Lille-Angers, ça en jette

Messagepar krouw2 » 26 Avr 2016, 22:50

Le tournant de la saison
Hollande 2027
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krouw2
 
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Messagepar manulosc » 27 Avr 2016, 08:49

Le groupe angevin :

Letellier, Petric (g), Andreu, Angoula, Bouka Moutou, Saïss, Thomas, Auriac, Bourillon, Diers, Mangani, Ndoye, Benrahma, Capelle, Doré, Ketkeophomphone, Sunu, Yattara.
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Messagepar Der » 27 Avr 2016, 11:58

Ca va Manu, on a compris que tu tenais pour Angers, pas la peine de t'exciter.
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar manulosc » 27 Avr 2016, 12:02

je suis pour le losc
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Messagepar Der » 27 Avr 2016, 12:05

Mais bien sûr, et ce message ne vient pas de toi?
manulosc a écrit:angers est 8 eme avec 49 pts
On se fait des bisous et on s'encule.
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Der
 
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Messagepar manulosc » 27 Avr 2016, 12:06

si mais c etait pour r appeler le classment de nous adversaire
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Messagepar wipoLEgonbou » 27 Avr 2016, 12:54

L'heure de vérité: en cas de Lille / Benfica, tu supportes qui Manu?

Les français (les vrais je veux dire) veulent savoir!
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Messagepar manulosc » 27 Avr 2016, 13:01

j aime les 2 club
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Messagepar Giallo » 27 Avr 2016, 14:12

il parait qu'il y a un projet de fusion des deux clubs Manu, c'est vrai ?
ce message ne vient pas de moi
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Giallo
 
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Messagepar RAGUNE » 27 Avr 2016, 15:34

manulosc a écrit:j aime les 2 club


Tous mes potes portugais disent la même chose et au moment du match, ils cartonnent au Porto/Morue avec le drapal du Portugal suspendu au dessus de la tv.


Pas la faire à moi !!!
Dernière édition par RAGUNE le 27 Avr 2016, 15:35, édité 2 fois.
J'ARRIVE EN JET-SKI A TA SQUIRT-PARTY !
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Messagepar RAGUNE » 27 Avr 2016, 15:34

.
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Messagepar wipoLEgonbou » 27 Avr 2016, 16:13

Excuse moi manu, je voulais pas t'énerver
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Messagepar wipoLEgonbou » 27 Avr 2016, 16:23

Ce soir, Lille affronte Angers pour le compte de la 35e journée. L'occasion de prendre des nouvelles de Philippe Brunel, ancien joueur des deux clubs. Une carrière rythmée par des relations cordiales ou non avec ses entraîneurs.

Bonjour Philippe, qu'est-ce que vous devenez ?

Je suis entraîneur de l'Olympique de Valence depuis l'année dernière. J'essaye de m'inspirer des coachs qui m'ont marqué pendant toute ma carrière professionnelle, que ce soit Daniel Leclercq à Lens, Claude Puel à Lille, Jean-Louis Garcia à Angers, ou même Christophe Galtier lorsqu'il était adjoint d'Alain Perrin à Sochaux.

Vous avez repris le club juste après son dépôt de bilan, on en est où maintenant ?

La première saison, il a fallu relancer le club en PHR. Il fallait amener beaucoup de joueurs pour avoir deux équipes compétitives. Pour cette saison, on a pu faire le tri et on est redevenus un club compétitif. On est deuxièmes, à trois ponts du premier. Donc on est encore dans la course à la montée, sachant qu'une seule équipe est promue. On est encore dans les roues de Bron. On espère vraiment que ceux qui ont débuté l'aventure avec nous vont être récompensés.

À l'époque en 2014, on parle de mauvaise gestion, la municipalité a même porté plainte contre les anciens dirigeants. Qu'est-ce qui s'est passé réellement ?

En 2012-2013, j'étais entraîneur des U19. Mais je ne suis resté que deux mois, car j'ai eu des soucis internes avec le père d'un gamin. Il faisait partie du club et il gueulait parce que je ne le faisais pas jouer. Ça a pris des proportions qui m'ont déplu. Mes relations avec le club se sont dégradées et les résultats aussi. Alors je suis parti. Et puis, on a vu que le club était mal géré, des gens se sont servis dans les caisses. Ce n'était pas la première fois, puisque le club avait déjà coulé en 2005. Il était remonté jusqu'en CFA, puis il a recoulé.

