Soutien à Fifi pour défendre son honneur bafoué
Pour l'une des auteurs du livre "Bienvenue place Beauvau" : "François Fillon est atteint de trumpisme"
Invité de l'Emission politique sur France 2, François Fillon a porté de graves accusations contre François Hollande. Il a notamment dénoncé "un scandale d'Etat" et accusé le président de la République d'organiser à la tête d'un "cabinet noir" les fuites dans la presse sur ses affaires judiciaires.
Pour étayer ses accusations, il s'appuie notamment sur le livre "Bienvenue place Beauvau : les secrets inavouables d'un quinquennat" sorti jeudi. Mais les auteurs de ce livre démentent depuis hier soir l'existence d'un cabinet noir mis en place par M. Hollande.
Ce vendredi matin, sur RMC, Olivia Recasens précise que "nous n'avons pas écris ce qu'il dit. Notre surpris a été totale".
"Il n'existe pas de cabinet noir mais une remontée des informations qui est ancienne. Fillon tire sa dernière cartouche et tente de se servir de ce livre pour se sortir de ce mauvais pas."
Pour Mme Recasens, "François Fillon est atteint de trumpisme : il tient pour faux ce qui est vrai, pour vrai ce qui est faux".
[01T] Politix, fonctionnaire et Cie
par Baratte » 24 Mars 2017, 10:15
J'ai bien cru que fion allait pleurer hier soir . Mais non , l'oeil plein de compassion de Pujadas l'a aisé à rester stoïque au milieu des éléments déchainés . Quand il rentrera sur ses terres retrouver sa mie et qu'il verra que ses serfs ont brûlé son chateau , là je crois qu'il craquera .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par ancien posteur » 24 Mars 2017, 11:18
fernando a écrit:Ce vendredi matin, sur RMC, Olivia Recasens précise que "nous n'avons pas écris ce qu'il dit. Notre surpris a été totale".
"Il n'existe pas de cabinet noir mais une remontée des informations qui est ancienne. Fillon tire sa dernière cartouche et tente de se servir de ce livre pour se sortir de ce mauvais pas."
Pour Mme Recasens, "François Fillon est atteint de trumpisme : il tient pour faux ce qui est vrai, pour vrai ce qui est faux".
C est quand même culotte d’écrire un livre ou clairement Hollande fait mijoter ses adversaires politiques via les officines gouvernementales puis de dire que non non, y a pas de cabinet noir. On a les journalistes qu on mérite.
- ancien posteur
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par Baratte » 24 Mars 2017, 12:43
Dageek a écrit:Baratte a écrit:Dageek a écrit:ingrats de pauvres
Attends ... t'as pas tout vu ... quand t'auras rejoint le divorce crew , ta gueule à - 25% comme moi !
?
Je parle de ton pouvoir d'achat . Tu nous a bien dit que madame demandait le divorce , nan ? Je ne me suis pas gourré ?
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par despe » 24 Mars 2017, 16:44
Dernier challenge à la mode sur les réseaux sociaux, le Plastic Bag Challenge. Créé spécialement pour montrer son soutien à la campagne de Marine Le Pen, le jeu consiste à s’emballer la tête dans un sac plastique 30 minutes pour supporter le parti déchet. Certains allèguent qu’il s’agirait plutôt de reconnaître d’être un déchet en votant FN, et de s’emballer la tête dans un sac poubelle comme on emballe une ordure.
Dans tous les cas, il faut installer le sac, prendre un selfie et le poster, et attendre 30 minutes. Marie-Therese, 41 ans, s’exprime à ce sujet : » Je participe à ce Challenge parce qu’il est en totale adéquation d’avec mes convictions. C’est le meilleur moyen de montrer ma solidarité pour la campagne de Marine Le Pen et le symbolisme lui sied à merfeille. Fe penfe qu’il est impofant de fe mobolifer four ffff aaaaah ffff ffffff ffffff « .
