[O1T] FOOT ETRANGER!

Messagepar Dogue-son » 31 Jan 2016, 23:31

va devoir faire attention Mancini, étrillé par la Juve cette semaine en coupe, et mené 3-0 par Milan dans le derby ce soir
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Messagepar fernando » 02 Fév 2016, 23:52

"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar John Holmes » 03 Fév 2016, 08:47

J’espère qu'ils iront au bout.
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Messagepar Dageek » 03 Fév 2016, 08:48

Tain le prix de Vardy cet été ça va être quelque chose
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Messagepar fernando » 03 Fév 2016, 10:13

John Holmes a écrit:J’espère qu'ils iront au bout.


Ce serait bien fun.
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Messagepar Dogue-son » 03 Fév 2016, 11:51

pas possible avec Ranieri
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Messagepar Dageek » 03 Fév 2016, 12:09

Ils sont en pleine réussite , mais ils peuvent encore tout perdre. Une qualif en C1 serait déjà un énorme exploit. La ils jouent City et Arsenal sur les deux prochaines journées !
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Messagepar fernando » 03 Fév 2016, 13:05

Dogue-son a écrit:pas possible avec Ranieri


Spafaux, un bon Poulidor le Claudio.
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Messagepar Giallo » 04 Fév 2016, 15:56



sont chauds les rosbeefs, on dirait nous contre Troyes.

ce message ne vient pas de moi
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Messagepar fernando » 04 Fév 2016, 16:10

"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar manulosc » 05 Fév 2016, 12:53

ce soir derby Belenenses - benfica
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Messagepar manulosc » 06 Fév 2016, 08:47

0-5
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Messagepar manulosc » 06 Fév 2016, 09:28

Portugal : Le Benfica Lisbonne sur un nuage

Invaincu depuis le 25 octobre en Championnat (14 matches), le Benfica Lisbonne prend provisoirement la tête de la ligue portugaise. Ce vendredi soir, les Aigles se sont largement imposés à Belenenses (5-0). En très grande forme, Kostas Mitroglou a marqué un triplé pour porter son total à douze réalisations. Mais le Grec est encore loin de son équipier Jonas : l'attaquant brésilien, qui a encore trouvé le chemin des filets à deux reprises, en est à 23 !

A noter la nouvelle grande performance de Pizzi. L'ancien ailier de l'Atlético de Madrid, de l'Espanyol Barcelone ou encore du Deportivo La Corogne a donné deux passes décisives. Il en est à quatre lors des trois dernières rencontres.
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Messagepar laurentlille1 » 06 Fév 2016, 11:21

fernando a écrit:


La classe!


Le mec qui était pote avec Marvin quand il était jeune et qui vit toujours à Sochaux peut toujours espérer.
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Messagepar fernando » 06 Fév 2016, 15:10

Allez Leicester bordel!!
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Messagepar Dogue-son » 06 Fév 2016, 15:29

t'aimes le jeu défensif maintenant ?
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Messagepar fernando » 06 Fév 2016, 15:45

J'adore!
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Messagepar ruitos » 06 Fév 2016, 15:53

Leicestix
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Messagepar Dageek » 06 Fév 2016, 15:54

et bim 0-2 but de Jean Michel Marhez
MAIS CHEUR CITIX et Laburne
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Messagepar fernando » 06 Fév 2016, 16:07

0-3 lolilol
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Messagepar fernando » 06 Fév 2016, 16:09

le doublé pour Robert Hue!
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Messagepar Dageek » 06 Fév 2016, 16:24

Jabba the Huth
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Messagepar ruitos » 06 Fév 2016, 17:20

manulosc a écrit:Portugal : Le Benfica Lisbonne sur un nuage

Invaincu depuis le 25 octobre en Championnat (14 matches), le Benfica Lisbonne prend provisoirement la tête de la ligue portugaise. Ce vendredi soir, les Aigles se sont largement imposés à Belenenses (5-0). En très grande forme, Kostas Mitroglou a marqué un triplé pour porter son total à douze réalisations. Mais le Grec est encore loin de son équipier Jonas : l'attaquant brésilien, qui a encore trouvé le chemin des filets à deux reprises, en est à 23 !

A noter la nouvelle grande performance de Pizzi. L'ancien ailier de l'Atlético de Madrid, de l'Espanyol Barcelone ou encore du Deportivo La Corogne a donné deux passes décisives. Il en est à quatre lors des trois dernières rencontres.




