[O1T] Insolites

Messagepar ursulet » 23 Fév 2015, 20:38

Loul!
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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Messagepar GilbertSedman » 24 Fév 2015, 11:07

L'acteur américain Ben Woolf est décédé des suites d'un accident de la route survenu au cours de la semaine dernière, indiquent mardi des médias américains.

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Le comédien de 34 ans, surtout connu pour sa participation à la série télévisée "American Horror Story", est décédé lundi dans un hôpital de Los Angeles. Il souffrait de sérieuses blessures à la tête depuis qu'il avait été heurté par une voiture la semaine dernière.

Ben Woolf, du haut de son 1,31 m, a été percuté par le rétroviseur d'un véhicule alors qu'il traversait la rue.

Avant de percer dans "American Horror Story", il avait joué dans des films d'horreur indépendants, comme "Murder House", "Dead Kansas" et "Haunting Charles Manson". Il donnait par ailleurs des cours en école maternelle.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar Dageek » 24 Fév 2015, 13:34

une parenté avec un joueur français du Bayern dont nous tairons le nom ?
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Messagepar stikky » 24 Fév 2015, 13:49

Lizarazu ?
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Messagepar GilbertSedman » 24 Fév 2015, 15:59

Loul stik', j'aurai dit Sagnol pour les oreilles
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar John Holmes » 24 Fév 2015, 16:03

Sinon loul Gilbert
mort à la con award
"Connard =)"
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Messagepar stikky » 24 Fév 2015, 16:26

pas faux Glibert, je pensais plus à la taille pour le surfer.
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Messagepar W » 24 Fév 2015, 19:56

Fallait pas inviter Otto au foutre-salle.


Spoiler:
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Messagepar Dageek » 25 Fév 2015, 13:57

vivement la WC en Russie, qu'on découvre les stars locales

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Messagepar fernando » 25 Fév 2015, 17:04

Kalachi, le mystère du village qui dort

Le Monde.fr | 24.02.2015 à 12h08 • Mis à jour le 25.02.2015 à 15h39 | Par Julien Guintard


Depuis 2010, plus d'une centaine d'habitants de cette bourgade du Kazakhstan ont été victimes de brutales et soudaines pertes de connaissance pouvant durer de deux à six jours.

Dans les médias, le village a d’ores et déjà reçu un surnom : « Sleepy Hollow ». Non que la bourgade de Kalachi au Kazakhstan abrite un quelconque cavalier sans tête. C’est un mal nettement plus pernicieux qui plane sur ses quelque 600 résidents. Un mal invisible et jusqu’à présent inexpliqué. Depuis 2010, plus d’une centaine d’habitants ont été victimes de brutales et soudaines pertes de connaissance pouvant durer de deux à six jours. Le phénomène, qui survient par vague, s’est même sensiblement accru depuis mars 2013, d’après le Siberian Times, qui suit l’affaire depuis plusieurs mois.

« J’étais en train de traire mes vaches comme d’habitude, tôt le matin, et je me suis endormie, rapporte ainsi Marina Felk, une agricultrice de 50 ans. Je ne me rappelle de rien. Quand je suis revenue à moi, j’étais dans une chambre d’hôpital et des infirmières me souriaient. Elles m’ont dit : “Bienvenue Belle au bois dormant, tu te réveilles enfin” ». Marina Felk venait de « dormir » deux jours et deux nuits.

Pas besoin de séjourner longtemps au village pour être touché par cette étrange épidémie. Ainsi Alexey Gom, 30 ans, était juste venu passer le week-end chez sa belle-mère. « Le matin, j’ai allumé mon ordinateur portable, ouvert des documents que je voulais lire, et c’est tout. C’est comme si quelqu’un avait appuyé sur l’interrupteur pour m’éteindre. Je me suis réveillé à l’hôpital, ma femme et ma belle-mère à mon chevet. On n’a rien trouvé d’anormal dans mes examens. J’ai dormi plus de trente heures. »

