krouw2 a écrit:
Elle est magique cette photo.
C'est qui le gars avec la chemise blanche et le jean délavé Japan Rags ?
Sondage qualitatif concernant le remplaçant de René
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par ursulet » 26 Mai 2015, 16:14
bijams a écrit:Troussier !!
Putain wé.
Je crois que la gestion au quotidien, c'est pas trop leur truc.
On verra.
Quand je l'entends en ITW, je le sens pas hyper fun le Renard.
Pis si on fait le parallèle avec l'autre (regretté) africain qui a entrainé le Loxx, ça n'avait pas été super concluant (même si c'était avant ses périples africains)
kasperczak?
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
par fernando » 26 Mai 2015, 16:39
Hervé Renard: «J'en suis assez fier»
Le 26/05/2015 à 16:23:00
Nouvel entraîneur du LOSC, Hervé Renard, qui s'est engagé ce mardi matin pour les trois prochaines saisons, a mesuré publiquement le chemin qu'il avait parcouru pour revenir en Ligue 1.
«Dans quel état d'esprit revenez-vous en Europe?
J'avais besoin d'un nouveau challenge. J'ai eu la chance de pouvoir gagner deux Coupe d'Afrique en quatre ans et je pensais avoir fait le tour de la question, ne pas être en mesure de pouvoir faire beaucoup mieux. J'avais envie de revenir en Europe à condition que ce soit un projet structuré, avec des infrastructures pour bien travailler et des compétences en matière de formation et de post formation.
Ne craignez-vous pas de devoir faire avec un effectif amoindri dans un contexte économique difficile?
Cette conjoncture concerne 80% de nos clubs. Compte tenu du pouvoir d'achat des Anglais, beaucoup seront pillés de leurs joueurs importants. Ce sera dur de lutter. On s'appuiera sur des jeunes et des joueurs de valeur sportive inférieure. Mais ce n'est pas parce qu'on a moins de moyens que l'on ne peut pas être performants.
«J'ai demandé à Gervinho de revenir mais je l'ai prévenu qu'on ne pourra le payer qu'une semaine de salaire sur quatre»
Quelle est votre base du management?
L'état d'esprit. Je suis arrivé en sélection ivoirienne avec des joueurs qui avaient un talent énorme mais qui n'étaient pas parvenus à remporter la CAN depuis 1992. Je leur ai rappelé que le foot était une affaire collective.
Que découvrez-vous en arrivant au LOSC?
Je n'avais jamais eu la chance de venir à Luchin. Je suis impressionné par l'outil de travail. Même si je m'étais renseigné. À chaque fois, j'ai croisé ici des gens pros et compétents dans leurs domaines. Le stade est magnifique. Le LOSC est un grand club depuis longtemps.
Vos internationaux ivoiriens vous ont-ils parlé du club?
J'ai échangé avec Gervinho, Kalou et Pierre-Alain Frau avec qui j'avais beaucoup d'affinités. Gervinho m'a dit que le LOSC l'avait marqué. Je lui ai demandé de revenir mais je l'ai prévenu qu'on ne pourra le payer qu'une semaine de salaire sur quatre (rires).
En quoi votre métier d'entraîneur au quotidien va-t-il changer par rapport à celui de sélectionneur?
Ce sont deux métiers différents. Dans l'un, on a sept matches par an. Dans l'autre, il y a trente-huit journées et les Coupes nationales, voire européennes. Il faut savoir s'adapter. J'ai commencé dans ce métier en 2000. J'avais 29 ans. J'ai passé plus de temps en clubs qu'en sélection. Les gens l'ont oublié mais faire ce métier en National ou en CFA, c'est aussi dur qu'au plus haut niveau. Là, c'est une étape à laquelle j'aspirais. J'ai beaucoup à prouver et des challenges à relever. Je suis là pour ça. J'en suis assez fier.
Vous vous souvenez de Claude Le Roy qui est peut-être resté un de vos modèles?
Il est très respecté en Afrique. On a eu une relation de travail et il m'a sorti du CFA où je serais resté de nombreuses années s'il n'était pas venu me chercher. Je n'ai pas oublié. Il y a dans ces championnats pas mal de bons entraîneurs qui ne sont jamais reconnus.»
Le 26/05/2015 à 16:23:00
Nouvel entraîneur du LOSC, Hervé Renard, qui s'est engagé ce mardi matin pour les trois prochaines saisons, a mesuré publiquement le chemin qu'il avait parcouru pour revenir en Ligue 1.