Renato Sanches il est énorme! (non pas comme krouw)...putain de joueur....
Pizzi au debut j'aimais pas trop mais là depuis quelques mois il assure le mec...Jonas et Mitroglou font mal...
Carcela il est remplaçant mais franchement il est excellent....quelle technique! et tout en vitesse....

je m'attendais à une saison de merde suite au départ de JJ (lui c'est un super coach mais en terme humain c'est une grosse merde) mais c'est tout le contraire qu'il se passe...
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Messagepar manulosc » 06 Fév 2016, 17:32

pareil je m attendais a autre chose avec le nouvelle entraineur mais ils sont la est sinon Benfica - fc porto la prochaine journée
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Messagepar krouw2 » 06 Fév 2016, 18:49

on s'en fout du foot Africain
Hollande 2027
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Messagepar ruitos » 06 Fév 2016, 19:56

déjà posté
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Messagepar John Holmes » 06 Fév 2016, 20:41

'tain je viens de voir Leicester, c'est fun !
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Messagepar fernando » 07 Fév 2016, 12:34

"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar manulosc » 12 Fév 2016, 08:29

Djuricic: "Jesus m’a dit qu’il ne voulait pas de moi"

Djuricic explique pourquoi il a échoué à Benfica et raconte sa découverte du foot belge : "Je regarde tout ce que je peux à la télé".
Des quatre transferts du dernier mercato mauve , Filip Djuricic (24 ans) est certainement le plus sexy . Un numéro 10 élégant, technique, spectaculaire et en pleine fleur de l’âge fait toujours saliver un Parc Astrid à la fois gourmand et gourmet. Cette arrivée a cependant aussi fait naître quelques doutes, jurisprudence Marko Marin oblige. Et si c’était trop beau ? Et si le Sporting avait pris un joueur qui n’a finalement cartonné que dans un club moyen du championnat néerlandais ? Ces questions, on était donc curieux de les poser au principal intéressé. Trente-trois minutes d’interview plus tard, le Serbe n’a pas déçu. Il a eu réponse à tout et souvent de manière convaincante. À l’image de ses deux premières prestations anderlechtoises pleines de promesses.

Comment se passe votre découverte du football belge ?

"Très bien, même si j’ai encore besoin de temps pour m’adapter parfaitement. Je ne suis pas encore à 100 % et je dois aussi encore apprendre à mieux connaître mes adversaires. Je regarde tout ce que je trouve à la télévision sur le championnat belge pour acquérir un maximum d’informations. Mais bon, si vous me demandez de citer un joueur de Zulte Waregem, j’en serai encore incapable. Je commence par contre à en connaître pas mal à Gand, à Bruges et au Standard. Comme je vis encore à l’hôtel et que je n’ai pas la bonne chaîne, je dois me contenter des résumés pour le moment. Je trouve en tout cas que le tempo est très élevé ici."

Vous semblez être rassuré.

"Je savais qu’Anderlecht était un grand club, mais je ne connaissais pas grand-chose du niveau global de la compétition. Donc oui, on peut dire ça."

Anderlecht a une option d’achat à huit millions. Est-ce possible de vous imaginer aussi la saison prochaine au Sporting ?

"Bien sûr que c’est possible. Je le répète : je suis dans un grand club ici. Maintenant, beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte et il est trop tôt pour pouvoir affirmer que je jouerai encore à Anderlecht l’année prochaine."

Il faudrait aussi voir votre niveau. Comprenez-vous qu’on puisse avoir certains doutes vu votre échec à Benfica ?

"Il faut remettre les choses dans leur contexte. Une semaine après mon arrivée à Benfica, Jorge Jesus, l’entraîneur, est venu me parler et m’a dit : "Je n’ai pas besoin de numéro 10 car je joue sans numéro 10." J’ai répondu : "OK mais pourquoi je suis ici alors ?" En fait, la direction du club croyait beaucoup en moi, mais le coach ne voulait pas de moi et il me l’a fait comprendre. J’étais juste un transfert des dirigeants. C’était dès lors compliqué…"

Benfica avait pourtant dépensé beaucoup d’argent pour vous.

