[O1T] Coupe du Monde • Qatar 2022
par Yusuf Akbar » 15 Déc 2022, 00:03
Sympa cette finale Italie Argentine
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par Baratte » 15 Déc 2022, 08:58
La frappe de Giroud sur le poteau + son loupé alors qu'il est seul au point de penalty , à la mi-temps le score de 1 - 0 est flatteur pour les marocains .
Sur l'ensemble du match , la France n'a pas été mauvaise mais plus réaliste .Point barre .
Sur l'ensemble du match , la France n'a pas été mauvaise mais plus réaliste .Point barre .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Giallo » 15 Déc 2022, 09:01
Baratte a écrit:La frappe de Giroud sur le poteau + son loupé alors qu'il est seul au point de penalty , à la mi-temps le score de 1 - 0 est flatteur pour les marocains .
Sur l'ensemble du match , la France n'a pas été mauvaise mais plus réaliste .Point barre .
tout à fait
sinon j'en suis pas fan mais Lloris fait une énorme coupe du monde, spécialement sur ces deux derniers matchs.
ce message ne vient pas de moi
par Nougets » 15 Déc 2022, 09:39
Deub a écrit:Comment c'est possible d'avoir 2 absents à cause d'un coup de froid avec la clim o_O ??
Ils ont un staff de malade avec des médecins, des préparateurs physiques, des préparateurs mentaux, des kinés, des ostéopathes ... et pas un pour leur dire d'y aller mollo sur la clim ?
Je pense que le coup de froid c'est le nom du Covid19 au quatar. Un journaliste de France Info en parlait. Ça n'a pas l'air d'être un sujet à aborder.
Expatrié.
par fernando » 15 Déc 2022, 09:57
rodolfo a écrit:John Holmes a écrit:Elle vous a fait vibrer cette demie finale ?
On a été mauvais mais on a passé 2 buts là où l’Espagne, le Portugal et la Belgique n’en n’ont pas mis 1.
Next.
Voilà, rien à ajouter.
Savoir gagner en jouant mal et sans paniquer, c'est la marque du champion ^^
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Yusuf Akbar » 15 Déc 2022, 10:42
Nougets a écrit:Deub a écrit:Comment c'est possible d'avoir 2 absents à cause d'un coup de froid avec la clim o_O ??
Ils ont un staff de malade avec des médecins, des préparateurs physiques, des préparateurs mentaux, des kinés, des ostéopathes ... et pas un pour leur dire d'y aller mollo sur la clim ?
Je pense que le coup de froid c'est le nom du Covid19 au quatar. Un journaliste de France Info en parlait. Ça n'a pas l'air d'être un sujet à aborder.
Le Covid en coupe du monde, c’est comme l’homosexualité au Qatar ou l’intelligence chez Sandrine Rousseau.
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par Giallo » 15 Déc 2022, 11:13
Nougets a écrit:Deub a écrit:Comment c'est possible d'avoir 2 absents à cause d'un coup de froid avec la clim o_O ??
Ils ont un staff de malade avec des médecins, des préparateurs physiques, des préparateurs mentaux, des kinés, des ostéopathes ... et pas un pour leur dire d'y aller mollo sur la clim ?
Je pense que le coup de froid c'est le nom du Covid19 au quatar. Un journaliste de France Info en parlait. Ça n'a pas l'air d'être un sujet à aborder.
pour qu'il soit isolé à l’hôtel, ça semble être le covid ouais, faut espérer qu'il n'ait pas contaminé Griezmann ou Mbappé
ce message ne vient pas de moi
par fernando » 15 Déc 2022, 14:09
Bon vous le sentez comment dimanche? Vous sentez de la cRaInTe? Ou vous pensez qu'avec la chatte à Dédé et notre capacité à bien gérer nos temps faibles, même quand ils durent 40mn, ça va le faire?
Je pense que ça va être très serré, c'est vraiment du 50-50 pour moi. J'espère juste que si on perd ce sera à la régulière, et que ça ne se jouera pas sur des faits de jeu.
Je pense que ça va être très serré, c'est vraiment du 50-50 pour moi. J'espère juste que si on perd ce sera à la régulière, et que ça ne se jouera pas sur des faits de jeu.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 15 Déc 2022, 14:40
Coupe du monde 2022 : les Bleus en finale, à la force de l’habitude
L’équipe de France s’est qualifiée, mercredi 14 décembre, pour la quatrième finale mondiale de son histoire, la deuxième de suite, en mettant fin aux rêves du Maroc (2-0). Elle affrontera l’Argentine de Lionel Messi, dimanche, pour une troisième étoile.