«Dans quel état d'esprit revenez-vous en Europe?
J'avais besoin d'un nouveau challenge. J'ai eu la chance de pouvoir gagner deux Coupe d'Afrique en quatre ans et je pensais avoir fait le tour de la question, ne pas être en mesure de pouvoir faire beaucoup mieux. J'avais envie de revenir en Europe à condition que ce soit un projet structuré, avec des infrastructures pour bien travailler et des compétences en matière de formation et de post formation.
Ne craignez-vous pas de devoir faire avec un effectif amoindri dans un contexte économique difficile?
Cette conjoncture concerne 80% de nos clubs. Compte tenu du pouvoir d'achat des Anglais, beaucoup seront pillés de leurs joueurs importants. Ce sera dur de lutter. On s'appuiera sur des jeunes et des joueurs de valeur sportive inférieure. Mais ce n'est pas parce qu'on a moins de moyens que l'on ne peut pas être performants.
«J'ai demandé à Gervinho de revenir mais je l'ai prévenu qu'on ne pourra le payer qu'une semaine de salaire sur quatre»
Quelle est votre base du management?
L'état d'esprit. Je suis arrivé en sélection ivoirienne avec des joueurs qui avaient un talent énorme mais qui n'étaient pas parvenus à remporter la CAN depuis 1992. Je leur ai rappelé que le foot était une affaire collective.
Que découvrez-vous en arrivant au LOSC?
Je n'avais jamais eu la chance de venir à Luchin. Je suis impressionné par l'outil de travail. Même si je m'étais renseigné. À chaque fois, j'ai croisé ici des gens pros et compétents dans leurs domaines. Le stade est magnifique. Le LOSC est un grand club depuis longtemps.
Vos internationaux ivoiriens vous ont-ils parlé du club?
J'ai échangé avec Gervinho, Kalou et Pierre-Alain Frau avec qui j'avais beaucoup d'affinités. Gervinho m'a dit que le LOSC l'avait marqué. Je lui ai demandé de revenir mais je l'ai prévenu qu'on ne pourra le payer qu'une semaine de salaire sur quatre (rires).
En quoi votre métier d'entraîneur au quotidien va-t-il changer par rapport à celui de sélectionneur?
Ce sont deux métiers différents. Dans l'un, on a sept matches par an. Dans l'autre, il y a trente-huit journées et les Coupes nationales, voire européennes. Il faut savoir s'adapter. J'ai commencé dans ce métier en 2000. J'avais 29 ans. J'ai passé plus de temps en clubs qu'en sélection. Les gens l'ont oublié mais faire ce métier en National ou en CFA, c'est aussi dur qu'au plus haut niveau. Là, c'est une étape à laquelle j'aspirais. J'ai beaucoup à prouver et des challenges à relever. Je suis là pour ça. J'en suis assez fier.
Vous vous souvenez de Claude Le Roy qui est peut-être resté un de vos modèles?
Il est très respecté en Afrique. On a eu une relation de travail et il m'a sorti du CFA où je serais resté de nombreuses années s'il n'était pas venu me chercher. Je n'ai pas oublié. Il y a dans ces championnats pas mal de bons entraîneurs qui ne sont jamais reconnus.»
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par stikky » 26 Mai 2015, 20:29
fernando a écrit:
Vos internationaux ivoiriens vous ont-ils parlé du club?
J'ai échangé avec Gervinho, Kalou et Pierre-Alain Frau avec qui j'avais beaucoup d'affinités.
Pour finir je le kiffe le rennard !
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par Xylophène » 27 Mai 2015, 11:30
Ouch, ce style de directeur d'antennes de Contact FM.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
par Xylophène » 27 Mai 2015, 11:54
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
par karmelille » 27 Mai 2015, 11:56
rodolfo a écrit:Je parlais à Nando, aka la queue de cheval
bah ça marche aussi avec la bij.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par karmelille » 27 Mai 2015, 12:06
***Dans l'autre, il y a trente-huit journées et les Coupes nationales, voire européennes***
heu nan nan.
heu nan nan.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par GilbertSedman » 28 Mai 2015, 07:00
Exact nougets :-)
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par karmelille » 28 Mai 2015, 11:54
j'le prend comme un compliment.
je sais pas si je fais bien.
je sais pas si je fais bien.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
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