[01T] Glorification de la région
par n.iiicolas » 31 Mars 2015, 08:06
Un homme de 49 ans a été condamné à trois mois de prison ferme pour avoir violenté sa femme à plusieurs reprises. Elle était frappée si elle n’acceptait pas d’avoir des relations sexuelles avec des hommes mais aussi avec le chien de la maison.
La vie de couple de ces quadragénaires de Guise « n’était pas d’une banalité absolue », résume poliment le président du tribunal de Saint-Quentin. Le prévenu se qualifie d’« échangiste ». Mais son comportement était plus proche du proxénétisme que d’un partage des corps consenti. L’épouse « elle, devait suivre » ajoute le président. « Des hommes venaient et payaient pour avoir des relations avec elle ».
« Il faisait payer les gens 50 ou 80 €, précise la victime. Je ne pouvais pas dire non, sinon il me tapait dessus ». Sauf qu’elle ne devait pas uniquement subir les assauts des inconnus mais aussi du chien de la maison.
Le prévenu reconnaît que, deux à trois fois par semaine, l’animal était plus qu’affectueux avec sa maîtresse, mais selon lui « c’est elle qui voulait avec le chien ». Pour autant, ce n’est ni pour les actes de zoophilie forcés ni pour proxénétisme que l’homme de 49 ans comparaissait mais pour les actes de violences qui en ont résulté. Là encore, le Guisard minimise quand le tribunal reprend les dépositions de témoins ayant vu la dame avec des ecchymoses. « Je l’ai poussé, elle s’est cognée un peu partout », relativise-t-il. « De ux yeux au beurre noir en même temps, ça fait une sacrée coïncidence », ironise le président.
Il relate également un épisode de menace avec un couteau suivi de deux coups de poing. « Elle n’avait pas pris des coups de poing, elle avait pris des claques », rétorque le prévenu. « Je veux bien reconnaître qu’on avait parfois des paroles un peu déplacées, même souvent, mais je ne l’ai jamais frappé », ose-t-il.
« J’ai eu une vie difficile pendant deux ans et demi parce qu’il me tapait souvent. Mes enfants ont été placés à cause de ça », assure la victime décrite par son avocate Me Martins comme « ayant l’âge mental d’une enfant de 9 ans ». Pour la défense représentée par Me Aude Gilbert-Carlier « ses ennuis n’ont pas commencé avec la vie commune. Il y avait déjà des violences intrafamiliales avec le premier mari ». « C’est le fonctionnement d’un couple qui va mal mais mon client n’a jamais été décrit par un tyran par qui que ce soit ».
Le couple s’est séparé depuis. L’homme a refait sa vie avec une nouvelle femme. « Il m’a demandé si je voulais essayer avec le chien » a déclaré cette dernière aux enquêteurs. Elle a refusé. L’ami des bêtes a été condamné à trois mois de prison ferme et 200 € de dommages et intérêts.
La vie de couple de ces quadragénaires de Guise « n’était pas d’une banalité absolue », résume poliment le président du tribunal de Saint-Quentin. Le prévenu se qualifie d’« échangiste ». Mais son comportement était plus proche du proxénétisme que d’un partage des corps consenti. L’épouse « elle, devait suivre » ajoute le président. « Des hommes venaient et payaient pour avoir des relations avec elle ».
« Il faisait payer les gens 50 ou 80 €, précise la victime. Je ne pouvais pas dire non, sinon il me tapait dessus ». Sauf qu’elle ne devait pas uniquement subir les assauts des inconnus mais aussi du chien de la maison.
Le prévenu reconnaît que, deux à trois fois par semaine, l’animal était plus qu’affectueux avec sa maîtresse, mais selon lui « c’est elle qui voulait avec le chien ». Pour autant, ce n’est ni pour les actes de zoophilie forcés ni pour proxénétisme que l’homme de 49 ans comparaissait mais pour les actes de violences qui en ont résulté. Là encore, le Guisard minimise quand le tribunal reprend les dépositions de témoins ayant vu la dame avec des ecchymoses. « Je l’ai poussé, elle s’est cognée un peu partout », relativise-t-il. « De ux yeux au beurre noir en même temps, ça fait une sacrée coïncidence », ironise le président.
