Un topic romophobe sur l'autre passion.losc ?
par une des fakes de Der » 13 Avr 2013, 19:55
Tu t'appelles gaylord mec, t as juste le droit de fermer ta gueules...gaylord bordel gaylord putain...
par une des fakes de Der » 13 Avr 2013, 19:58
Nan mais il s'appelle vraiment Gaylord?? Je pensais que c'était une blague O_O
par une des fakes de Der » 13 Avr 2013, 20:14
Le "ras-le-bol" des agents du Louvre face aux vols des mineurs roumains
Le Monde.fr | 13.04.2013 à 11h02 • Mis à jour le 13.04.2013 à 16h44
Les agents d'accueil du musée protestent contre des pickpockets "de plus en plus nombreux et agressifs".
C'est un succès de fréquentation dont l'établissement du Louvre se serait bien passé. Le plus grand musée du monde n'a pas ouvert ses portes, mercredi matin 10 avril, en raison du "ras-le-bol général" face à "l'augmentation exponentielle" de l'activité des pickpockets depuis l'été 2012. A tel point que le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire en octobre 2012. Près de 200 agents ont décidé pour la première fois d'exercer leur droit de retrait.
"Nous sommes dépassés par les événements, à bout de nerfs", souligne Gary Guillaud, surveillant de salle depuis onze ans et représentant CGT du personnel. "Certains collègues, notamment femmes, viennent travailler la peur au ventre", ajoute Christelle Guyader, déléguée syndicale SUD. Les agents racontent leur quotidien au contact des bandes de pickpockets venus détrousser des touristes souvent peu sur leurs gardes. Lorsqu'ils interviennent, ils s'exposent à des crachats, des bousculades, des griffures, des insultes ou des intimidations. L'un d'eux évoque des tentatives de corruption. "On m'a déjà dit: 'Je te file 20 euros et tu me laisses travailler...'" Un autre donne l'exemple de jeunes filles qui relèvent leur tee-shirt "par provocation", "pour déstabiliser" et faire diversion.
A force de fréquenter presque quotidiennement les salles du musée, les pickpockets finissent par connaître les horaires et les matricules des salariés du Louvre. Ils les interpellent par leur prénom. "Certains agents ont peur de les croiser à l'extérieur et demandent à être raccompagnés au métro après une nocturne", raconte Alexandra Kardianou, secrétaire de la section CGT au Louvre. "J'ai des collègues qui cachent leur badge en les retournant", abonde un agent qui ne souhaite pas donner son nom. Les pickpockets n'hésitent pas à manger et fumer dans certaines salles du musée.
"Tout ce qui est règlement est bafoué", résume Gary Guillaud, qui déplore se retrouver "dans un rôle de flicage et de secourisme". Conséquence, selon lui : "Nos fonctions premières d'accueil des visiteurs et de présentation des œuvres passent à la trappe." Impossible d'établir précisément le nombre de voleurs œuvrant chaque jour. La préfecture de police parle d'une moyenne quotidienne de quinze personnes, tout en reconnaissant une présence "par vagues". "Les voleurs à la tire avaient disparu en fin d'année dernière, mais sont revenus en grand nombre en février et mars", confirme la direction. Pour les syndicats, entre 30 et 50 pickpockets arpentaient chaque jour jusqu'à la semaine dernière les salles du musée. Selon la police, ces bandes organisées, qui comptent de nombreuses filles, sont constituées de personnes originaires de Roumanie et vivant en Seine-Saint-Denis.
"TONNEAU DES DANAÏDES"
Difficile de savoir combien de visiteurs sont victimes de vols. Souvent originaires d'Asie, ils ne portent pas toujours plainte au commissariat et se contentent de signaler le méfait à l'accueil du musée. Les 80 plaintes pour vol recensées depuis janvier (soit en moyenne 1,5 par jour) ne reflètent pas la réalité de la situation. Et si des interpellations ont lieu tous les jours (150 depuis début janvier), une dizaine par mois ont des conséquences judiciaires. Les voleurs sont souvent mineurs, ou du moins prétendent l'être. En dessous de 13 ans, impossible de les poursuivre.
"C'est le tonneau des Danaïdes, soupire Alexandra Kardianou. Quand on met quelqu'un dehors, il peut revenir un quart d'heure plus tard. Les agents, eux, sont désillusionnés. Dans ces conditions, à quoi bon aller passer une demi-journée au commissariat pour signaler une agression ?" Une plainte générale a été déposée par le musée au mois de décembre.
