Ligue des champions

Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 13:53

Raciste!
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 13:53

Der a écrit:
bijams a écrit:Peutin.
Mavuba ne risque pas de revenir en EdF.

Parce qu'il est noir?


Non parce qu'il est gros.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 13:54

ChevalierBlanc a écrit:
Der a écrit:
bijams a écrit:Peutin.
Mavuba ne risque pas de revenir en EdF.

Parce qu'il est noir?


Non parce qu'il est gros.

Raciste!²
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:07

Hé comment ça va Bij?
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:08

fernando a écrit:Hé comment ça va Bij?

Il est gros et noir de bronzage !
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:10

GilbertSedman a écrit:
fernando a écrit:Hé comment ça va Bij?

Il est gros et noir de bronzage !


Raciste !
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:10

GilbertSedman a écrit:
fernando a écrit:Hé comment ça va Bij?

Il est gros et noir de bronzage !


Et fan du QSG, putain il a changé not Bijou !

Kan est-ce que tu rentres ma couille, ici c'est bientôt (si cet enfoiré de Bitos nous pourri pas la saison) la réouverture de la terrasse du Grom'...
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:12

W a écrit:Pas de ma faute si vous êtes en mode kiko à toujours répéter la même chose. On a compris que Paris a de l'argent..


Une équipe all stars construite à coups de chéquiers en 1 an et demi en mode "crédits illimités", que ça joue bien ou pas effectivement ça m'intéresse pas de regarder leurs matchs, voilà tout.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:13

ils n'ont pas tant d'argent que ça le PSG....
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:42

cha va. C'est un peu le bordel là bas en ce moment, y a plus de 1er ministre et niveau enveloppe, sont plus gourmands les barbus...
Suis en France là.
Je serai sur Lille la semaine pro.
Donc si le tps le permet, 'Romarin crou.

j'ai des tofs à montrer à Beru en plus.
miam miam.

A propos du Qsg, m'en tape d'où vient l'argent, ça me concerne pas mais je me suis regalé à mater le match. Même contre Valence, c'etait plaisant.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:43

Vendu sinon rdv la semaine prochaine Romarin Krew.
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 14:59

Joey Barton, qui a traité mardi Thiago Silva de «mauviette», «Brésilien surcoté» ou encore de «gros tas» dans un même tweet, a présenté ses excuses au défenseur du PSG pendant le quart de finale aller du PSG en Ligue des champions contre le Barça (2-2). Un match où le Brésilien, noté 8 dans notre quotidien, a brillé. «Je dois retirer ce que j’ai dit sur Thiago Silva qui était surcoté. Il a été immense ce soir», a écrit le milieu anglais de l’OM.

Avant d’en remettre une couche : «Mais il ressemble toujours à un transsexuel en surpoids ! (...) Thiago Silva a fait le match de sa carrière. Ce n'était pas le bon jour pour dire qu'il était surestimé. Avec le recul, j'aurais dû attendre. bâtard».
Chris Waddle, la légende marseillaise (1989-1992) avait pris indirectement la défense du Brésilien mardi dans une interview au Chronicle, un quotidien de Newcastle. «Joey ne joue pas mal mais il n’a encore rien fait d’exceptionnel. C’est un bon joueur, mais est-il aussi fort qu’il le croit ? Quand vous vous faîtes mousser comme ça, c’est qu’il y a un problème.»
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 15:14

bijams a écrit:A propos du Qsg, m'en tape d'où vient l'argent, ça me concerne pas mais je me suis regalé à mater le match. Même contre Valence, c'etait plaisant.


Vivement une ligue fermée d'ultra riches et/ou ultra-endettés qui joueront entre eux et proposeront des affiches de rêve tous les week-ends, avec du beau jeu et des stars en veux-tu en voilà . Ca rétablira un peu d'équité dans les autres compétitions.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 15:44

suis d'ac avec toi fernando.
c'est prévu pour quand ??
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 15:51

Dans deux ans selon le Times.
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 16:42

ET selon les cahiers ?
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 16:45

Tout pareil.

édit: Tiens je suis encore à l'heure d'Hiver moi.
édit²: Ah c'est mieux ainsi.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 17:10

Image
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 17:11

Cet article résume assez bien mon sentiment vis à vis de l'évolution du foot, dont la branlette généralisée autour du QSG n'est que le dernier avatar en date :

Réguler pour mieux régner

L'industrie du football, c'est comme le nucléaire: on se demande quel degré de catastrophe il faut atteindre pour y réfléchir sérieusement. C'est en tout cas après presque vingt ans de fuite en avant financière que s'esquisse un retour de balancier, ou du moins qu'il ne prend des formes concrètes. Et il est vrai que les semaines récentes ont marqué une forme d'accélération, avec une série de mesures, d'annonces et de recommandations allant toutes dans le sens d'une plus grande régulation de l'économie du football, devenue une caricature d'expérience ultralibérale depuis la brèche ouverte par l'arrêt Bosman en 1995.