Episodes hallucinatoires

Détail singulièrement effrayant, les personnes âgées et les jeunes enfants victimes de l’épidémie sont sujets à des hallucinations. Vera Kolesnichenko, 31 ans, a ainsi pris la décision de quitter le village après que sa petite fille de 4 ans, Margarita, a connu un épisode délirant. « Elle me regardait en pleurant : “Maman, tu as trois yeux !”, et puis elle regardait par-dessus mon épaule et disait : “Il y a quelque chose qui rampe sur le radiateur”. »

Si les premiers médecins alertés ont d’abord soupçonné les effets sédatifs d’une vodka frelatée, l’hypothèse a rapidement dû être abandonnée. Car certaines victimes n’étaient manifestement pas portées sur la bouteille. Une floppée de scientifiques a donc pris le chemin de ce coin perdu du Kazakhstan. Situé à plus de 400 kilomètres au nord-ouest de la capitale Astana, principalement peuplé de Russes et de descendants d’Allemands de la Volga déportés par Staline après la seconde guerre mondiale.

Tests bactériologiques et viraux, études du sol, de l’eau, de l’air, de sang et de tissus, ponctions lombaires ne sont jusqu’ici pas parvenus à éclaircir le mystère. Néanmoins, de forts soupçons se portent sur la ville fantôme de Krasnogorsk, qui jouxte le village.
L'agricultrice Marina Felk était en train de traire ses vaches quand elle s'est endormie. Elle s’est réveillée deux jours plus tard…
Au temps de l’Union soviétique, la zone était fermée et secrète, placée directement sous l’autorité de Moscou. Ses 6500 résidents y menaient une existence privilégiée en raison de leur mission cruciale : extraire du minerai d’uranium. En 1991, la mine a cessé d’être exploitée du jour au lendemain. La ville laissée à l’abandon. Aujourd’hui, moins de 200 habitants y vivent encore, malgré les avaries du système de chauffage.

Selon le professeur Leonid Rikhanov, de l’université de Tomsk (Russie), le minerai extrait de de Krasnogorsk contiendrait du radon. « Nous avons étudié des échantillons envoyés par des habitants de Kalachi. Il n’y a pas d’effet radioactif, mais une simple réaction chimique. En d’autres termes, les troubles sont causés par l’évaporation du gaz contenu dans la mine. »

L’hypothèse du radon

Mais comme le fait remarquer au Siberian Times l’anésthésiste Kabdrashit Almagambetov, qui a lui-même soigné une des victimes de Kalachi, « quand on utilise des gaz proches du radon sur des patients, ils se réveillent au maximum une heure après l’opération. Là, on est face à des gens qui dorment entre deux et six jours. Quelle est donc la concentration de ce gaz ? Et pourquoi, tandis que quelqu’un s’endort, une autre personne qui partage le même toit n’est-elle pas affectée ? » Sergei Lukashenko, le directeur du Centre national de sécurité nucléaire, se montre, lui, plus catégorique : « Cela n’a rien à voir avec le radon. La seule chose suspecte que nous pouvons signaler, ce sont les concentrations en monoxyde de carbone. Mais sans certitude qu’il s’agisse du facteur principal. »

En janvier, un ancien travailleur de la mine d’uranium a confié à la reporter Anna Liesowska, du Siberian Times, qu’il ne croyait pas non plus à l’hypothèse du radon. « Quand nous descendions dans la mine, explique Vitaly, 60 ans, la concentration en radon était très élevée et personne ne s’endormait… »


Pour le docteur Pierre Philip, spécialiste du sommeil au CHU Pellegrin de Bordeaux, il est impropre de parler de maladie du sommeil dans le cas présent. « Le sommeil physiologique ne dure pas si longtemps. Donc ce sont bien des pertes de connaissance, et non du sommeil. Il existe, certes, des choses telles que le syndrome de Kleine-Levin (hypersomnie), mais c’est un phénomène rare et la probabilité que ça touche tout un village est quasi nulle. A ma connaissance, on n’a pas, dans la littérature, de notion d’épidémie de sommeil qui se propagerait dans une communauté. Il y a des chances qu’on ait affaire à un facteur toxique plus que neurologique. »

