fernando a écrit:Est-ce que sans le carnage de Nice la braderie aurait été annulée? Nul ne le sait...
sans Nice, l'état d'urgence s'arrêtait fin juillet, donc la braderie aurait eu lieu
[01T] Politix, fonctionnaire et Cie
par Baratte » 17 Août 2016, 14:57
fernando a écrit:Rodolfo quand il s'agit d'Aubry ou de Hollande tu es d'une mauvaise foi maladive...
Giallo vient de le dire, ça n'a aucun sens de comparer la sécurisation des 2 évènements. Faire un "Nice bis" avec un camion, ou garer une fourgonnette pleine d'explosifs, rien de plus facile à la braderie. L'annulation des courses à pied est plus discutable.
Est-ce que sans le carnage de Nice la braderie aurait été annulée? Nul ne le sait... en tous cas avec cet attentat et celui de Rouen, on est rentrés dans une nouvelle phase, où les attaques peuvent survenir dans des villes de Province et même dans des villages, on a changé de braquet.
Et peut-être en effet que ça risque d'être le cas encore l'an prochain, voire au-delà, nous vivons des circonstances particulières et sans précédent en France.
Là , je crois que pour la Zubrowska et la Soplica devant Dundalk - Legia , tu peux aller te gratter , ou alors fais goûter ton verre avant de le boire parce que le mauvais foie c'est toi qui va l'avoir ...
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par rodolfo » 17 Août 2016, 15:39
fernando a écrit:Rodolfo quand il s'agit d'Aubry ou de Hollande tu es d'une mauvaise foi maladive...
Giallo vient de le dire, ça n'a aucun sens de comparer la sécurisation des 2 évènements. Faire un "Nice bis" avec un camion, ou garer une fourgonnette pleine d'explosifs, rien de plus facile à la braderie. L'annulation des courses à pied est plus discutable.
Est-ce que sans le carnage de Nice la braderie aurait été annulée? Nul ne le sait... en tous cas avec cet attentat et celui de Rouen, on est rentrés dans une nouvelle phase, où les attaques peuvent survenir dans des villes de Province et même dans des villages, on a changé de braquet.
Et peut-être en effet que ça risque d'être le cas encore l'an prochain, voire au-delà, nous vivons des circonstances particulières et sans précédent en France.
Ok, donc ne changeons rien et surtout, Français, arrêtez de vivre, c'est comme ça, on n'y peut rien.
Il est beau le message envoyé par la gauche.......
Et surtout , ne tirons pas les conclusions de cette situation déplorable. Soyons désinvoltes et n'ayons l'air de rien, n'est-ce pas?
Je n'aurais jamais imaginé que ce soit en fait, un programme politique...
par kaptn_kvern » 17 Août 2016, 16:16
Il faut quand même avouer que l'attentat de Nice est d'un nouveau genre, une menace différente encore d'un mec avec un colis piégé ou avec une kalash. Les terroristes "innovent", les forces de l'ordre et nos élus doivent s'adapter. Entre Nice et la braderie, il n'y a pas suffisamment de temps pour trouver une parade à peu prés efficace (si t'as une solution miracle, tu peux toujours y aller).
D'ici l'année prochaine, on aura peut être plus de force de l'ordre (on parle de recrutement de policiers/gendarmes/réservistes) pour accompagner les forces de l'ordre au bout du rouleau et en sous effectif (merci Sarkho hein ?) et pour la prochaine édition de la braderie, Martine parlait d'une édition peut être réduite en superficie pour la rendre plus facilement contrôlable.
D'ici l'année prochaine, on aura peut être plus de force de l'ordre (on parle de recrutement de policiers/gendarmes/réservistes) pour accompagner les forces de l'ordre au bout du rouleau et en sous effectif (merci Sarkho hein ?) et pour la prochaine édition de la braderie, Martine parlait d'une édition peut être réduite en superficie pour la rendre plus facilement contrôlable.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par Giallo » 17 Août 2016, 17:10
rodolfo a écrit:fernando a écrit:Rodolfo quand il s'agit d'Aubry ou de Hollande tu es d'une mauvaise foi maladive...
Giallo vient de le dire, ça n'a aucun sens de comparer la sécurisation des 2 évènements. Faire un "Nice bis" avec un camion, ou garer une fourgonnette pleine d'explosifs, rien de plus facile à la braderie. L'annulation des courses à pied est plus discutable.