Une vingtaine de policiers surveillent les abords et l'entrée du musée. "Ce dispositif doit être pérennisé", demandent conjointement syndicats et direction. Hervé Barbaret, l'administrateur général du Louvre, dit avoir reçu des "assurances" sur une "sanctuarisation" des moyens policiers supplémentaires accordés. Des policiers roumains vont patrouiller en tenue à partir du mois de mai. En accord avec le parquet, des mesures d'interdiction temporaire d'entrée vont être appliquées aux personnes raccompagnées de manière répétée à la sortie pour non respect du règlement. Une méthode déjà expérimentée lors des vacances de Noël et de Pâques.
Pour Hervé Barbaret, qui a fait de ce dossier sa "priorité numéro un", il faut "accompagner" les agents, par le biais de formations, et réfléchir à une organisation différente. "Peut-être en faisant travailler les agents de façon moins isolée." Une manière de répondre aux syndicats qui voient dans cette situation la conséquence des "sous-effectifs" du musée.
Le Monde.fr | 13.04.2013 à 11h02 • Mis à jour le 13.04.2013 à 16h44
Les agents d'accueil du musée protestent contre des pickpockets "de plus en plus nombreux et agressifs".
C'est un succès de fréquentation dont l'établissement du Louvre se serait bien passé. Le plus grand musée du monde n'a pas ouvert ses portes, mercredi matin 10 avril, en raison du "ras-le-bol général" face à "l'augmentation exponentielle" de l'activité des pickpockets depuis l'été 2012. A tel point que le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire en octobre 2012. Près de 200 agents ont décidé pour la première fois d'exercer leur droit de retrait.
"Nous sommes dépassés par les événements, à bout de nerfs", souligne Gary Guillaud, surveillant de salle depuis onze ans et représentant CGT du personnel. "Certains collègues, notamment femmes, viennent travailler la peur au ventre", ajoute Christelle Guyader, déléguée syndicale SUD. Les agents racontent leur quotidien au contact des bandes de pickpockets venus détrousser des touristes souvent peu sur leurs gardes. Lorsqu'ils interviennent, ils s'exposent à des crachats, des bousculades, des griffures, des insultes ou des intimidations. L'un d'eux évoque des tentatives de corruption. "On m'a déjà dit: 'Je te file 20 euros et tu me laisses travailler...'" Un autre donne l'exemple de jeunes filles qui relèvent leur tee-shirt "par provocation", "pour déstabiliser" et faire diversion.
A force de fréquenter presque quotidiennement les salles du musée, les pickpockets finissent par connaître les horaires et les matricules des salariés du Louvre. Ils les interpellent par leur prénom. "Certains agents ont peur de les croiser à l'extérieur et demandent à être raccompagnés au métro après une nocturne", raconte Alexandra Kardianou, secrétaire de la section CGT au Louvre. "J'ai des collègues qui cachent leur badge en les retournant", abonde un agent qui ne souhaite pas donner son nom. Les pickpockets n'hésitent pas à manger et fumer dans certaines salles du musée.
"Tout ce qui est règlement est bafoué", résume Gary Guillaud, qui déplore se retrouver "dans un rôle de flicage et de secourisme". Conséquence, selon lui : "Nos fonctions premières d'accueil des visiteurs et de présentation des œuvres passent à la trappe." Impossible d'établir précisément le nombre de voleurs œuvrant chaque jour. La préfecture de police parle d'une moyenne quotidienne de quinze personnes, tout en reconnaissant une présence "par vagues". "Les voleurs à la tire avaient disparu en fin d'année dernière, mais sont revenus en grand nombre en février et mars", confirme la direction. Pour les syndicats, entre 30 et 50 pickpockets arpentaient chaque jour jusqu'à la semaine dernière les salles du musée. Selon la police, ces bandes organisées, qui comptent de nombreuses filles, sont constituées de personnes originaires de Roumanie et vivant en Seine-Saint-Denis.
"TONNEAU DES DANAÏDES"
Difficile de savoir combien de visiteurs sont victimes de vols. Souvent originaires d'Asie, ils ne portent pas toujours plainte au commissariat et se contentent de signaler le méfait à l'accueil du musée. Les 80 plaintes pour vol recensées depuis janvier (soit en moyenne 1,5 par jour) ne reflètent pas la réalité de la situation. Et si des interpellations ont lieu tous les jours (150 depuis début janvier), une dizaine par mois ont des conséquences judiciaires. Les voleurs sont souvent mineurs, ou du moins prétendent l'être. En dessous de 13 ans, impossible de les poursuivre.