Il relate également un épisode de menace avec un couteau suivi de deux coups de poing. « Elle n’avait pas pris des coups de poing, elle avait pris des claques », rétorque le prévenu. « Je veux bien reconnaître qu’on avait parfois des paroles un peu déplacées, même souvent, mais je ne l’ai jamais frappé », ose-t-il.
« J’ai eu une vie difficile pendant deux ans et demi parce qu’il me tapait souvent. Mes enfants ont été placés à cause de ça », assure la victime décrite par son avocate Me Martins comme « ayant l’âge mental d’une enfant de 9 ans ». Pour la défense représentée par Me Aude Gilbert-Carlier « ses ennuis n’ont pas commencé avec la vie commune. Il y avait déjà des violences intrafamiliales avec le premier mari ». « C’est le fonctionnement d’un couple qui va mal mais mon client n’a jamais été décrit par un tyran par qui que ce soit ».
Le couple s’est séparé depuis. L’homme a refait sa vie avec une nouvelle femme. « Il m’a demandé si je voulais essayer avec le chien » a déclaré cette dernière aux enquêteurs. Elle a refusé. L’ami des bêtes a été condamné à trois mois de prison ferme et 200 € de dommages et intérêts.
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
par fernando » 31 Mars 2015, 09:17
n.iiicolas a écrit:la victime décrite par son avocate Me Martins comme « ayant l’âge mental d’une enfant de 9 ans ».
Si sa femme avait vraiment 9 ans, W aurait sans doute fait partie des clients.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par ChevalierBlanc » 31 Mars 2015, 11:22
SAV a écrit:gblosc a écrit:L'Aisne, tu peux pas test.
Aisne > 6-2
Aisne >Wallonie> 6.2>Maubeuge>Valenciennes>Roubaix-Tourcoing>Franquart>Oasis
Rien sur Phalemp1. Suis surpris et choqué.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par GilbertSedman » 31 Mars 2015, 16:44
SAV a écrit:gblosc a écrit:L'Aisne, tu peux pas test.
Aisne > 6-2
Aisne >Wallonie> 6.2>Maubeuge>Valenciennes>Roubaix-Tourcoing>Franquart>Oasis
Elle va être bien bandante notre nouvelle région...
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par Der » 02 Avr 2015, 16:14
Un client irascible sans chauffage tire sur un dépanneur
Un client exaspéré de ne plus avoir de chauffage s'est présenté mercredi dans une entreprise de dépannage de Lillers (Pas-de-Calais) et a tiré sur un employé, le blessant légèrement à la jambe, a-t-on appris de sources concordantes.
Ayant un problème de chaudière, le client s'est présenté vers 16H30 avec un fusil dissimulé dans un emballage.
Excédé, il a sorti son arme et blessé un employé d'un tir dans la jambe.
L'homme a été interpellé et placé en garde à vue. La victime de son côté à été transportée à l'hôpital.
Un client exaspéré de ne plus avoir de chauffage s'est présenté mercredi dans une entreprise de dépannage de Lillers (Pas-de-Calais) et a tiré sur un employé, le blessant légèrement à la jambe, a-t-on appris de sources concordantes.
Ayant un problème de chaudière, le client s'est présenté vers 16H30 avec un fusil dissimulé dans un emballage.
Excédé, il a sorti son arme et blessé un employé d'un tir dans la jambe.
L'homme a été interpellé et placé en garde à vue. La victime de son côté à été transportée à l'hôpital.
On se fait des bisous et on s'encule.
par SAV » 05 Avr 2015, 21:26
Sympa le week-end de KK
Des militants néonazis ont pris leurs quartiers d'été hier à Auchel
Publié le 29/07/2012
Nord Eclair
Des skinheads ont pris possession du stade Basly hier après-midi pour une partie de foot surréaliste.
Depuis hier, plusieurs dizaines de militants néonazis de la région, de Belgique et du nord de Paris ont posé leurs valises à Auchel pour participer au « week-end du Trident », deux journées dédiées aux nostalgiques du IIIe Reich.
Au programme : cross, initiation au self défense, barbecue et concert du groupe d'extrême droite Lémovice. Les riverains passés hier après-midi à proximité du stade Balsy ont même eu droit à une partie de foot entre gros bras aux cheveux ras...
