous avançons ou si nous nous lançons dans l’inconnu » – M. Samaras, qui parle bien français, doit connaître Baudelaire. Les Grecs aujourd’hui sont bien tentés de « plonger au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau. »
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Messagepar fernando » 25 Jan 2015, 16:50

Article intéressant, mais je sens que ça va didn't read loler dans les chaumières.

Syriza aux portes du pouvoir : une politique de gauche est-elle possible en Europe ?

25 janvier 2015 | Par Ludovic Lamant

La probable victoire de Syriza dimanche en Grèce relance une question cruciale pour les mois à venir en Europe : peut-on mener une politique de gauche au sein de la zone euro, sans modifier les traités ni les règles monétaires aujourd'hui en vigueur ? En 2012, François Hollande s'y est cassé les dents. Alexis Tsipras, s'il est élu, va s'attaquer à une montagne.

André Orléan, un universitaire français spécialiste de la monnaie, est catégorique sur la dynamique grecque : « La politique prônée par Syriza est celle que nous avait promise François Hollande lors de son élection – peser sérieusement sur l'Allemagne, faire valoir l'existence d'autres intérêts et d'autres points de vue, dire que l'Europe est plurielle et qu'il serait bon que ce pluralisme soit entendu. Il me semble que François Hollande n'a même pas essayé sérieusement. »

« On ne sauvera l'euro qu'en le transformant en profondeur, à savoir en cessant d'y voir une monnaie uniquement au service des créanciers. Autrement dit, la bonne politique est celle de Syriza », insiste ce directeur d'études à l'EHESS, joint par Mediapart.

À l'approche de la probable victoire de Syriza, le parti anti-austérité d'Alexis Tsipras, dimanche en Grèce, le parallèle avec l'élection de François Hollande en mai 2012, qui avait promis de « réorienter l'Europe » durant sa campagne, n'est pas anodin. Il oblige à se poser une question de fond : la stratégie de Tsipras est-elle, pour reprendre l'alternative formulée par le Financial Times, « radicale ou réaliste » ? Ou, pour le dire avec les mots d'un autre économiste de premier plan, Frédéric Lordon, s'agira-t-il de « caler le pied de table » ou de la « renverser » ?

Pour Gabriel Colletis, un professeur d'économie de l'université de Toulouse-1, qui s'est souvent rendu à Athènes pour suivre les débats internes à Syriza, « il est important de ne pas opposer la radicalité de leur programme aux responsabilités qu'ils s'apprêtent à prendre : ils sont à la fois radicaux et responsables ». Interrogé par le “FT” sur son aptitude à aller au compromis avec ses probables futurs partenaires européens, Alexis Tsipras a eu cette réponse tout en ambiguïté : « Je pratique le compromis parce mes objectifs sont réalistes. (…) En même temps, je sais me montrer ferme si je juge nécessaire d'aller à la confrontation. »

D'un point de vue de théorie économique, l'équation Syriza n'est pas simple. Elle relance les débats, qui divisent la gauche en France et ailleurs en Europe, sur les vertus de l'euro et les marges de manœuvre des gouvernements de gauche au sein d'une zone monétaire commune. Presque trois ans après l'échec de François Hollande, l'Europe pourrait bien se trouver confrontée à une expérience passionnante : celle d'un gouvernement ancré à gauche, en opposition nette avec Berlin, tout en étant prêt à jouer le jeu de l'euro et de la Banque centrale européenne (BCE). Mais y a-t-il de la place, à traités constants, pour autre chose que des compromis boiteux, qui tournent trop souvent à l'avantage d'Angela Merkel et de l'ordo-libéralisme cher aux Allemands ? Ce sera tout l'enjeu, pour Syriza, de le démontrer.

« L'alternative pour Syriza est des plus simples : plier ou tout envoyer paître. Mais il n'y aura pas de tiers terme. Et si Tsipras imagine qu'il pourra rester dans l'euro et obtenir davantage que des cacahuètes, il se raconte des histoires », écrit Frédéric Lordon sur son blog. À ses yeux, les marges de négociation sur la dette grecque avec Berlin ont déjà été épuisées lors d'une première restructuration de la dette, en 2012, qui avait entraîné des pertes chez les créanciers privés. « Imaginer que (la restructuration de la dette grecque) pourrait être étendue aux créanciers publics, a fortiori quand on compte parmi ceux-ci la BCE, tient maintenant du rêve éveillé », estime-t-il.