Marie-Therese ne répond plus. Notre caméra-man essaye de lui donner des coups de pieds pour provoquer une réaction mais la tentative semble vaine, je pense que Marie-Therese, quoi qu’inerte, semble avoir trouvé la paix. Ce Challenge est magnifique.
Si vous aussi vous soutenez Marine Le Pen et son programme » Au nom du peuple « , affichez fièrement vos positions sur les réseaux sociaux aux yeux de tous, la France a besoin qu’on se mobilise pour Le Grand Remplacement.
Dans tous les cas, il faut installer le sac, prendre un selfie et le poster, et attendre 30 minutes. Marie-Therese, 41 ans, s’exprime à ce sujet : » Je participe à ce Challenge parce qu’il est en totale adéquation d’avec mes convictions. C’est le meilleur moyen de montrer ma solidarité pour la campagne de Marine Le Pen et le symbolisme lui sied à merfeille. Fe penfe qu’il est impofant de fe mobolifer four ffff aaaaah ffff ffffff ffffff « .
Marie-Therese ne répond plus. Notre caméra-man essaye de lui donner des coups de pieds pour provoquer une réaction mais la tentative semble vaine, je pense que Marie-Therese, quoi qu’inerte, semble avoir trouvé la paix. Ce Challenge est magnifique.
Si vous aussi vous soutenez Marine Le Pen et son programme » Au nom du peuple « , affichez fièrement vos positions sur les réseaux sociaux aux yeux de tous, la France a besoin qu’on se mobilise pour Le Grand Remplacement.
par rodolfo » 25 Mars 2017, 22:30
En fait, c'est François le plouc qui manipule bien tout le monde.
Elle est belle la république exemplaire
http://m.parismatch.com/Actu/Politique/ ... on-1219139
Elle est belle la république exemplaire
http://m.parismatch.com/Actu/Politique/ ... on-1219139
par krouw2 » 25 Mars 2017, 23:27
rodolfo a écrit:Fillon qui vient de comprendre qu'il était sur écoute....
oui selon un livre écrit par 2 journalistes du canard enchainé , là il y croit , même s'ils disent que ce n'est pas ce qu'ils ont écrit, mais Fillon sait mieux qu'eux. Par contre ce qu'écrivent 2 autres journalistes du même journal c'est faux, oh le gars était à 7 % dans les sondages y a 2 moi mais tout était prévu de longue date..
je croyais qu' Hollande était un incapable qui échouait dans tous ce qu'il faisait, et là c'est Keiser Sauz en obése, c'est pas banal
Hollande 2027
par kaptn_kvern » 26 Mars 2017, 00:16
Pécresse : "Je trouve particulièrement ignobles ces méthodes qui consistent à s’attaquer aux enfants d’un opposant politique pour lui nuire".
Alors que d'utiliser ses gamins pour détourner de l'argent public, ça passe crème.
Alors que d'utiliser ses gamins pour détourner de l'argent public, ça passe crème.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par fredtu » 26 Mars 2017, 07:31
Pécresse, c'est celle qui soutenait Sarkozy puis qui a soutenu Fillon lors de sa candidature à la présidence de l'UMP puis de nouveau Sarkozy puis Juppé lors de la primaire puis Fillon puis a demandé à ce qu'il se retire puis s'est retirée elle même de l'équipe de campagne pour appeler de nouveau à son retrait pour finalement reprendre sa place dans la campagne comme s'il ne s'était rien passé ?
Mes excuses si j'ai loupé un épisode
Mes excuses si j'ai loupé un épisode
par fernando » 26 Mars 2017, 17:42
rions zun peu avec Pénélope
Penelope Fillon face aux enquêteurs : « Je n’ai jamais eu de prétentions salariales »
« Le Journal du dimanche » révèle le système de défense développé par l’épouse du candidat à la présidentielle lors de sa première audition le 30 janvier.
