Je luis souhaite de bien se faire chier.
Al-Gharafa : Accord avec Nenê
QATAR / AL-GHARAFA :
Nenê, le milieu de terrain offensif du PSG, s'est mis d'accord avec Al-Gharafa (Qatar). Santos a d'ailleurs été prévenu de la décision du Brésilien.
Le feuilleton connaît un énième rebondissement. Comme l'annonce Le Parisien, en contact très avancé avec Santos, qui pensait avoir partie gagnée, Nenê (31 ans), le milieu de terrain offensif du Paris Saint-Germain, s’est finalement mis d’accord avec Al-Gharafa. Alors que le club qatari avait délégué deux représentants à Paris, le Brésilien a donné jeudi soir son feu vert pour un bail de deux ans et demi. Aux côtés de Diego Tardelli ou encore de Mark Bresciano, l’ancien Monégasque pourrait percevoir 4,5-4,8 millions d’euros net par saison (sans compter une prime à la signature d'un million d'euros).
Al-Gharafa propose deux fois plus que Santos
Soit près du double de ce que proposait la formation de Neymar, qui a déjà été prévenue de la décision du Parisien. Après avoir transmis une première proposition qui a été déclinée par l'ex-sociétiaire du Celta Vigo ou encore de l'Espanyol Barcelone, le club entraîné par Silas a sorti le carnet de chèque. Alors qu'il était en passe de retourner au Brésil pour des raisons familiales et sportives, Nenê a finalement cédé face à l’appât du gain. Reste désormais à trouver un accord avec l’actuel leader du championnat de France. Cela ne devrait pas poser trop de problème, le club de la Capitale étant disposer à libérer son joueur en cas de départ ailleurs qu'en Europe.
Trop cher pour l'Europe et même la Chine...
Trop gourmand pour le Besiktas Istanbul, Schalke 04, Al-Hilal ou encore Shanghai Shenhua, le numéro 10 s'apprête donc à poursuivre sa carrière au Qatar. A moins d'un nouveau revirement de situation, homme fort de l'actuel leader du championnat de France la saison passée, Nenê va partir par la petite porte. Le Brésilien est parti pour gonfler son compte en banque, mais peut faire une croix sur la Coupe du Monde 2014. Un choix de carrière...
Transferts: bruits, rumeurs, et autres hallucinations...
par une des fakes de Der » 11 Jan 2013, 17:26
Y a eu un reportage sur Nene y a quelques mois sur C+. On le voit chez lui, avec sa famille, ses amis, toujours avec un mot pour dieu ou à dire qu'il est super croyant et que sans la foi et la famille, il serait rien...Là il a eu le choix entre un retour au Brésil, auprès de sa famille et le Qatar et ses pétro dollars. Dieu et la famille ne pèse plus très lourd. Enculé va.
par une des fakes de Der » 11 Jan 2013, 17:28
encore un qui fuit la France, enculé!! l'a joué dans quel film dejà lui?
par une des fakes de Der » 11 Jan 2013, 17:34
fin bon y a plus 20 ans, 3 ans à prendre la caillasse et trankil
par une des fakes de Der » 11 Jan 2013, 18:30
oué, il a plus 20 ans, mais avec ce qu'il a gagné depuis le début de sa carrière il a de quoi faire vivre 3 générations de Néné...et en repartant au Brésil, il serait pas devenu smicardinho non plus.
par une des fakes de Der » 11 Jan 2013, 19:10
kaptn_kvern a écrit:Y a eu un reportage sur Nene y a quelques mois sur C+. On le voit chez lui, avec sa famille, ses amis, toujours avec un mot pour dieu ou à dire qu'il est super croyant et que sans la foi et la famille, il serait rien...Là il a eu le choix entre un retour au Brésil, auprès de sa famille et le Qatar et ses pétro dollars. Dieu et la famille ne pèse plus très lourd. Enculé va.
par une des fakes de Der » 13 Jan 2013, 14:56
Lille : Baraye suivi
L1 / LILLE :
Le milieu de terrain offensif sénégalais Yves Baraye (AC Lumezzane) intéressse Lille.
