[01T] Glorification de la région
par GilbertSedman » 25 Fév 2015, 08:18
Lol et rebim
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par W » 27 Fév 2015, 10:31
D'ailleurs c'est quoi cette nouvelle mode des joggings avec le fond qui arrive aux genoux ?? (Tellement immonde que je galère pour décire le truc). Si un expert dans le domaine, genre un gros ou un portugais, pouvait m'éclairer, ce serait bien urbain.
It's art. You don't need pants.
par fernando » 27 Fév 2015, 10:40
W a écrit:D'ailleurs c'est quoi cette nouvelle mode des joggings avec le fond qui arrive aux genoux ?? (Tellement immonde que je galère pour décire le truc). Si un expert dans le domaine, genre un gros ou un portugais, pouvait m'éclairer, ce serait bien urbain.
Effectivement c'est bien grotesque cette mode.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par curiste » 27 Fév 2015, 11:40
W a écrit:D'ailleurs c'est quoi cette nouvelle mode des joggings avec le fond qui arrive aux genoux ?? (Tellement immonde que je galère pour décire le truc). Si un expert dans le domaine, genre un gros ou un portugais, pouvait m'éclairer, ce serait bien urbain.
marrant d'ailleurs car y'a pas longtemps avec un jogging tu passais pour un clochard !!!!
par guinness » 27 Fév 2015, 13:00
D'ailleurs c'est quoi cette nouvelle mode des joggings avec le fond qui arrive aux genoux ?? (Tellement immonde que je galère pour décire le truc). Si un expert dans le domaine, genre un gros ou un portugais, pouvait m'éclairer, ce serait bien urbain.
l'espece de pantalon de zouave ?
par n.iiicolas » 27 Fév 2015, 13:49
Ca manque de photo ici!
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
par fernando » 11 Mars 2015, 14:59
Rixe à Eurotéléport à Roubaix : le jeune homme poignardé affirme avoir voulu aider une passante
Deux jours d’angoisse. « Vous imaginez ce que c’est que d’être parents et d’attendre dans un couloir d’hôpital, pour savoir si votre fils va survivre ou pas ? », interpelle le père de famille. Son fils âgé de 17ans a été poignardé, jeudi vers 19h30, place Eurotéléport à Roubaix. Si les enquêteurs, sur la foi des premières auditions de l’auteur présumé, expliquaient ce coup de couteau par « un mauvais regard », le couple roubaisien apporte une version totalement différente. « Il était assis à l’arrêt de métro Eurotéléport, en haut des escalators, explique le père. Pour s’amuser, quatre jeunes ont sauté sur le bouton d’arrêt, ce qui a eu pour effet de bloquer l’escalier. Une femme blonde, vraisemblablement âgée d’une quarantaine d’années, s’est retrouvée bloquée au milieu, avec des sacs de courses. »
Selon eux, leur fils serait venu en aide à la dame. « Nous sommes une famille respectable de Roubaix, explique la maman. Quand il est remonté, il a vu les quatre jeunes rire de lui. Il leur a demandé ce qui les faisait rigoler comme ça. »
« Il a entendu clic...c’était un couteau à cran »
C’est le début de la rixe, décrite par des témoins comme aussi soudaine que violente. « Tout à coup, il a entendu clic… c’était un couteau à cran d’arrêt. » La famille décrit deux coups de couteau. Le premier, loupé. « En ratant, il a touché son frère ! » Le second, alors que des coups sont échangés avec les autres, aurait pu être mortel : le jeune Roubaisien a le poumon perforé et la plèvre décollée. « Il y a eu un trou d’air, on ne sait pas encore comment ça va évoluer. Il a dû mal à manger, il a mal. Il ne peut pas tousser par exemple », dit son père.
