Oué, il est malin le Manu...
[O1T] Losc Lille - Association Sportive de Saint Etienne.
par kaptn_kvern » 22 Mai 2013, 13:47
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par John Holmes » 22 Mai 2013, 14:27
On a dit qu'on stoppait les vannes sur les benfiquistes.
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par John Holmes » 22 Mai 2013, 14:35
Der a écrit:John Holmes a écrit:On a dit qu'on stoppait les vannes sur les benfiquistes.
Non.
Toi tu vas avoir un RDV derrière une église avec Ruitos !
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par Der » 22 Mai 2013, 14:39
Pour revenir au sujet, on va les éclater les synthétiennois. 1-0
But du sauveur, De Melo.
Aubameyang sera tellement impressionné par notre maitrise collective, qu'il pleurera pour revenir. Mais on l'enverra se faire foutre et on re-signera Tulio pour 4 ans.
But du sauveur, De Melo.
Aubameyang sera tellement impressionné par notre maitrise collective, qu'il pleurera pour revenir. Mais on l'enverra se faire foutre et on re-signera Tulio pour 4 ans.
On se fait des bisous et on s'encule.
par fernando » 22 Mai 2013, 19:55
Lille : Chedjou incertain contre Saint-Etienne
L1 / LILLE :
Selon un communiqué du LOSC, Aurélien Chedjou est toujours incertain pour la dernière journée de championnat où Lille reçoit Saint-Etienne ce dimanche (38eme journée de L1).
Le défenseur camerounais de Lille, Aurélien Chedjou est toujours incertain pour la réception de Saint-Etienne ce dimanche. « Aurélien Chedjou souffre d’une alerte musculaire à la cuisse. Il est pour le moment incertain pour LOSC-ASSE », peut-on lire sur le site du club nordiste.
L1 / LILLE :
Selon un communiqué du LOSC, Aurélien Chedjou est toujours incertain pour la dernière journée de championnat où Lille reçoit Saint-Etienne ce dimanche (38eme journée de L1).
Le défenseur camerounais de Lille, Aurélien Chedjou est toujours incertain pour la réception de Saint-Etienne ce dimanche. « Aurélien Chedjou souffre d’une alerte musculaire à la cuisse. Il est pour le moment incertain pour LOSC-ASSE », peut-on lire sur le site du club nordiste.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par matcheu » 23 Mai 2013, 10:09
Le Losc Lille peut il faire le doublé ?
Même si ça paraît bien mal engagé à l'aube de cette dernière journée de championnat de France de Ligue 1 Orange, le Losc Lille a encore un mince espoir de conserver son titre de champion de France des tribunes. En effet celui ci se positionne pour le moment à la seconde place juste derrière son futur adversaire, l'AS Saint Etienne. Le club de la capitale des Flandres compte bien évidemment sur son public pour inverser la vapeur lors de cette ultime rencontre pour prouver, si besoin en est, que le public Lillois est bien le meilleur de France.
Un titre que l'on surveille d'un oeil bien discret dans les tribunes du club voisin et "ennemi" historique du RC Lens qui, comme tout le monde trouve de bon ton de le rappeler, se pense toujours numéro 1.
Alors êtes vous prêts pour ce dernier challenge à relever et prouver aux yeux de la Terre entière que oui le meilleur public c'est bien à Lille qu'on le trouve.
Plus que jamais on compte sur vous, l'histoire se joue maintenant.
Ceci était un communiqué du Comité des Titres Inutiles.
Même si ça paraît bien mal engagé à l'aube de cette dernière journée de championnat de France de Ligue 1 Orange, le Losc Lille a encore un mince espoir de conserver son titre de champion de France des tribunes. En effet celui ci se positionne pour le moment à la seconde place juste derrière son futur adversaire, l'AS Saint Etienne. Le club de la capitale des Flandres compte bien évidemment sur son public pour inverser la vapeur lors de cette ultime rencontre pour prouver, si besoin en est, que le public Lillois est bien le meilleur de France.
Un titre que l'on surveille d'un oeil bien discret dans les tribunes du club voisin et "ennemi" historique du RC Lens qui, comme tout le monde trouve de bon ton de le rappeler, se pense toujours numéro 1.
Alors êtes vous prêts pour ce dernier challenge à relever et prouver aux yeux de la Terre entière que oui le meilleur public c'est bien à Lille qu'on le trouve.
Plus que jamais on compte sur vous, l'histoire se joue maintenant.
Ceci était un communiqué du Comité des Titres Inutiles.
Heureusement qu'on est tous fous sinon on deviendrait tous dingues.
par John Holmes » 23 Mai 2013, 14:07
fernando a écrit:Beurk!