"C'est le tonneau des Danaïdes, soupire Alexandra Kardianou. Quand on met quelqu'un dehors, il peut revenir un quart d'heure plus tard. Les agents, eux, sont désillusionnés. Dans ces conditions, à quoi bon aller passer une demi-journée au commissariat pour signaler une agression ?" Une plainte générale a été déposée par le musée au mois de décembre.
Une vingtaine de policiers surveillent les abords et l'entrée du musée. "Ce dispositif doit être pérennisé", demandent conjointement syndicats et direction. Hervé Barbaret, l'administrateur général du Louvre, dit avoir reçu des "assurances" sur une "sanctuarisation" des moyens policiers supplémentaires accordés. Des policiers roumains vont patrouiller en tenue à partir du mois de mai. En accord avec le parquet, des mesures d'interdiction temporaire d'entrée vont être appliquées aux personnes raccompagnées de manière répétée à la sortie pour non respect du règlement. Une méthode déjà expérimentée lors des vacances de Noël et de Pâques.
Pour Hervé Barbaret, qui a fait de ce dossier sa "priorité numéro un", il faut "accompagner" les agents, par le biais de formations, et réfléchir à une organisation différente. "Peut-être en faisant travailler les agents de façon moins isolée." Une manière de répondre aux syndicats qui voient dans cette situation la conséquence des "sous-effectifs" du musée.
par une des fakes de Der » 13 Avr 2013, 22:12
Ils sont cons au Louvre , ils n'ont pas lu Gaylord-bichon, les Rome ne sont pas roumains....
Sur qu'il s'agit d'une tactique des roumains pour nous envahir
Sur qu'il s'agit d'une tactique des roumains pour nous envahir
par une des fakes de Der » 26 Avr 2013, 14:50
Les familles roms qui étaient installées à l’Épi de Soil ont pris le chemin du parking de l’ancienne prison de Loos.
Ces familles devraient aller s’installer sur une partie du parking de l’ancienne prison de Loos, comme il en avait été convenu il y a quelques mois. La préfecture, en lien avec la ville de Loos et la communauté urbaine de Lille, y a réalisé récemment des aménagements en vue de leur arrivée.
Viendez tous
Ces familles devraient aller s’installer sur une partie du parking de l’ancienne prison de Loos, comme il en avait été convenu il y a quelques mois. La préfecture, en lien avec la ville de Loos et la communauté urbaine de Lille, y a réalisé récemment des aménagements en vue de leur arrivée.
Viendez tous
par une des fakes de Der » 26 Avr 2013, 14:53
La pute y est déjà...
Marine Le Pen en plan com devant un camp rom.
http://www.liberation.fr/politiques/2013/04/25/marine-le-pen-en-plan-com-devant-un-camp-rom_899024
Marine Le Pen en plan com devant un camp rom.
http://www.liberation.fr/politiques/2013/04/25/marine-le-pen-en-plan-com-devant-un-camp-rom_899024
par une des fakes de Der » 26 Avr 2013, 14:59
euh, tu peux dire Marine, stp. et non pas la p....
Merci
Merci
par une des fakes de Der » 26 Avr 2013, 15:04
ou la grosse truie... C'était plutôt son père la pute, à se vendre pour récupérer donations et héritages.
par une des fakes de Der » 26 Avr 2013, 16:09
je mettrais bien une cartouche à la nièce moi. Comme ça en copain... (comme cochon)
par une des fakes de Der » 27 Avr 2013, 06:33
bitembois a écrit:euh, tu peux dire Marine, stp. et non pas la p....
Merci
Scuze, j'arrive pas à éditer :/
par une des fakes de Der » 27 Avr 2013, 10:32
stikky a écrit:je mettrais bien une cartouche à la nièce moi. Comme ça en copain... (comme cochon)
+1 kouz1, j'la poutre avec u' masque de robert hue.
par une des fakes de Der » 29 Avr 2013, 12:40
Il est 18h40 samedi, lorsque des policiers lillois interpellent deux individus qui dérobent des métaux dans l'ancienne prison de Loos. Un policier poursuit un des auteurs jusqu'au camp de Roms qui vient d'être ouvert sur le parking de l’ex-maison d’arrêt. Le policier est pris à partie à l'intérieur du camp. Il arrive à sortir avec le suspect interpellé en s'aidant de sa matraque télescopique. Le fonctionnaire s’en tire avec des blessures légères.