Le jeune garçon suspecté d’avoir porté les coups, un habitant de Marquette-lez-Lille âgé d’une vingtaine d’années, a été remis en liberté après sa garde à vue. « Lui aussi endosse le costume de victime, se borne-t-on à expliquer au commissariat de police de Roubaix qui se refuse à infirmer ou confirmer la version du jeune homme auditionné ce mardi matin. La procédure se poursuit dans le cadre d’une enquête préliminaire. Nous devons encore visionner les images des caméras de vidéosurveillance. »
Les proches de la victime souhaitent entrer en contact avec la personne qu’elle a aidée, jeudi vers 19h, dans les escalators du métro Eurotéléport. « Il s’agit d’un témoignage important qui permettra d’étayer la version de notre fils, expliquent ses parents. Il est important qu’elle se manifeste auprès du commissariat de police de Roubaix ». Il s’agit aussi d’une question d’honneur. Et de vérité.
Deux jours d’angoisse. « Vous imaginez ce que c’est que d’être parents et d’attendre dans un couloir d’hôpital, pour savoir si votre fils va survivre ou pas ? », interpelle le père de famille. Son fils âgé de 17ans a été poignardé, jeudi vers 19h30, place Eurotéléport à Roubaix. Si les enquêteurs, sur la foi des premières auditions de l’auteur présumé, expliquaient ce coup de couteau par « un mauvais regard », le couple roubaisien apporte une version totalement différente. « Il était assis à l’arrêt de métro Eurotéléport, en haut des escalators, explique le père. Pour s’amuser, quatre jeunes ont sauté sur le bouton d’arrêt, ce qui a eu pour effet de bloquer l’escalier. Une femme blonde, vraisemblablement âgée d’une quarantaine d’années, s’est retrouvée bloquée au milieu, avec des sacs de courses. »
Selon eux, leur fils serait venu en aide à la dame. « Nous sommes une famille respectable de Roubaix, explique la maman. Quand il est remonté, il a vu les quatre jeunes rire de lui. Il leur a demandé ce qui les faisait rigoler comme ça. »
« Il a entendu clic...c’était un couteau à cran »
C’est le début de la rixe, décrite par des témoins comme aussi soudaine que violente. « Tout à coup, il a entendu clic… c’était un couteau à cran d’arrêt. » La famille décrit deux coups de couteau. Le premier, loupé. « En ratant, il a touché son frère ! » Le second, alors que des coups sont échangés avec les autres, aurait pu être mortel : le jeune Roubaisien a le poumon perforé et la plèvre décollée. « Il y a eu un trou d’air, on ne sait pas encore comment ça va évoluer. Il a dû mal à manger, il a mal. Il ne peut pas tousser par exemple », dit son père.
Le jeune garçon suspecté d’avoir porté les coups, un habitant de Marquette-lez-Lille âgé d’une vingtaine d’années, a été remis en liberté après sa garde à vue. « Lui aussi endosse le costume de victime, se borne-t-on à expliquer au commissariat de police de Roubaix qui se refuse à infirmer ou confirmer la version du jeune homme auditionné ce mardi matin. La procédure se poursuit dans le cadre d’une enquête préliminaire. Nous devons encore visionner les images des caméras de vidéosurveillance. »
Les proches de la victime souhaitent entrer en contact avec la personne qu’elle a aidée, jeudi vers 19h, dans les escalators du métro Eurotéléport. « Il s’agit d’un témoignage important qui permettra d’étayer la version de notre fils, expliquent ses parents. Il est important qu’elle se manifeste auprès du commissariat de police de Roubaix ». Il s’agit aussi d’une question d’honneur. Et de vérité.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par n.iiicolas » 11 Mars 2015, 15:10
Deux tout jeunes majeurs se sont retrouvés cette semaine à la barre du tribunal correctionnel, côte à côte pour, ce qui n’était au départ qu’une banale affaire de cœur, la petite amie de l’un étant devenue celle de l’autre. A la sortie d’un lycée de Cambrai, où ni l’un ni l’autre ne sont scolarisés, les deux garçons sont présents. L’un d’eux, se prétendant menacé par l’autre, est venu avec un couteau de boucher dans la poche. La dispute éclate et c’est un surveillant de l’établissement secondaire qui doit séparer les deux protagonistes. Le couteau provoque bien évidemment de graves lésions.
Ils sont tous les deux condamnés avec sursis, trois mois pour le porteur de l’arme blanche, un mois pour l’autre.