Tandis que Penelope Fillon est convoquée en vue de sa mise en examen le 28 mars par les juges d’instruction, Le Journal du dimanche (JDD) présente, dimanche 26 mars, dans ses colonnes, son système de défense exposé devant les enquêteurs lors de sa première audition, le 30 janvier dans les locaux du Groupe d’intervention régional, à Versailles. De quoi donner un bon aperçu du contenu de son argumentaire face aux enquêteurs.
Sur son emploi auprès de son mari, député de la Sarthe entre 1998 et 2002 – pour lequel elle était rémunérée 3 340 euros net par mois –, Penelope Fillon a détaillé sa fonction :
« Je m’occupais du courrier arrivant à notre domicile, demandes d’administrés, problèmes personnels de gens en difficulté, sollicitations diverses. »
Elle rédigeait aussi « des fiches et des mémos » pour son époux, concernant des manifestations locales. Elle explique aussi qu’elle le remplaçait parfois, « notamment dans les événements culturels qui l’intéressaient moins ». Ce travail, elle l’effectuait « dans le manoir de Beaucé », dans la Sarthe, écrit Le JDD, « sans jamais se rendre à l’Assemblée nationale ».
Sur son emploi auprès de Marc Joulaud (2002-2007), le suppléant sarthois de François Fillon quand ce dernier a été nommé ministre des affaires sociales en 2002, Mme Fillon légitime son poste devant les policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières (OCLCIFF). Selon elle, « (…) l’influence de [s]on mari » restant « importante » dans la Sarthe, sa présence « pouvait lui apporter du poids dans l’exercice de son mandat ».
Sauf que les enquêteurs lui font remarquer qu’à cette époque, le couple Fillon vit à Paris. « Quelles missions effectuiez-vous pour le compte de M. Marc Joulaud la semaine à Paris ? », demandent-ils. Penelope Fillon répond :
« Par exemple, j’emmenais le courrier reçu au domicile du week-end pour le traiter à Paris. »
Là encore, rappelle Le JDD, sans jamais se rendre à l’Assemblée nationale. Pour expliquer le secret entourant sa présence, Mme Fillon a expliqué que cela tenait à son « souhait de rester dans l’ombre », « pour des raisons de caractère ».
Différents calculs d’heures travaillées
Selon les informations du Monde, le parquet national financier (PNF) a délivré, jeudi 16 mars, un réquisitoire supplétif pour « escroquerie aggravée, faux et usage de faux » aux juges d’instruction chargés de l’enquête sur les époux Fillon – Serge Tournaire, Aude Buresi et Stéphanie Tacheau –, ouverte pour « détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d’influence et manquement aux obligations déclaratives ».
Cette décision fait suite à une deuxième perquisition menée courant mars à l’Assemblée nationale – une première avait été effectuée par les enquêteurs le 31 janvier dans le cadre de l’enquête préliminaire – et à l’occasion de laquelle de nouveaux documents ont été saisis. Ces feuilles, signées par Penelope Fillon, comportaient différents calculs d’heures travaillées.
Le JDD révèle, dans son édition de dimanche, le nombre précis d’heures inscrit sur ces documents. Selon le journal, au printemps 2012, Mme Fillon a déclaré sur une fiche de renseignement « 14 heures de travail mensuel à la Revue des deux mondes, dont elle était pourtant employée à temps plein ». Mais dans une autre fiche, découverte lors d’une deuxième perquisition dans le bureau de François Fillon, « les enquêteurs ont découvert un brouillon de cette fiche de renseignement dans lequel était inscrit cette fois “30 heures” ».