Alors que Nicolas De Préville (Istres) et Florian Thauvin (Bastia) semblent hors de portée, Lille s’est récemment renseigné sur la situation du milieu de terrain offensif sénégalais Yves Baraye (20 ans, AC Lumezzane), également suivi par certaines formations de Serie A.
L1 / LILLE :
Le milieu de terrain offensif sénégalais Yves Baraye (AC Lumezzane) intéressse Lille.
Alors que Nicolas De Préville (Istres) et Florian Thauvin (Bastia) semblent hors de portée, Lille s’est récemment renseigné sur la situation du milieu de terrain offensif sénégalais Yves Baraye (20 ans, AC Lumezzane), également suivi par certaines formations de Serie A.
par une des fakes de Der » 13 Jan 2013, 16:14
Rémy : OM et Newcastle OK
Acheté 15,5 millions d'euros à Nice (+25% d'une éventuelle revente), Loïc Rémy pourrait quitter Marseille dans les prochaines heures contre 10,5 millions d'euros. L'OM a un accord de principe avec les Magpies. Désormais, l'attaquant international français doit se mettre d'accord avec le club anglais. Il a salué ses coéquipiers et a quitté Sochaux, où Marseille doit jouer ce dimanche soir.
Acheté 15,5 millions d'euros à Nice (+25% d'une éventuelle revente), Loïc Rémy pourrait quitter Marseille dans les prochaines heures contre 10,5 millions d'euros. L'OM a un accord de principe avec les Magpies. Désormais, l'attaquant international français doit se mettre d'accord avec le club anglais. Il a salué ses coéquipiers et a quitté Sochaux, où Marseille doit jouer ce dimanche soir.
par une des fakes de Der » 13 Jan 2013, 17:27
Il ressemble plus à rien le championnat. Le PSG achète n'importe qui à n'importe quel prix, et on entend des rumeurs délirantes pour la suite (Ronaldo, Falcao...), et tous les autres clubs sont au pain sec et se font piller.
par une des fakes de Der » 13 Jan 2013, 17:30
fernando a écrit:Lille : Baraye suivi
L1 / LILLE :
Le milieu de terrain offensif sénégalais Yves Baraye (AC Lumezzane) intéressse Lille.
Alors que Nicolas De Préville (Istres) et Florian Thauvin (Bastia) semblent hors de portée, Lille s’est récemment renseigné sur la situation du milieu de terrain offensif sénégalais Yves Baraye (20 ans, AC Lumezzane), également suivi par certaines formations de Serie A.
'tain sinon lire des choses pareilles...
par une des fakes de Der » 13 Jan 2013, 19:15
On va vite ressembler au championnat Belge à ce rythme, des équipes pleines de mecs à la relance ou de pré-pubères en rodage avant un départ.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 09:42
Fenerbahçe suit Béria
En quête d'un défenseur latéral, Fenerbahçe apprécie, selon nos informations, le profil du Lillois Franck Béria, lié au club nordiste jusqu'en 2016. Aucune offre n'est toutefois encore parvenue aux Dogues à ce sujet.
En quête d'un défenseur latéral, Fenerbahçe apprécie, selon nos informations, le profil du Lillois Franck Béria, lié au club nordiste jusqu'en 2016. Aucune offre n'est toutefois encore parvenue aux Dogues à ce sujet.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 13:16
Culbute contre son camp
Les débats sur "l'exode des footballeurs" et le "pillage des centres de formation" sont à peu près aussi vieux que l'arrêt Bosman, et ont la plupart du temps été posés de travers: il n'y a jamais eu de "pillage", et l'exode des joueurs – qu'ils aient été formés ou valorisés en France – a toujours été un élément essentiel du modèle économique des clubs français, qui trouvent une part importante de leurs ressources dans la vente des joueurs. Depuis que la crise a ralenti l'activité du marché des transferts et conduit les clubs à devoir alléger leur masse salariale, certains poussent même franchement leurs meilleurs joueurs à accepter les premières offres venues [1].