Ils sont tous les deux condamnés avec sursis, trois mois pour le porteur de l’arme blanche, un mois pour l’autre.
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
par King Kong » 11 Mars 2015, 15:19
fernando a écrit:Rixe à Eurotéléport à Roubaix : le jeune homme poignardé affirme avoir voulu aider une passante
Deux jours d’angoisse. « Vous imaginez ce que c’est que d’être parents et d’attendre dans un couloir d’hôpital, pour savoir si votre fils va survivre ou pas ? », interpelle le père de famille. Son fils âgé de 17ans a été poignardé, jeudi vers 19h30, place Eurotéléport à Roubaix. Si les enquêteurs, sur la foi des premières auditions de l’auteur présumé, expliquaient ce coup de couteau par « un mauvais regard », le couple roubaisien apporte une version totalement différente. « Il était assis à l’arrêt de métro Eurotéléport, en haut des escalators, explique le père. Pour s’amuser, quatre jeunes ont sauté sur le bouton d’arrêt, ce qui a eu pour effet de bloquer l’escalier. Une femme blonde, vraisemblablement âgée d’une quarantaine d’années, s’est retrouvée bloquée au milieu, avec des sacs de courses. »
Selon eux, leur fils serait venu en aide à la dame. « Nous sommes une famille respectable de Roubaix, explique la maman. Quand il est remonté, il a vu les quatre jeunes rire de lui. Il leur a demandé ce qui les faisait rigoler comme ça. »
« Il a entendu clic...c’était un couteau à cran »
C’est le début de la rixe, décrite par des témoins comme aussi soudaine que violente. « Tout à coup, il a entendu clic… c’était un couteau à cran d’arrêt. » La famille décrit deux coups de couteau. Le premier, loupé. « En ratant, il a touché son frère ! » Le second, alors que des coups sont échangés avec les autres, aurait pu être mortel : le jeune Roubaisien a le poumon perforé et la plèvre décollée. « Il y a eu un trou d’air, on ne sait pas encore comment ça va évoluer. Il a dû mal à manger, il a mal. Il ne peut pas tousser par exemple », dit son père.
Le jeune garçon suspecté d’avoir porté les coups, un habitant de Marquette-lez-Lille âgé d’une vingtaine d’années, a été remis en liberté après sa garde à vue. « Lui aussi endosse le costume de victime, se borne-t-on à expliquer au commissariat de police de Roubaix qui se refuse à infirmer ou confirmer la version du jeune homme auditionné ce mardi matin. La procédure se poursuit dans le cadre d’une enquête préliminaire. Nous devons encore visionner les images des caméras de vidéosurveillance. »
Les proches de la victime souhaitent entrer en contact avec la personne qu’elle a aidée, jeudi vers 19h, dans les escalators du métro Eurotéléport. « Il s’agit d’un témoignage important qui permettra d’étayer la version de notre fils, expliquent ses parents. Il est important qu’elle se manifeste auprès du commissariat de police de Roubaix ». Il s’agit aussi d’une question d’honneur. Et de vérité.
remis en liberté,il n'est pas nationaliste ou ultras lui^:^
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par kaptn_kvern » 11 Mars 2015, 18:06
Ah, le r'vlà li...
King Kong a écrit:remis en liberté,il n'est pas nationaliste ou ultras lui^:^
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par ursulet » 11 Mars 2015, 18:21
ruitos a écrit:les flics de Rx/Tg, corrompus au Ricard et à la pizza...
ce sont là de trés graves accusations monsieur ruitos. je vais faire un screenshot et le transmettre à mon cousin, qui y est lieutenant,et ne manquera pas de revenir vers toi te demander des explications. des qu'il sera à jeun.
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
par SAV » 13 Mars 2015, 16:38
Les tanji du valenciennois, tu peux pas test
Bruay-sur-l’Escaut : un enfant de sept ans à l’école avec une arme, son père condamné à 18 mois ferme
Un enfant de sept ans s’est présenté mercredi matin à son école de Bruay-sur-l’Escaut, près de Valenciennes, avec une arme de poing dans son cartable. Une arme qui lui a été rapidement confisquée, a-t-on appris ce jeudi.