Est-ce que sans le carnage de Nice la braderie aurait été annulée? Nul ne le sait... en tous cas avec cet attentat et celui de Rouen, on est rentrés dans une nouvelle phase, où les attaques peuvent survenir dans des villes de Province et même dans des villages, on a changé de braquet.
Et peut-être en effet que ça risque d'être le cas encore l'an prochain, voire au-delà, nous vivons des circonstances particulières et sans précédent en France.
Ok, donc ne changeons rien et surtout, Français, arrêtez de vivre, c'est comme ça, on n'y peut rien.
Il est beau le message envoyé par la gauche.......
Et surtout , ne tirons pas les conclusions de cette situation déplorable. Soyons désinvoltes et n'ayons l'air de rien, n'est-ce pas?
Je n'aurais jamais imaginé que ce soit en fait, un programme politique...
pour moi la braderie c'est justifié, après quand le maire de Trifouillis les oies annule la fête du boudin blanc pour des raisons de sécurité, c'est risible.
Dernière édition par Giallo le 17 Août 2016, 17:10, édité 1 fois.
ce message ne vient pas de moi
par rhazelle » 17 Août 2016, 17:48
"C'est juste incroyable, je crois rêver..... et au fait, l'année prochaine, il y aura moins de risque ???? pour quelles raisons?"
Il fallait annuler cette année.
Par contre oui l'an prochain, le risque sera encore présent..alors on fait quoi? on sécurise +, on prépare mieux l'évènement mais le risque zéro n'existe pas... C'est valable pour les grandes manifestations comme pour la foire au boudin de montcul. Ils peuvent taper partout du moment qu'il y a un peu de monde.
Si un attentat est commis en août prochain, la braderie sera annulée une nouvelle fois?
Pas facile toussa.
Allez jvous en remets une
Il fallait annuler cette année.
Par contre oui l'an prochain, le risque sera encore présent..alors on fait quoi? on sécurise +, on prépare mieux l'évènement mais le risque zéro n'existe pas... C'est valable pour les grandes manifestations comme pour la foire au boudin de montcul. Ils peuvent taper partout du moment qu'il y a un peu de monde.
Si un attentat est commis en août prochain, la braderie sera annulée une nouvelle fois?
Pas facile toussa.
Allez jvous en remets une
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
par fernando » 17 Août 2016, 21:30
rodolfo a écrit:Ok, donc ne changeons rien et surtout, Français, arrêtez de vivre, c'est comme ça, on n'y peut rien.
Il est beau le message envoyé par la gauche.......
cf. plus haut, aucun élu quelle que soit sa couleur n'aurait pris la responsabilité morale d'organiser la braderie cette année. A sa place n'importe qui aurait pris la même décision, toi y compris.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 18 Août 2016, 22:57
Allez, kacedédi rodolfo avant d'aller dormir. C'est du mourd kouz1!
François Hollande commence à évoquer une candidature en 2017
François Hollande dit avoir « envie » de se représenter en 2017, mais il prévient qu’il n’envisage de sauter le pas que s’il y a « une possibilité de victoire », dans un ouvrage des journalistes Antonin André et Karim Rissouli, en librairie vendredi 19 août. « Des années passées sans vie personnelle (…), je sais ce que ça représente… Mais l’envie, je l’ai. C’est mon inclination personnelle », a-t-il confié aux auteurs de Conversations privées avec le président (Ed. Albin Michel).
« Je ne ferais pas de choix de candidature si, d’évidence, elle ne pouvait se traduire par une possibilité de victoire », enchaîne le président. Il apparaît partagé et évoque son âge : « A partir de soixante ans, les années comptent différemment. Je sais aussi ce qu’est la lourdeur de cette tâche. C’est vrai que ça pourrait être aussi une sorte de libération de ne plus être là… », à l’Elysée. Et d’ajouter : « Si je perds, j’arrête la politique. »
Laisser une trace
Interrogé sur son bilan, le président évoque les « valeurs » qu’il a défendues. « 2017 se jouera sur les valeurs aussi. On n’élit pas un président sur “il a fait un peu plus ou un peu moins de chômage”. On l’élit parce qu’il a su parler à la nation. » Estimant avoir « tenu » le pays en engageant les forces françaises au Mali ou en Centrafrique et face aux attaques djihadistes, le chef de l’Etat considère qu’il est « devenu président dans le regard de beaucoup de gens » lors des attentats qui ont frappé la France en 2015 et en 2016.