Ils sont là-bas depuis 2 jours et ils pillent déjà la zonzon.
Ils sont là-bas depuis 2 jours et ils pillent déjà la zonzon.
par une des fakes de Der » 29 Avr 2013, 17:17
bitembois a écrit: Le policier est pris à partie à l'intérieur du camp.
Faut 'comme même' pas être très malin pour aller faire son justicier tout seul dans un camp de roms.
par une des fakes de Der » 29 Avr 2013, 21:40
J'ai vu pour la première fois une rom vraiment jolie (enfin un joli visage, pas moyen de voir le reste avec ses 5 couches de robes) à un feu à Saint-Denis.
J'étais à deux doigts de la sauver pour la libérer de sa condition de misère et la foutre en porte-jarretelles sur un trottoir.
J'étais à deux doigts de la sauver pour la libérer de sa condition de misère et la foutre en porte-jarretelles sur un trottoir.
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 08:21
entendu ce matin sur FBN.
"La métropole lilloise accueille 3000 roms, soit 20% de la population rom en France"
Viendez....
"La métropole lilloise accueille 3000 roms, soit 20% de la population rom en France"
Viendez....
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 09:25
laurentlille1 a écrit:J'ai vu pour la première fois une rom vraiment jolie (enfin un joli visage, pas moyen de voir le reste avec ses 5 couches de robes) à un feu à Saint-Denis.
J'étais à deux doigts de la sauver pour la libérer de sa condition de misère et la foutre en porte-jarretelles sur un trottoir.
Pareil
vu une dimanche derriere les bateliers a Lille
tain elle etait bonne
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 09:56
bitembois a écrit:entendu ce matin sur FBN.
"La métropole lilloise accueille 3000 roms, soit 20% de la population rom en France"
Viendez....
Et t'as des gens qui crient au fascisme quand on essaie de démanteler un camp sauvage...
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 10:04
basmainforme a écrit:laurentlille1 a écrit:J'ai vu pour la première fois une rom vraiment jolie (enfin un joli visage, pas moyen de voir le reste avec ses 5 couches de robes) à un feu à Saint-Denis.
J'étais à deux doigts de la sauver pour la libérer de sa condition de misère et la foutre en porte-jarretelles sur un trottoir.
Pareil
vu une dimanche derriere les bateliers a Lille
tain elle etait bonne
J'en ai déjà vu une au même endroit, si ça se trouve c'est la même.
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 16:36
un truc m'a étonné, apparemment pour les roumains et les bulgares (et quoiqu'on en dise les roms sont rattachés à la nationalité roumaine) ont besoin d'un titre de séjour pour pouvoir travailler en france .. plutôt curieux pour des pays membres de l'UE, et contraignant pour tenter une intégration par le travail ..
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 17:05
isidore a écrit:un truc m'a étonné, apparemment pour les roumains et les bulgares (et quoiqu'on en dise les roms sont rattachés à la nationalité roumaine) ont besoin d'un titre de séjour pour pouvoir travailler en france .. plutôt curieux pour des pays membres de l'UE, et contraignant pour tenter une intégration par le travail ..
Travailleurs des nouveaux États membres – Mesures transitoires
Des restrictions à la libre circulation des travailleurs peuvent être appliquées aux travailleurs issus des États membres ayant récemment adhéré à l'Union européenne, durant une période transitoire de sept ans maximum après l'adhésion. Pour le moment, ces restrictions concernent les travailleurs des pays suivants:
Bulgarie et Roumanie (adhésion le 1er janvier 2007).
Source Commission Européenne.
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 19:13
vouzinkiété pas 2014, c'est yalahhhh circulation libre et non il n'ont pas le droit de trvailler sauf avec des restrictions de ouf et ne peuvent pas prétendre aux allocs et rsa
en fonction de vos zanaliz juste, si jviole une rom, elle a pas d'existence légale, pas de papiers, pas le droit d'étre là, y aurait enquête selonvou?
en fonction de vos zanaliz juste, si jviole une rom, elle a pas d'existence légale, pas de papiers, pas le droit d'étre là, y aurait enquête selonvou?
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