Arriver à l’école Léo-Lagrange avec un pistolet de calibre 6,5 mm dans son cartable et le montrer à ses camarades… Cette scène s’est « jouée », ce mardi matin, avec un garçon de sept ans. L’enfant, qui vit avec son frère de neuf ans et leur père de 36 ans, avait mis la main sur l’arme – non chargée – dans le cabinet de toilette. Elle se trouvait dans le même tiroir que le dentifrice ! Au départ, l’enfant a apparemment cru que le pistolet était en plastique, mais vu son poids il avait vite compris qu’il ne s’agissait pas d’un jouet.
« Je l’avais déposé là sans faire attention et j’avais prévu de le mettre ailleurs. Mais le petit est tombé dessus avant… », a tenté de se justifier le père de famille, hier après-midi, face au tribunal de Valenciennes. Il y était jugé en comparution immédiate pour acquisition et détention d’une arme et de munitions et – surtout –, pour mise en danger délibérée d’autrui, en l’occurrence ses propres enfants.
Un casier « long comme le bras »
Après avoir vu l’arme, mardi, un camarade avait prévenu une enseignante, qui avait alerté la police municipale. Les faits avaient été vite rapportés au procureur de la République de Valenciennes, François Pérain, et le père de famille a donc comparu dès le surlendemain des faits. « Pourquoi aviez-vous une telle arme ? », a interrogé la présidente, Mme Vuillemin. « Pour me défendre en cas d’embrouilles », a tenté le trentenaire qui, en octobre, avait fini de purger une peine de cinq ans de prison pour des vols aggravés. Une peine sanctionnant alors un casier déjà « long comme le bras » – comme l’a pointé le tribunal –, avec pas moins de vingt-huit mentions.
La juge a aussi rappelé les conditions dans lesquelles il était possible de disposer d’armes chez soi, et comment elles devaient être entreposées. Le représentant du parquet, lui, a pointé le fait que sur le pistolet – acheté 100 euros en Belgique – figurait bien la mention « arme de guerre » et qu’un tel pistolet était bel et bien « fait pour tuer ».
Pour tenter de minorer les dix-huit mois de prison requis, Me Martine Trussant a insisté à la fois sur la misère sociale de cette famille de gens du voyage sédentarisés, et sur l’absence de munitions dans le chargeur du pistolet. Ces arguments n’ont pas convaincu les juges. Le père a été condamné, les enfants placés.
Bruay-sur-l’Escaut : un enfant de sept ans à l’école avec une arme, son père condamné à 18 mois ferme
Un enfant de sept ans s’est présenté mercredi matin à son école de Bruay-sur-l’Escaut, près de Valenciennes, avec une arme de poing dans son cartable. Une arme qui lui a été rapidement confisquée, a-t-on appris ce jeudi.
Arriver à l’école Léo-Lagrange avec un pistolet de calibre 6,5 mm dans son cartable et le montrer à ses camarades… Cette scène s’est « jouée », ce mardi matin, avec un garçon de sept ans. L’enfant, qui vit avec son frère de neuf ans et leur père de 36 ans, avait mis la main sur l’arme – non chargée – dans le cabinet de toilette. Elle se trouvait dans le même tiroir que le dentifrice ! Au départ, l’enfant a apparemment cru que le pistolet était en plastique, mais vu son poids il avait vite compris qu’il ne s’agissait pas d’un jouet.
« Je l’avais déposé là sans faire attention et j’avais prévu de le mettre ailleurs. Mais le petit est tombé dessus avant… », a tenté de se justifier le père de famille, hier après-midi, face au tribunal de Valenciennes. Il y était jugé en comparution immédiate pour acquisition et détention d’une arme et de munitions et – surtout –, pour mise en danger délibérée d’autrui, en l’occurrence ses propres enfants.
