Euro 2016
par laurentlille1 » 27 Juin 2016, 23:07
Bon les islandais vont pas tenir ce rythme pendant 6 matchs. Ils ont des suspendus du coup?
par fernando » 27 Juin 2016, 23:33
Italie-Espagne, c'était un bon duel de filsdeputerie. Fautes de merde, semelles, chouinage, mauvais gestes, lamentations auprès de l'arbitre bref bon esprit. L'italie c'est sacrément costaud.
Et loul l'Angleterre. Faut prendre les islandais très au sérieux, remember 2004, élimination en 1/4 contre... la grèce.
Et loul l'Angleterre. Faut prendre les islandais très au sérieux, remember 2004, élimination en 1/4 contre... la grèce.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par RAGUNE » 28 Juin 2016, 08:34
Double Brexit pour les Rosbiffs !!!
Sinon je me permets de citer CR7 de mes deux =
"L'Islande n'a rien essayé, ils n'ont fait juste que défendre, défendre, défendre, et jouer en contre. Ils ont eu deux occasions (4 en totalité, NDLR) et ont marqué un but. C'est une soirée chanceuse pour eux. Selon mon opinion, c'est une petite mentalité. C'est pourquoi ils ne feront rien (dans la compétition)."
Lol, bouffon !
Sinon je me permets de citer CR7 de mes deux =
"L'Islande n'a rien essayé, ils n'ont fait juste que défendre, défendre, défendre, et jouer en contre. Ils ont eu deux occasions (4 en totalité, NDLR) et ont marqué un but. C'est une soirée chanceuse pour eux. Selon mon opinion, c'est une petite mentalité. C'est pourquoi ils ne feront rien (dans la compétition)."
Lol, bouffon !
J'ARRIVE EN JET-SKI A TA SQUIRT-PARTY !
par stikky » 28 Juin 2016, 10:08
la presse anglaise toujours aussi conne qui parle d'humiliation comme si son équipe était une équipe qui comptait au niveau international !
L'Angleterre c'est quoi en 144 ans ?
Une coupe du monde achetée chez elle !
Et ils avaient combien de joueurs capable de faire une différence et habitués à ces joutes de haut niveau ?
A un moment donné faut regarder les choses en face.
Il y a les équipes (Iceland, fdp macaronis - plus ou moins bonnes) et les agglomérats de plus ou moins grandes valeurs
Donc les surprises n'en sont réellement que des demis..
Si on veut passer les islandais il va falloir commencer à jouer ensemble. Et ça c'est pas gagné.
Après, il reste toujours la chatte Deschanesque, mais même ça a une limite.
Merci pour les tofs polaks, le zip c'est juste... ouhaouou
L'Angleterre c'est quoi en 144 ans ?
Une coupe du monde achetée chez elle !
Et ils avaient combien de joueurs capable de faire une différence et habitués à ces joutes de haut niveau ?
A un moment donné faut regarder les choses en face.
Il y a les équipes (Iceland, fdp macaronis - plus ou moins bonnes) et les agglomérats de plus ou moins grandes valeurs
Donc les surprises n'en sont réellement que des demis..
Si on veut passer les islandais il va falloir commencer à jouer ensemble. Et ça c'est pas gagné.
Après, il reste toujours la chatte Deschanesque, mais même ça a une limite.
Merci pour les tofs polaks, le zip c'est juste... ouhaouou
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par stikky » 28 Juin 2016, 11:59
contre l'estonie, la lituanie, San Marin la suisse et la slovénie
On l'avait fait en 92 contre l'Espagne la tchecoslovaquie, et ça ne nous avez pas empêché de faire un peu de la merde à l'EURO
On l'avait fait en 92 contre l'Espagne la tchecoslovaquie, et ça ne nous avez pas empêché de faire un peu de la merde à l'EURO
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par fernando » 28 Juin 2016, 12:12
Samuel Umtiti devrait jouer le quart de finale
Le défenseur central lyonnais Samuel Umtiti tient la corde pour remplacer Adil Rami, dimanche prochain, en quart de finale de l'Euro.
Une première sélection, on ne l’oublie jamais, paraît-il. Pour Samuel Umtiti, le souvenir impérissable devrait être pour dimanche prochain. Contre l’Eire, Adil Rami a été averti et comme il s’agissait de son deuxième carton jaune depuis le début de la compétition, le défenseur central de Séville a écopé automatiquement d’un match de suspension, à purger en quart de finale. Pour le remplacer, Didier Deschamps avait le choix entre deux gauchers : Eliaquim Mangala et Samuel Umtiti.