INÉGALITÉ ORGANISÉE

De cette dérégulation ont résulté deux conséquences principales. D'une part une explosion des sommes circulant dans cette industrie (explosion consécutive à celle des droits de diffusion, et sommes essentiellement consacrées à l'achat et à la rémunération des joueurs), conduisant à une crise globale et un endettement massif des clubs – y compris des plus riches. D'autre part un creusement exponentiel des écarts de richesse entre une oligarchie de clubs européens et les autres, mécanisme organisé par des systèmes de redistribution des ressources parfaitement inégalitaires (à commencer par celui de la Ligue des champions – lire "Riche à crever"). [1]

"L’évolution du marché des transferts affecte l’équité des compétitions sportives et remet en cause la nécessaire incertitude des résultats. Les résultats des compétitions doivent être pour l’essentiel le reflet des accomplissements sportifs et non le reflet quasi systématique des moyens financiers." Voilà l'une des conclusions d'une étude publiée en début d'année par la Commission européenne sur le marché des transferts (réalisée par KEA et le CDES), qui constate l'échec de la réforme engagée en 2001 par la FIFA sous l'égide européenne: "Les règles en matière de transfert ne parviennent pas à lutter efficacement contre les déséquilibres compétitifs puisqu’il existe un lien très fort entre les dépenses en matière de transfert et les résultats sportifs, en particulier depuis 2001."

PUISSANCE ÉCONOMIQUE PLUTÔT QU'EXCELLENCE SPORTIVE

Pour rétablir l'équité sportive, le rapport préconise une série de mesures: entre autres, taxation des transferts pour assurer une redistribution au profit des clubs les moins nantis, limitation des effectifs professionnels à 25, indexation stricte des montants de transferts sur la durée du contrat restante, limitation des prêts de joueurs, augmentation de l'indemnité de solidarité (de 2% actuellement, à de 5 à 8%), transparence des montages financiers mis en œuvre pour les transferts...

Les auteurs soulignent aussi les opportunités offertes à la criminalité organisée (corruption, paris truqués, trafic de joueurs), et s'inquiète de "la remise en cause du rôle et du pouvoir des fédérations pour organiser et réguler les compétitions alors qu’elles font face à des clubs de plus en plus puissants". Leur étude se contente de formuler des recommandations, mais elle a le mérite de souligner que c'est l'intérêt même des compétitions qui se dissout progressivement dans l'ultra-domination d'une poignée d'équipes. "L’ampleur de la rigidification du résultat des compétitions sportives (...) amène à remettre en cause l’idée selon laquelle les règles sportives en Europe sont encore basées sur l’excellence sportive à travers un système de promotion et de relégation – l’Europe du sport n’est-elle pas progressivement en train de tendre vers un système de ligue de facto fermée (au niveau de l’élite)?"

CAPITULATION EUROPÉENNE

De son côté, l'hégémonique Premier League a adopté un système de limitation de l'inflation des salaires, sans toutefois recourir à un strict salary cap, qui cherche aussi à limiter les pertes à 123 millions d'euros sur trois ans. Ce dispositif très souple laisse cependant bien des marges pour échapper aux restrictions, et comme l'analyse le blog 7amkickoff.com, il risque en définitive... de "pérenniser l'hégémonie des clubs du haut du panier" et de "créer un sous-prolétariat permanent", ne réussissant ainsi qu'à "récompenser les formations ayant acquis un avantage injuste en recourant au dopage financier" au cours des dernières années. Seul frein, selon The Independent: le prochain Abramovitch aura simplement besoin d'un peu plus de temps pour construire un nouveau Chelsea.

En France, où le problème se pose différemment, mais a pris un relief tout particulier avec l'émergence du PSG sous actionnariat qatari, c'est un rapport sénatorial qui creusé le même sillon. Le rapporteur Jean-François Humbert y remarque l'abdication de la Commission européenne devant toute tentative d'opposer la "spécificité des activités sportives", pourtant reconnue par l'UE, à la dérégulation post-Bosman – notamment au travers du refus de la règle du 6+5 proposée par la FIFA au profit du 8 sur 25 de l'UEFA [2] dont les effets ont été limités.