Le football français s’est trop longtemps complu dans un rôle de perdant magnifique pour oser faire la fine bouche. Mercredi 14 décembre, dans le stade Al-Bayt, à Al-Khor, l’équipe de France n’a pas joué sa meilleure partition de la Coupe du monde, mais elle a évité les fausses notes et dominé le Maroc en demi-finales (2-0).
Aux antipodes des intenses et interminables manifestations de joie des Argentins, vainqueurs la veille (3-0) des Croates, les Bleus ont eu le triomphe modeste sur la pelouse. Le sentiment du devoir accompli, sans doute, et une marque de respect pour un adversaire valeureux mais moins galonné. Face au séisme d’enthousiasme provoqué par le Maroc, première équipe africaine dans le dernier carré du tournoi mondial, les coéquipiers du capitaine Hugo Lloris savaient qu’une élimination leur aurait été reprochée. Quand bien même l’objectif initial de la Fédération française de football – atteindre les demi-finales – avait été atteint, après avoir dégoûté les Anglais en quarts de finale.
Il y a eu Saint-Denis, Munich, puis Saint-Pétersbourg ; il y aura désormais Al-Khor. L’histoire retiendra que c’est dans cette localité de 30 000 habitants, au milieu du désert, dans le nord du Qatar, que l’équipe de France s’est qualifiée pour sa quatrième finale de Coupe du monde en vingt-quatre ans.
Pour ces Bleus, une qualification en finale évoque un train qui arrive à l’heure. Il s’agit pourtant d’une performance d’une rare difficulté : avant 1998, date du premier sacre tricolore, les Français n’étaient jamais parvenus en finale dans cette compétition dont la première édition remonte à 1930. Et en cas de titre – ce serait le troisième –, dimanche, contre l’Argentine de Lionel Messi, les Bleus rejoindraient dans l’histoire du football l’Italie (1934 et 1938) et le Brésil de Pelé (1958 et 1962), seules sélections à avoir remporté successivement deux trophées mondiaux.
Mue spectaculaire
Le succès insolent, voire arrogant, de la France depuis quelques années rappelle celui de son ancien meilleur ennemi footballistique : l’Allemagne. Entre 1974 et 1990, l’équipe de la République fédérale (RFA) avait disputé le même nombre de finales pour deux sacres. Les joueurs ouest-allemands avaient brisé les rêves de quelques esthètes : les Pays-Bas de Johan Cruyff en 1974, l’Argentine de Diego Maradona en 1990 ou la France de Michel Platini lors de deux demi-finales, en 1982, en Espagne, et en 1986, au Mexique.
Imperturbable, le football tricolore semble désormais possédé par la force de l’habitude. En dépit des absences et des blessures – cinq joueurs majeurs avant le tournoi et deux titulaires habituels avant le match –, les Bleus donnent l’impression que seule la victoire les repaît. Cette mue spectaculaire doit beaucoup à un homme : Didier Deschamps. Commencer une compétition avec le Basque sur le banc de touche n’est pas une garantie absolue de victoire, mais cela augmente considérablement vos chances.
« DRH » de haut niveau, Père la Victoire et chantre du pragmatisme, le sélectionneur français – qui s’agace parfois de ces caricatures – n’a que faire de démentir les clichés au Qatar. Le beau jeu n’est pas son problème. Il s’agit d’ailleurs d’une notion bien subjective dans un sport qui peut se pratiquer avec tant de styles différents. Davantage que les satisfecit sur la qualité des matchs, la priorité de Deschamps est que son équipe batte ses adversaires, les uns après les autres. Aussi basique que redoutable. « Il y a eu un mélange de qualité, d’expérience, un état d’esprit conquérant, même dans les périodes difficiles, s’est-il félicité. C’est toujours une immense fierté quand on obtient les résultats qu’on veut. »
Et tant pis s’il faut pour cela laisser la possession de balle au Maroc, plutôt habitué à subir jusque-là dans le Mondial. L’entraîneur a confiance en son groupe, qui semble né pour incarner le concept de résilience. Titulaires depuis le 22 novembre, déjà en remplacement de grands joueurs absents, le milieu de terrain Adrien Rabiot et le défenseur Dayot Upamecano, souffrants, n’ont pu jouer cette demi-finale. Qu’à cela ne tienne, Youssouf Fofana et Ibrahima Konaté les remplacent au débotté, sans altérer la qualité de l’équipe.