Vous aviez d'ailleurs fini votre carrière de joueur à Valence, en amateur. Qu'est-ce qui vous a plu dans ce club, dans cette région, pour que vous y restiez après votre carrière ?

Au départ, je suis venu à Valence, car je voulais monter un projet avec un ancien coéquipier d'Angers, Mickaël Stéphan. J'étais donc venu dans la région, mais pas pour jouer au foot. Et puis je cherchais une maison pour m'installer avec ma famille. Et puis, j'ai parlé avec le président et l'entraîneur qui m'ont demandé si ça m'intéressait de faire une saison avec eux si le club montait en CFA. Comme je suis un compétiteur, j'ai fini par accepter. J'ai fait six mois super intéressants, on a loupé la montée de peu, un seizième de finale de Coupe de France contre l'ETG. C'était une belle saison de CFA. Ensuite, j'ai enfin réussi à couper complètement, et j'ai pris en charge les U19. Ça s'est fait naturellement.

Vous qui êtes du Nord, vous ne vous voyez pas retourner dans la région ?

Non, ça y est, c'est acquis. Je veux rester dans le Sud, profiter du soleil. Je n'ai pas pu trop en profiter durant ma carrière professionnelle. Le Nord, ce sera juste pour retourner voir la famille. (Rires)

Revenons sur votre carrière. Après votre formation à Boulogne, vous partez directement à Lens. C'était votre club de cœur ?

Pas forcément. Quand j'étais à Boulogne, j'aimais bien Lille, Lens et même Marseille. Mais j'ai eu plus de propositions venant de Lens que de Lille. Ils venaient régulièrement me voir quand j'étais à Boulogne. Ils m'avaient proposé de venir faire un tournoi international à Croix. Un tournoi qu'on a gagné, donc ils m'ont proposé de signer stagiaire 1 à 17 ans. Après avoir gagner la Gambardella contre Lyon, j'ai été prolongé stagiaire 2 et 3.

C'étaient vos plus belles années, ces dix ans passés à Lens ?

Oui, certainement. 40 000 spectateurs tous les quinze jours au stade, c'est sûr que ça motive. Et puis, comme j'étais un gamin du Nord, c'était quelque chose. Mais ma carrière a vraiment démarré après mon retour de prêt de Gueugnon, où j'avais fait une belle saison. C'était Slavo Muslin l'entraîneur. Ça ne s'est pas très bien passé avec lui, puisque je n'ai pas beaucoup joué, et puis on s'est retrouvés à jouer le maintien. Mais ça m'a endurci, et quand Roger Lemerre est arrivé avec Daniel Leclercq en adjoint, j'ai pu aider le club à se maintenir. L'année d'après, j'étais tout content, car Daniel Leclercq, en charge de l'équipe une, a été le tout premier à vraiment croire en moi. Il m'a assuré que j'aurais une place sur l'aile de son 4-3-3.

Ça a bien fonctionné, puisque vous décrochez le titre de champion de France.

Oui, j'ai bien fait de rester, surtout qu'avant d'avoir cette discussion avec Daniel, je voulais partir. Le titre, c'était fabuleux, même s'il est un peu passé à la trappe avec le titre de champion du monde de l'équipe de France qui a suivi la même année. Mais bon, c'est une bonne raison pour passer à travers. (Rires)

Ensuite, vous partez à Marseille en 2001. Pourquoi ?

C'était un club que j'adorais plus jeune, Waddle, Papin, Abedi Pelé, ils me faisaient rêver. Alors en 2001, quand j'ai eu l'opportunité de signer, je me suis dit pourquoi pas. Et puis à Lens, je commençais à faire partie des lofteurs. Avec Rolland Courbis, et encore plus avec Georges Tournay, ça ne s'est pas bien passé. On n'avait pas accroché. On avait des points de vue différents sur la manière de manager. Il ne me faisait jouer que les matchs pourris et pas les matchs importants. Ensuite, c'est Joël Muller qui arrive. Je me suis dit « super » , parce que je sais que Joël Muller voulait me faire venir à quasiment tous les mercatos lorsqu'il était à Metz. Et puis en fin de compte, j'ai su longtemps après que Georges Tournay avait bavé sur moi et certains joueurs en disant qu'on était des fouteurs de merde. J'ai été surpris, je suis passé numéro trois derrière Stéphane Pédron et Ludovic Delporte sans trop savoir pourquoi. Je n'ai su que beaucoup plus tard le pourquoi du comment. Du coup, je suis allé voir ailleurs, à Marseille.