LE FAIR-PLAY FINANCIER DÉJÀ CONTOURNÉ

Ces actualités s'inscrivent dans le contexte de la mise en œuvre progressive du "fair-play financier" de l'UEFA, qui établit un contrôle comptable des clubs et leur impose diverses contraintes, la plus importante étant la limitation des déficits à 45 puis à partir de 2015) 30 millions d'euros sur trois ans. Les contributions des actionnaires pour combler les pertes n'étant pas comptabilisées, il s'agit d'obliger les clubs à ne compter que sur leurs propres revenus, sous peine d'exclusion des compétitions européennes. Des doutes s'expriment déjà sur la fermeté de l'UEFA si la sanction menace un ou plusieurs des grandes écuries du continent, mais surtout, les moyens de contournement existent déjà. Ainsi, le Paris Saint-Germain devrait-il pouvoir inscrire à son crédit les 150 puis 200 millions d'euros annuels que lui assure son contrat de sponsoring avec... la Qatar Tourism Authority (lire aussi: "Fair-play financier contre dopage économique").

"Les plus gros clubs actuels, qui ont déjà investi et occupent le devant de la scène verront leur place consolidée. L’aléa sportif, défendu par la Commission européenne, est de fait loin d’être garanti", estime à ce sujet le rapport sénatorial, qui rejoint ici l'étude européenne et l'opinion générale.

L'EMPIRE PEUT DORMIR TRANQUILLE

On s'étonne pourtant de la lenteur de la prise de conscience, alors que les conséquences de la dérive financière du football sont évidentes depuis une quinzaine d'années, de même que la destruction méthodique aussi bien de l'aléa sportif que de l'équité des compétitions. À cet égard, l'indifférence et la passivité des médias sportifs auront été absolument consternantes.

Si aujourd'hui les constats sont enfin unanimes pour décrire une situation plus qu'alarmante et des menaces graves, les mesures envisagées ou déjà adoptées restent très hypothétiques dans leur application et leurs effets. Au mieux, elles ne semblent pouvoir que limiter les dégâts, sans remettre en cause la suprématie acquise par quelques clubs au cours de cette période de course aux armements. La corrélation entre puissance économique et efficacité sportive en serait à peine amoindrie. À l'instar du fair-play financier, ces régulations ne réparent que les dommages économiques, pas ceux faits au football, et vont s'apparenter à un dispositif de sauvegarde évitant l'explosion de la bulle. On ne peut pas réellement en attendre plus d'équité, tout au plus un peu moins d'iniquité: l'industrie du football ingérera ces réformes qui lui éviteront un krach quand c'est bien d'un krach – ou d'une révolution – qu'elle aurait besoin.

http://latta.blog.lemonde.fr/2013/04/02/reguler-pour-mieux-regner/
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 17:38

fernando a écrit:Cet article résume assez bien mon sentiment vis à vis de l'évolution du foot, dont la branlette généralisée autour du QSG n'est que le dernier avatar en date :

Réguler pour mieux régner

L'industrie du football, c'est comme le nucléaire: on se demande quel degré de catastrophe il faut atteindre pour y réfléchir sérieusement. C'est en tout cas après presque vingt ans de fuite en avant financière que s'esquisse un retour de balancier, ou du moins qu'il ne prend des formes concrètes. Et il est vrai que les semaines récentes ont marqué une forme d'accélération, avec une série de mesures, d'annonces et de recommandations allant toutes dans le sens d'une plus grande régulation de l'économie du football, devenue une caricature d'expérience ultralibérale depuis la brèche ouverte par l'arrêt Bosman en 1995.

INÉGALITÉ ORGANISÉE

De cette dérégulation ont résulté deux conséquences principales. D'une part une explosion des sommes circulant dans cette industrie (explosion consécutive à celle des droits de diffusion, et sommes essentiellement consacrées à l'achat et à la rémunération des joueurs), conduisant à une crise globale et un endettement massif des clubs – y compris des plus riches. D'autre part un creusement exponentiel des écarts de richesse entre une oligarchie de clubs européens et les autres, mécanisme organisé par des systèmes de redistribution des ressources parfaitement inégalitaires (à commencer par celui de la Ligue des champions – lire "Riche à crever"). [1]

"L’évolution du marché des transferts affecte l’équité des compétitions sportives et remet en cause la nécessaire incertitude des résultats. Les résultats des compétitions doivent être pour l’essentiel le reflet des accomplissements sportifs et non le reflet quasi systématique des moyens financiers." Voilà l'une des conclusions d'une étude publiée en début d'année par la Commission européenne sur le marché des transferts (réalisée par KEA et le CDES), qui constate l'échec de la réforme engagée en 2001 par la FIFA sous l'égide européenne: "Les règles en matière de transfert ne parviennent pas à lutter efficacement contre les déséquilibres compétitifs puisqu’il existe un lien très fort entre les dépenses en matière de transfert et les résultats sportifs, en particulier depuis 2001."