Un état d’esprit incarné par Griezmann
Ils ne sont pas toujours époustouflants, mais ces Bleus-là n’ont pas peur de souffrir. Un goût du sacrifice incarné par Antoine Griezmann : à 31 ans, le champion du monde 2018 a accepté de remiser son costume de vedette offensive libre de ses mouvements pour se transformer en homme à tout faire. Mi-relayeur et mi-meneur de jeu, « Grizou » avale les kilomètres, et tacle comme un défenseur. « Aujourd’hui, on a souffert et ça fait du bien de souffrir », a confié l’homme du match, qui demeure décisif en attaque.
Samedi, face à l’Angleterre, son centre délicat avait permis à Olivier Giroud d’arracher la victoire. Mercredi, c’est lui qui échappe à un joueur marocain après cinq minutes de jeu pour centrer en direction de Mbappé, dont le tir dévié parvient à Theo Hernandez qui ouvre la marque. Un but providentiel qui a permis d’éviter de tomber dans le piège d’une hermétique équipe marocaine, contrainte dès lors de changer ses plans.
Et quand ses attaquants manquent de réussite, à l’image des ratés de Giroud en première période, l’équipe de France fait le dos rond. La main ferme de son gardien Hugo Lloris évite, avant la pause, une égalisation spectaculaire en retourné acrobatique du défenseur des Lions de l’Atlas, Jawad El Yamiq. « On est une équipe qui sait souffrir », insiste Jules Koundé, défenseur central établi par les circonstances à un poste d’arrière droit et qui passe son Mondial à respecter les consignes restrictives de son coach.
Bien qu’impliqué sur les deux buts ce soir, Kylian Mbappé ne marque plus depuis son doublé en huitièmes de finale face à la Pologne. Mais les Bleus lui trouvent d’inattendus successeurs : Theo Hernandez, donc, et Randal Kolo Muani, qui a libéré les Bleus à dix minutes du terme. « On y a tous cru ce soir et on a été très forts défensivement, j’espère qu’on va rentrer avec la Coupe », assure l’appelé de dernière minute, qui se met au diapason des titulaires.
Propulsé patron du milieu de terrain à 22 ans et vingt sélections, Aurélien Tchouaméni, illustre la mentalité exigeante et conquérante de cette équipe. « Il va falloir qu’on soit prêts, bien conscients de l’opportunité qu’on a d’écrire l’histoire. » Même s’il faut pour cela gâcher celle d’une icône comme Lionel Messi, finaliste malheureux en 2014 et qui court après le titre de champion du monde. Ces Bleus sont désormais des briseurs de rêves.
https://www.lemonde.fr/coupe-du-monde-2022/article/2022/12/15/coupe-du-monde-2022-les-bleus-en-finale-a-la-force-de-l-habitude_6154459_6101826.html
L’équipe de France s’est qualifiée, mercredi 14 décembre, pour la quatrième finale mondiale de son histoire, la deuxième de suite, en mettant fin aux rêves du Maroc (2-0). Elle affrontera l’Argentine de Lionel Messi, dimanche, pour une troisième étoile.
Le football français s’est trop longtemps complu dans un rôle de perdant magnifique pour oser faire la fine bouche. Mercredi 14 décembre, dans le stade Al-Bayt, à Al-Khor, l’équipe de France n’a pas joué sa meilleure partition de la Coupe du monde, mais elle a évité les fausses notes et dominé le Maroc en demi-finales (2-0).
Aux antipodes des intenses et interminables manifestations de joie des Argentins, vainqueurs la veille (3-0) des Croates, les Bleus ont eu le triomphe modeste sur la pelouse. Le sentiment du devoir accompli, sans doute, et une marque de respect pour un adversaire valeureux mais moins galonné. Face au séisme d’enthousiasme provoqué par le Maroc, première équipe africaine dans le dernier carré du tournoi mondial, les coéquipiers du capitaine Hugo Lloris savaient qu’une élimination leur aurait été reprochée. Quand bien même l’objectif initial de la Fédération française de football – atteindre les demi-finales – avait été atteint, après avoir dégoûté les Anglais en quarts de finale.
Il y a eu Saint-Denis, Munich, puis Saint-Pétersbourg ; il y aura désormais Al-Khor. L’histoire retiendra que c’est dans cette localité de 30 000 habitants, au milieu du désert, dans le nord du Qatar, que l’équipe de France s’est qualifiée pour sa quatrième finale de Coupe du monde en vingt-quatre ans.