DU PÉTROLE SOUS LA PELOUSE
Le dérèglement du marché mondial des transferts se traduit par bien d'autres signes, comme les nouveaux rapports de force entre pays et continents. Le palmarès des destinations préférées a fortement évolué ces dernières années. Les clubs "nouveaux riches" rivalisent avec les places fortes plus traditionnelles et écrasent le marché des joueurs partout où l'on a trouvé du pétrole sous la pelouse: à Chelsea, Manchester City ou le PSG, par ordre chronologique, et chez quelques outsiders plus ou moins heureux (Malaga, Queens Park Rangers).
À l'échelle des pays, le Brésil retrouve une capacité à racheter plus tôt quelques-uns de ses meilleurs expatriés, et d'une manière générale, les Européens de l'Ouest ont vu leur domination s'amoindrir, concurrencés par exemple par la Russie, où il arrive aussi aux fortunes locales d'investir (en particulier au Zenith Saint-Pétersbourg et à l'Anzhi Makhatchkala, qui ont notamment attiré Hulk et Samuel Eto'o, ce dernier pour un salaire détenant le record mondial). L'évolution ne profite pas vraiment à la MLS, les clubs nord-américains n'ayant pas assez d'assise économique, mais plutôt à des championnats dits exotiques: ceux, désormais traditionnels, des émirats du Golfe, et celui, plus récemment, de la Chine.
PROPOSITIONS INDÉCENTES
Les joueurs ciblés ont jusque-là surtout appartenu à la catégorie des vedettes en fin de carrière, qui substituent au "dernier challenge sportif" la perspective de signer un ultime contrat lucratif. Les pionniers de cet exil-là – Romario, Batistuta, Effenberg notamment, il y a une dizaine d'année – s'étaient pour la plupart dirigés vers la Qatar, aux côtés de joueurs moins prestigieux (Fiorèse, Lamouchi...). L'émirat était alors dans sa première phase de sa stratégie de diplomatie par le football, soldée par un échec et un changement de cap [2]. La région reste recruteuse, mais également de joueurs de standing plus modeste, souvent plus jeunes et parfois prometteurs.
On a ainsi vu Youssef El-Arabi partir de Caen à seulement vingt-quatre ans vers Al-Hillal (Arabie Saoudite), ou le Rennais Jirès Kembo, d'un an son cadet, choisir Al Ain (EAU). La congestion du marché européen des transferts incite ainsi des joueurs en devenir à mettre leur carrière entre parenthèses, pour ne pas dire en péril, en cédant à des offres de contrat financièrement impensables pour eux dans des championnats pourtant plus huppés. Nenê, lui, trente-et-un ans et en pleine possession de ses moyens, file à Al Gharafa au Qatar pour une proposition "qui ne se présente pas deux fois dans une vie", a dit le Brésilien (on parle de dix ou onze millions d'euros nets sur deux ans).
"CHOIX DE VIE"
Guillaume Hoarau a conclu un transfert qui laisse encore plus perplexe, en rejoignant le Dalian Aerbin. Promis à un faible temps de jeu à Paris, l'international de vingt-huit ans aurait pu sans difficulté trouver un club en Europe, mais peut-être pas au même niveau de rémunération, et certainement pas à celui de ce qu'il va percevoir en Chine. Sans faire injure au jeune championnat chinois, c'est un peu comme si le joueur mettait fin à sa carrière pour réaliser une très grosse opération financière. Un de ses anciens coéquipiers a proposé un nouvel euphémisme pour cette décision: un "choix de vie". Et effectivement, ce choix d'une préretraite revient à renoncer à (presque) toute ambition sportive pour s'assurer une retraite (encore plus) dorée.