Un casier « long comme le bras »
Après avoir vu l’arme, mardi, un camarade avait prévenu une enseignante, qui avait alerté la police municipale. Les faits avaient été vite rapportés au procureur de la République de Valenciennes, François Pérain, et le père de famille a donc comparu dès le surlendemain des faits. « Pourquoi aviez-vous une telle arme ? », a interrogé la présidente, Mme Vuillemin. « Pour me défendre en cas d’embrouilles », a tenté le trentenaire qui, en octobre, avait fini de purger une peine de cinq ans de prison pour des vols aggravés. Une peine sanctionnant alors un casier déjà « long comme le bras » – comme l’a pointé le tribunal –, avec pas moins de vingt-huit mentions.
La juge a aussi rappelé les conditions dans lesquelles il était possible de disposer d’armes chez soi, et comment elles devaient être entreposées. Le représentant du parquet, lui, a pointé le fait que sur le pistolet – acheté 100 euros en Belgique – figurait bien la mention « arme de guerre » et qu’un tel pistolet était bel et bien « fait pour tuer ».
Pour tenter de minorer les dix-huit mois de prison requis, Me Martine Trussant a insisté à la fois sur la misère sociale de cette famille de gens du voyage sédentarisés, et sur l’absence de munitions dans le chargeur du pistolet. Ces arguments n’ont pas convaincu les juges. Le père a été condamné, les enfants placés.
Brigitte Macron 2027.
par fernando » 21 Mars 2015, 21:08
Un homme passé à tabac dans le métro à Lille : trois personnes interpellées
Le trafic a été interrompu vers 16 h 30 sur la ligne 2 du métro jusqu’aux environs de 17 h, après une bagarre violente ayant éclaté dans la station Porte de Valenciennes, dans le quartier de Moulins à Lille. Un homme de 57 ans, passé à tabac, est blessé à la tête et des voyageurs ont été évacués. Trois personnes ont été interpellées.
Selon les premiers témoignages que nous avons pu recueillir sur place, une bagarre a éclaté dans cette station du métro lillois vers 16 h 30. Sept personnes étaient en train d’agresser un homme sur le quai quand une rame est arrivée. Lorsque les portes du métro se sont ouvertes, la victime, armée d’un pistolet d’alarme, serait tombée dans cette rame. Plusieurs coups de feu ont été entendus.
Les voyageurs de la rame en question ont été évacués. Ceux d’une autre rame, arrêtée vingt mètres plus loin, l’ont été également et ont été contraints de rejoindre la station, à pieds, par les rails.
Le trafic a repris à 17 h 05.
Trois personnes ont été interpellées un peu plus loin, autour de la station de métro Porte de Douai.
Le trafic a été interrompu vers 16 h 30 sur la ligne 2 du métro jusqu’aux environs de 17 h, après une bagarre violente ayant éclaté dans la station Porte de Valenciennes, dans le quartier de Moulins à Lille. Un homme de 57 ans, passé à tabac, est blessé à la tête et des voyageurs ont été évacués. Trois personnes ont été interpellées.
Selon les premiers témoignages que nous avons pu recueillir sur place, une bagarre a éclaté dans cette station du métro lillois vers 16 h 30. Sept personnes étaient en train d’agresser un homme sur le quai quand une rame est arrivée. Lorsque les portes du métro se sont ouvertes, la victime, armée d’un pistolet d’alarme, serait tombée dans cette rame. Plusieurs coups de feu ont été entendus.
Les voyageurs de la rame en question ont été évacués. Ceux d’une autre rame, arrêtée vingt mètres plus loin, l’ont été également et ont été contraints de rejoindre la station, à pieds, par les rails.
Le trafic a repris à 17 h 05.
Trois personnes ont été interpellées un peu plus loin, autour de la station de métro Porte de Douai.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 22 Mars 2015, 01:05
on parle de 4 personnes et un mec avec un flingue d'alarme pas chargé.
Aussi non j'ai pris le métro ce soir à 22h , pas un flic, pas un agent, des ouech qui fument leur oinj, des mecs bourrés et défoncés. Ca change de la journée , c'est moins féminin (et voilée)
Aussi non j'ai pris le métro ce soir à 22h , pas un flic, pas un agent, des ouech qui fument leur oinj, des mecs bourrés et défoncés. Ca change de la journée , c'est moins féminin (et voilée)
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