Pour ces Bleus, une qualification en finale évoque un train qui arrive à l’heure. Il s’agit pourtant d’une performance d’une rare difficulté : avant 1998, date du premier sacre tricolore, les Français n’étaient jamais parvenus en finale dans cette compétition dont la première édition remonte à 1930. Et en cas de titre – ce serait le troisième –, dimanche, contre l’Argentine de Lionel Messi, les Bleus rejoindraient dans l’histoire du football l’Italie (1934 et 1938) et le Brésil de Pelé (1958 et 1962), seules sélections à avoir remporté successivement deux trophées mondiaux.
Mue spectaculaire
Le succès insolent, voire arrogant, de la France depuis quelques années rappelle celui de son ancien meilleur ennemi footballistique : l’Allemagne. Entre 1974 et 1990, l’équipe de la République fédérale (RFA) avait disputé le même nombre de finales pour deux sacres. Les joueurs ouest-allemands avaient brisé les rêves de quelques esthètes : les Pays-Bas de Johan Cruyff en 1974, l’Argentine de Diego Maradona en 1990 ou la France de Michel Platini lors de deux demi-finales, en 1982, en Espagne, et en 1986, au Mexique.
Imperturbable, le football tricolore semble désormais possédé par la force de l’habitude. En dépit des absences et des blessures – cinq joueurs majeurs avant le tournoi et deux titulaires habituels avant le match –, les Bleus donnent l’impression que seule la victoire les repaît. Cette mue spectaculaire doit beaucoup à un homme : Didier Deschamps. Commencer une compétition avec le Basque sur le banc de touche n’est pas une garantie absolue de victoire, mais cela augmente considérablement vos chances.
« DRH » de haut niveau, Père la Victoire et chantre du pragmatisme, le sélectionneur français – qui s’agace parfois de ces caricatures – n’a que faire de démentir les clichés au Qatar. Le beau jeu n’est pas son problème. Il s’agit d’ailleurs d’une notion bien subjective dans un sport qui peut se pratiquer avec tant de styles différents. Davantage que les satisfecit sur la qualité des matchs, la priorité de Deschamps est que son équipe batte ses adversaires, les uns après les autres. Aussi basique que redoutable. « Il y a eu un mélange de qualité, d’expérience, un état d’esprit conquérant, même dans les périodes difficiles, s’est-il félicité. C’est toujours une immense fierté quand on obtient les résultats qu’on veut. »
Et tant pis s’il faut pour cela laisser la possession de balle au Maroc, plutôt habitué à subir jusque-là dans le Mondial. L’entraîneur a confiance en son groupe, qui semble né pour incarner le concept de résilience. Titulaires depuis le 22 novembre, déjà en remplacement de grands joueurs absents, le milieu de terrain Adrien Rabiot et le défenseur Dayot Upamecano, souffrants, n’ont pu jouer cette demi-finale. Qu’à cela ne tienne, Youssouf Fofana et Ibrahima Konaté les remplacent au débotté, sans altérer la qualité de l’équipe.
Un état d’esprit incarné par Griezmann
Ils ne sont pas toujours époustouflants, mais ces Bleus-là n’ont pas peur de souffrir. Un goût du sacrifice incarné par Antoine Griezmann : à 31 ans, le champion du monde 2018 a accepté de remiser son costume de vedette offensive libre de ses mouvements pour se transformer en homme à tout faire. Mi-relayeur et mi-meneur de jeu, « Grizou » avale les kilomètres, et tacle comme un défenseur. « Aujourd’hui, on a souffert et ça fait du bien de souffrir », a confié l’homme du match, qui demeure décisif en attaque.
Samedi, face à l’Angleterre, son centre délicat avait permis à Olivier Giroud d’arracher la victoire. Mercredi, c’est lui qui échappe à un joueur marocain après cinq minutes de jeu pour centrer en direction de Mbappé, dont le tir dévié parvient à Theo Hernandez qui ouvre la marque. Un but providentiel qui a permis d’éviter de tomber dans le piège d’une hermétique équipe marocaine, contrainte dès lors de changer ses plans.
Et quand ses attaquants manquent de réussite, à l’image des ratés de Giroud en première période, l’équipe de France fait le dos rond. La main ferme de son gardien Hugo Lloris évite, avant la pause, une égalisation spectaculaire en retourné acrobatique du défenseur des Lions de l’Atlas, Jawad El Yamiq. « On est une équipe qui sait souffrir », insiste Jules Koundé, défenseur central établi par les circonstances à un poste d’arrière droit et qui passe son Mondial à respecter les consignes restrictives de son coach.