Tu es abjecte matcheu.
Mais réaliste...
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par John Holmes » 23 Mai 2013, 16:05
N'oublions que c'est durant ce match de clôture que le toit est programmé pour s'effondrer !
Back to ze Stadium => CVT rulz
Back to ze Stadium => CVT rulz
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par fernando » 23 Mai 2013, 16:08
Will a écrit:Une dernière humiliation à domicile pour clore cette délicieuse saison.
Vivement la prochaine avec un losc moins armé et des adversaires renforcés.
Allez c'est bon, tu fais chier maintenant ursulet avec tes fakes.
Bon sinon si on termine européens, peu importe la manière, ça restera comme même une bonne saison, avec des hauts et des bas.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 23 Mai 2013, 20:08
Dos Santos-Cabral : leur histoire face aux Verts
En marge du rendez-vous LOSC-ASSE, au Grand Stade, ce dimanche 26 mai (21h), un hommage sera rendu à la mythique victoire lilloise de 1979. Cette année-là, les Dogues l’avait emporté (3-0) face à des Stéphanois alors champions de France en titre, à Grimonprez-Jooris. En mémoire de cet exploit, LOSC.fr a recueilli le témoignage de deux anciens Dogues ayant contribué à cette performance, Arnaud Dos Santos et Roberto Cabral, aujourd’hui réuni sous la bannière du Royal Mouscron Peruwelz.
23/05/13
Efficacité optimale, solidarité maximale
Arnaud Dos Santos : « Ce soir-là, nous avions été dominés et ballotés dans tous les coins du terrain. De mémoire, il me semble qu’on a passé le milieu de terrain qu’à six reprises… Et nous avons marqué trois fois (large sourire). Pour les personnes n’ayant vu que le résultat, une victoire 3-0 paraît très nette, mais en réalité, nous avons énormément souffert. Les Stéphanois ont même vu un pénalty repoussé par les gants de Philippe Bergeroo, héroïque ce soir-là. On peut dire qu’ils ont bu le calice jusqu’à la lie. Finalement, comme souvent dans le football, l’efficacité a prédominé sur le collectif de l’adversaire, en l’occurrence le grand Saint-Étienne. »
Roberto Cabral : « Pour moi, c’était la première fois que je voyais autant de monde dans un stade, ici en France, même si j’étais habitué aux grosses ambiances quand j’étais en Argentine. Ce que je retiens ? On a battu les Verts en ne dépassant que très peu le milieu de terrain. J’ai d’ailleurs eu la chance de marquer le premier but vers la 65e minute, avant de distiller une passe décisive à Pierre Pleimelding. Ce dernier avait ensuite porté la marque à 3-0, sur une passe de Zarko Olarevic. Saint-Étienne a dominé, mais ça n’a pas suffi. »
Roberto Cabral : « C’était la première fois que je voyais autant de monde dans un stade, ici en France. »
Une rencontre historique devenue mythique
Arnaud Dos Santos : « On a joué contre le grand Saint-Étienne de Santini et Rocheteau, le stade était plein à craquer. Gagner 3-0 contre le champion de France en titre, une équipe habituée des compétitions européennes avait un retentissement très important. D’autant que le match était télévisé, il prenait ainsi une ampleur phénoménale. C’était un grand moment à vivre, surtout en tant qu’acteur. »
Roberto Cabral : « On avait conscience de réaliser un exploit. D’ailleurs, Saint-Étienne a perdu le titre chez nous cette année-là, (Strasbourg a remporté le championnat avec 56 points contre 54 pour les Verts). Mais c’est avec le temps que nous avons mesuré l’impact de cette performance parce que les supporters s’en souviennent encore aujourd’hui, plus de trente ans après. En 1979, nous produisions un jeu très offensif et avions l’habitude de faire souvent trembler les filets (67 buts cette saison là), à l’image du LOSC champion de France en 2011. »
34 ans après…
Arnaud Dos Santos : « Les Lillois ont beaucoup de chance d’évoluer dans une enceinte d’une telle envergure, même si le stade Grimonprez-Jooris a connu des moments forts, également. C’est extrêmement sympathique de garder en mémoire que les anciens ont participé à la construction du LOSC actuel. À l’époque, nous venions de remonter en première division alors qu’aujourd’hui, le club participe très souvent aux compétitions européennes. Ce sera aussi l’occasion de rendre un dernier hommage à "Ploum" (Pierre Pleimelding) qui avait réussi un doublé lors de cette rencontre. Il devait d’ailleurs participer à ce coup d’envoi avec nous… »
Roberto Cabral : « Ça fait toujours plaisir de retrouver des anciens partenaires, même si cela appartient au passé. On constate aujourd’hui que le LOSC a grandi et qu’il a accompli de belles choses pendant toutes ces années. J’avais d’ailleurs déjà eu l’occasion de fouler la pelouse du Grand Stade, lors du dernier rassemblement des Anciens Dogues à l’occasion de l’inauguration (LOSC-Nancy 1-1, le 17 août 2012). »
Arnaud Dos Santos : « C’était un grand moment à vivre, surtout en tant qu’acteur. »
L’histoire continue au RMP !