PUISSANCE ÉCONOMIQUE PLUTÔT QU'EXCELLENCE SPORTIVE

Pour rétablir l'équité sportive, le rapport préconise une série de mesures: entre autres, taxation des transferts pour assurer une redistribution au profit des clubs les moins nantis, limitation des effectifs professionnels à 25, indexation stricte des montants de transferts sur la durée du contrat restante, limitation des prêts de joueurs, augmentation de l'indemnité de solidarité (de 2% actuellement, à de 5 à 8%), transparence des montages financiers mis en œuvre pour les transferts...

Les auteurs soulignent aussi les opportunités offertes à la criminalité organisée (corruption, paris truqués, trafic de joueurs), et s'inquiète de "la remise en cause du rôle et du pouvoir des fédérations pour organiser et réguler les compétitions alors qu’elles font face à des clubs de plus en plus puissants". Leur étude se contente de formuler des recommandations, mais elle a le mérite de souligner que c'est l'intérêt même des compétitions qui se dissout progressivement dans l'ultra-domination d'une poignée d'équipes. "L’ampleur de la rigidification du résultat des compétitions sportives (...) amène à remettre en cause l’idée selon laquelle les règles sportives en Europe sont encore basées sur l’excellence sportive à travers un système de promotion et de relégation – l’Europe du sport n’est-elle pas progressivement en train de tendre vers un système de ligue de facto fermée (au niveau de l’élite)?"

CAPITULATION EUROPÉENNE

De son côté, l'hégémonique Premier League a adopté un système de limitation de l'inflation des salaires, sans toutefois recourir à un strict salary cap, qui cherche aussi à limiter les pertes à 123 millions d'euros sur trois ans. Ce dispositif très souple laisse cependant bien des marges pour échapper aux restrictions, et comme l'analyse le blog 7amkickoff.com, il risque en définitive... de "pérenniser l'hégémonie des clubs du haut du panier" et de "créer un sous-prolétariat permanent", ne réussissant ainsi qu'à "récompenser les formations ayant acquis un avantage injuste en recourant au dopage financier" au cours des dernières années. Seul frein, selon The Independent: le prochain Abramovitch aura simplement besoin d'un peu plus de temps pour construire un nouveau Chelsea.

En France, où le problème se pose différemment, mais a pris un relief tout particulier avec l'émergence du PSG sous actionnariat qatari, c'est un rapport sénatorial qui creusé le même sillon. Le rapporteur Jean-François Humbert y remarque l'abdication de la Commission européenne devant toute tentative d'opposer la "spécificité des activités sportives", pourtant reconnue par l'UE, à la dérégulation post-Bosman – notamment au travers du refus de la règle du 6+5 proposée par la FIFA au profit du 8 sur 25 de l'UEFA [2] dont les effets ont été limités.

LE FAIR-PLAY FINANCIER DÉJÀ CONTOURNÉ

Ces actualités s'inscrivent dans le contexte de la mise en œuvre progressive du "fair-play financier" de l'UEFA, qui établit un contrôle comptable des clubs et leur impose diverses contraintes, la plus importante étant la limitation des déficits à 45 puis à partir de 2015) 30 millions d'euros sur trois ans. Les contributions des actionnaires pour combler les pertes n'étant pas comptabilisées, il s'agit d'obliger les clubs à ne compter que sur leurs propres revenus, sous peine d'exclusion des compétitions européennes. Des doutes s'expriment déjà sur la fermeté de l'UEFA si la sanction menace un ou plusieurs des grandes écuries du continent, mais surtout, les moyens de contournement existent déjà. Ainsi, le Paris Saint-Germain devrait-il pouvoir inscrire à son crédit les 150 puis 200 millions d'euros annuels que lui assure son contrat de sponsoring avec... la Qatar Tourism Authority (lire aussi: "Fair-play financier contre dopage économique").

"Les plus gros clubs actuels, qui ont déjà investi et occupent le devant de la scène verront leur place consolidée. L’aléa sportif, défendu par la Commission européenne, est de fait loin d’être garanti", estime à ce sujet le rapport sénatorial, qui rejoint ici l'étude européenne et l'opinion générale.

L'EMPIRE PEUT DORMIR TRANQUILLE

On s'étonne pourtant de la lenteur de la prise de conscience, alors que les conséquences de la dérive financière du football sont évidentes depuis une quinzaine d'années, de même que la destruction méthodique aussi bien de l'aléa sportif que de l'équité des compétitions. À cet égard, l'indifférence et la passivité des médias sportifs auront été absolument consternantes.