Sur le papier, Alexis Tsipras est définitif : pas question de revenir à la drachme. Le débat au sein de Syriza a été tranché à l'été 2013 et la minorité de la coalition favorable à un « Grexit » (environ 20 % des troupes) s'est alignée sur la position majoritaire. Mais nombre d'observateurs, en Allemagne notamment, jugent que Tsipras ne pourra tenir sa promesse (maintenir Athènes dans la zone euro) s'il tient parole sur le reste – en particulier sur la restructuration de la dette.

Peut-on tout à la fois réduire le poids de la dette pour la ramener à des niveaux « soutenables », contre l'avis de certains partenaires européens, et éviter la sortie de l'euro ? Plusieurs économistes joints par Mediapart en sont convaincus. « La restructuration de la dette grecque n'est pas antinomique de son maintien dans la zone euro. J'ai plutôt tendance à penser au contraire que c'est une condition nécessaire à son maintien, réagit Jézabel Couppey-Soubeyran, une universitaire à Paris I. Si la zone euro veut continuer d'exister, il faudra nécessairement restructurer des dettes, en monétiser (des rachats de dettes par la BCE – ndlr) ou en mutualiser, voire faire un peu des trois. »

La dette publique grecque s'établit à 174 % du PIB – un record en Europe (contre environ 95 % pour la France). Cela représente une masse de 317 milliards d'euros – à comparer aux plans de « sauvetage » conclus depuis 2010 avec Athènes pour permettre à la Grèce d'éviter le défaut, d'un montant cumulé de 240 milliards d'euros. Malgré des années d'austérité carabinée, le fardeau de la dette s'est encore alourdi, alors que l'économie grecque s'est contractée d'un cinquième. Selon les critères de Maastricht, la dette d'un État membre ne doit pas dépasser 60 % de son PIB.

« Au sein de Syriza aujourd'hui, on débat de la part de la dette que le prochain gouvernement devra annuler. Certains pensent que l'on pourrait annuler le tiers de la dette, pour revenir aux alentours de 120 %, un seuil au-delà duquel une dette n'est généralement plus considérée comme “soutenable”. D'autres visent plutôt les deux tiers, pour arriver aux 60 %, qui correspondent aux critères de Maastricht », assure Gabriel Colletis (par ailleurs blogueur sur Mediapart), qui milite plutôt pour le deuxième scénario. Il plaide aussi pour un moratoire immédiat sur le paiement des intérêts de la dette, qui suffirait, selon lui, à financer ce « programme de développement » à court terme promis par Tsipras, chiffré à 12 milliards d'euros environ (augmentation du salaire minimum, etc.).
Quelle attitude de Berlin?

Avant d'en venir à l'annulation pure et simple de pans de la dette, d'autres observateurs plus prudents spéculent sur des scénarios plus « soft »: allonger la durée des prêts sur des dizaines d'années, réduire des taux d'intérêt (déjà très bas) sur certains prêts contractés par Athènes. Dans cet esprit, une note du think tank bruxellois Bruegel fait l'inventaire des techniques qui permettrait d'alléger le coût de financement de la dette - sans en passer par des pertes pures et simples pour les créanciers.

Athènes pourrait aussi choisir de rembourser sa dette aux Européens, mais de faire défaut sur la dette contractée auprès du FMI (ce qui la placerait dans une situation analogue à celle de l'Argentine vis-à-vis de l'institution), comme l'imagine Daniel Gros. Cet économiste allemand dédramatise ce que signifierait la victoire de Syriza pour la Grèce: « Les prochains mois seront riches en rebondissements, mais à la fin, la différence entre un gouvernement qui n'a jamais su tenir ses promesses de remboursement (Nouvelle démocratie, ndlr) et un gouvernement qui promet qu'il ne paiera pas, pourrait bien ne pas être si importante », ironise-t-il.

Pour Liêm Hoang-Ngoc, un ancien eurodéputé socialiste, co-auteur d'un rapport sur l'action de la « Troïka » en Grèce, les propositions de Syriza « sont loin d'être dénuées de réalisme ». L'économiste PS s'explique, dans un article récent à L'Hémicycle: « Syriza propose en premier lieu une restructuration de la dette d'un montant qui lui permettrait de libérer 12 milliards d'euros pour appliquer un programme de relance, sans lequel la dette continuera d'exploser. C'est pourquoi Alexis Tsipras propose en second lieu d'augmenter le pouvoir d'achat pour soutenir la reprise et d'indexer le remboursement de la dette sur la croissance ». Encore faudrait-il, si l'on suit cette logique, savoir quel secteur économique relancer, alors que l'économie grecque est sinistrée.