Arnaud Dos Santos : « Avant de rejoindre son club filiale, je faisais partie de la cellule de recrutement lilloise tandis que Roberto s’occupait des jeunes. Il y a 34 ans, je n’aurais absolument pas pensé que je retrouverais mon équipier à mes côtés pour entraîner une équipe. Et pourtant, Jean-Michel Vandamme (Conseiller sportif du président) et de Rudi Garcia nous ont offert l’opportunité de retrouver le métier d’entraîneur pour aider le LOSC, au Royal Mouscron Peruwelz. Pour l’anecdote, j’ai fait la connaissance de l’actuel coach lillois quand il était encore joueur, j’entraînais alors le LOSC (1982-1984) et c’est moi qui l’ai lancé en première division. »
Roberto Cabral : « J’ai toujours été attiré par la fonction d’entraîneur, même si étant jeune, je n’y pensais pas. On a la chance de pratiquer un très beau métier. Tant que la passion du jeu reste présente et que la volonté de faire plaisir persiste, on peut continuer. Avec Arnaud, nous avons joué ensemble au LOSC, puis il est devenu coach. Ensuite, nous avons partagé le même banc de touche à Amiens (1994-1998). Nous avons eu l’occasion de travailler à nouveau ensemble pour le Royal Mouscron Peruwelz et tout se passe très bien. »
Merci à Arnaud Dos Santos et Roberto Cabral pour leur disponibilité. Retrouvez les sur la pelouse du Grand Stade, ce dimanche, pour le coup d’envoi du match LOSC-ASSE (21h).
la fête à la stachmou
En marge du rendez-vous LOSC-ASSE, au Grand Stade, ce dimanche 26 mai (21h), un hommage sera rendu à la mythique victoire lilloise de 1979. Cette année-là, les Dogues l’avait emporté (3-0) face à des Stéphanois alors champions de France en titre, à Grimonprez-Jooris. En mémoire de cet exploit, LOSC.fr a recueilli le témoignage de deux anciens Dogues ayant contribué à cette performance, Arnaud Dos Santos et Roberto Cabral, aujourd’hui réuni sous la bannière du Royal Mouscron Peruwelz.
23/05/13
Efficacité optimale, solidarité maximale
Arnaud Dos Santos : « Ce soir-là, nous avions été dominés et ballotés dans tous les coins du terrain. De mémoire, il me semble qu’on a passé le milieu de terrain qu’à six reprises… Et nous avons marqué trois fois (large sourire). Pour les personnes n’ayant vu que le résultat, une victoire 3-0 paraît très nette, mais en réalité, nous avons énormément souffert. Les Stéphanois ont même vu un pénalty repoussé par les gants de Philippe Bergeroo, héroïque ce soir-là. On peut dire qu’ils ont bu le calice jusqu’à la lie. Finalement, comme souvent dans le football, l’efficacité a prédominé sur le collectif de l’adversaire, en l’occurrence le grand Saint-Étienne. »
Roberto Cabral : « Pour moi, c’était la première fois que je voyais autant de monde dans un stade, ici en France, même si j’étais habitué aux grosses ambiances quand j’étais en Argentine. Ce que je retiens ? On a battu les Verts en ne dépassant que très peu le milieu de terrain. J’ai d’ailleurs eu la chance de marquer le premier but vers la 65e minute, avant de distiller une passe décisive à Pierre Pleimelding. Ce dernier avait ensuite porté la marque à 3-0, sur une passe de Zarko Olarevic. Saint-Étienne a dominé, mais ça n’a pas suffi. »
Roberto Cabral : « C’était la première fois que je voyais autant de monde dans un stade, ici en France. »
Une rencontre historique devenue mythique
Arnaud Dos Santos : « On a joué contre le grand Saint-Étienne de Santini et Rocheteau, le stade était plein à craquer. Gagner 3-0 contre le champion de France en titre, une équipe habituée des compétitions européennes avait un retentissement très important. D’autant que le match était télévisé, il prenait ainsi une ampleur phénoménale. C’était un grand moment à vivre, surtout en tant qu’acteur. »
Roberto Cabral : « On avait conscience de réaliser un exploit. D’ailleurs, Saint-Étienne a perdu le titre chez nous cette année-là, (Strasbourg a remporté le championnat avec 56 points contre 54 pour les Verts). Mais c’est avec le temps que nous avons mesuré l’impact de cette performance parce que les supporters s’en souviennent encore aujourd’hui, plus de trente ans après. En 1979, nous produisions un jeu très offensif et avions l’habitude de faire souvent trembler les filets (67 buts cette saison là), à l’image du LOSC champion de France en 2011. »