PAR ARNAUD DÉTHÉE
bruay@info-artois.fr
PHOTO PASCAL BONNIÈRE ET LA VOIX Car c'est en toute impunité que ces skinheads - dont certains trimballaient un masque d'Adolf Hitler - ont investi hier après-midi le stade municipal pour entamer une partie de ballon sous le regard ahuri des quelques gamins qui ont pris la poudre d'escampette... La trentaine de gaillards tatoués au crâne rasé pouvait dès lors s'ébattre joyeusement dans le pré sous les yeux des badauds et ceux de la police restée discrète.
Ce match surréaliste faisait partie du programme des réjouissances concocté par les membres du mouvement d'extrême droite radical Troisième Voie qui, sur internet, avait gardé secret le lieu de la manifestation jusqu'à la dernière minute... C'est finalement rue Georges-Brassens qu'un petit drapeau tricolore affublé de l'autocollant « Stop à l'islamisation » indiquait hier matin le point de chute aux voitures belges, picardes et parisiennes qui s'y pressaient dès 10 heures. Alors qu'on la croyait moribonde depuis près d'un an - et l'affrontement entre identitaires et cégétisites sur le marché d'Auchel qui avait fait grand bruit - la Maison de l'Artois a donc repris du service. Au grand dam du maire qui avouait son impuissance à juguler le phénomène. « Tant qu'ils ne causent pas de trouble à l'ordre public, on ne peut rien contre ces gens-là, soupire Richard Jarrett. Comme moi, la police est aux aguets depuis 72 heures. Je remarque au passage qu'ils ne sont pas Auchellois. Je ne minimise pas, je n'ai guère de moyens d'intervenir. Je reste néanmoins vigilant. » Plus radicale, l'extrême gauche locale - passablement agacée par les aises prises par leurs adversaires - n'excluait pas l'affrontement dans la soirée. « C'est inacceptable qu'ils puissent se balader au vu et su de tout le monde sans que personne ne bouge, tonnait froidement hier ce militant antifasciste. Ce sont des durs du mouvement skinhead. Le groupe néonazi Lemovice a déjà été interdit en France. Il se réclame d'Hitler dans les paroles de ses chansons ! Après leur match, j'ai vu des gars avec des croix gammées tatouées sur le corps aller boire des verres en centre-ville. Ça chez nous, on ne peut pas cautionner... »
Des militants néonazis ont pris leurs quartiers d'été hier à Auchel
Publié le 29/07/2012
Nord Eclair
Des skinheads ont pris possession du stade Basly hier après-midi pour une partie de foot surréaliste.
Depuis hier, plusieurs dizaines de militants néonazis de la région, de Belgique et du nord de Paris ont posé leurs valises à Auchel pour participer au « week-end du Trident », deux journées dédiées aux nostalgiques du IIIe Reich.
Au programme : cross, initiation au self défense, barbecue et concert du groupe d'extrême droite Lémovice. Les riverains passés hier après-midi à proximité du stade Balsy ont même eu droit à une partie de foot entre gros bras aux cheveux ras...
PAR ARNAUD DÉTHÉE
bruay@info-artois.fr
PHOTO PASCAL BONNIÈRE ET LA VOIX Car c'est en toute impunité que ces skinheads - dont certains trimballaient un masque d'Adolf Hitler - ont investi hier après-midi le stade municipal pour entamer une partie de ballon sous le regard ahuri des quelques gamins qui ont pris la poudre d'escampette... La trentaine de gaillards tatoués au crâne rasé pouvait dès lors s'ébattre joyeusement dans le pré sous les yeux des badauds et ceux de la police restée discrète.