A la revue, « je n’y suis jamais allée »
Entre le 1er juillet 2012 et le 30 novembre 2013, Penelope Fillon est une femme très occupée. Salariée de la Revue des deux mondes à temps plein pour 3 900 euros net mensuels, elle reprend des études de littérature anglaise via l’« Open University », explique Le JDD, et travaille également auprès de son époux, alors député de Paris. Lorsque les enquêteurs lui demandent :
« Comment faisiez-vous pour conjuguer sur la même période les emplois, tous les deux à plein temps ? »
L’intéressée répond :
« J’organisais mon temps de travail comme je le voulais, et il n’y avait pas vraiment de week-end ni de repos hebdomadaire. »
Concernant son salaire, elle assure ne pas avoir eu « de prétentions salariales » et n’avoir jamais abordé la question avec Marc Ladreit de Lacharrière, propriétaire du titre et ami de François Fillon. Lorsqu’elle a appris le montant de sa rémunération, elle a toutefois « pensé que c’était généreux », dit-elle.
Elle explique aussi que son travail de conseiller littéraire consistait à délivrer des conseils « oraux uniquement dispensés à M. Ladreit de Lacharrière ». « Quatre ou cinq fois », précise-t-elle. Mais lorsque les enquêteurs lui demandent de décrire les locaux de La revue des deux mondes, rue de Lille dans le 7e arrondissement parisien, Mme Fillon en est incapable :
« Je n’y suis jamais allée. »
« Vous avez effectué pendant vingt mois une mission de réflexion stratégique sur la Revue des deux mondes sans jamais y aller, ni rencontrer le directeur, ni les employés et auteurs de cette revue ? », insiste le policier, étonné par la réponse de Penelope Fillon. « J’ai été déçue de ne pas être plus sollicitée », réplique-t-elle en guise d’explication.
En novembre 2013, Mme Fillon démissionne de la revue après avoir rédigé, dit-elle, plusieurs notes de lecture qui n’ont jamais été publiées. Et quitte, au même moment, sa fonction d’assistante parlementaire auprès de son époux qui opte, lui, pour la présidentielle.
Sympa les jobs, relever le courrier une fois par semaine pour 7900 boules/mois, donner des conseils oraux quatre ou cinq fois pour 3900 boules/mois pendant un an et demi.
Penelope Fillon face aux enquêteurs : « Je n’ai jamais eu de prétentions salariales »
« Le Journal du dimanche » révèle le système de défense développé par l’épouse du candidat à la présidentielle lors de sa première audition le 30 janvier.
Tandis que Penelope Fillon est convoquée en vue de sa mise en examen le 28 mars par les juges d’instruction, Le Journal du dimanche (JDD) présente, dimanche 26 mars, dans ses colonnes, son système de défense exposé devant les enquêteurs lors de sa première audition, le 30 janvier dans les locaux du Groupe d’intervention régional, à Versailles. De quoi donner un bon aperçu du contenu de son argumentaire face aux enquêteurs.
Sur son emploi auprès de son mari, député de la Sarthe entre 1998 et 2002 – pour lequel elle était rémunérée 3 340 euros net par mois –, Penelope Fillon a détaillé sa fonction :
« Je m’occupais du courrier arrivant à notre domicile, demandes d’administrés, problèmes personnels de gens en difficulté, sollicitations diverses. »
Elle rédigeait aussi « des fiches et des mémos » pour son époux, concernant des manifestations locales. Elle explique aussi qu’elle le remplaçait parfois, « notamment dans les événements culturels qui l’intéressaient moins ». Ce travail, elle l’effectuait « dans le manoir de Beaucé », dans la Sarthe, écrit Le JDD, « sans jamais se rendre à l’Assemblée nationale ».
Sur son emploi auprès de Marc Joulaud (2002-2007), le suppléant sarthois de François Fillon quand ce dernier a été nommé ministre des affaires sociales en 2002, Mme Fillon légitime son poste devant les policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières (OCLCIFF). Selon elle, « (…) l’influence de [s]on mari » restant « importante » dans la Sarthe, sa présence « pouvait lui apporter du poids dans l’exercice de son mandat ».
Sauf que les enquêteurs lui font remarquer qu’à cette époque, le couple Fillon vit à Paris. « Quelles missions effectuiez-vous pour le compte de M. Marc Joulaud la semaine à Paris ? », demandent-ils. Penelope Fillon répond :
« Par exemple, j’emmenais le courrier reçu au domicile du week-end pour le traiter à Paris. »
Là encore, rappelle Le JDD, sans jamais se rendre à l’Assemblée nationale. Pour expliquer le secret entourant sa présence, Mme Fillon a expliqué que cela tenait à son « souhait de rester dans l’ombre », « pour des raisons de caractère ».