Vous arrivez pendant l'une des périodes les plus instables que le club ait jamais connu. C'était un peu le bordel, honnêtement ?

Je suis arrivé quand Bernard Tapie a fait son comeback. Il y a eu six changements d'entraîneur en six mois, je crois. Au départ, j'arrive juste pour le sportif, donc je me concentre sur le terrain. J'arrive pour le deuxième match de championnat contre Bordeaux. Anigo est l'entraîneur, mais c'est Bernard Tapie qui vient me voir en me disant qu'il veut me faire jouer numéro six. Ce n'était pas du tout mon poste, mais j'avais envie de jouer, donc tant pis. Et puis, je ne m'en sors pas trop mal. Ensuite, on a joué cinq ou six matchs, les résultats étaient mitigés. Et dans la semaine, il y a eu un clash Tapie/Anigo et on se retrouve sans entraîneur. Tapie vient nous voir et nous annonce que Josip Skoblar et Marc Lévy vont diriger le prochain match contre Bastia. On perd, et dans la semaine, Tomislav Ivić revient. C'est lui qui avait fait la préparation avant de se faire dégager au profit d'Anigo. Tapie est allé le chercher sur son yacht en Croatie. Et puis, là, c'est le gros bordel, du jour au lendemain, je ne joue plus du tout, alors qu'Ivić me faisait confiance au début. Je vais le voir et il me dit que c'est Tapie qui ne veut pas que je joue. Je vais voir Tapie et il me dit le contraire. Les mecs se renvoient la balle. Et un jour, alors que je devais jouer, j'apprends à la causerie que je ne joue pas. J'ai su que c'était Tapie qui avait mis son grain de sel. Du coup, le lendemain, sous le coup de la colère, je déclare à L'Équipe : « J'aimerais savoir qui est l'entraîneur de l'OM » , et là, je creuse ma tombe (rires). Il m'a clairement dit que je ne jouerais plus jamais avec le maillot marseillais.

Du coup, vous partez dès le mercato hivernal à Lille. Pas trop compliqué de retourner dans le club rival du RC Lens ?

Au moment de partir de Lens, Lille m'avait approché et j'avais refusé pour cette raison-là, justement. Entre-temps, j'ai pu parler avec certains joueurs qui l'avaient fait, et on m'a dit que c'était plus facile de faire le trajet Lens-Lille que l'inverse. Peut-être parce que le public lillois est plus indulgent. Mais en tout cas, quand je suis arrivé, ils avaient l'air plutôt contents que je sois là.

Vous faites donc la connaissance de Vahid Halilhodžić. Ça a dû être quelque chose.

On m'a tout de suite fait comprendre qu'il fallait filer droit avec lui, c'est sûr. Il fallait jouer, il fallait tout donner, ça ne rigolait pas. On n'avait pas intérêt à le décevoir. Mais j'aimais bien, j'avais besoin d'un mec carré comme ça, surtout après un an et demi sans connaître de coachs de qualité. Il m'a prévenu tout de suite que je serais la doublure de Bruno Cheyrou, mais au moins, il a été clair. Et puis, j'ai joué bien plus que prévu. J'ai pu jouer en Coupe d'Europe contre Dortmund, on finit cinquièmes, c'était super. Vraiment une belle expérience. Il a su tirer le meilleur de moi. Il m'a relancé, c'était une période difficile de ma carrière.

Mais il est parti très vite.

Oui, je n'ai fait que cinq mois avec lui. C'est Claude Puel qui a pris la suite. On a dû repartir avec un groupe très jeune, parce que beaucoup de cadres sont partis cette année-là (Ecker, Cygan, N'Diaye, Cheyrou…). Tous les papas sont partis. Il n'y avait plus que Stéphane Pichot, Grégory Wimébe et moi qui approchait la trentaine. On était avec Tafforeau, Cabaye, Makoun qui n'avait presque pas d'expérience. On a dû jouer le maintien, c'était difficile. Mais Puel a fait un énorme travail. On sait qu'il est fort avec les jeunes. À Lyon, où il avait des joueurs expérimentés et des internationaux, il a eu plus de mal. Et là, à Nice, c'est reparti très fort. C'est un vrai formateur, mais qui sait s'appuyer sur quelques joueurs d'expérience comme Ben Arfa et Bodmer maintenant, comme nous il y a douze ans à Lille.

Tout semblait se passer très bien à Lille, pourquoi être parti à Sochaux en 2005 ?

