Euro 2016
par John Holmes » 22 Juin 2016, 22:00
Dageek a écrit:John tu changes ton fusil d épaule... c est moyen
Hein qu'est-ce j'ai fait ???
Ahh mon post à nandal, c'est de l'ironie... Pour sur que les croatiens vont moucher 1-0 les tos.
Mais je suis tellement bon pronostiqueur.
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
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par John Holmes » 22 Juin 2016, 22:41
Naingolan !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
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par John Holmes » 22 Juin 2016, 22:43
Irish goal !!!!!!!!!!!!!!!!!!
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
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par John Holmes » 22 Juin 2016, 22:50
tain les britons qui qualifient toutes leurs nations en huitième... gage de qualité de cet Euro
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
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par John Holmes » 22 Juin 2016, 22:53
rodolfo a écrit:Donc France -Irlande
Et Galles - Eire
Sur l'équipe on annonce France - Eire
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
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par fernando » 22 Juin 2016, 22:58
Le programme des 1/8èmes :
Suisse - Pologne samedi 25 juin (15h00), à Saint-Étienne (Geoffroy-Guichard)
Croatie - Portugal, samedi 25 juin (21h00) à Lens (Bollaert - Delelis)
Galles – Irlande du Nord, samedi 25 juin (18h00), à Paris (Parc des Princes)
Hongrie - Belgique, dimanche 26 juin (21h00), à Paris (Parc des Princes)
Allemagne - Slovaquie, dimanche 26 juin (18h00) à Lille (Pierre-Mauroy)
Italie – Espagne, lundi 27 juin (18h00) à Saint-Denis (Stade de France)
France - Irlande, dimanche 26 juin (15h00) à Lyon - Décines (Parc OL)
Angleterre - Islande, lundi 27 juin (21h00) à Nice (Allianz Riviera)
Suisse - Pologne samedi 25 juin (15h00), à Saint-Étienne (Geoffroy-Guichard)
Croatie - Portugal, samedi 25 juin (21h00) à Lens (Bollaert - Delelis)
Galles – Irlande du Nord, samedi 25 juin (18h00), à Paris (Parc des Princes)
Hongrie - Belgique, dimanche 26 juin (21h00), à Paris (Parc des Princes)
Allemagne - Slovaquie, dimanche 26 juin (18h00) à Lille (Pierre-Mauroy)
Italie – Espagne, lundi 27 juin (18h00) à Saint-Denis (Stade de France)
France - Irlande, dimanche 26 juin (15h00) à Lyon - Décines (Parc OL)
Angleterre - Islande, lundi 27 juin (21h00) à Nice (Allianz Riviera)
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par laurentlille1 » 23 Juin 2016, 00:06
Super cette histoire de tableaux.
D'un côté on a 8 équipes n'ayant jamais gagné une seule compétition internationale, dont deux équipes n'ayant jamais joué un Euro, deux n'ayant jamais passé les poules... et une d'elles ira en finale.
Et de l'autre côté, on a 8 équipes avec un bilan de 9 Euros et 11 coupes du Monde et une seule ira en finale aussi...
D'un côté on a 8 équipes n'ayant jamais gagné une seule compétition internationale, dont deux équipes n'ayant jamais joué un Euro, deux n'ayant jamais passé les poules... et une d'elles ira en finale.
Et de l'autre côté, on a 8 équipes avec un bilan de 9 Euros et 11 coupes du Monde et une seule ira en finale aussi...
par despe » 23 Juin 2016, 09:27
Donc faudrait arrêter les tirages au sort pour définir les groupes?
L'UEFA nous prépare quand même un bon truc pour la suite. http://fr.uefa.com/community/news/newsid=2079582.html
L'UEFA nous prépare quand même un bon truc pour la suite. http://fr.uefa.com/community/news/newsid=2079582.html
par fernando » 23 Juin 2016, 10:10
rhumcoke a écrit:Donc faudrait arrêter les tirages au sort pour définir les groupes?