En Chine, Hoarau croisera peut-être Nicolas Anelka et Didier Drogba, qu'on dit toutefois sur le retour de Shanghai: ceux-là n'ont pas renoncé à glaner encore un peu de prestige en quêtant les piges possibles dans les clubs européens capables d'assumer leur montant d'honoraires. Car le caractère durable de ces destinations [3], comme de l'investissement dans les clubs locaux par des propriétaires que la chronique décrit souvent comme "hauts en couleurs" et plus ou moins sulfureux, est évidemment douteux. Tout comme l'efficacité de la méthode, au-delà de l'opération de communication, pour faire progresser les équipes et consolider un football professionnel national.
On ne peut évidemment pas s'étonner que des stars en bout de carrière aillent en quelque sorte disputer des saisons exhibitions pour toucher un pactole. À un stade intermédiaire, bien des joueurs quittent la Ligue 1 pour les effectifs pléthoriques de clubs de milieu ou de fin de tableau de Premier League: ils intégrent un championnat prestigieux, mais le critère économique (pour eux et leur club) est là aussi déterminant. On se désolera surtout que des joueurs qui ont encore une carrière sportive devant eux décident d'agir uniquement comme des gestionnaires de fortune – la leur – en ralliant eux aussi les eldorados de la nouvelle mappemonde du football.
[1] Ce mercato hivernal a ainsi quelque chose d'un mois de soldes, qui voit Valenciennes ou Nancy se séparer de joueurs importants (Kadir et Gil pour l'un, André Luiz et Mollo pour l'autre), alors que les Nordistes ont effectué une bonne première partie de saison et que les Lorrains sont censés lutter pour le maintien). Lille laisse filer Debuchy après Landreau et Lyon met Gomis et Lisandro en vitrine. On récure, on dégraisse, et ne donne pas vraiment l'impression de vouloir briller. Les montants restent pourtant modestes, à de rares exceptions près (Gil, 3,5 millions vers les Corinthians, Debuchy, 6,5 millions à Newcastle).
[2] Se distinguant de ses voisins, Doha a mis en place une politique volontariste de création d'infrastructures et de développement d'un système de formation, mais l'engouement pour le football y reste très hypothétique: ce sport a longtemps été étranger à la culture locale et le championnat s'y déroule devant des tribunes vides. Les dirigeants qataris ont plus retour sur investissements à attendre de l'obtention de la Coupe du monde 2022, de leur reprise du Paris-Saint-Germain et des conquêtes audiovisuelles d'Al-Jazira. (lire aussi "Qatar, l'émirat et les miracles")
[3] El Arabi est ainsi revenu à Grenade l'été dernier.
Les débats sur "l'exode des footballeurs" et le "pillage des centres de formation" sont à peu près aussi vieux que l'arrêt Bosman, et ont la plupart du temps été posés de travers: il n'y a jamais eu de "pillage", et l'exode des joueurs – qu'ils aient été formés ou valorisés en France – a toujours été un élément essentiel du modèle économique des clubs français, qui trouvent une part importante de leurs ressources dans la vente des joueurs. Depuis que la crise a ralenti l'activité du marché des transferts et conduit les clubs à devoir alléger leur masse salariale, certains poussent même franchement leurs meilleurs joueurs à accepter les premières offres venues [1].
DU PÉTROLE SOUS LA PELOUSE
Le dérèglement du marché mondial des transferts se traduit par bien d'autres signes, comme les nouveaux rapports de force entre pays et continents. Le palmarès des destinations préférées a fortement évolué ces dernières années. Les clubs "nouveaux riches" rivalisent avec les places fortes plus traditionnelles et écrasent le marché des joueurs partout où l'on a trouvé du pétrole sous la pelouse: à Chelsea, Manchester City ou le PSG, par ordre chronologique, et chez quelques outsiders plus ou moins heureux (Malaga, Queens Park Rangers).