Si aujourd'hui les constats sont enfin unanimes pour décrire une situation plus qu'alarmante et des menaces graves, les mesures envisagées ou déjà adoptées restent très hypothétiques dans leur application et leurs effets. Au mieux, elles ne semblent pouvoir que limiter les dégâts, sans remettre en cause la suprématie acquise par quelques clubs au cours de cette période de course aux armements. La corrélation entre puissance économique et efficacité sportive en serait à peine amoindrie. À l'instar du fair-play financier, ces régulations ne réparent que les dommages économiques, pas ceux faits au football, et vont s'apparenter à un dispositif de sauvegarde évitant l'explosion de la bulle. On ne peut pas réellement en attendre plus d'équité, tout au plus un peu moins d'iniquité: l'industrie du football ingérera ces réformes qui lui éviteront un krach quand c'est bien d'un krach – ou d'une révolution – qu'elle aurait besoin.

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y'a pas 15 paragraphes mais pas loin
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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 17:39

GilbertSedman a écrit:
fernando a écrit:Cet article résume assez bien mon sentiment vis à vis de l'évolution du foot, dont la branlette généralisée autour du QSG n'est que le dernier avatar en date :

Réguler pour mieux régner

L'industrie du football, c'est comme le nucléaire: on se demande quel degré de catastrophe il faut atteindre pour y réfléchir sérieusement. C'est en tout cas après presque vingt ans de fuite en avant financière que s'esquisse un retour de balancier, ou du moins qu'il ne prend des formes concrètes. Et il est vrai que les semaines récentes ont marqué une forme d'accélération, avec une série de mesures, d'annonces et de recommandations allant toutes dans le sens d'une plus grande régulation de l'économie du football, devenue une caricature d'expérience ultralibérale depuis la brèche ouverte par l'arrêt Bosman en 1995.

INÉGALITÉ ORGANISÉE

De cette dérégulation ont résulté deux conséquences principales. D'une part une explosion des sommes circulant dans cette industrie (explosion consécutive à celle des droits de diffusion, et sommes essentiellement consacrées à l'achat et à la rémunération des joueurs), conduisant à une crise globale et un endettement massif des clubs – y compris des plus riches. D'autre part un creusement exponentiel des écarts de richesse entre une oligarchie de clubs européens et les autres, mécanisme organisé par des systèmes de redistribution des ressources parfaitement inégalitaires (à commencer par celui de la Ligue des champions – lire "Riche à crever"). [1]

"L’évolution du marché des transferts affecte l’équité des compétitions sportives et remet en cause la nécessaire incertitude des résultats. Les résultats des compétitions doivent être pour l’essentiel le reflet des accomplissements sportifs et non le reflet quasi systématique des moyens financiers." Voilà l'une des conclusions d'une étude publiée en début d'année par la Commission européenne sur le marché des transferts (réalisée par KEA et le CDES), qui constate l'échec de la réforme engagée en 2001 par la FIFA sous l'égide européenne: "Les règles en matière de transfert ne parviennent pas à lutter efficacement contre les déséquilibres compétitifs puisqu’il existe un lien très fort entre les dépenses en matière de transfert et les résultats sportifs, en particulier depuis 2001."

PUISSANCE ÉCONOMIQUE PLUTÔT QU'EXCELLENCE SPORTIVE

Pour rétablir l'équité sportive, le rapport préconise une série de mesures: entre autres, taxation des transferts pour assurer une redistribution au profit des clubs les moins nantis, limitation des effectifs professionnels à 25, indexation stricte des montants de transferts sur la durée du contrat restante, limitation des prêts de joueurs, augmentation de l'indemnité de solidarité (de 2% actuellement, à de 5 à 8%), transparence des montages financiers mis en œuvre pour les transferts...

Les auteurs soulignent aussi les opportunités offertes à la criminalité organisée (corruption, paris truqués, trafic de joueurs), et s'inquiète de "la remise en cause du rôle et du pouvoir des fédérations pour organiser et réguler les compétitions alors qu’elles font face à des clubs de plus en plus puissants". Leur étude se contente de formuler des recommandations, mais elle a le mérite de souligner que c'est l'intérêt même des compétitions qui se dissout progressivement dans l'ultra-domination d'une poignée d'équipes. "L’ampleur de la rigidification du résultat des compétitions sportives (...) amène à remettre en cause l’idée selon laquelle les règles sportives en Europe sont encore basées sur l’excellence sportive à travers un système de promotion et de relégation – l’Europe du sport n’est-elle pas progressivement en train de tendre vers un système de ligue de facto fermée (au niveau de l’élite)?"