L'UEFA nous prépare quand même un bon truc pour la suite. http://fr.uefa.com/community/news/newsid=2079582.html
lawl
Est-ce qu'au fond cela ne fait que générer plus de revenus ?
Non, l'argent n'est pas le motif ni le but de cette nouvelle compétition. Cependant, la compétition bénéficiera des mêmes droits centralisés récemment introduits dans les éliminatoires européennes. Ils fourniront davantage de stabilité dans les revenus garantis aux associations.
tain l'usine à gaz que ça devient les qualifs pour l'euro o_o
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 23 Juin 2016, 11:01
Exact. Mais maintenant l'UEFA aussi a son tournoi bidon avec un titre sans valeur, ils devaient être jaloux de la coupe des confédérations de la FIFA.
Reste plus qu'à survendre cette "coupe de la ligue" européenne pour gratter quelques droits télé supplémentaires.
Reste plus qu'à survendre cette "coupe de la ligue" européenne pour gratter quelques droits télé supplémentaires.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 23 Juin 2016, 16:03
Autour du Stade de France, les commerçants crient au hold-up
Le «mur» qui entoure l'enceinte, limite l'accès aux restaurants de l'avenue Jules-Rimet. Les responsables dénoncent la mainmise de l'UEFA et de ses partenaires sur tout le business de l'Euro.
Vendredi 17 juin, 14 h 15. L’Euro a débuté depuis une semaine. Sept jours que les milliers de supporters venus de toute l’Europe sillonnent les rues et garnissent les dix enceintes de la compétition. A priori une aubaine pour les bars, restaurants et commerces environnants. Qui plus est à Saint-Denis, où est sis le plus grand écrin hexagonal, le Stade de France (81 338 places). Mais la réalité est bien différente. Depuis l’entame du championnat d’Europe, la rue commerçante adjacente au bijou architectural mange son pain noir. La faute à une clôture grillagée de 2,40 m – couverte d’une bâche Euro 2016 – installée le 10 mai afin de canaliser le flux de spectateurs.
Un mur très commercial
Ce périmètre de sécurité masque la visibilité de plusieurs enseignes de l’avenue Jules-Rimet, amenuisant ainsi leur pouvoir d’attraction auprès des supporters, potentiels consommateurs. Zouheir Zarai, responsable du bar-restaurant l’Events, a dû réduire la voilure : «La rue est déserte le midi. Cette année, on n’a pas embauché d’extras, alors que d’habitude, on en prend 3, 4 en période estivale. On a même débauché, deux semaines après l’installation du mur. On n’a pas renouvelé les CDD. On n’a plus de clientèle. Le restaurant est vide.» Le gérant s’interrompt un instant pour saluer un homme accoudé au bar : Fabien Olive, patron du Balyann, restaurant situé à une cinquantaine de mètres. Lui aussi subit de plein fouet le contrecoup économique causé par la barrière, mais il retient surtout le choix stratégique de l’UEFA : «Aucun flux ne circule dans la rue commerciale les jours d’événement. Au Stade de France, il y a dix-huit portes qui permettent aux spectateurs d’entrer. Seulement trois sont ouvertes pendant l’Euro. Aucune ne donne accès à nos restaurants. Tous les flux sont captés par l’UEFA. Uniquement pour générer du chiffre d’affaires en plus. Ils ont utilisé le prétexte des attentats pour expliquer la présence du mur. Mais depuis, il y a eu quatre événements. Tout s’est très bien passé, sans mur. Il a été construit pour des raisons commerciales. La preuve, il sera démonté à partir du 17 juillet.» Le maître des lieux d’acquiescer d’un laconique : «C’est un hold-up.»