34 ans après…
Arnaud Dos Santos : « Les Lillois ont beaucoup de chance d’évoluer dans une enceinte d’une telle envergure, même si le stade Grimonprez-Jooris a connu des moments forts, également. C’est extrêmement sympathique de garder en mémoire que les anciens ont participé à la construction du LOSC actuel. À l’époque, nous venions de remonter en première division alors qu’aujourd’hui, le club participe très souvent aux compétitions européennes. Ce sera aussi l’occasion de rendre un dernier hommage à "Ploum" (Pierre Pleimelding) qui avait réussi un doublé lors de cette rencontre. Il devait d’ailleurs participer à ce coup d’envoi avec nous… »
Roberto Cabral : « Ça fait toujours plaisir de retrouver des anciens partenaires, même si cela appartient au passé. On constate aujourd’hui que le LOSC a grandi et qu’il a accompli de belles choses pendant toutes ces années. J’avais d’ailleurs déjà eu l’occasion de fouler la pelouse du Grand Stade, lors du dernier rassemblement des Anciens Dogues à l’occasion de l’inauguration (LOSC-Nancy 1-1, le 17 août 2012). »
Arnaud Dos Santos : « C’était un grand moment à vivre, surtout en tant qu’acteur. »
L’histoire continue au RMP !
Arnaud Dos Santos : « Avant de rejoindre son club filiale, je faisais partie de la cellule de recrutement lilloise tandis que Roberto s’occupait des jeunes. Il y a 34 ans, je n’aurais absolument pas pensé que je retrouverais mon équipier à mes côtés pour entraîner une équipe. Et pourtant, Jean-Michel Vandamme (Conseiller sportif du président) et de Rudi Garcia nous ont offert l’opportunité de retrouver le métier d’entraîneur pour aider le LOSC, au Royal Mouscron Peruwelz. Pour l’anecdote, j’ai fait la connaissance de l’actuel coach lillois quand il était encore joueur, j’entraînais alors le LOSC (1982-1984) et c’est moi qui l’ai lancé en première division. »
Roberto Cabral : « J’ai toujours été attiré par la fonction d’entraîneur, même si étant jeune, je n’y pensais pas. On a la chance de pratiquer un très beau métier. Tant que la passion du jeu reste présente et que la volonté de faire plaisir persiste, on peut continuer. Avec Arnaud, nous avons joué ensemble au LOSC, puis il est devenu coach. Ensuite, nous avons partagé le même banc de touche à Amiens (1994-1998). Nous avons eu l’occasion de travailler à nouveau ensemble pour le Royal Mouscron Peruwelz et tout se passe très bien. »
Merci à Arnaud Dos Santos et Roberto Cabral pour leur disponibilité. Retrouvez les sur la pelouse du Grand Stade, ce dimanche, pour le coup d’envoi du match LOSC-ASSE (21h).
la fête à la stachmou
Hollande 2027
par Riddick » 24 Mai 2013, 06:46
Discipline: Faubert et Pedretti soulagés
Julien Faubert pourra jouer la finale de Coupe de France contre Evian. Le Bordelais a en effet été sanctionné d'un match de suspension ferme plus un autre avec sursis, suite à son carton rouge reçu à Troyes samedi (défaite 1-0, 37e journée de Ligue 1). Benoît Pedretti a lui vu son expulsion annulée, après visionnage des images de Montpellier-Lille (0-0). A noter enfin que les deux Valenciennois Rémi Gomis et Benjamin Angoua, qui en étaient venus aux mains lors de Reims-VA (0-1, 33e journée), ont chacun pris un match ferme. Ce sera pour la première journée de la saison prochaine.
Julien Faubert pourra jouer la finale de Coupe de France contre Evian. Le Bordelais a en effet été sanctionné d'un match de suspension ferme plus un autre avec sursis, suite à son carton rouge reçu à Troyes samedi (défaite 1-0, 37e journée de Ligue 1). Benoît Pedretti a lui vu son expulsion annulée, après visionnage des images de Montpellier-Lille (0-0). A noter enfin que les deux Valenciennois Rémi Gomis et Benjamin Angoua, qui en étaient venus aux mains lors de Reims-VA (0-1, 33e journée), ont chacun pris un match ferme. Ce sera pour la première journée de la saison prochaine.
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