Ce match surréaliste faisait partie du programme des réjouissances concocté par les membres du mouvement d'extrême droite radical Troisième Voie qui, sur internet, avait gardé secret le lieu de la manifestation jusqu'à la dernière minute... C'est finalement rue Georges-Brassens qu'un petit drapeau tricolore affublé de l'autocollant « Stop à l'islamisation » indiquait hier matin le point de chute aux voitures belges, picardes et parisiennes qui s'y pressaient dès 10 heures. Alors qu'on la croyait moribonde depuis près d'un an - et l'affrontement entre identitaires et cégétisites sur le marché d'Auchel qui avait fait grand bruit - la Maison de l'Artois a donc repris du service. Au grand dam du maire qui avouait son impuissance à juguler le phénomène. « Tant qu'ils ne causent pas de trouble à l'ordre public, on ne peut rien contre ces gens-là, soupire Richard Jarrett. Comme moi, la police est aux aguets depuis 72 heures. Je remarque au passage qu'ils ne sont pas Auchellois. Je ne minimise pas, je n'ai guère de moyens d'intervenir. Je reste néanmoins vigilant. » Plus radicale, l'extrême gauche locale - passablement agacée par les aises prises par leurs adversaires - n'excluait pas l'affrontement dans la soirée. « C'est inacceptable qu'ils puissent se balader au vu et su de tout le monde sans que personne ne bouge, tonnait froidement hier ce militant antifasciste. Ce sont des durs du mouvement skinhead. Le groupe néonazi Lemovice a déjà été interdit en France. Il se réclame d'Hitler dans les paroles de ses chansons ! Après leur match, j'ai vu des gars avec des croix gammées tatouées sur le corps aller boire des verres en centre-ville. Ça chez nous, on ne peut pas cautionner... »
Brigitte Macron 2027.
par W » 07 Avr 2015, 23:12
Dans la série on a des idées mais pas d'argent, je vous présente Djessica (vous savez comment on prononce), speakerine assistante au dernier tournoi de la Jeune Garde. J'ai pas de photo, mais c'est pas plus mal (pour les courageux, vous pouvez imaginer maman Krouw sapée comme maman zaz). On a donc le speaker titulaire qui gueule on ne sait quoi dans son micro, et elle à côté qui enchaine avec la traduction en anglais, car on le sait, on a une forte population anglo-saxonne à Tourcoing. Comme on dit à NY, 59 it is the Phalempins.
Petit bonus on est à Tourcoing, inutile de préciser qu'elle parlait anglais comme Manu français. (d'ailleurs Manu était également présent pour célébrer le sacre de l'Angola)
Petit bonus on est à Tourcoing, inutile de préciser qu'elle parlait anglais comme Manu français. (d'ailleurs Manu était également présent pour célébrer le sacre de l'Angola)
It's art. You don't need pants.
par GilbertSedman » 08 Avr 2015, 08:14
Loul w quelle belle tranche de vie (what a biotifoul parth off liefe)
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par fernando » 14 Avr 2015, 10:50
Un policier grièvement brûlé à Dunkerque lors d'une interpellation
Le Monde.fr avec AFP | 14.04.2015 à 10h21 • Mis à jour le 14.04.2015 à 10h44
La principale victime, un policier d'une quarantaine d'années, a été brûlé semble-t-il au deuxième degré mais ses jours ne sont pas en danger.
Un policier du commissariat de Dunkerque a été grièvement brûlé au visage et à une main alors qu'il allait interpeller, lundi soir, un jeune homme qui avait tenté d'incendier une voiture, a-t-on appris mardi 14 avril de source judiciaire.
Lorsque les agents sont arrivés pour sur la plage de Malo-les-Bains, le suspect « a projeté de l'essence qu'il avait dans une bouteille en plastique » sur deux policiers. Il a ensuite « brandi un briquet et enflammé l'un d'entre eux », a déclaré le procureur de Dunkerque, Eric Fouard, confirmant une information d'Europe 1.
La principale victime, un policier d'une quarantaine d'années, a été brûlé semble-t-il au deuxième degré mais ses jours ne sont pas en danger. Il a été hospitalisé.
Son agresseur a été placé en garde à vue pour tentative d'assassinat, lundi vers 23 h 30, dans les locaux de la sûreté urbaine de Dunkerque.
Sur Europe 1, Bernard Cazeneuve, le ministre de l'intérieur, a appelé à « la plus grande sévérité » face à « ces violences dont sont victimes les forces de l'ordre, qui assurent la protection des Français ».
Le Monde.fr avec AFP | 14.04.2015 à 10h21 • Mis à jour le 14.04.2015 à 10h44
La principale victime, un policier d'une quarantaine d'années, a été brûlé semble-t-il au deuxième degré mais ses jours ne sont pas en danger.