Préjudice économique
Avant de quitter le restaurant à la clientèle clairsemée, le boss de l’Events se lamente : «La fréquentation de mon restaurant a dégringolé. Mai-juin, c’est la période où on réalise la moitié du chiffre d’affaires annuel. Là, on déplore une baisse de 30% à 50% du chiffre d’affaires hebdomadaire habituel.» En remontant l’avenue, un constat s’impose : c’est la galère pour tous les restaurateurs. Au Chalet des crêpes, dont un responsable, «en conflit avec l’UEFA», nous refuse tout commentaire, les tables sont dressées mais inoccupées. A trois clients près, c’est le même désert à la pizzeria La 3e mi-temps, où le gérant nous conseille des «collègues de la rue [qui] parlent mieux que [lui]». Quelques mètres plus loin, Olivier Franc, lui, se montre prolixe. D’emblée, le responsable du bar-pub Le France met les pieds dans le plat : «Il s’agit de tout sauf d’un périmètre de sécurité. Il a été requis dès 2010. On était loin des attentats. Aujourd’hui, en plein état d’urgence, seuls les gens fouillés et palpés peuvent entrer. Quand on voit notre activité en semaine et les jours d’événement, on se rend compte que c’est un périmètre exclusivement commercial. On a le sentiment que l’UEFA réalise un hold-up sur l’activité économique autour du Stade de France.»
Il fait partie de ces restaurateurs qui accusent l’UEFA d’avantager ses partenaires commerciaux (notamment McDo et Coca-Cola) à l’intérieur du périmètre. Dans les colonnes du Parisien, l’instance européenne s’est défendue à sa manière : «Nous ne pourrons pas vendre d’alcool dans le périmètre, alors que les commerces de l’avenue Jules-Rimet le pourront.» Un détail qui ne devrait pas affecter les retombées économiques enregistrées par l’UEFA. Une étude menée par le Centre de droit et d’économie du sport (CDES) estime à 842 millions d’euros les dépenses effectuées à l’intérieur des stades jusqu’au 10 juillet. Une manne financière conséquente pour l’UEFA, qui détient à 95% la société Euro 2016 SAS organisant l’Euro, une société exemptée d’impôts et de taxes durant toute la compétition.
Dans la foulée, nouvel aperçu de l’esprit d’équipe qui anime l’avenue Jules-Rimet, Georges Fernandez, directeur du Quick situé au bout de la rue, raconte une anecdote : «Lundi [jour de Suède-Irlande, ndlr], on a enregistré 80% de recettes en moins par rapport à un jour de match “normal”, comme le 23 avril par exemple [finale de la Coupe de la Ligue entre le PSG et Lille, 2-1, ndlr]. La veille et le jour même, j’ai dû “tracter” moi-même pour attirer des clients. Et je me suis fait réprimander pour “concurrence déloyale” envers l’UEFA ! Ça démontre qu’ils font tout pour que l’on n’ait pas de clients. C’est très grave !»
«Le seul gagnant de l’Euro, c’est l’UEFA»
Même s’il déplore une «baisse hebdomadaire de 60%» depuis l’installation du mur, Olivier Franc reste serein : «Je n’ai pas peur de mettre la clé sous la porte, car j’ai adapté mon mode de gestion à l’événement en réduisant au minimum mon effectif et l’offre commerciale». Mais il prévient que les commerçants de l’avenue ne seront pas les seuls perdants : «Ici, tout le monde a le même discours : le seul gagnant de l’Euro, c’est l’UEFA. L’addition va être salée pour les contribuables et l’ensemble des collectivités. Je suis persuadé que la mairie de Saint-Denis va devoir facturer à travers des impôts un certain nombre de frais qui n’auront pas été pris en charge par l’UEFA.» Un ressenti balayé d’un revers de main par Fabienne Soulas, adjointe au maire de Saint-Denis : «Sur le périmètre de sécurité, aucune facture ne sera à la charge de la ville. Nous menons des discussions avec l’UEFA, la préfecture et les restaurateurs afin qu’il y ait une compensation financière pour ces derniers. Mais encore une fois, si ces négociations aboutissaient, cette compensation ne serait pas à la charge de la ville».