François Hollande assure également avoir « réglé (la) question » de la trace qu’il laissera dans l’histoire, à travers ces circonstances mais aussi avec le « mariage pour tous » ou la loi Macron. « Une fois qu’on a réglé cette question, on peut tout faire pour poursuivre, mais en même temps, ce n’est pas un drame si ça s’arrête. Le drame, c’est quand vous laissez la place et que vos traces sur le sable s’effacent elles-mêmes », poursuit-il.
« Je n’ai pas eu de bol ! »
L’ouvrage s’ouvre sur cette confidence faite aux auteurs en novembre 2013 : « C’est dur, bien sûr que c’est dur. Beaucoup plus dur que ce que j’avais imaginé. » Sur sa promesse d’une « inversion de la courbe du chômage », le président reconnaît avoir « eu tort » de la réitérer lors de ses vœux aux Français le 31 décembre 2012, mais il note aussi : « Je n’ai pas eu de bol ! En même temps, j’aurais pu gagner. »
De Nicolas Sarkozy, il dit qu’il est « dans la brutalité » et ajoute : « Moi je ne fais pas de tacles par-derrière quand lui pense en permanence : “Je vais lui défoncer les dents.” » « Je pense que s’il ne lui arrive rien, c’est lui que j’affronterai » en 2017, poursuit-il à propos du président des Républicains, voyant en Alain Juppé une personnalité « plus fragile » en campagne.
Le président décoche aussi quelques flèches à son premier ministre. Evoquant le recours à l’article 49, alinéa 3, de la Constitution sur la loi travail, il précise : « Le passage en force n’est pas ma méthode. C’est celle de Manuel Valls ». Ce dernier est coupable à ses yeux d’« une erreur majeure de communication ».
« Je lui ai fait comprendre qu’il s’était trompé et il l’a parfaitement intégré », assène-t-il.
Quant à Emmanuel Macron, c’est « un garçon gentil » et « simple » qui « m’est totalement fidèle », même s’il a pu lui dire « ça ne va pas » lorsque le ministre de l’économie a déclaré dans une interview ne pas être son « obligé ».
François Hollande commence à évoquer une candidature en 2017
François Hollande dit avoir « envie » de se représenter en 2017, mais il prévient qu’il n’envisage de sauter le pas que s’il y a « une possibilité de victoire », dans un ouvrage des journalistes Antonin André et Karim Rissouli, en librairie vendredi 19 août. « Des années passées sans vie personnelle (…), je sais ce que ça représente… Mais l’envie, je l’ai. C’est mon inclination personnelle », a-t-il confié aux auteurs de Conversations privées avec le président (Ed. Albin Michel).
« Je ne ferais pas de choix de candidature si, d’évidence, elle ne pouvait se traduire par une possibilité de victoire », enchaîne le président. Il apparaît partagé et évoque son âge : « A partir de soixante ans, les années comptent différemment. Je sais aussi ce qu’est la lourdeur de cette tâche. C’est vrai que ça pourrait être aussi une sorte de libération de ne plus être là… », à l’Elysée. Et d’ajouter : « Si je perds, j’arrête la politique. »
Laisser une trace
Interrogé sur son bilan, le président évoque les « valeurs » qu’il a défendues. « 2017 se jouera sur les valeurs aussi. On n’élit pas un président sur “il a fait un peu plus ou un peu moins de chômage”. On l’élit parce qu’il a su parler à la nation. » Estimant avoir « tenu » le pays en engageant les forces françaises au Mali ou en Centrafrique et face aux attaques djihadistes, le chef de l’Etat considère qu’il est « devenu président dans le regard de beaucoup de gens » lors des attentats qui ont frappé la France en 2015 et en 2016.
François Hollande assure également avoir « réglé (la) question » de la trace qu’il laissera dans l’histoire, à travers ces circonstances mais aussi avec le « mariage pour tous » ou la loi Macron. « Une fois qu’on a réglé cette question, on peut tout faire pour poursuivre, mais en même temps, ce n’est pas un drame si ça s’arrête. Le drame, c’est quand vous laissez la place et que vos traces sur le sable s’effacent elles-mêmes », poursuit-il.