«Que ce soit Umtiti ou Mangala qui accompagne Koscielny, on sera serein», a assuré Antoine Griezmann en conférence de presse, ce lundi matin. Si le sélectionneur n’a pas encore tout à fait tranché, le Lyonnais, actuellement courtisé par le FC Barcelone, tient nettement la corde. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si c’est lui qui est allé s’échauffer en fin de match, alors que Deschamps espérait que son équipe ajoute un troisième but pour éventuellement sortir Koscielny, sous la menace, lui aussi, d’une suspension.
.
Qui pour remplacer Adil Rami et N'Golo Kanté pour le quart de finale ?
.
Umtiti revient de très loin. Convoqué initialement parmi les réservistes, il a gagné son ticket parmi les vingt-trois après le forfait de Jérémy Mathieu. Performant à l’entraînement depuis le début de la préparation, le natif de Yaoundé (22 ans), malgré son inexpérience du plus haut niveau, dégage plus d’assurance que Mangala, semble-t-il.
Deschamps ne devrait pas faire durer le suspense. Cette semaine, l’heureux élu va devoir travailler ses automatismes avec Laurent Koscielny. S’il s’agit, comme c’est désormais très probable, d’Umtiti, chaque minute comptera puisque les deux défenseurs n’ont jamais évolué ensemble. Cette nouvelle donne va obliger Koscielny à se décaler de la gauche, où il a ses habitudes, vers la droite. Et donc à Bacary Sagna, mais aussi à Patrice Evra, de s’habituer à un nouveau voisin.
Le défenseur central lyonnais Samuel Umtiti tient la corde pour remplacer Adil Rami, dimanche prochain, en quart de finale de l'Euro.
Une première sélection, on ne l’oublie jamais, paraît-il. Pour Samuel Umtiti, le souvenir impérissable devrait être pour dimanche prochain. Contre l’Eire, Adil Rami a été averti et comme il s’agissait de son deuxième carton jaune depuis le début de la compétition, le défenseur central de Séville a écopé automatiquement d’un match de suspension, à purger en quart de finale. Pour le remplacer, Didier Deschamps avait le choix entre deux gauchers : Eliaquim Mangala et Samuel Umtiti.
«Que ce soit Umtiti ou Mangala qui accompagne Koscielny, on sera serein», a assuré Antoine Griezmann en conférence de presse, ce lundi matin. Si le sélectionneur n’a pas encore tout à fait tranché, le Lyonnais, actuellement courtisé par le FC Barcelone, tient nettement la corde. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si c’est lui qui est allé s’échauffer en fin de match, alors que Deschamps espérait que son équipe ajoute un troisième but pour éventuellement sortir Koscielny, sous la menace, lui aussi, d’une suspension.
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Qui pour remplacer Adil Rami et N'Golo Kanté pour le quart de finale ?
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Umtiti revient de très loin. Convoqué initialement parmi les réservistes, il a gagné son ticket parmi les vingt-trois après le forfait de Jérémy Mathieu. Performant à l’entraînement depuis le début de la préparation, le natif de Yaoundé (22 ans), malgré son inexpérience du plus haut niveau, dégage plus d’assurance que Mangala, semble-t-il.
Deschamps ne devrait pas faire durer le suspense. Cette semaine, l’heureux élu va devoir travailler ses automatismes avec Laurent Koscielny. S’il s’agit, comme c’est désormais très probable, d’Umtiti, chaque minute comptera puisque les deux défenseurs n’ont jamais évolué ensemble. Cette nouvelle donne va obliger Koscielny à se décaler de la gauche, où il a ses habitudes, vers la droite. Et donc à Bacary Sagna, mais aussi à Patrice Evra, de s’habituer à un nouveau voisin.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Dageek » 28 Juin 2016, 12:24
stikky a écrit:contre l'estonie, la lituanie, San Marin la suisse et la slovénie
On l'avait fait en 92 contre l'Espagne la tchecoslovaquie, et ça ne nous avez pas empêché de faire un peu de la merde à l'EURO
J ai pensé à cet argument , qui est recevable , mais historiquement les gros qui tombent dans des poules faciles en sortent rarement avec 10 victoires. C est souvent plus compliqué qu' il n y paraît
par kaptn_kvern » 28 Juin 2016, 14:08
Dageek a écrit:
J ai pensé...
lol me suis arrêté là.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par laurentlille1 » 28 Juin 2016, 16:34
Ils sont moins dégueu que les grecs les islandais quand même, ils prennent un peu de risques...
par stikky » 28 Juin 2016, 19:20
Dageek a écrit:
J ai pensé à cet argument , qui est recevable , mais historiquement les gros qui tombent dans des poules faciles en sortent rarement avec 10 victoires. C est souvent plus compliqué qu' il n y paraît
L'Islande était devant les pays bas et la Turquie pour la qualification à l'uro puis a terminé 1ère devant le Portugal alors que l'Angleterre était deuxième le pays de Galles ...