Le «mur» qui entoure l'enceinte, limite l'accès aux restaurants de l'avenue Jules-Rimet. Les responsables dénoncent la mainmise de l'UEFA et de ses partenaires sur tout le business de l'Euro.
Vendredi 17 juin, 14 h 15. L’Euro a débuté depuis une semaine. Sept jours que les milliers de supporters venus de toute l’Europe sillonnent les rues et garnissent les dix enceintes de la compétition. A priori une aubaine pour les bars, restaurants et commerces environnants. Qui plus est à Saint-Denis, où est sis le plus grand écrin hexagonal, le Stade de France (81 338 places). Mais la réalité est bien différente. Depuis l’entame du championnat d’Europe, la rue commerçante adjacente au bijou architectural mange son pain noir. La faute à une clôture grillagée de 2,40 m – couverte d’une bâche Euro 2016 – installée le 10 mai afin de canaliser le flux de spectateurs.
Un mur très commercial
Ce périmètre de sécurité masque la visibilité de plusieurs enseignes de l’avenue Jules-Rimet, amenuisant ainsi leur pouvoir d’attraction auprès des supporters, potentiels consommateurs. Zouheir Zarai, responsable du bar-restaurant l’Events, a dû réduire la voilure : «La rue est déserte le midi. Cette année, on n’a pas embauché d’extras, alors que d’habitude, on en prend 3, 4 en période estivale. On a même débauché, deux semaines après l’installation du mur. On n’a pas renouvelé les CDD. On n’a plus de clientèle. Le restaurant est vide.» Le gérant s’interrompt un instant pour saluer un homme accoudé au bar : Fabien Olive, patron du Balyann, restaurant situé à une cinquantaine de mètres. Lui aussi subit de plein fouet le contrecoup économique causé par la barrière, mais il retient surtout le choix stratégique de l’UEFA : «Aucun flux ne circule dans la rue commerciale les jours d’événement. Au Stade de France, il y a dix-huit portes qui permettent aux spectateurs d’entrer. Seulement trois sont ouvertes pendant l’Euro. Aucune ne donne accès à nos restaurants. Tous les flux sont captés par l’UEFA. Uniquement pour générer du chiffre d’affaires en plus. Ils ont utilisé le prétexte des attentats pour expliquer la présence du mur. Mais depuis, il y a eu quatre événements. Tout s’est très bien passé, sans mur. Il a été construit pour des raisons commerciales. La preuve, il sera démonté à partir du 17 juillet.» Le maître des lieux d’acquiescer d’un laconique : «C’est un hold-up.»
Préjudice économique
Avant de quitter le restaurant à la clientèle clairsemée, le boss de l’Events se lamente : «La fréquentation de mon restaurant a dégringolé. Mai-juin, c’est la période où on réalise la moitié du chiffre d’affaires annuel. Là, on déplore une baisse de 30% à 50% du chiffre d’affaires hebdomadaire habituel.» En remontant l’avenue, un constat s’impose : c’est la galère pour tous les restaurateurs. Au Chalet des crêpes, dont un responsable, «en conflit avec l’UEFA», nous refuse tout commentaire, les tables sont dressées mais inoccupées. A trois clients près, c’est le même désert à la pizzeria La 3e mi-temps, où le gérant nous conseille des «collègues de la rue [qui] parlent mieux que [lui]». Quelques mètres plus loin, Olivier Franc, lui, se montre prolixe. D’emblée, le responsable du bar-pub Le France met les pieds dans le plat : «Il s’agit de tout sauf d’un périmètre de sécurité. Il a été requis dès 2010. On était loin des attentats. Aujourd’hui, en plein état d’urgence, seuls les gens fouillés et palpés peuvent entrer. Quand on voit notre activité en semaine et les jours d’événement, on se rend compte que c’est un périmètre exclusivement commercial. On a le sentiment que l’UEFA réalise un hold-up sur l’activité économique autour du Stade de France.»