"Oui, Rui Costa, le directeur technique, me voulait vraiment. Il m’avait même donné le numéro 10 qu’il avait porté. C’était beaucoup de pression, mais j’étais content. Le club avait payé huit millions et m’avait donné l’un des plus gros salaires. Je pensais que tout était réuni pour que je réussisse. J’avais choisi Benfica alors que j’avais des offres de partout, notamment d’Allemagne, d’Italie et d’Espagne. Je pensais que c’était l’étape idéale vers le top. Puis, il y a eu cette discussion avec le coach…"

Vous avez quand même joué pas mal de matches la première saison.

"Oui mais dans un 4-4-2 où j’étais un pur attaquant. Ce n’était pas du tout mon truc. Attendre le ballon devant pour finir les actions, je n’y arrive pas. J’ai besoin de toucher souvent le ballon. On a tenté, mais cela n’a pas vraiment fonctionné. Pourtant, allez demander aux supporters de Benfica ce qu’ils pensent de moi et 90 % vous diront que j’aurais mérité de jouer plus. Voilà, c’est la vie…"

Les fans d’Anderlecht semblent déjà vous avoir adopté aussi, notamment grâce à votre roulette à la Zidane à Saint-Trond.

"Ah! oui, on m’a dit que cela leur avait plu. On aime les joueurs techniques à Anderlecht, je crois. J’espère que je pourrai compter sur leur soutien car c’est plus facile pour réussir dans un nouveau club."






"Pas d’agent ami, pas de signature à l’Ajax…"


Rejeté à l’Étoile Rouge, bloqué à l’Olympiacos puis à Manchester United après s’être relancé en D3 serbe, Filip Djuricic a vécu une adolescence mouvementée. La stabilité, il finira par la trouver au fin fond des Pays-Bas, en signant à Heerenveen. "Beaucoup de clubs me voulaient après mon court passage à Manchester" , précise-t-il. "Avec mon père, on s’est rendu à Amsterdam car l’Ajax était sur la balle. Malheureusement, le club voulait que je prenne un agent ami du club. Sans ça, pas de signature. Alors, on est parti. Mon père a dit aux dirigeants qu’il y avait 400 autres clubs où je pouvais signer."

Ce sera finalement Heereveen, quelques kilomètres plus au nord. "Je n’avais jamais entendu ce nom quand mon père m’en a parlé. J’ai dit : "Heerenveen ? C’est quoi ça ? C’est où ?’ Je n’étais pas trop chaud mais mon père a insisté. Il avait raison : c’était un excellent club pour un jeune joueur."

Là-bas, il va finir par exploser en Eredivisie . "La première saison a quand même été difficile. Ron Jans ne me mettait pas souvent dans l’équipe; il voulait me faire réagir, je crois. J’avais pourtant été élu homme du match pour mes deux premières rencontres chez les pros, contre le RKC et l’AZ. La deuxième saison, j’ai cartonné en marquant beaucoup de buts."

Djuricic jouait alors avec Sven Kums derrière lui. "Un super joueur. Son Soulier d’Or ne m’a pas du tout surpris. À Heerenveen, il ne pouvait pas beaucoup attaquer pour assurer l’équilibre, mais on savait qu’il pouvait le faire. Il le prouve aujourd’hui à Gand."

Là-bas, le Serbe a également côtoyé un autre joueur qu’il retrouvera en playoffs 1 : Yassine El Ghanassy. "Quel joueur ! Il était capable de faire des choses fantastiques. Je l’adorais et on s’est d’ailleurs recroisé il y a deux jours à l’hôtel. Mais, comme souvent avec les Marocains, il avait sa propre mentalité. (rires) Il se foutait parfois de certains aspects du jeu mais quelle technique…"






"À Mayence, on m’a tout piqué sauf la télé et le divan"


La saison passée, Filip Djuricic a été prêté deux fois, mais ni Mayence, ni Southampton n’ont levé l’option d’achat. "Il faut regarder plus loin que les stats " , intervient-il. "Je n’aime pas en parler car je ne veux pas chercher d’excuse, mais tout ne fut pas simple pour moi."

C’est surtout à Mayence qu’il a souffert. "J’ai eu beaucoup de problèmes privés là-bas. Par exemple, on est venu cambrioler chez moi alors que ma femme était à quelques semaines de l’accouchement. Ils ont tout piqué à part la télé et le divan qui étaient trop grands pour passer par la fenêtre. Quelques jours plus tard, on a cassé la vitre de ma voiture. Je ne me sentais plus en sécurité là-bas. Le dernier jour du mercato hivernal de la saison passée, j’ai donc quitté Mayence pour un autre prêt, à Southampton."