En 2012, la dette grecque a déjà été restructurée. Des créanciers privés (des banques) avaient encaissé des pertes allant jusqu'à 70% de la valeur de leurs prêts - sans que l'opération ne provoque le chaos tant redouté à l'époque. Depuis, comme l'a déjà raconté Mediapart, les propriétaires de la dette grecque ont changé. Ce ne sont plus des établissements privés, mais des institutions publiques internationales - FMI, BCE, le Mécanisme européen de stabilité (MES) - ou encore des Etats de la zone euro qui détiennent le gros (environ 70%) de la dette. A priori, ce transfert protège le système financier européen de toute menace de propagation, en cas de défaut pur et simple de la Grèce.


Si l'entreprise semble réaliste, d'un point de vue économique, tout dépendra donc de l'attitude de ces institutions publiques, lorsque s'ouvriront les négociations pour restructurer la dette. En clair: ce sera de la politique, ni plus, ni moins. Une victoire de Syriza, par-delà les étiquettes qu'on cherche à lui coller (« gauche radicale », force social-démocrate qui ne dirait pas son nom, etc), aurait ceci d'important qu'elle rappelle aux Européens une évidence un peu oubliée: il existe des marges de manœuvre pour ouvrir une discussion politique, par-delà l'autorité « naturelle » des marchés financiers, pour sortir l'Europe de la crise.

« Je ne dis pas que les institutions publiques vont accepter aisément les exigences de Syriza. C'est d'ailleurs pour moi la question principale du moment: quelle va être la stratégie de négociation d'un gouvernement Syriza, par rapport à ces autorités publiques? », avance Gabriel Colletis, convaincu que les choses ne vont pas durer « des mois », et qui mise sur de premières annonces d'annulation de la dette très vite après la formation d'un gouvernement Syriza.

Mais l'Allemagne acceptera-t-elle cette « révolte des débiteurs »? Si l'on en croit certains, elle n'aura pas le choix. « L’histoire nous enseigne qu’après une crise de la dette, un équilibre doit être trouvé entre les intérêts des créanciers et ceux des débiteurs, écrit l'économiste belge Paul de Grauwe, professeur à la London School of Economics. L’approche unilatérale qui a été prise dans la zone euro – celle où les débiteurs ont été obligés de supporter tout le poids de l’ajustement – conduit presque toujours à une révolte de ces débiteurs. C’est ce qui se passe actuellement en Grèce. Et ce processus peut seulement être arrêté si les créanciers osent faire face à cette réalité ».

A en juger par les crispations allemandes dès l'annonce de la tenue des élections anticipées en Grèce (mais aussi en Finlande ou du côté du FMI), les négociations entre Berlin et Athènes ont en fait déjà commencé. Angela Merkel a mis du temps à démentir des informations du Spiegel fin décembre, selon lesquelles l'Allemagne réfléchit à une sortie de la Grèce de la zone euro, si Athènes choisit d'annuler une partie de sa dette. Son ministre des finances ne veut même pas entendre parler de ce scénario. Des économistes, comme le « keynésien » Peter Bofinger, redoutent des effets de contagion, vers le Portugal et l'Irlande, si Berlin pousse Athènes vers la sortie de la zone euro.

La stratégie allemande s'explique par des convictions économiques qui n'ont pas évolué depuis le début de la crise (l'ordo-libéralisme), mais aussi par un jeu politique national en mutation. Merkel voit d'un mauvais oeil l'essor de l'Alternative pour l'Allemagne (AFD), ce parti lancé en 2013 par des universitaires opposés à l'euro, qui a atteint 7% aux dernières européennes. Ce dernier pourrait profiter, par ricochet, d'une restructuration de la dette grecque, puisqu'une telle opération entraînerait une perte sèche pour l'Allemagne, qui a prêté à la Grèce (en tout, 63 milliards d'euros, contre 48 pour la France). Le sujet, à Berlin, provoque des débats extrêmement vifs, et de nombreux sondages laissent entendre qu'une majorité d'Allemands y est opposée.