CAPITULATION EUROPÉENNE

De son côté, l'hégémonique Premier League a adopté un système de limitation de l'inflation des salaires, sans toutefois recourir à un strict salary cap, qui cherche aussi à limiter les pertes à 123 millions d'euros sur trois ans. Ce dispositif très souple laisse cependant bien des marges pour échapper aux restrictions, et comme l'analyse le blog 7amkickoff.com, il risque en définitive... de "pérenniser l'hégémonie des clubs du haut du panier" et de "créer un sous-prolétariat permanent", ne réussissant ainsi qu'à "récompenser les formations ayant acquis un avantage injuste en recourant au dopage financier" au cours des dernières années. Seul frein, selon The Independent: le prochain Abramovitch aura simplement besoin d'un peu plus de temps pour construire un nouveau Chelsea.

En France, où le problème se pose différemment, mais a pris un relief tout particulier avec l'émergence du PSG sous actionnariat qatari, c'est un rapport sénatorial qui creusé le même sillon. Le rapporteur Jean-François Humbert y remarque l'abdication de la Commission européenne devant toute tentative d'opposer la "spécificité des activités sportives", pourtant reconnue par l'UE, à la dérégulation post-Bosman – notamment au travers du refus de la règle du 6+5 proposée par la FIFA au profit du 8 sur 25 de l'UEFA [2] dont les effets ont été limités.

LE FAIR-PLAY FINANCIER DÉJÀ CONTOURNÉ

Ces actualités s'inscrivent dans le contexte de la mise en œuvre progressive du "fair-play financier" de l'UEFA, qui établit un contrôle comptable des clubs et leur impose diverses contraintes, la plus importante étant la limitation des déficits à 45 puis à partir de 2015) 30 millions d'euros sur trois ans. Les contributions des actionnaires pour combler les pertes n'étant pas comptabilisées, il s'agit d'obliger les clubs à ne compter que sur leurs propres revenus, sous peine d'exclusion des compétitions européennes. Des doutes s'expriment déjà sur la fermeté de l'UEFA si la sanction menace un ou plusieurs des grandes écuries du continent, mais surtout, les moyens de contournement existent déjà. Ainsi, le Paris Saint-Germain devrait-il pouvoir inscrire à son crédit les 150 puis 200 millions d'euros annuels que lui assure son contrat de sponsoring avec... la Qatar Tourism Authority (lire aussi: "Fair-play financier contre dopage économique").

"Les plus gros clubs actuels, qui ont déjà investi et occupent le devant de la scène verront leur place consolidée. L’aléa sportif, défendu par la Commission européenne, est de fait loin d’être garanti", estime à ce sujet le rapport sénatorial, qui rejoint ici l'étude européenne et l'opinion générale.

L'EMPIRE PEUT DORMIR TRANQUILLE

On s'étonne pourtant de la lenteur de la prise de conscience, alors que les conséquences de la dérive financière du football sont évidentes depuis une quinzaine d'années, de même que la destruction méthodique aussi bien de l'aléa sportif que de l'équité des compétitions. À cet égard, l'indifférence et la passivité des médias sportifs auront été absolument consternantes.

Si aujourd'hui les constats sont enfin unanimes pour décrire une situation plus qu'alarmante et des menaces graves, les mesures envisagées ou déjà adoptées restent très hypothétiques dans leur application et leurs effets. Au mieux, elles ne semblent pouvoir que limiter les dégâts, sans remettre en cause la suprématie acquise par quelques clubs au cours de cette période de course aux armements. La corrélation entre puissance économique et efficacité sportive en serait à peine amoindrie. À l'instar du fair-play financier, ces régulations ne réparent que les dommages économiques, pas ceux faits au football, et vont s'apparenter à un dispositif de sauvegarde évitant l'explosion de la bulle. On ne peut pas réellement en attendre plus d'équité, tout au plus un peu moins d'iniquité: l'industrie du football ingérera ces réformes qui lui éviteront un krach quand c'est bien d'un krach – ou d'une révolution – qu'elle aurait besoin.

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y'a pas 15 paragraphes mais pas loin



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Messagepar une des fakes de Der » 03 Avr 2013, 17:42

ruitos a écrit:
GilbertSedman a écrit:
fernando a écrit:Cet article résume assez bien mon sentiment vis à vis de l'évolution du foot, dont la branlette généralisée autour du QSG n'est que le dernier avatar en date :

Réguler pour mieux régner

L'industrie du football, c'est comme le nucléaire: on se demande quel degré de catastrophe il faut atteindre pour y réfléchir sérieusement. C'est en tout cas après presque vingt ans de fuite en avant financière que s'esquisse un retour de balancier, ou du moins qu'il ne prend des formes concrètes. Et il est vrai que les semaines récentes ont marqué une forme d'accélération, avec une série de mesures, d'annonces et de recommandations allant toutes dans le sens d'une plus grande régulation de l'économie du football, devenue une caricature d'expérience ultralibérale depuis la brèche ouverte par l'arrêt Bosman en 1995.