Un policier du commissariat de Dunkerque a été grièvement brûlé au visage et à une main alors qu'il allait interpeller, lundi soir, un jeune homme qui avait tenté d'incendier une voiture, a-t-on appris mardi 14 avril de source judiciaire.
Lorsque les agents sont arrivés pour sur la plage de Malo-les-Bains, le suspect « a projeté de l'essence qu'il avait dans une bouteille en plastique » sur deux policiers. Il a ensuite « brandi un briquet et enflammé l'un d'entre eux », a déclaré le procureur de Dunkerque, Eric Fouard, confirmant une information d'Europe 1.
La principale victime, un policier d'une quarantaine d'années, a été brûlé semble-t-il au deuxième degré mais ses jours ne sont pas en danger. Il a été hospitalisé.
Son agresseur a été placé en garde à vue pour tentative d'assassinat, lundi vers 23 h 30, dans les locaux de la sûreté urbaine de Dunkerque.
Sur Europe 1, Bernard Cazeneuve, le ministre de l'intérieur, a appelé à « la plus grande sévérité » face à « ces violences dont sont victimes les forces de l'ordre, qui assurent la protection des Français ».
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par bitadmin » 22 Avr 2015, 14:20
Un surveillant du collège Paul-Duez de Leforest est actuellement en garde à vue à la brigade des mineurs de Liévin pour des agressions sexuelles ou viols sur au moins neuf élèves âgées de 9 à 14 ans. L’Éducation nationale l’avait suspendu tout en faisant le signalement auprès du parquet de Béthune, déclenchant cette enquête, a-t-on appris de source proche du dossier.
Le jeune homme serait âgé de 23 ans et habiterait Leforest. Il aurait violé au moins deux collégiennes, mais neuf victimes seraient identifiées, selon RTL qui a révélé l’information ce matin. Ces jeunes filles étaient jugées fragiles psychologiquement. L’agresseur présumé, surveillant à l’époque des faits, aurait été renvoyé du collège il y a environ trois mois par l’Éducation nationale qui avait alors fait le signalement au parquet de Béthune, déclenchant l’enquête de police actuelle, selon une source proche de l’enquête.
Le présumé violeur a été placé en garde à vue mardi au commissariat de Liévin pour viols et des agressions sexuelles, il y est entendu par les enquêteurs de la brigade des mineurs de la Sûreté départementale. Une information judiciaire devrait être ouverte à l’issue de la mesure de garde à vue pour faire la lumière sur toute cette affaire.
Le maire, Christian Musial : « des bruits de discussions impudiques sur Internet »
« J’ai appris cette information par voie de presse ce matin, explique ce mercredi matin, le premier magistrat leforestois. Jamais on ne m’a contacté à ce sujet. Il y avait des bruits qui couraient depuis quelque temps qui avaient été remontés par des élèves ou des parents au personnel du collège. L’information qui circulait jusqu’à maintenant, c’était des discussions impudiques sur Internet, ce genre de choses. Là, je ne peux que constater la gravité des faits. »
« Ce sont de jeunes Leforestoises, ça me touche énormément. Je suis en colère, effondré. Personne n’est à l’abri, Leforest non plus. Le collège avait pris l’affaire très au sérieux et mis à l’écart le surveillant. Maintenant c’est important qu’il y ait une communication officielle qui soit faite par l’Éducation nationale. »
Le jeune homme serait âgé de 23 ans et habiterait Leforest. Il aurait violé au moins deux collégiennes, mais neuf victimes seraient identifiées, selon RTL qui a révélé l’information ce matin. Ces jeunes filles étaient jugées fragiles psychologiquement. L’agresseur présumé, surveillant à l’époque des faits, aurait été renvoyé du collège il y a environ trois mois par l’Éducation nationale qui avait alors fait le signalement au parquet de Béthune, déclenchant l’enquête de police actuelle, selon une source proche de l’enquête.
Le présumé violeur a été placé en garde à vue mardi au commissariat de Liévin pour viols et des agressions sexuelles, il y est entendu par les enquêteurs de la brigade des mineurs de la Sûreté départementale. Une information judiciaire devrait être ouverte à l’issue de la mesure de garde à vue pour faire la lumière sur toute cette affaire.
