GilbertSedman a écrit:Alors Nando' ton retour sur grandmaster ?
Ben j'ai bien aimé. C'est vraiment sublime visuellement.
Ca aurait pu être un très bon film, mais l'histoire est trop confuse. Le tournage s'est étalé sur 3 ans, avec un scénario écrit au fur et à mesure (Wong Kar Wai style), et ça se sent. Par moments c'est vraiment dur à suivre, l'ensemble manque vraiment de cohérence. Ca aurait gagné à être un peu plus "lisible".
GilbertSedman a écrit:Alors Nando' ton retour sur grandmaster ?
Ben j'ai bien aimé. C'est vraiment sublime visuellement.
Ca aurait pu être un très bon film, mais l'histoire est trop confuse. Le tournage s'est étalé sur 3 ans, avec un scénario écrit au fur et à mesure (Wong Kar Wai style), et ça se sent. Par moments c'est vraiment dur à suivre, l'ensemble manque vraiment de cohérence. Ca aurait gagné à être un peu plus "lisible".
Un film esthétique, je suis d'accord mais imbitable au niveau du script
Depardieu en DSK : la bande-annonce du film dévoilée
Deux ans après l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn au Sofitel de New York, la première bande-annonce du film d'Abel Ferrara "Welcome to NY", a fuité sur un compte YouTube non officiel. Quelques heures après sa diffusion, la vidéo a été retirée sur demande de l'ayant-droit.
La vidéo s'ouvre sur l'image de la porte fermée de la chambre du Sofitel d'où s'échappent les cris d'une femme suppliant "No, no !". S'ensuit un montage nerveux où l'on découvre un Gérard Depardieu, campant DSK, participer à des soirées où champagne et jeunes femmes dénudées se côtoient et qui se conclut par le face-à-face entre Nafissatou Diallo et DSK. Et cette phrase que laisse échapper Depardieu : "You know who I am ?" ("Vous savez qui je suis ?")
Un gros porc pour interpréter un gros porc, tjs le kasting just
nutshot a écrit:Vu l ecume des jours...gondry s est fait plaiz...indigeste au possible, long..pénible tautout en cotillard style..comment 2h en parraissent le double, ca pique les yeux..
Je suis allé voir l'écume des jours en dépit de vos mises en garde, bon c'est clair que c'est pas un grand film, c'est dispensable.
Y'a des bonnes idées, la dernière partie est assez chouette, mais c'est trop souvent noyé dans une bouillie visuelle foutraque et indigeste. Gondry noie son film sous un déluge de bricolages et d'animation image par image, il en oublie parfois de faire du cinéma. Dommage car avec un peu plus de sobriété il aurait pu faire un film vraiment chouette, mais là par moments on est à 2 doigts de l'écoeurement ou de la crise d'épilepsie. Sinon Audrey Tautou est à gifler.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
stikky a écrit:la seule fois où j'ai vu Shining c'était au métropole. J'avais bien été déçu. Mais j'avais tellement adoré le bouquin ...
J'ai vu le film puis lu le bouquin, c'est mieux dans ce sens ! A l'époque le film m'avait bien marqué, mais le bouquin m'avait enthousiasmé.
Genre tu lis autre chose que des revues de cul...
En général les essais d'art érotico-pornographique, comment te dire mon petite Chevalier, je ne les lit pas vraiment, je les imprègne, je les vandalise...
Bolaji Badejo, l’acteur qui joue l’alien dans Alien
Bolaji Badejo est l’acteur qui s’est glissé dans le costume de l’Alien dans le célèbre film du même nom, c’est Ridley Scott qui l’a repéré dans un bar de Londres en 1978 à cause de sa taille ( il mesurait 2m18 ) et de sa minceur qui lui donnaient des mensurations parfaites pour le rôle, le réalisateur voulant donner l’impression qu’aucun humain « normal » ne pouvait rentrer dans le costume. Il a participé à toute la pré-production du film et le costume de l’alien a été spécialement conçut pour lui.
Dans cette vidéo on le voit avec un masque d’alien s’entraîner à déambuler dans les couloirs du vaisseau à la manière de la créature.
Lors de sa rencontre avec Ridley Scott , Bolaji Badejo était étudiant en design graphique à Londres, parlait anglais avec un gros accent londonien mais se disait originaire de Somalie.
Dès la fin du tournage du film il disparut complètement, plus personne n’a entendu parler de lui, des membres de la production ont tenté de le retrouver quelques temps après mais n’y sont pas parvenus, ce qu’il est devenu reste un mystère complet.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."