Je voulais rester à Lille, mais Puel voulait me faire prolonger seulement d'un an et pas de deux ans. Il voulait absolument que je reste compétitif chaque année, sans que je me repose sur mes lauriers avec une année de contrat en rab. Sauf que j'allais sur mes 33 ans, et je voulais plus de garanties. C'est dommage, je me serais bien vu à Lille jusqu'à la fin de ma carrière, et puis j'ai loupé la Ligue des champions du coup. Mais j'ai pris la décision de partir. J'aurais pu partir à Aston Villa, mais ça a trop traîné. La Premier League reprenait bien plus tard que la Ligue 1, et je ne voulais pas attendre. Je ne voulais pas être sans club quand mes copains reprenaient la Ligue 1, je me suis un peu précipité. J'ai refusé la Premier League, ce que je regrette aujourd'hui, et j'ai signé à Sochaux.

C'est toujours un regret, même avec la victoire en Coupe de France ?

Humainement, non. Le groupe était formidable, il y avait une ambiance et j'ai vécu de belles choses. Mais footballistiquement, oui. J'y vais essentiellement pour Guy Lacombe. J'avais vraiment envie de jouer sous ses ordres. Mais une semaine après ma signature, on me dit qu'il va partir. J'ai la sensation de m'être fait avoir. C'est Dominique Bijotat qui le remplace, que j'avais un peu côtoyé au centre de formation de Lens. Je me dit qu'il va s'appuyer sur les anciens, que j'aurai ma chance, sauf que c'est tout le contraire. Quelques cadres ont été mis de côté. Les résultats ont été très moyens. J'enchaîne les blessures. Bref, la saison pourrie, surtout que les supporters m'ont pris en grippe. Et Bijotat ne m'a jamais soutenu. Un jour, à l'hôtel, avant un match contre Auxerre, il vient me voir avec Jean-Claude Plessis pour me demander un service. « On aimerait bien que tu ailles dans la tribune ce soir, parce que quand tu es sur le terrain ou sur le banc, ça perturbe les joueurs et le public se met à siffler. Mais t'inquiète pas, si on gagne, tu toucheras la prime quand même. » Voilà ce qu'ils me disent. Du coup, je suis allé en tribunes, je n'avais pas le choix. Je suis tombé de très haut.

Pourquoi le public vous sifflait ?

Quand je suis arrivé à Sochaux, le public pensait que j'étais Zizou, que j'allais gagner à moi tout seul. Sauf que je n'étais pas un joueur comme ça. Ils attendaient plus de moi, mais moi, je donnais le maximum. La saison a mal débuté, la confiance avec. J'avais l'impression que, pour eux, c'était à cause de moi qu'on jouait mal. Dès que je ratais une passe, j'étais sifflé. Ça faisait chier alors que je n'étais pas le plus nul sur le terrain. J'ai l'impression, et ce n'est pas spécifique à Bonal, qu'on est plus indulgent avec les joueurs du cru qu'avec les joueurs transférés dont on attend beaucoup. Et si ça ne va pas, on s'en prend plus facilement aux nouveaux arrivés. Mais la saison d'après vient un peu réparer tous ces moments difficiles. Même si je me blesse assez longuement, Alain Perrin et Christophe Galtier comptent sur moi et on remporte cette finale de Coupe de France. Je mets même le penalty décisif, devant la tribune sochalienne. Je peux vous dire que j'avais la pression (rires). Ça valait le coup de souffrir un peu.

Vous finissez votre carrière professionnelle à Angers en Ligue 2. Ce n'est pas trop dur de descendre d'un échelon ?

À 34 ans, il n'y avait pas pléthore de clubs qui m'ont appelé. J'avais fait mon temps en Ligue 1. J'avais le choix entre Angers et Boulogne, mais je choisis le SCO. C'était un chouia plus intéressant financièrement et puis je pouvais découvrir une belle ville. Mes trois ans à Angers ont été fantastiques. On a échoué trois fois aux portes de la monte, malheureusement. C'est un club très sain, et je suis content que le travail d'Olivier Pickeu soit enfin récompensé. Cette année, il croque la Ligue 1 à pleines dents, c'est super.

Ce mercredi, Lille et Angers s'affrontent, pour quel club avez-vous gardé le plus d'affection ?

J'ai eu deux expériences totalement différentes dans ces deux clubs, mais je me suis éclaté dans les deux. À Lille, on a joué l'Europe, à Angers, on a joué la montée, mais je me suis amusé autant dans les deux clubs. C'est là-bas que j'ai gardé le plus de contacts. Ce sont mes meilleurs souvenirs avec Lens, sauf qu'à Lens, ça ne s'est pas très bien terminé. Pour ce match, ça va être intéressant parce que Lille est en très bonne forme depuis l'arrivée d'Antonetti. Ils peuvent accrocher l'Europe. Et même Angers, qui sait. Ça va être un match sympa, je pense.