Le maire, Christian Musial : « des bruits de discussions impudiques sur Internet »
« J’ai appris cette information par voie de presse ce matin, explique ce mercredi matin, le premier magistrat leforestois. Jamais on ne m’a contacté à ce sujet. Il y avait des bruits qui couraient depuis quelque temps qui avaient été remontés par des élèves ou des parents au personnel du collège. L’information qui circulait jusqu’à maintenant, c’était des discussions impudiques sur Internet, ce genre de choses. Là, je ne peux que constater la gravité des faits. »
« Ce sont de jeunes Leforestoises, ça me touche énormément. Je suis en colère, effondré. Personne n’est à l’abri, Leforest non plus. Le collège avait pris l’affaire très au sérieux et mis à l’écart le surveillant. Maintenant c’est important qu’il y ait une communication officielle qui soit faite par l’Éducation nationale. »
par n.iiicolas » 01 Mai 2015, 11:57
Un adolescent de Petite-Synthe a été placé en garde à vue, lundi, puis mis en examen ce mercredi pour viol sur sa sœur âgée de 13 ans. Le juge a ordonné son placement en centre éducatif fermé.
L’adolescent, jusque-là sans histoire, a partiellement reconnu les faits. Il a été présenté hier à un juge d’instruction qui l’a mis en examen pour viol.
L’adolescent a expliqué aux enquêteurs de la brigade des mineurs que depuis plusieurs mois il allait subrepticement, la nuit, dans la chambre de sa petite sœur âgée de 13 ans, en proie à des pulsions.
Puis plus récemment, il est passé à l’acte.
La sœur a dénoncé un viol auprès de sa mère.
Placé en garde à vue lundi, le Petit-Synthois, âgé de 15 ans, a partiellement reconnu les faits, évoquant des tentatives de pénétration et des atteintes sexuelles sous forme de caresses, tandis que la victime affirme qu’il est allé plus loin. Une information judiciaire a été ouverte.
Le jeune homme a été mis en examen, ce mercredi, par un juge d’instruction pour viol sur mineur de moins de quinze ans.
Ce qui interpelle, c’est le profil du mis en cause, frêle blondinet qui fait à peine ses quinze ans, pas du tout en proie à des difficultés sociales, ne présentant aucune carence intellectuelle ni affective et évoluant dans une famille équilibrée. Une famille, forcément, brisée.
En l’état, l’adolescent n’a évidemment pas pu regagner le domicile familial.
Le juge d’instruction a décidé de le placer dans un centre éducatif fermé, une structure réservée aux mineurs délinquants
L’adolescent, jusque-là sans histoire, a partiellement reconnu les faits. Il a été présenté hier à un juge d’instruction qui l’a mis en examen pour viol.
L’adolescent a expliqué aux enquêteurs de la brigade des mineurs que depuis plusieurs mois il allait subrepticement, la nuit, dans la chambre de sa petite sœur âgée de 13 ans, en proie à des pulsions.
Puis plus récemment, il est passé à l’acte.
La sœur a dénoncé un viol auprès de sa mère.
Placé en garde à vue lundi, le Petit-Synthois, âgé de 15 ans, a partiellement reconnu les faits, évoquant des tentatives de pénétration et des atteintes sexuelles sous forme de caresses, tandis que la victime affirme qu’il est allé plus loin. Une information judiciaire a été ouverte.
Le jeune homme a été mis en examen, ce mercredi, par un juge d’instruction pour viol sur mineur de moins de quinze ans.
Ce qui interpelle, c’est le profil du mis en cause, frêle blondinet qui fait à peine ses quinze ans, pas du tout en proie à des difficultés sociales, ne présentant aucune carence intellectuelle ni affective et évoluant dans une famille équilibrée. Une famille, forcément, brisée.
En l’état, l’adolescent n’a évidemment pas pu regagner le domicile familial.
Le juge d’instruction a décidé de le placer dans un centre éducatif fermé, une structure réservée aux mineurs délinquants
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
par gblosc » 11 Juin 2015, 22:38
W fait des émules ...
Denain: il se fait passer pour Jordan des «Ch’tis» afin d’obtenir des photos d’ados dénudées
Ce Denaisien de 34 ans, expertisé « débile léger » par un psychiatre, souffrait de solitude et d’ennui. Sa curatrice le présente comme « quelqu’un de très isolé, qui n’a pas de famille, pas d’amis ».