Bien qu’impliqué sur les deux buts ce soir, Kylian Mbappé ne marque plus depuis son doublé en huitièmes de finale face à la Pologne. Mais les Bleus lui trouvent d’inattendus successeurs : Theo Hernandez, donc, et Randal Kolo Muani, qui a libéré les Bleus à dix minutes du terme. « On y a tous cru ce soir et on a été très forts défensivement, j’espère qu’on va rentrer avec la Coupe », assure l’appelé de dernière minute, qui se met au diapason des titulaires.
Propulsé patron du milieu de terrain à 22 ans et vingt sélections, Aurélien Tchouaméni, illustre la mentalité exigeante et conquérante de cette équipe. « Il va falloir qu’on soit prêts, bien conscients de l’opportunité qu’on a d’écrire l’histoire. » Même s’il faut pour cela gâcher celle d’une icône comme Lionel Messi, finaliste malheureux en 2014 et qui court après le titre de champion du monde. Ces Bleus sont désormais des briseurs de rêves.
https://www.lemonde.fr/coupe-du-monde-2022/article/2022/12/15/coupe-du-monde-2022-les-bleus-en-finale-a-la-force-de-l-habitude_6154459_6101826.html
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 15 Déc 2022, 16:49
rodolfo a écrit:Franchement, avec la même équipe qu'hier, au même niveau, nous n'avons aucune chance.
Surtout devant la faculté qu'a l'Argentine (et Messi) d'obtenir des pénos.
Si Rabiot est apte dimanche, ça ira mieux déjà.
Notre défense est fébrile certes, mais finalement ça craque rarement. On s'est pris un pion par match depuis le début, excepté hier.
Si Messi est en feu, ça va être compliqué, surtout niveau latéraux.
Après offensivement, on a la capacité de leur faire mal. Si MBappe sort un grand match tout est possible.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 15 Déc 2022, 17:06
Nougets a écrit:J'ai tendance à penser que la défense argentoise est pas bien mieux lotie.
Pas d'avis sur la question, j'ai vu qu'une partie du metch contre les croatiens, où ils n'étaient pas franchement mis en danger.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par John Holmes » 15 Déc 2022, 19:12
fernando a écrit:rodolfo a écrit:John Holmes a écrit:Elle vous a fait vibrer cette demie finale ?
On a été mauvais mais on a passé 2 buts là où l’Espagne, le Portugal et la Belgique n’en n’ont pas mis 1.
Next.
Merci pour vos non réponses.
Voilà, rien à ajouter.
Savoir gagner en jouant mal et sans paniquer, c'est la marque du champion ^^
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par Baratte » 15 Déc 2022, 19:58
rodolfo a écrit:Les faire sortir de leurs matchs reste assez simples, pour ces gros bâtards d'argentins.
Sans doute la clef du match, même si Mbappé n'a pas toujours réussi à bien plonger hier.
Quels sont les arbitres d'ailleurs pour ce match ?
Bien vu rodolfo ! Content de constater que tu as retrouvé de la lucidité .
L'arbitrage sera la clef du match . Si le siffleur laisse les argentins mettre des tampons comme ils ont l'habitude de le faire en toute impunité comme lors d'un classico Boca / River , c'est sûr que les français vont se faire sodo . Les argentiques ont dans leurs rangs quelques bad-boys de haut niveau ( Otamendi , De Paul , Paredes ) et si ils ne sont pas cadrés par l'arbitre , on est mal barrés .
NB : L'équation Messi est une autre clef du match , mais seul il ne pourra rien faire malgré son talent ... comme en 2014 face aux teutons qui étaient très moyens et jouaient tout le temps à 10 ( Özil n'en a pas branlé une pendant tout le mondial ).
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Yusuf Akbar » 15 Déc 2022, 20:40
L'ARBITRE DE LA FINALE EST CONNU
Il s'agit du Polonais Szymon Marciniak. Un arbitre qui réussit plutôt bien aux deux sélections, puisqu'il était au sifflet lors de la victoire des Bleus face au Danemark (2-1), et celle de l'Albiceleste face à l'Australie (2-1).
Il s'agit du Polonais Szymon Marciniak. Un arbitre qui réussit plutôt bien aux deux sélections, puisqu'il était au sifflet lors de la victoire des Bleus face au Danemark (2-1), et celle de l'Albiceleste face à l'Australie (2-1).
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