C'est tout la difficulté de la situation, et d'une Europe animée par des mouvements politiques contradictoires. Une victoire de Syriza pourrait être une bonne nouvelle à court terme pour l'avenir de la Grèce et de la zone euro, parce qu'elle s'attaque enfin aux racines de la crise grecque par des voies alternatives à l'austérité. Mais elle pourrait aussi renforcer, à moyen terme, des forces anti-euro comme l'AFD en Allemagne et obliger Angela Merkel à durcir ses positions sur l'Europe, au risque d'un délitement, à moyen terme, de l'eurozone.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar ruitos » 25 Jan 2015, 17:04

Putains d'articles de merde les mecs!! On dirait du Girard...
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Messagepar ursulet » 25 Jan 2015, 17:06

Hé fernandel, tu crois vraiment qu'on va lire tes pavés?
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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Messagepar Dageek » 25 Jan 2015, 17:10

C est la turlutte finale.
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Messagepar krouw2 » 25 Jan 2015, 17:18

Merci Nando pour les articles, il suffit juste de se donner la peine
Hollande 2027
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Messagepar King Kong » 25 Jan 2015, 18:58

pour combattre le mondialisme votez..internationalistes , bouhhhh la BCE tremble..
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
King Kong
 
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Messagepar krouw2 » 25 Jan 2015, 19:05

que des ingrats , c'était pour leur bien tout ça

encore un complot des Illumimimathy
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Messagepar Dageek » 25 Jan 2015, 19:21

genre elle écrit des livres
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Messagepar rodolfo » 25 Jan 2015, 20:51



J'aime bien.
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rodolfo
 
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Messagepar GilbertSedman » 25 Jan 2015, 21:41

Les grecs vont-ils enfin se mettre à payer leurs impôts ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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GilbertSedman
 
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Messagepar krouw2 » 25 Jan 2015, 23:25

faisons confiance aux dirigeants Européens pour faire respecter le vote du peuple Grec
Hollande 2027
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Messagepar krouw2 » 26 Jan 2015, 20:24

tjr les mesures économiques just
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Messagepar Dageek » 26 Jan 2015, 20:26

salauds de riches qui fuient.

j'ai entendu que 60 milliards étaient déjà sortis du pays..
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Messagepar krouw2 » 26 Jan 2015, 20:57

ouch foRTe AMpLituDE


Un complot mondial serait à l’origine de nombreuses théories du complot
Dollar Bill Pyramid

L’information est venue se répandre sur internet et les réseaux sociaux comme une traînée de poudre. De nombreuses théories du complot seraient en fait orchestrées par une conspiration encore plus importante et d’envergure internationale.

La vérité est ici

C’est le site Hoaxbuilder.fr, spécialisé dans la diffusion de rumeurs sur la toile qui a en premier relayé un article détaillant les rouages de cette nouvelle conspiration. « Depuis plus de 50 ans, ce sont les mêmes personnes qui créent et entretiennent toutes les théories du complot, dans le but de cacher la vraie vérité » affirme David Bani, le créateur du site.

Pour David Bani, trop de questions et d’incohérences laissent à penser que les versions officielles d’événements tels que l’assassinat de Kennedy ou le 11 septembre pourraient avoir été mises en place dans le but de répandre ces théories conspirationnistes. « Ceux qui tirent les ficelles s’arrangent pour que ces versions soient trop plausibles pour qu’on puisse y croire. Ils nous forcent ainsi à nous poser des questions et partir sur des fausses pistes alors qu’en fait, c’est la vérité » déclare-t-il.

Le complotiste va même encore plus loin dans ses déclarations et dans ses réflexions. « On peut même envisager que ce nouveau complot découvert soit lui aussi complètement bidon » enchaîne-t-il sans reprendre son souffle. « Peut-être même qu’il n’existe que dans le seul but de cacher un autre complot encore plus énorme » lance-t-il avant de perdre connaissance.

La Rédaction
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Messagepar GilbertSedman » 27 Jan 2015, 19:19

La France va devoir rendre à l'Union européenne plus d'un milliard d'euros d'aides agricoles versées à tort entre 2008 et 2012 pour cause de fraudes et d'erreurs, a-t-on appris mardi auprès de la Commission européenne.

Cette somme représente environ 2% des quelque 40 milliards d'euros perçus par la France pour cette période dans le cadre de la Politique agricole commune (PAC). Elle devra être remboursée en trois tranches jusqu'en 2017, a précisé une source européenne.

cette somme sera remboursée par les contribuables, les agriculteurs ayant réinvestis ces aides

Il y en a qui se font des couilles en or, des pros de l'aide
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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GilbertSedman
 
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Messagepar Dageek » 27 Jan 2015, 19:31

genre les FDP de céréaliers.

C est bien, on va rendre des milliards à l UE, à Ecomoov, et peut etre aux FDP de sociétés d autoroute si ( on peut rever ) les contrats sont cassés ..
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