Qui est le meilleur joueur avec qui vous avez eu la chance de jouer ?

J'ai été remplaçant à Lens quand on a affronté Chris Waddle. C'était mon idole, un joueur unique, un artiste, un magicien. Mais celui qui m'a le plus impressionné à l'entraînement, c'est Vladimir Smicer. C'était un joueur exceptionnel, et puis il était d'une gentillesse rare. Il pouvait se fondre dans n'importe quel collectif.
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Messagepar fernando » 27 Avr 2016, 17:39

Béria titulaire!

Titulaires

Vincent ENYEAMA1
Stoppila SUNZU13
Franck BERIA18
Djibril SIDIBE19
Marko BASA25
(c) Florent BALMONT4
Ibrahim AMADOU6
Sofiane BOUFAL7
Mounir OBBADI8
Morgan AMALFITANO31
EDER39

30Alexandre LETELLIER
3Arnold BOUKA MOUTOU
6Grégory BOURILLON
21Yoann ANDREU
24Romain THOMAS
28Romain SAÏSS
5Thomas MANGANI
14Billy KETKEOPHOMPHONE
17Cheikh NDOYE (c)
9Mohamed YATTARA
10Gilles SUNU


Remplaçants

Steeve ELANA16
Sébastien CORCHIA2
Adama SOUMAORO23
Rio MAVUBA24
Rony LOPES32
Yassine BENZIA9
Junior TALLO22

1Denis PETRIC
2Gaël ANGOULA
7Olivier AURIAC
15Pierrick CAPELLE
20Charles DIERS
25Saïd BENRAHMA
27Férébory DORE
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar rodolfo » 27 Avr 2016, 17:50

Bon, bah, j'y vais pas hein (rien à voir avec Beria) mais pas envie de supporter les bouchons et de courrir.

Bein est ton ami.
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rodolfo
 
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Messagepar Giallo » 27 Avr 2016, 18:58

bizarre ce choix de Béria pour un match aussi important
ce message ne vient pas de moi
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Giallo
 
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Messagepar Der » 27 Avr 2016, 22:21

J'ai vu des purges pire que ça, mais quand-même, pour faire un match faut être 2. Angers ne joue pas au foot...
Ils défendent à 11, cassent les rares tentatives de contre-attaque en faisant faute systématique à 40m des buts, et gagnent du temps dés la 50éme minute. J'ose même pas imaginer s'ils jouaient encore le maintien!
En un mot: moche.
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar manulosc » 28 Avr 2016, 08:15

Frédéric Antonetti (entraîneur du LOSC) : « On a eu une entame difficile. Je m’y attendais un peu après la finale. Ensuite, on est bien rentré dans le match après vingt minutes. En deuxième période, il n’y a qu’une équipe qui a joué dans le camp adverse. Je me rappelle pas qu’ils soient venus nous inquiéter. On a récupéré le ballon haut, ce qu’on voulait. Ils ont résisté. Angers ne se déséquilibre jamais. On n’a pas eu cette étincelle. On aurait pu frapper avec un peu plus de spontanéité. On a trop cherché la solution idéale. Est-ce du à un manque de fraîcheur physique ? Certainement, mais je dirais plus mentale. Face à une équipe qui joue aussi bas et n’hésitait pas à faire des fautes, l’arbitre aurait pu sévir plus vite et plus tôt. On a eu beaucoup de coups francs. C’était des armes pour marquer, mais on n’a pas su le faire.

Faire un match trois jours après une finale... Je le dis en souriant. Ca ne sert à rien. Cela fausse un peu la donne, mais je ne me retranche pas derrière ça. Dans les matches de haute intensité et à haute émotion, on laisse beaucoup de forces. Je suis déçu pour les joueurs. J’aurais voulu qu’ils soient récompensés. Ils le méritaient. On est un peu décroché par rapport au 5e et au 4e, mais ils se rencontrent. On ne regarde pas trop les autres. Le match à Lorient, samedi, sera difficile. La télévision n’a pas voulu le programmer dimanche. On va essayer de récupérer et de prendre un maximum de points lors de nos trois derniers matches pour défendre cette sixième place en espérant qu’elle soit européenne. j'aimerais que l'on soit récompensé et européens. »
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Messagepar gblosc » 28 Avr 2016, 08:53