A Moscou, le spécialiste du sommeil Mikhail Poluektov risque une autre explication : « Je ne pense pas qu’il s’agisse d’encéphalite toxique. Dans les cas d’encéphalopathies, les malades sombrent dans un sommeil de plus en plus profond. Or on voit que les patients se rétablissent avec des soins classiques. Cela pourrait accréditer l’hypothèse d’une origine psychogénique. » En clair, le trouble serait d’ordre psychologique : une psychose de masse. « Cela arrive parfois au sein de communautés fermées. »

Faute d’explication, les autorités ont commencé à déplacer les habitants. Les familles avec enfants devraient être relogées courant mai. Mais beaucoup s’inquiètent de leurs futures conditions de vie. Et les habitants les plus âgés refusent tout simplement de partir. Comme Marina Felk : « J’ai tout ce qu’il me faut ici. Ma maison, mes trois vaches. Je n’ai pas peur de m’endormir. »
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar stikky » 25 Fév 2015, 18:25

Un village entier de fonctionnaires. Énorme !!
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Messagepar fernando » 25 Fév 2015, 20:47

Je ne vois pas non plus d'autre explication.
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Messagepar bitadmin » 26 Fév 2015, 10:53

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Messagepar Dageek » 26 Fév 2015, 16:04

Premier sur le buzz
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Messagepar beowax » 27 Fév 2015, 16:30

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Messagepar Der » 27 Fév 2015, 20:21

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Messagepar fernando » 06 Mars 2015, 12:16

La sexsomnie, forme rare mais réelle de somnambulisme

Un Suédois condamné pour viol lors d'un premier procès a finalement été acquitté, l'acte sexuel ayant en lieu pendant une crise de somnabulisme. Un cas pas si isolé.

Si les laboratoires du sommeil n'existaient pas, Mickael Halvarsson, un Suédois de 26 ans, dormirait en prison. Accusé d'avoir violé la femme avec qui il passait la nuit du 2 avril 2014, un premier tribunal suédois l'a condamné à deux ans de détention. Mais le jugement a été cassé début septembre en appel par une deuxième instance, convaincue que Mickael souffrait bien, au moment des faits, de sexsomnie, une forme particulière de somnambulisme dans laquelle une personne commet des actes sexuels en dormant.

La première série de cas «officiels» fut présentée en 1996 à Washington par le Pr Colin Shapiro lors du dixième congrès annuel de l'Association pour l'étude psychophysiologique du sommeil. Dix ans plus tôt, une revue médicale de Singapour signalait déjà un premier cas. Un homme de 34 ans qui désespérait son épouse car il s'adonnait chaque nuit au plaisir solitaire, environ deux ou trois heures après s'être endormi, tout en restant sourd à ses tentatives d'intervention. Ils formaient pourtant un couple heureux et avaient des rapports sexuels quotidiens, précisait-elle.

Blocages levés

Qu'ils soient sexuels ou violents, les actes commis par une personne endormie laissent souvent dubitatifs, bien que tous les témoins rapportent qu'il/elle «ne semblait pas dans son état normal». Ils sont pourtant aussi anciens que les crises de somnambulisme. On raconte qu'au Moyen Âge, un bûcheron somnambule avait tué sa femme à coups de hache… alors qu'il dormait. Un enregistrement polysomnographique en laboratoire du sommeil aurait sans doute permis de savoir si bûcheron souffrait de parasomnie, c'est-à-dire d'un trouble du sommeil conduisant à des comportements aberrants lorsque l'on dort.

On sait aujourd'hui que les somnambules, ou même simplement ceux qui parlent dans leur sommeil, sont à risque accru de sexsomnie. Il est donc prudent de ne pas dormir avec ses enfants si l'on est sujet à de telles perturbations. Les actes meurtriers, ou simplement violents, sont heureusement moins souvent rapportés que le classique somnambulisme. Pourtant ces deux comportements relèvent du même mécanisme: une levée du blocage des mouvements (en principe activé) lorsque l'on dort.