« Je n’ai pas eu de bol ! »
L’ouvrage s’ouvre sur cette confidence faite aux auteurs en novembre 2013 : « C’est dur, bien sûr que c’est dur. Beaucoup plus dur que ce que j’avais imaginé. » Sur sa promesse d’une « inversion de la courbe du chômage », le président reconnaît avoir « eu tort » de la réitérer lors de ses vœux aux Français le 31 décembre 2012, mais il note aussi : « Je n’ai pas eu de bol ! En même temps, j’aurais pu gagner. »
De Nicolas Sarkozy, il dit qu’il est « dans la brutalité » et ajoute : « Moi je ne fais pas de tacles par-derrière quand lui pense en permanence : “Je vais lui défoncer les dents.” » « Je pense que s’il ne lui arrive rien, c’est lui que j’affronterai » en 2017, poursuit-il à propos du président des Républicains, voyant en Alain Juppé une personnalité « plus fragile » en campagne.
Le président décoche aussi quelques flèches à son premier ministre. Evoquant le recours à l’article 49, alinéa 3, de la Constitution sur la loi travail, il précise : « Le passage en force n’est pas ma méthode. C’est celle de Manuel Valls ». Ce dernier est coupable à ses yeux d’« une erreur majeure de communication ».
« Je lui ai fait comprendre qu’il s’était trompé et il l’a parfaitement intégré », assène-t-il.
Quant à Emmanuel Macron, c’est « un garçon gentil » et « simple » qui « m’est totalement fidèle », même s’il a pu lui dire « ça ne va pas » lorsque le ministre de l’économie a déclaré dans une interview ne pas être son « obligé ».
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 19 Août 2016, 09:35
Il ne doit pas vivre sur la même planète pour ignorer à ce point son impopularité. Il doit avoir en permanence autour de lui une foule de conseillers et de spin doctors qui lui font croire en sa réélection et qui lui vantent la qualité de son action.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Baratte » 19 Août 2016, 10:19
rodolfo a écrit:Au niveau où il est, ils doivent lui filer du vallium.
Je pencherais pour un aérosol contenant un mélange de chloroforme et de poppers . Pour planer autant , j'vois qu'ça !
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Baratte » 20 Août 2016, 08:47
krouw2 a écrit:Macron à déclaré je ne suis pas socialiste, il fait tout pour rester au gouvernement
Oué , t'as vu ?! C'est un fin stratège ce picard !
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Baratte » 20 Août 2016, 13:15
fernando a écrit:Au moins il fait pas semblant d'être de gôche comme Hollande, Sapin, Valls & cie.
Pourtant Aubry et Hamon leur ont déjà dit qu'ils n'étaient pas de gôche , et je parle bien de Martine et Benoit , pas de Cécile et Marcel , donc les hollandais devraient en tenir compte !
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par fernando » 22 Août 2016, 16:47
Le voilà, l'homme qui va sauver la Fransse
Nicolas Sarkozy annonce sa candidature à l’élection présidentielle de 2017
Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, et actuellement à la tête du parti d’opposition Les Républicains, publie mercredi 24 août un livre dans lequel il annonce sa candidature pour un nouveau mandat présidentiel en 2017.
Intitulé Tout pour la France, l’ouvrage de 231 pages est édité chez Plon. Ecrit en trois mois, il se divise en cinq chapitres intitulés « Le Défi de la vérité », « Le Défi de l’identité »,« Le Défi de la compétitivité » « Le Défi de l’autorité, « Le Défi de la liberté ». La déclaration de sa candidature y figure en prologue.
Nicolas Sarkozy annonce sa candidature à l’élection présidentielle de 2017
Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, et actuellement à la tête du parti d’opposition Les Républicains, publie mercredi 24 août un livre dans lequel il annonce sa candidature pour un nouveau mandat présidentiel en 2017.
Intitulé Tout pour la France, l’ouvrage de 231 pages est édité chez Plon. Ecrit en trois mois, il se divise en cinq chapitres intitulés « Le Défi de la vérité », « Le Défi de l’identité »,« Le Défi de la compétitivité » « Le Défi de l’autorité, « Le Défi de la liberté ». La déclaration de sa candidature y figure en prologue.
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