INÉGALITÉ ORGANISÉE

De cette dérégulation ont résulté deux conséquences principales. D'une part une explosion des sommes circulant dans cette industrie (explosion consécutive à celle des droits de diffusion, et sommes essentiellement consacrées à l'achat et à la rémunération des joueurs), conduisant à une crise globale et un endettement massif des clubs – y compris des plus riches. D'autre part un creusement exponentiel des écarts de richesse entre une oligarchie de clubs européens et les autres, mécanisme organisé par des systèmes de redistribution des ressources parfaitement inégalitaires (à commencer par celui de la Ligue des champions – lire "Riche à crever"). [1]

"L’évolution du marché des transferts affecte l’équité des compétitions sportives et remet en cause la nécessaire incertitude des résultats. Les résultats des compétitions doivent être pour l’essentiel le reflet des accomplissements sportifs et non le reflet quasi systématique des moyens financiers." Voilà l'une des conclusions d'une étude publiée en début d'année par la Commission européenne sur le marché des transferts (réalisée par KEA et le CDES), qui constate l'échec de la réforme engagée en 2001 par la FIFA sous l'égide européenne: "Les règles en matière de transfert ne parviennent pas à lutter efficacement contre les déséquilibres compétitifs puisqu’il existe un lien très fort entre les dépenses en matière de transfert et les résultats sportifs, en particulier depuis 2001."

PUISSANCE ÉCONOMIQUE PLUTÔT QU'EXCELLENCE SPORTIVE

Pour rétablir l'équité sportive, le rapport préconise une série de mesures: entre autres, taxation des transferts pour assurer une redistribution au profit des clubs les moins nantis, limitation des effectifs professionnels à 25, indexation stricte des montants de transferts sur la durée du contrat restante, limitation des prêts de joueurs, augmentation de l'indemnité de solidarité (de 2% actuellement, à de 5 à 8%), transparence des montages financiers mis en œuvre pour les transferts...

Les auteurs soulignent aussi les opportunités offertes à la criminalité organisée (corruption, paris truqués, trafic de joueurs), et s'inquiète de "la remise en cause du rôle et du pouvoir des fédérations pour organiser et réguler les compétitions alors qu’elles font face à des clubs de plus en plus puissants". Leur étude se contente de formuler des recommandations, mais elle a le mérite de souligner que c'est l'intérêt même des compétitions qui se dissout progressivement dans l'ultra-domination d'une poignée d'équipes. "L’ampleur de la rigidification du résultat des compétitions sportives (...) amène à remettre en cause l’idée selon laquelle les règles sportives en Europe sont encore basées sur l’excellence sportive à travers un système de promotion et de relégation – l’Europe du sport n’est-elle pas progressivement en train de tendre vers un système de ligue de facto fermée (au niveau de l’élite)?"

CAPITULATION EUROPÉENNE

De son côté, l'hégémonique Premier League a adopté un système de limitation de l'inflation des salaires, sans toutefois recourir à un strict salary cap, qui cherche aussi à limiter les pertes à 123 millions d'euros sur trois ans. Ce dispositif très souple laisse cependant bien des marges pour échapper aux restrictions, et comme l'analyse le blog 7amkickoff.com, il risque en définitive... de "pérenniser l'hégémonie des clubs du haut du panier" et de "créer un sous-prolétariat permanent", ne réussissant ainsi qu'à "récompenser les formations ayant acquis un avantage injuste en recourant au dopage financier" au cours des dernières années. Seul frein, selon The Independent: le prochain Abramovitch aura simplement besoin d'un peu plus de temps pour construire un nouveau Chelsea.

En France, où le problème se pose différemment, mais a pris un relief tout particulier avec l'émergence du PSG sous actionnariat qatari, c'est un rapport sénatorial qui creusé le même sillon. Le rapporteur Jean-François Humbert y remarque l'abdication de la Commission européenne devant toute tentative d'opposer la "spécificité des activités sportives", pourtant reconnue par l'UE, à la dérégulation post-Bosman – notamment au travers du refus de la règle du 6+5 proposée par la FIFA au profit du 8 sur 25 de l'UEFA [2] dont les effets ont été limités.