A un moment il y a des données à prendre en compte. Les équipes qui ne le font pas sont puniches. Et c'est bien fait pour leur gueule.
Ca nous pend au blaze
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par fernando » 28 Juin 2016, 20:40
au moins on est prévenus. suffira pas d'entrer sur le terrain pour gagner ce mètch
Bleus : pourquoi le quart de finale contre l'Islande a tout du match piège
Dimanche, les Bleus affronteront les surprenants Islandais en quarts de finale de l'Euro. Et beaucoup d'éléments laissent penser que ce n'est pas une bonne nouvelle pour l'équipe de France...
1. Un nouvel adversaire qui mise tout sur sa défense
Après la Roumanie (2-1), l’Albanie (2-0) et l’Irlande (2-1), qu’elle a battues avec peine, la France va de nouveau affronter un adversaire rugueux, déterminé à lui laisser le ballon (autour de 35% de possession de balle pour l’Islande depuis le début de l’Euro) et à attendre qu’elle se casse les dents sur sa défense. Avec son 4-4-2 ultra-classique, son double rideau défensif à la perte de balle et son jeu long permanent, l’Islande ne laissera aucun espace, et proposera un engagement harassant et un combat redoutable dimanche en quarts de finale.
Avec leur défense qui inquiète depuis des semaines, les Bleus, privés de N’Golo Kanté et d’Adil Rami (suspendus), tiendront-ils le choc ? Seront-ils capables de ne pas reproduire leur désastreuse première mi-temps du week-end dernier ? Redoutables sur coup de pied arrêté (deux buts depuis le début de la compétition), les Islandais doivent se frotter les mains à l’idée de faire face à un collectif souvent friable sur cette phase de jeu.
Qui sont les onze Islandais ?
2. Un solide tableau de chasse
La plus grosse surprise de cet Euro 2016 ne doit rien au hasard. La victoire des Islandais contre l’Angleterre mardi (2-1) pouvait être anticipée car depuis des années, les hommes de Lars Lagerback sont coutumiers de ce genre de performances. Outre l’excellent match nul obtenu contre le Portugal au premier tour (1-1), l’Islande avait déjà conquis lors des éliminatoires quelques victoires parlantes : un double succès contre les Pays-Bas troisièmes du Mondial 2014 (2-0 à la maison, 1-0 à Amsterdam), deux résultats glorieux contre la République Tchèque (2-1) et la Turquie (3-0).
Fruit d’un projet solidement bâti, le succès du football islandais est une longue montée en puissance qui porte ses fruits. Une place de barragiste pour la Coupe du monde 2014, une belle qualification pour l’Euro Espoirs 2011 (une victoire 4-1 contre l’Allemagne notamment) auquel une partie de l’équipe a participé…
3. Une équipe en pleine confiance
Quand une dynamique collective est enclenchée et qu’elle s’accompagne d’une euphorie emballante, difficile de l’arrêter. Les Islandais sont portés par un enthousiasme grandissant : le tout petit pays de 330.000 habitants, grand comme la Corse, est un nid à belles histoires. Six % des habitants de l’île se sont déplacés en France pour la compétition, 99,8 % des habitants ont regardé le match contre l’Angleterre à la télévision mardi soir…
Surtout, la machine islandaise est parfaitement lancée depuis le début de l’Euro. En alignant à chaque fois le même onze titulaire, l’Islande n’a pas perdu un match et encaissé seulement quatre buts. Pourquoi tout s’arrêterait dimanche ?
4. Le Danemark 1992 et la Grèce 2004, les exemples historiques
La référence est sur toutes les lèvres depuis mardi soir. Pourquoi l’Islande ne parviendrait-elle pas à reproduire l’exploit du Danemark 1992 et de la Grèce 2004, vainqueurs surprises de l’Euro ? Ces équipes se ressemblent : des collectifs solides bâtis autour d’une défense compacte et d’une agressivité étouffante.