À l'échelle des pays, le Brésil retrouve une capacité à racheter plus tôt quelques-uns de ses meilleurs expatriés, et d'une manière générale, les Européens de l'Ouest ont vu leur domination s'amoindrir, concurrencés par exemple par la Russie, où il arrive aussi aux fortunes locales d'investir (en particulier au Zenith Saint-Pétersbourg et à l'Anzhi Makhatchkala, qui ont notamment attiré Hulk et Samuel Eto'o, ce dernier pour un salaire détenant le record mondial). L'évolution ne profite pas vraiment à la MLS, les clubs nord-américains n'ayant pas assez d'assise économique, mais plutôt à des championnats dits exotiques: ceux, désormais traditionnels, des émirats du Golfe, et celui, plus récemment, de la Chine.
PROPOSITIONS INDÉCENTES
Les joueurs ciblés ont jusque-là surtout appartenu à la catégorie des vedettes en fin de carrière, qui substituent au "dernier challenge sportif" la perspective de signer un ultime contrat lucratif. Les pionniers de cet exil-là – Romario, Batistuta, Effenberg notamment, il y a une dizaine d'année – s'étaient pour la plupart dirigés vers la Qatar, aux côtés de joueurs moins prestigieux (Fiorèse, Lamouchi...). L'émirat était alors dans sa première phase de sa stratégie de diplomatie par le football, soldée par un échec et un changement de cap [2]. La région reste recruteuse, mais également de joueurs de standing plus modeste, souvent plus jeunes et parfois prometteurs.
On a ainsi vu Youssef El-Arabi partir de Caen à seulement vingt-quatre ans vers Al-Hillal (Arabie Saoudite), ou le Rennais Jirès Kembo, d'un an son cadet, choisir Al Ain (EAU). La congestion du marché européen des transferts incite ainsi des joueurs en devenir à mettre leur carrière entre parenthèses, pour ne pas dire en péril, en cédant à des offres de contrat financièrement impensables pour eux dans des championnats pourtant plus huppés. Nenê, lui, trente-et-un ans et en pleine possession de ses moyens, file à Al Gharafa au Qatar pour une proposition "qui ne se présente pas deux fois dans une vie", a dit le Brésilien (on parle de dix ou onze millions d'euros nets sur deux ans).
"CHOIX DE VIE"
Guillaume Hoarau a conclu un transfert qui laisse encore plus perplexe, en rejoignant le Dalian Aerbin. Promis à un faible temps de jeu à Paris, l'international de vingt-huit ans aurait pu sans difficulté trouver un club en Europe, mais peut-être pas au même niveau de rémunération, et certainement pas à celui de ce qu'il va percevoir en Chine. Sans faire injure au jeune championnat chinois, c'est un peu comme si le joueur mettait fin à sa carrière pour réaliser une très grosse opération financière. Un de ses anciens coéquipiers a proposé un nouvel euphémisme pour cette décision: un "choix de vie". Et effectivement, ce choix d'une préretraite revient à renoncer à (presque) toute ambition sportive pour s'assurer une retraite (encore plus) dorée.
En Chine, Hoarau croisera peut-être Nicolas Anelka et Didier Drogba, qu'on dit toutefois sur le retour de Shanghai: ceux-là n'ont pas renoncé à glaner encore un peu de prestige en quêtant les piges possibles dans les clubs européens capables d'assumer leur montant d'honoraires. Car le caractère durable de ces destinations [3], comme de l'investissement dans les clubs locaux par des propriétaires que la chronique décrit souvent comme "hauts en couleurs" et plus ou moins sulfureux, est évidemment douteux. Tout comme l'efficacité de la méthode, au-delà de l'opération de communication, pour faire progresser les équipes et consolider un football professionnel national.
On ne peut évidemment pas s'étonner que des stars en bout de carrière aillent en quelque sorte disputer des saisons exhibitions pour toucher un pactole. À un stade intermédiaire, bien des joueurs quittent la Ligue 1 pour les effectifs pléthoriques de clubs de milieu ou de fin de tableau de Premier League: ils intégrent un championnat prestigieux, mais le critère économique (pour eux et leur club) est là aussi déterminant. On se désolera surtout que des joueurs qui ont encore une carrière sportive devant eux décident d'agir uniquement comme des gestionnaires de fortune – la leur – en ralliant eux aussi les eldorados de la nouvelle mappemonde du football.