Il fait partie de ces restaurateurs qui accusent l’UEFA d’avantager ses partenaires commerciaux (notamment McDo et Coca-Cola) à l’intérieur du périmètre. Dans les colonnes du Parisien, l’instance européenne s’est défendue à sa manière : «Nous ne pourrons pas vendre d’alcool dans le périmètre, alors que les commerces de l’avenue Jules-Rimet le pourront.» Un détail qui ne devrait pas affecter les retombées économiques enregistrées par l’UEFA. Une étude menée par le Centre de droit et d’économie du sport (CDES) estime à 842 millions d’euros les dépenses effectuées à l’intérieur des stades jusqu’au 10 juillet. Une manne financière conséquente pour l’UEFA, qui détient à 95% la société Euro 2016 SAS organisant l’Euro, une société exemptée d’impôts et de taxes durant toute la compétition.
Dans la foulée, nouvel aperçu de l’esprit d’équipe qui anime l’avenue Jules-Rimet, Georges Fernandez, directeur du Quick situé au bout de la rue, raconte une anecdote : «Lundi [jour de Suède-Irlande, ndlr], on a enregistré 80% de recettes en moins par rapport à un jour de match “normal”, comme le 23 avril par exemple [finale de la Coupe de la Ligue entre le PSG et Lille, 2-1, ndlr]. La veille et le jour même, j’ai dû “tracter” moi-même pour attirer des clients. Et je me suis fait réprimander pour “concurrence déloyale” envers l’UEFA ! Ça démontre qu’ils font tout pour que l’on n’ait pas de clients. C’est très grave !»
«Le seul gagnant de l’Euro, c’est l’UEFA»
Même s’il déplore une «baisse hebdomadaire de 60%» depuis l’installation du mur, Olivier Franc reste serein : «Je n’ai pas peur de mettre la clé sous la porte, car j’ai adapté mon mode de gestion à l’événement en réduisant au minimum mon effectif et l’offre commerciale». Mais il prévient que les commerçants de l’avenue ne seront pas les seuls perdants : «Ici, tout le monde a le même discours : le seul gagnant de l’Euro, c’est l’UEFA. L’addition va être salée pour les contribuables et l’ensemble des collectivités. Je suis persuadé que la mairie de Saint-Denis va devoir facturer à travers des impôts un certain nombre de frais qui n’auront pas été pris en charge par l’UEFA.» Un ressenti balayé d’un revers de main par Fabienne Soulas, adjointe au maire de Saint-Denis : «Sur le périmètre de sécurité, aucune facture ne sera à la charge de la ville. Nous menons des discussions avec l’UEFA, la préfecture et les restaurateurs afin qu’il y ait une compensation financière pour ces derniers. Mais encore une fois, si ces négociations aboutissaient, cette compensation ne serait pas à la charge de la ville».
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Xylophène » 23 Juin 2016, 20:09
rodolfo a écrit:En cours de revente, je connais une paire de Gallois ^^
Comprends pas. Avoir la possibilité de voir jouer Eden et quelques autres bons joueurs (De Bruyne, Bale, etc.) et ce, dans une ambiance fantastique avec deux publics on fire pour finir par revendre son billet !?!
Faudra qu'on m'explique.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
par John Holmes » 23 Juin 2016, 20:41
rodolfo a écrit:elle vaut 200€ pièce cette affiche et cette soirée??
Je sais que c'est la somme que dépense Bij au Capt'ain en moins de 2 heures mais moi....
Si cela avait été la France, peut-être.
ou la Pologne...
T'as raison Rodo, ça reste que du footch !!!
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par manulosc » 25 Juin 2016, 09:37
Pourquoi l'Irlande du Nord n'a-t-elle pas son propre hymne ?
Contrairement aux autres nations britanniques, le pays de Galles et l'Ecosse, God Save the Queen est l'hymne qui résonne avant les matches de l'Irlande du Nord. Nous vous expliquons pourquoi.