Toutes les pratiques

Parmi les premiers cas de sexsomnie rapportés par le Pr Shapiro figurait d'ailleurs le cas d'un homme de 37 ans qui s'engageait, lors de son sommeil, dans des actes sexuels «plus agressifs et plus amoureux», selon sa femme. Si cette dernière s'en accommodait, elle raconta tout de même avoir dû une fois le gifler violemment alors qu'il l'étranglait au cours du coït. «Il cessa immédiatement et se réveilla», signale le rapport. Tout aussi perturbant, le cas d'une femme de 38 ans qui finit par consulter dans une clinique du sommeil en raison des plaintes de son mari, selon qui elle se faisait plaisir toutes les nuits sans en avoir la moindre conscience (amnésie de comportement).

Dans les dizaines de cas recensées dans les revues médicales, on note plutôt des gémissements explicites ou du plaisir solitaire pour les femmes, alors que les hommes ont surtout des mouvements du bassin ou des actes de pénétration, mais tout l'éventail des pratiques sexuelles, y compris orales, est répertorié.
Vrais agresseurs, faux sexsomniaques

Cependant, tous les épisodes de sexsomnie ne prêtent pas à sourire. Plusieurs affaires dramatiques ont été recensées ces dernières années. Dans l'une d'elles, un Canadien de 22 ans, après une soirée bien arrosée, fut réveillé par l'amie chez qui il dormait sur le canapé du salon, après qu'il eut abusé d'elle de diverses manières «dans une rapide succession», alors qu'elle était endormie dans sa chambre. Il fut acquitté par le tribunal, de même qu'un Anglais, père de 5 enfants, accusé d'attouchements sur sa fille de 9 ans qui était venue dans le lit conjugal suite à un cauchemar. Tous deux présentaient effectivement des anomalies de l'architecture du sommeil lors des enregistrements en laboratoire, et un passé de somambulisme. Même chose pour un Danois de 31 ans accusé d'avoir agressé sexuellement deux jeunes filles de 17 ans chez qui il passait la nuit après une soirée.

Mais la sexsomnie, largement médiatisée, est aussi désormais invoquée par d'authentiques agresseurs. Elle le fut 16 fois en Grande-Bretagne entre 1996 et 2011, dont 4 fois sans convaincre le jury, selon le Daily Mail. En 2013, l'acteur britannique Simon Morris fut condamné à sept ans de prison pour avoir abusé d'une adolescente de 15 ans en dépit de sa défense l'affirmant sexsomniaque. Car les spécialistes du sommeil savent aujourd'hui séparer le grain de l'ivraie.
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Messagepar SAV » 06 Mars 2015, 12:17

Si on peut plus se taper la femme avec laquelle on passe la nuit...
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar Der » 06 Mars 2015, 12:41

fernando a écrit:On sait aujourd'hui que les somnambules, ou même simplement ceux qui parlent dans leur sommeil, sont à risque accru de sexsomnie. Il est donc prudent de ne pas dormir avec ses enfants si l'on est sujet à de telles perturbations.

W désapprouve
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Messagepar fernando » 06 Mars 2015, 12:42

Il parait qu'on a recensé des cas dans les auberges de jeunesse de Liverpool.
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Messagepar Der » 06 Mars 2015, 13:07

Tu parles de Stikky qui se pognait la nuit?
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Messagepar ancien posteur » 06 Mars 2015, 13:09

Der a écrit:
fernando a écrit:On sait aujourd'hui que les somnambules, ou même simplement ceux qui parlent dans leur sommeil, sont à risque accru de sexsomnie. Il est donc prudent de ne pas dormir avec ses enfants si l'on est sujet à de telles perturbations.

W désapprouve


Naaa mais putain..."Il est donc prudent de ne pas dormir avec ses enfants"
ancien posteur
 
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Messagepar W » 06 Mars 2015, 13:55

Ca ne me concerne pas, je dors avec les enfants des autres.
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Messagepar Der » 06 Mars 2015, 16:34

Spoiler:
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Messagepar Dageek » 06 Mars 2015, 16:38

Cette horreur ne vient pas de toi
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Messagepar fernando » 06 Mars 2015, 16:52

Miam.
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Messagepar John Holmes » 08 Mars 2015, 14:29

Sympa
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Messagepar stikky » 08 Mars 2015, 15:46

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Messagepar bérurier » 09 Mars 2015, 11:17

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Mon premier mari c'était un braqueur, avec une bite grosse comme un teckel.
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