[1] Ce mercato hivernal a ainsi quelque chose d'un mois de soldes, qui voit Valenciennes ou Nancy se séparer de joueurs importants (Kadir et Gil pour l'un, André Luiz et Mollo pour l'autre), alors que les Nordistes ont effectué une bonne première partie de saison et que les Lorrains sont censés lutter pour le maintien). Lille laisse filer Debuchy après Landreau et Lyon met Gomis et Lisandro en vitrine. On récure, on dégraisse, et ne donne pas vraiment l'impression de vouloir briller. Les montants restent pourtant modestes, à de rares exceptions près (Gil, 3,5 millions vers les Corinthians, Debuchy, 6,5 millions à Newcastle).
[2] Se distinguant de ses voisins, Doha a mis en place une politique volontariste de création d'infrastructures et de développement d'un système de formation, mais l'engouement pour le football y reste très hypothétique: ce sport a longtemps été étranger à la culture locale et le championnat s'y déroule devant des tribunes vides. Les dirigeants qataris ont plus retour sur investissements à attendre de l'obtention de la Coupe du monde 2022, de leur reprise du Paris-Saint-Germain et des conquêtes audiovisuelles d'Al-Jazira. (lire aussi "Qatar, l'émirat et les miracles")
[3] El Arabi est ainsi revenu à Grenade l'été dernier.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 15:41
Interrogé en conférence de presse à la veille de la demi-finale de Coupe de la Ligue contre Saint-Étienne, l’entraîneur de Lille Rudi Garcia a évoqué le mercato et dressé le portrait-robot de la recrue qu’il aimerait idéalement accueillir.
« Il ne s’agit pas de recruter un joueur qui ne nous serait utile qu’en janvier. Il faut un joueur qui s’intègre dans le projet. Ce n’est jamais évident de trouver en janvier, même si recruter en janvier laisse la possibilité d’intégrer un joueur pendant six mois pour la saison prochaine. Ça travaille, ça cherche. Mais pour l’instant, on n’a pas trouvé de bonne opportunité », a-t-il confié. Les Dogues trouveront-ils leur bonheur ?
Ça commence à tourner au sketch son histoire de projet
« Il ne s’agit pas de recruter un joueur qui ne nous serait utile qu’en janvier. Il faut un joueur qui s’intègre dans le projet. Ce n’est jamais évident de trouver en janvier, même si recruter en janvier laisse la possibilité d’intégrer un joueur pendant six mois pour la saison prochaine. Ça travaille, ça cherche. Mais pour l’instant, on n’a pas trouvé de bonne opportunité », a-t-il confié. Les Dogues trouveront-ils leur bonheur ?
Ça commence à tourner au sketch son histoire de projet
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 15:47
Un joueur pas cher avec peu d'ambition et pas trop envie de gagner mais un peu quand même.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:04
Surtout quelqu'un de bipolaire avec tendance au renfermement fœtal lorsqu'il mène au score.
Ca court pas les rues.
Ca court pas les rues.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:17
avec tjs des regrets a la fin du match et qui annonce qui faudra se bouger le cul pour le prochain match.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:33
GilbertSedman a écrit:Ça commence à tourner au sketch son histoire de projet
C'est clair ça devient grotesque ce leitmotiv et cette comm en bois.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:33
Beck82 a écrit:Surtout quelqu'un de bipolaire avec tendance au renfermement fœtal lorsqu'il mène au score.
Ca court pas les rues.
^^
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:35
Ah les bons mercenaires attirés par l'odeur des pétrodollars...
Ben Arfa : «Paris, un rêve d'enfant»
Bientôt de retour à la compétition avec Newcastle, Hatem Ben Arfa s'est exprimé sur son attrait pour le Paris Saint-Germain. «Ce club fait partie de moi», dit-il.