Samedi, avant le huitième de finale entre le pays de Galles et l'Irlande du Nord, le God Save The Queen retentira au Parc des Princes. Michael McGovern, le gardien nord-irlandais, baissera la tête, ne bougera pas les lèvres. Et n’applaudira pas à la fin. Cette attitude ferait bondir dans la plupart des pays, mais elle n’a rien d’étonnant en Irlande du Nord, un pays profondément divisé entre les catholiques, qui se considèrent comme irlandais, et les protestants, qui se voient comme britanniques. A l’image du gardien, une grande partie de la population ne reconnait pas l’hymne britannique. Alors pourquoi a-t-il été conservé ?
«Il ne faut pas entrer dans la politisation du sport»
La raison est simple : éviter de diviser davantage la société, en choisissant un hymne qui ne satisferait qu’une de ses composantes. La question a été posée le 15 janvier à la première ministre nord-irlandaise Arlen Foster, seulement quatre jours après sa nomination.
«Nous avons un hymne national, je ne pense pas qu'il y ait besoin de bricoler et je ne vois aucune raison d'en changer», avait expliqué Foster. «Le sport est quelque chose qui nous unit. (…) Nous avons un hymne national et je suis parfaitement consciente qu'il ne faut pas entrer dans la politisation du sport».
Le God Save The Queen reste pour l’instant le plus fédérateur. Lors des trois premiers matches de l’Irlande du Nord dans la compétition, neuf des onze joueurs l’ont d’ailleurs chanté. Mais la situation pourrait évoluer rapidement en raison du Brexit, la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne. Les Nord-Irlandais pourraient demander par referendum à être rattachés à la République d'Irlande. C'est déjà le cas avec l'équipe d'Irlande de rugby. Il n’y a qu’une seule sélection qui représente l’Irlande (Nord et Eire) et un hymne commun depuis 1995 : Ireland's Call.
Contrairement aux autres nations britanniques, le pays de Galles et l'Ecosse, God Save the Queen est l'hymne qui résonne avant les matches de l'Irlande du Nord. Nous vous expliquons pourquoi.
Samedi, avant le huitième de finale entre le pays de Galles et l'Irlande du Nord, le God Save The Queen retentira au Parc des Princes. Michael McGovern, le gardien nord-irlandais, baissera la tête, ne bougera pas les lèvres. Et n’applaudira pas à la fin. Cette attitude ferait bondir dans la plupart des pays, mais elle n’a rien d’étonnant en Irlande du Nord, un pays profondément divisé entre les catholiques, qui se considèrent comme irlandais, et les protestants, qui se voient comme britanniques. A l’image du gardien, une grande partie de la population ne reconnait pas l’hymne britannique. Alors pourquoi a-t-il été conservé ?
«Il ne faut pas entrer dans la politisation du sport»
La raison est simple : éviter de diviser davantage la société, en choisissant un hymne qui ne satisferait qu’une de ses composantes. La question a été posée le 15 janvier à la première ministre nord-irlandaise Arlen Foster, seulement quatre jours après sa nomination.
«Nous avons un hymne national, je ne pense pas qu'il y ait besoin de bricoler et je ne vois aucune raison d'en changer», avait expliqué Foster. «Le sport est quelque chose qui nous unit. (…) Nous avons un hymne national et je suis parfaitement consciente qu'il ne faut pas entrer dans la politisation du sport».
Le God Save The Queen reste pour l’instant le plus fédérateur. Lors des trois premiers matches de l’Irlande du Nord dans la compétition, neuf des onze joueurs l’ont d’ailleurs chanté. Mais la situation pourrait évoluer rapidement en raison du Brexit, la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne. Les Nord-Irlandais pourraient demander par referendum à être rattachés à la République d'Irlande. C'est déjà le cas avec l'équipe d'Irlande de rugby. Il n’y a qu’une seule sélection qui représente l’Irlande (Nord et Eire) et un hymne commun depuis 1995 : Ireland's Call.
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