En Angleterre, il tombe sur Ronald Koeman, un coach qui le connaît grâce au championnat néerlandais. "Cela s’est très bien passé. J’ai joué une dizaine de matches, mais je me suis blessé pendant deux mois. Deux mois sur cinq de présence, cela fait beaucoup. Southampton n’a pas levé l’option d’achat, mais c’est aussi à cause de soucis à l’intérieur du club."






"ManU voulait m’envoyer à l’Antwerp"


Après la brève aventure à l’Olympiacos, Filip Djuricic rentre en Serbie. Pas à l’Étoile Rouge mais à Radnicki, un club de D3. "Tout le monde pensait que j’allais foirer ma carrière, mais j’ai beaucoup appris en jouant directement en équipe première. À seize ans, je suis vite devenu le meilleur joueur de D3 et je suis resté international serbe chez les jeunes."

C’est d’ailleurs lors d’un tournoi en Israël avec la Serbie que Manchester United tombe sous son charme et l’invite à Old Trafford. "À Radnicki, les dirigeants n’en revenaient pas : un joueur de chez eux qui passaient directement à ManU. Ils l’ont même écrit sur l’un des murs du club house et ça y est toujours." (rires)

Djuriric restera finalement dix jours en Angleterre. "Le club voulait que je signe puis m’envoyer directement en prêt à l’Antwerp . Je n’étais pas chaud car je voulais d’une équipe où je pourrais directement jouer en première . J’ai quand même pu accumuler les grands souvenirs à Manchester, notamment lors d’entraînements avec Cristiano Ronaldo, Giggs, Scholes, Rooney… J’ai aussi pu suivre un ManU - Chelsea en tribune. Derrière moi, il y avait Jose Mourinho qui venait de partir à l’Inter et qui était en mission de scouting. Il y avait aussi Bobby Charlton à côté de moi. Les caméras ont évidemment été braquées sur ce coin de stade et mes potes en Serbie n’en revenaient pas de me voir là. Déjà qu’ils ignoraient que j’étais parti à Manchester ..." (rires)






"Facebook ? Ça intéresse qui de savoir que je suis en train de manger ?"


Filip Djuricic, c’est l’anti- Alexander Büttner question communication. Alors que le Néerlandais partage toute sa vie sur les réseaux sociaux, le Serbe est carrément absent de Facebook , Twitter et Instagram . "Les réseaux sociaux, c’est fait pour montrer des choses au monde mais moi, je n’ai pas cette inspiration. Ça intéresse qui de savoir ce que je viens de manger ou que je vais aller faire du shopping ? Et pareil dans l’autre sens, je me fous de savoir ce que les gens font…"

Il protège d’ailleurs jalousement sa vie privée. "Vous ne trouverez pas de photo de ma femme et de ma fille de neuf mois. Je veux vivre tranquillement. Je cherche d’ailleurs encore le bon endroit pour vivre à Bruxelles. En attendant, je suis à l’hôtel."

Vous l’aurez compris, le milieu offensif a son caractère. "Je n’ai pas peur de dire ce que je pense, mais ce n’est jamais rien de personnel. Parfois, j’ai eu des discussions avec des joueurs plus âgés que moi car j’osais leur reprocher des trucs. Mais voilà, si je vois des choses sur le terrain qu’ils ne voient pas, je le dis. Si ça peut nous faire gagner, c’est normal je trouve."







"J’ai joué à l’Olympiacos… quelques jours”




Dans moins d’une semaine, Anderlecht accueillera l’Olympiacos en Ligue Europa. Un rendez-vous particulier pour Filip Djuricic qui aurait pu débuter sa carrière dans le club grec. “J’y ai même joué quelques jours” , sourit-il. “J’avais quinze ans et l’Etoile Rouge de Belgrade, mon club formateur, venait de m’annoncer que je ne recevrais pas de contrat pro. J’étais pourtant capitaine de l’équipe. Les dirigeants m’ont dit qu’ils ne comptaient plus sur moi. J’ai eu cette possibilité à l’Olympiacos; j’y ai signé un contrat. Malheureusement, le transfert ne pouvait se faire car j’étais mineur et il fallait remplir plusieurs conditions, comme trouver un job à mes parents. Je suis donc reparti très vite mais j’ai gardé de bons souvenirs là-bas.”
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