LE FAIR-PLAY FINANCIER DÉJÀ CONTOURNÉ

Ces actualités s'inscrivent dans le contexte de la mise en œuvre progressive du "fair-play financier" de l'UEFA, qui établit un contrôle comptable des clubs et leur impose diverses contraintes, la plus importante étant la limitation des déficits à 45 puis à partir de 2015) 30 millions d'euros sur trois ans. Les contributions des actionnaires pour combler les pertes n'étant pas comptabilisées, il s'agit d'obliger les clubs à ne compter que sur leurs propres revenus, sous peine d'exclusion des compétitions européennes. Des doutes s'expriment déjà sur la fermeté de l'UEFA si la sanction menace un ou plusieurs des grandes écuries du continent, mais surtout, les moyens de contournement existent déjà. Ainsi, le Paris Saint-Germain devrait-il pouvoir inscrire à son crédit les 150 puis 200 millions d'euros annuels que lui assure son contrat de sponsoring avec... la Qatar Tourism Authority (lire aussi: "Fair-play financier contre dopage économique").

"Les plus gros clubs actuels, qui ont déjà investi et occupent le devant de la scène verront leur place consolidée. L’aléa sportif, défendu par la Commission européenne, est de fait loin d’être garanti", estime à ce sujet le rapport sénatorial, qui rejoint ici l'étude européenne et l'opinion générale.

L'EMPIRE PEUT DORMIR TRANQUILLE

On s'étonne pourtant de la lenteur de la prise de conscience, alors que les conséquences de la dérive financière du football sont évidentes depuis une quinzaine d'années, de même que la destruction méthodique aussi bien de l'aléa sportif que de l'équité des compétitions. À cet égard, l'indifférence et la passivité des médias sportifs auront été absolument consternantes.

Si aujourd'hui les constats sont enfin unanimes pour décrire une situation plus qu'alarmante et des menaces graves, les mesures envisagées ou déjà adoptées restent très hypothétiques dans leur application et leurs effets. Au mieux, elles ne semblent pouvoir que limiter les dégâts, sans remettre en cause la suprématie acquise par quelques clubs au cours de cette période de course aux armements. La corrélation entre puissance économique et efficacité sportive en serait à peine amoindrie. À l'instar du fair-play financier, ces régulations ne réparent que les dommages économiques, pas ceux faits au football, et vont s'apparenter à un dispositif de sauvegarde évitant l'explosion de la bulle. On ne peut pas réellement en attendre plus d'équité, tout au plus un peu moins d'iniquité: l'industrie du football ingérera ces réformes qui lui éviteront un krach quand c'est bien d'un krach – ou d'une révolution – qu'elle aurait besoin.

http://latta.blog.lemonde.fr/2013/04/02/reguler-pour-mieux-regner/


y'a pas 15 paragraphes mais pas loin



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et 17 fois le mot capitalisme, on tient, je suis sur, les numéros du loto
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 05 Avr 2013, 10:03

Quelle bande de vieilles pleureuses

Le Barça a écrit à l'UEFA

Moins de deux jours après avoir quitté Paris sur un score de parité (2-2), en quart de finale aller de Ligue des champions, le FC Barcelone a envoyé un courrier officiel à l'UEFA pour se plaindre de l'arbitrage du match. C'est ce qu'a annoncé Toni Freixa, porte-parole du club, jeudi en conférence de presse, à l'issue d'une réunion du comité directeur du Barça. Les Catalans ne comprennent pas la validation, par Wolfgang Stark et ses assesseurs, du premier but égalisateur du PSG, inscrit par Zlatan Ibrahimovic, en position de hors-jeu. Une manière de mettre la pression, à six jours des retrouvailles entre les deux clubs, mercredi au Camp Nou ?

On les a moins entendus quand ils ont éliminé Chelsea avec un arbitrage rocambolesque.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 05 Avr 2013, 10:15

Mais puisqu'on* vous dit que c'est de la faute de Mourinho.

*Et on est un con puisqu'il s'agît dans ce cas de Dany Alves.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 09 Avr 2013, 22:29

'tain 3 clubs espagnols en demie de la ligue des champs, commence à blaser les spingoins...
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 09 Avr 2013, 22:36

heu non ..
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 09 Avr 2013, 22:39

C'te finish...J'annonce la surprise Dortmund au final.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 09 Avr 2013, 22:41

CHEUR malaga
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 09 Avr 2013, 22:44

les demies finales sont deja tirées (ou choisies) ou pas ?
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 09 Avr 2013, 22:51

guinness a écrit:heu non ..


ha wé, c'est pas truqué par les quataris dis donc !
une des fakes de Der
 
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