Différents calculs d’heures travaillées
Selon les informations du Monde, le parquet national financier (PNF) a délivré, jeudi 16 mars, un réquisitoire supplétif pour « escroquerie aggravée, faux et usage de faux » aux juges d’instruction chargés de l’enquête sur les époux Fillon – Serge Tournaire, Aude Buresi et Stéphanie Tacheau –, ouverte pour « détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d’influence et manquement aux obligations déclaratives ».
Cette décision fait suite à une deuxième perquisition menée courant mars à l’Assemblée nationale – une première avait été effectuée par les enquêteurs le 31 janvier dans le cadre de l’enquête préliminaire – et à l’occasion de laquelle de nouveaux documents ont été saisis. Ces feuilles, signées par Penelope Fillon, comportaient différents calculs d’heures travaillées.
Le JDD révèle, dans son édition de dimanche, le nombre précis d’heures inscrit sur ces documents. Selon le journal, au printemps 2012, Mme Fillon a déclaré sur une fiche de renseignement « 14 heures de travail mensuel à la Revue des deux mondes, dont elle était pourtant employée à temps plein ». Mais dans une autre fiche, découverte lors d’une deuxième perquisition dans le bureau de François Fillon, « les enquêteurs ont découvert un brouillon de cette fiche de renseignement dans lequel était inscrit cette fois “30 heures” ».
A la revue, « je n’y suis jamais allée »
Entre le 1er juillet 2012 et le 30 novembre 2013, Penelope Fillon est une femme très occupée. Salariée de la Revue des deux mondes à temps plein pour 3 900 euros net mensuels, elle reprend des études de littérature anglaise via l’« Open University », explique Le JDD, et travaille également auprès de son époux, alors député de Paris. Lorsque les enquêteurs lui demandent :
« Comment faisiez-vous pour conjuguer sur la même période les emplois, tous les deux à plein temps ? »
L’intéressée répond :
« J’organisais mon temps de travail comme je le voulais, et il n’y avait pas vraiment de week-end ni de repos hebdomadaire. »
Concernant son salaire, elle assure ne pas avoir eu « de prétentions salariales » et n’avoir jamais abordé la question avec Marc Ladreit de Lacharrière, propriétaire du titre et ami de François Fillon. Lorsqu’elle a appris le montant de sa rémunération, elle a toutefois « pensé que c’était généreux », dit-elle.
Elle explique aussi que son travail de conseiller littéraire consistait à délivrer des conseils « oraux uniquement dispensés à M. Ladreit de Lacharrière ». « Quatre ou cinq fois », précise-t-elle. Mais lorsque les enquêteurs lui demandent de décrire les locaux de La revue des deux mondes, rue de Lille dans le 7e arrondissement parisien, Mme Fillon en est incapable :
« Je n’y suis jamais allée. »
« Vous avez effectué pendant vingt mois une mission de réflexion stratégique sur la Revue des deux mondes sans jamais y aller, ni rencontrer le directeur, ni les employés et auteurs de cette revue ? », insiste le policier, étonné par la réponse de Penelope Fillon. « J’ai été déçue de ne pas être plus sollicitée », réplique-t-elle en guise d’explication.
En novembre 2013, Mme Fillon démissionne de la revue après avoir rédigé, dit-elle, plusieurs notes de lecture qui n’ont jamais été publiées. Et quitte, au même moment, sa fonction d’assistante parlementaire auprès de son époux qui opte, lui, pour la présidentielle.
Sympa les jobs, relever le courrier une fois par semaine pour 7900 boules/mois, donner des conseils oraux quatre ou cinq fois pour 3900 boules/mois pendant un an et demi.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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