Alors, en juillet 2013, lui vient une idée pour le moins étrange. Sur Internet, il se fait passer pour Jordan, de l’émission de téléréalité « Les Ch’tis » (W9), avec qui la ressemblance n’est pas franchement frappante mais sans photo, visiblement, ça passe. Très vite, « les demandes d’amis affluent », ainsi que les messages. Profitant de cette illusoire popularité, il demande à plusieurs adolescentes de lui envoyer des photos d’elles, dénudées. Des envois qui ne seront pas sans conséquence pour l’une de ses « fans » puisque le trentenaire a transféré une photo dénudée à la cousine de celle-ci. La cousine, brouillée avec l’adolescente, fera circuler la photo à plus de trois cents personnes. Maître Delcourt, avocate de la défense, s’est d’ailleurs demandé pourquoi la cousine ne comparaissait pas elle aussi au tribunal.
Au cours de l’enquête, la police découvrira sur l’ordinateur du Denaisien de nombreuses images pédopornographiques collectées au cours de recherches Internet. À la barre, le sanglotant jeune homme ne s’est pas montré très loquace, mettant son comportement sur le compte de l’ennui et de la solitude. Il a simplement souligné n’avoir jamais touché un enfant et qu’on ne l’y reprendrait plus. Mais le manège avait tout de même duré jusque décembre 2013.
Le parquet a requis 18 mois de prison dont 12 avec sursis et mise à l’épreuve. Son avocate a soulevé que les mots-clés de ses recherches portaient sur des adolescentes et non des enfants et affirmé que son client avait le même âge mental que le fils de ce dernier.
Le tribunal a fixé la condamnation à un an de prison avec sursis et mise à l’épreuve incluant des obligations de travail, soins, une interdiction de contact avec sa principale victime et avec tout mineur.
Denain: il se fait passer pour Jordan des «Ch’tis» afin d’obtenir des photos d’ados dénudées
Ce Denaisien de 34 ans, expertisé « débile léger » par un psychiatre, souffrait de solitude et d’ennui. Sa curatrice le présente comme « quelqu’un de très isolé, qui n’a pas de famille, pas d’amis ».
Alors, en juillet 2013, lui vient une idée pour le moins étrange. Sur Internet, il se fait passer pour Jordan, de l’émission de téléréalité « Les Ch’tis » (W9), avec qui la ressemblance n’est pas franchement frappante mais sans photo, visiblement, ça passe. Très vite, « les demandes d’amis affluent », ainsi que les messages. Profitant de cette illusoire popularité, il demande à plusieurs adolescentes de lui envoyer des photos d’elles, dénudées. Des envois qui ne seront pas sans conséquence pour l’une de ses « fans » puisque le trentenaire a transféré une photo dénudée à la cousine de celle-ci. La cousine, brouillée avec l’adolescente, fera circuler la photo à plus de trois cents personnes. Maître Delcourt, avocate de la défense, s’est d’ailleurs demandé pourquoi la cousine ne comparaissait pas elle aussi au tribunal.
Au cours de l’enquête, la police découvrira sur l’ordinateur du Denaisien de nombreuses images pédopornographiques collectées au cours de recherches Internet. À la barre, le sanglotant jeune homme ne s’est pas montré très loquace, mettant son comportement sur le compte de l’ennui et de la solitude. Il a simplement souligné n’avoir jamais touché un enfant et qu’on ne l’y reprendrait plus. Mais le manège avait tout de même duré jusque décembre 2013.
Le parquet a requis 18 mois de prison dont 12 avec sursis et mise à l’épreuve. Son avocate a soulevé que les mots-clés de ses recherches portaient sur des adolescentes et non des enfants et affirmé que son client avait le même âge mental que le fils de ce dernier.
Le tribunal a fixé la condamnation à un an de prison avec sursis et mise à l’épreuve incluant des obligations de travail, soins, une interdiction de contact avec sa principale victime et avec tout mineur.
par GilbertSedman » 12 Juin 2015, 07:52
Te faire arnaquer par un "débile léger" ça laisse entrevoir un beau qi
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
Qui est en ligne ?
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Majestic-12 [Bot], nicobungy et 50 invité(s)