Mauvaise nouvelle pour les Bleus : avant de triompher, ces deux équipes étaient parvenues à battre les Bleus. En phase de poules, les Danois avaient vaincu et éliminé les Français (2-1) malgré l’égalisation de Jean-Pierre Papin. Quant aux Grecs, un but de Charisteas avait suffi à venir à bout des hommes de Jacques Santini (1-0). C’était en quarts de finale…
Bleus : pourquoi le quart de finale contre l'Islande a tout du match piège
Dimanche, les Bleus affronteront les surprenants Islandais en quarts de finale de l'Euro. Et beaucoup d'éléments laissent penser que ce n'est pas une bonne nouvelle pour l'équipe de France...
1. Un nouvel adversaire qui mise tout sur sa défense
Après la Roumanie (2-1), l’Albanie (2-0) et l’Irlande (2-1), qu’elle a battues avec peine, la France va de nouveau affronter un adversaire rugueux, déterminé à lui laisser le ballon (autour de 35% de possession de balle pour l’Islande depuis le début de l’Euro) et à attendre qu’elle se casse les dents sur sa défense. Avec son 4-4-2 ultra-classique, son double rideau défensif à la perte de balle et son jeu long permanent, l’Islande ne laissera aucun espace, et proposera un engagement harassant et un combat redoutable dimanche en quarts de finale.
Avec leur défense qui inquiète depuis des semaines, les Bleus, privés de N’Golo Kanté et d’Adil Rami (suspendus), tiendront-ils le choc ? Seront-ils capables de ne pas reproduire leur désastreuse première mi-temps du week-end dernier ? Redoutables sur coup de pied arrêté (deux buts depuis le début de la compétition), les Islandais doivent se frotter les mains à l’idée de faire face à un collectif souvent friable sur cette phase de jeu.
Qui sont les onze Islandais ?
2. Un solide tableau de chasse
La plus grosse surprise de cet Euro 2016 ne doit rien au hasard. La victoire des Islandais contre l’Angleterre mardi (2-1) pouvait être anticipée car depuis des années, les hommes de Lars Lagerback sont coutumiers de ce genre de performances. Outre l’excellent match nul obtenu contre le Portugal au premier tour (1-1), l’Islande avait déjà conquis lors des éliminatoires quelques victoires parlantes : un double succès contre les Pays-Bas troisièmes du Mondial 2014 (2-0 à la maison, 1-0 à Amsterdam), deux résultats glorieux contre la République Tchèque (2-1) et la Turquie (3-0).
Fruit d’un projet solidement bâti, le succès du football islandais est une longue montée en puissance qui porte ses fruits. Une place de barragiste pour la Coupe du monde 2014, une belle qualification pour l’Euro Espoirs 2011 (une victoire 4-1 contre l’Allemagne notamment) auquel une partie de l’équipe a participé…
3. Une équipe en pleine confiance
Quand une dynamique collective est enclenchée et qu’elle s’accompagne d’une euphorie emballante, difficile de l’arrêter. Les Islandais sont portés par un enthousiasme grandissant : le tout petit pays de 330.000 habitants, grand comme la Corse, est un nid à belles histoires. Six % des habitants de l’île se sont déplacés en France pour la compétition, 99,8 % des habitants ont regardé le match contre l’Angleterre à la télévision mardi soir…
Surtout, la machine islandaise est parfaitement lancée depuis le début de l’Euro. En alignant à chaque fois le même onze titulaire, l’Islande n’a pas perdu un match et encaissé seulement quatre buts. Pourquoi tout s’arrêterait dimanche ?
4. Le Danemark 1992 et la Grèce 2004, les exemples historiques
La référence est sur toutes les lèvres depuis mardi soir. Pourquoi l’Islande ne parviendrait-elle pas à reproduire l’exploit du Danemark 1992 et de la Grèce 2004, vainqueurs surprises de l’Euro ? Ces équipes se ressemblent : des collectifs solides bâtis autour d’une défense compacte et d’une agressivité étouffante.
Mauvaise nouvelle pour les Bleus : avant de triompher, ces deux équipes étaient parvenues à battre les Bleus. En phase de poules, les Danois avaient vaincu et éliminé les Français (2-1) malgré l’égalisation de Jean-Pierre Papin. Quant aux Grecs, un but de Charisteas avait suffi à venir à bout des hommes de Jacques Santini (1-0). C’était en quarts de finale…
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