Manu, j'espère que tu seras conciliant avec Ancelotti ... ne le juge pas que sur ce match STP
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Messagepar manulosc » 28 Avr 2016, 09:02

j y suis pour rien dedans dsl
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Messagepar RAGUNE » 28 Avr 2016, 10:07

Ils n'avaient plus rien à gagner ni à perdre ces putain d'angevins. Pourquoi aller chercher le match nul ? Jouez bande de petits cons !
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Messagepar Dogue-son » 28 Avr 2016, 11:51

c'est leur système et ils n'en n'ont qu'un.
c'est la limite de ce type d'équipe
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Messagepar ruitos » 28 Avr 2016, 11:53

***c'est la limite de ce type d'équipe***


de pratiquement toute la L1...meme quand y'a rien à perdre y'a de la peur...triste...
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ruitos
 
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Messagepar Dogue-son » 28 Avr 2016, 13:10

rien à voir avec la peur c'est juste une limite de compétence.
l'équipe d'Angers a été bâtie pour ce type de jeu et peu de ses joueurs sont capables d'évoluer autrement notamment ses milieux très typés récupération.
sans oublier son attaque fort peu performante (Sunu 2 buts en 32 matchs, Yattara 2 buts en 17 matchs et Ketkeophomphone 5 buts en 35 matchs)
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Messagepar laurentlille1 » 28 Avr 2016, 13:17

Dogue-son a écrit:sans oublier son attaque fort peu performante (Sunu 2 buts en 32 matchs, Yattara 2 buts en 17 matchs et Ketkeophomphone 5 buts en 35 matchs)


De bonnes pistes pour remplacer Eder l'année prochaine.
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laurentlille1
 
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Messagepar RAGUNE » 28 Avr 2016, 14:33

RAGUNE a écrit:Ils n'avaient plus rien à gagner ni à perdre ces putain d'angevins. Pourquoi aller chercher le match nul ? Jouez bande de petits cons !


Toujours l'analyse juste en fait moi, j'trouve.
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Messagepar ruitos » 28 Avr 2016, 14:45

Dogue-son a écrit:rien à voir avec la peur c'est juste une limite de compétence.
l'équipe d'Angers a été bâtie pour ce type de jeu et peu de ses joueurs sont capables d'évoluer autrement notamment ses milieux très typés récupération.
sans oublier son attaque fort peu performante (Sunu 2 buts en 32 matchs, Yattara 2 buts en 17 matchs et Ketkeophomphone 5 buts en 35 matchs)



c'est ce que je dis (pas tout à fait mais bon...)

cette equipe a été batie sur la peur de ne pas redescendre...là, même sauvée, elle n'arrive pas à se débarrasser de cette peur qui est en elle (c'est vachement bien dit là par contre!)...
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Messagepar Der » 28 Avr 2016, 15:19

Bravo Ruitos, la pertinence poussée au maximum, alliée à la classe du poêt que tu es.
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar RAGUNE » 28 Avr 2016, 15:32

ruitos a écrit:
Dogue-son a écrit:rien à voir avec la peur c'est juste une limite de compétence.
l'équipe d'Angers a été bâtie pour ce type de jeu et peu de ses joueurs sont capables d'évoluer autrement notamment ses milieux très typés récupération.
sans oublier son attaque fort peu performante (Sunu 2 buts en 32 matchs, Yattara 2 buts en 17 matchs et Ketkeophomphone 5 buts en 35 matchs)



c'est ce que je dis (pas tout à fait mais bon...)

cette equipe a été batie sur la peur de ne pas redescendre...là, même sauvée, elle n'arrive pas à se débarrasser de cette peur qui est en elle (c'est vachement bien dit là par contre!)...


Putain c'est beau !
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Messagepar Dogue-son » 28 Avr 2016, 15:53

C'est beau mais je ne suis toujours pas sûr que la peur y soit pour grand-chose.
Angers avait pour objectif le maintien et l'a atteint tôt, ce lui donne une fin de saison tranquille.
Et l'année prochaine, l'objectif sera toujours le maintien.
De fait, est-ce bien utile de tenter un nouveau système pour quelques matchs, ce qui prend bien plus de temps surtout avec un effectif incompatible, alors que le système de jeu devrait rester le même la saison prochaine ?
Dans l'absolu oui pour progresser, dans la pratique c'est sans doute finir par un enchainement de défaites faisant perdre au groupe la confiance acquise
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