Présent vendredi au Parc des Princes pour la rencontre de PSG - Ajaccio (0-0), Hatem Ben Arfa a accordé une interview au journal Le Parisien. L'attaquant de Newcastle, blessé depuis mi-décembre, a dans un premier temps évoqué son retour à la compétition : «J'en ai encore pour un bon mois. Je devrais pouvoir reprendre (avec Newcastle) mi-février». L'ex Marseillais et ex-Lyonnais a ensuite expliquer le lien qu'il entretenait avec le club de la capitale : «J'avais un grand-frère complètement fan du PSG. Il m'a transmis sa passion. Le PSG fait partie de moi». Une passion qu'il voudrait vivre de l'intérieur ?
Priorité à Newcastle
Lorsqu'on lui demande s'il se verrait bien jouer avec les Parisiens aux côtés d'Ibrahimovic, l'international français répond sans équivoque : «Signer au PSG serait un rêve d'enfant. S'il y a une proposition je l'étudierai avec grand intérêt. Ce serait un honneur de jouer avec lui (Ibrahimovic). Ben Harfa n'oublie pas cependant Newcastle et rappelle ses priorités : «Je suis actuellement sous contrat à Newcastle et j'y suis très bien. D'abord il faut que je sauve mon club. Une fois mon club sauvé, on ne sait jamais.»
Ben Arfa : «Paris, un rêve d'enfant»
Bientôt de retour à la compétition avec Newcastle, Hatem Ben Arfa s'est exprimé sur son attrait pour le Paris Saint-Germain. «Ce club fait partie de moi», dit-il.
Présent vendredi au Parc des Princes pour la rencontre de PSG - Ajaccio (0-0), Hatem Ben Arfa a accordé une interview au journal Le Parisien. L'attaquant de Newcastle, blessé depuis mi-décembre, a dans un premier temps évoqué son retour à la compétition : «J'en ai encore pour un bon mois. Je devrais pouvoir reprendre (avec Newcastle) mi-février». L'ex Marseillais et ex-Lyonnais a ensuite expliquer le lien qu'il entretenait avec le club de la capitale : «J'avais un grand-frère complètement fan du PSG. Il m'a transmis sa passion. Le PSG fait partie de moi». Une passion qu'il voudrait vivre de l'intérieur ?
Priorité à Newcastle
Lorsqu'on lui demande s'il se verrait bien jouer avec les Parisiens aux côtés d'Ibrahimovic, l'international français répond sans équivoque : «Signer au PSG serait un rêve d'enfant. S'il y a une proposition je l'étudierai avec grand intérêt. Ce serait un honneur de jouer avec lui (Ibrahimovic). Ben Harfa n'oublie pas cependant Newcastle et rappelle ses priorités : «Je suis actuellement sous contrat à Newcastle et j'y suis très bien. D'abord il faut que je sauve mon club. Une fois mon club sauvé, on ne sait jamais.»
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:41
fernando a écrit:Je luis souhaite de bien se faire chier..
C'est aussi ça le communisme.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:55
Ben Arfa en juin 2008:
Pour finir, qu’est ce qui a fait que votre choix s’est porté sur l’OM ?
C’est un club dans lequel tout joueur rêve d’évoluer par rapport au public, à toute la chaleur autour de ce club. C’est vraiment un choix du cœur. Quel joueur n’aimerait pas jouer ici ? C’est vraiment une belle expérience que je m’apprête à vivre et je suis très content d’avoir choisi l’OM.
Pour finir, qu’est ce qui a fait que votre choix s’est porté sur l’OM ?
C’est un club dans lequel tout joueur rêve d’évoluer par rapport au public, à toute la chaleur autour de ce club. C’est vraiment un choix du cœur. Quel joueur n’aimerait pas jouer ici ? C’est vraiment une belle expérience que je m’apprête à vivre et je suis très content d’avoir choisi l’OM.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 16:55
Ben arfa 2008 : l'OM est le club "où tout joueur rêverait de jouer".
Qui est en ligne ?
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Bing [Bot], nicobungy et 63 invité(s)