Je ne crois pas une seconde à cette survivance moyenâgeuse qu'est le royalisme.
En quoi la vie politique britannique, espagnole ou néerlandaise serait moins propice à la corruption où à l'enrichissement personnel ?
Bref, totalement hors de propos.
Hilarioste le funeste a écrit:Tu oublies juste qu'il y a eu une France avant 1789, et que le régime de l'époque n'a rien a voir avec ce qu'est devenu la royauté dans la plupart des pays que tu cites. Une monarchie parlementaire n'est pas une monarchie absolue de droit divin, de plus la monarchie française est tellement spécifique que chercher à conjecturer à partir de ce que sont les autres monarchies actuellement, n'a pas de sens.
Pour faire tomber et réformer toutes les monarchies d'europe, il a juste fallu s'en prendre à sa tête : la monarchie française.
L'absolutisme qui a une mauvaise presse sous la république des incultes n'était pas quelque chose de si mauvais que cela, à l'époque de l'absolutisme, le pouvoir politique du roi passait avant tout les autres pouvoirs et notamment le pouvoir financier, c'est par exemple Philippe le bel qui neutralise les templiers et leur pouvoir grandissant.
Or le problème depuis Napoléon et la création de la banque centrale française, c'est que ce sont les banquiers qui ont le véritable pouvoir, comme le disait Napoléon lui-même : "Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. L'argent n'a pas de patrie; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence; leur unique objectif est le gain."
Ce qui est risible aussi à vous lire c'est votre esprit partisan à défendre la république, comme si l'accumulation des fautes des uns et des autres, n'était pas la preuve que ce régime est vicié et ne fonctionne pas.
Tant que les citoyens ne prendront pas conscience qu'il faut un renouvellement de la classe politique (sur un mode royaliste évidemment), ce genre d'affaires resurgira à intervalles plus ou moins réguliers.
Je crois personnellement à la possibilité d'une vie politique intègre en France, mais avec les partis républicains, c'est mort.
John Holmes a écrit:Ah ouias, bien lourd comme co-équipier.
ChevalierBlanc a écrit:John Holmes a écrit:Ah ouias, bien lourd comme co-équipier.
ça fait penser que la dernière fois au futsal j'ai pissé dans ton shampoing.
fernando a écrit:Dernis : «Ça a été un gros bide»
Quinze années de professionnalisme et autant d’années au cours desquelles Geoffrey Dernis a martyrisé ses équipiers. Il ne l’a pas classé dans son top 5 des blagues les plus « loose », mais le milieu de Brest se souvient par exemple d’une fin de saison à Lille où la deuxième place était déjà assurée. «J’avais coupé les manches de la chemise et de la veste d’un mec. Et il était allé devant la presse comme ça, se marre encore le joueur passé par le LOSC, Saint-Etienne ou encore Montpellier. Des trucs comme ça, il y en a plein !». Après quelques heures à fouiller dans sa mémoire, Dernis a fait le tri pour nous faire part, selon lui, de ses meilleures vannes. «Les gens savent que c’est pour déconner, précise-t-il. Et puis, moi aussi j’ai pris. Derrière, il y a toujours eu une petite vengeance».
Numéro 5 : donner un mauvais horaire
«On te demande à quelle heure est l’entraînement, et tu réponds d’un air très sérieux : «on a rendez-vous à 8h30» alors qu’en fait, c’est 10h. Et le mec se retrouve à poireauter 1h30 pour rien».
Numéro 4 : la moutarde sur les couverts
«Ça, c’est pour les jeunes, c’est très classique. Tu mets de la moutarde sur les couverts, et quand ils les prennent, ils en ont plein les doigts. En plus, la moutarde, ça sent fort !»
Numéro 3 : le gel douche dans les chaussures
«Tu mets un peu de gel douche dans les chaussures et dans les crampons, mais uniquement quand il pleut. Le mec court, court, ça frotte et ça mousse sur la godasse.»
Numéro 2 : le faux billet
«Je le fais de temps en temps et j’aime bien. Tu prends un ticket dont tu n’as pas besoin. Tu le donnes à quelqu’un dans une enveloppe. En général, la personne ne vérifie pas. Elle arrive à l’entrée du stade, et là, elle ne peut pas rentrer parce que ce n’est pas le billet pour le bon match… Le mec a beau dire : « mais c’est Dernis qui m’a donné ce billet », il ne peut pas rentrer. Bon en général, je m’organise avec les mecs à l’entrée pour que derrière, la personne ait vraiment un billet. Mais c’est arrivé une fois qu’elle ne puisse pas rentrer.»
Numéro 1 : ma retraite internationale
«Le jour où Wilkinson a pris sa retraite, on venait de perdre à Valenciennes et j’avais lancé un délire avec Pierre Bourdel, l’attaché de presse de Montpellier : « je vais parler à la presse, et annoncer ma retraite internationale ». Il y avait trop de monde, une trentaine de journalistes. J’annonce ça, et là, personne ne comprend. Ils étaient venus pour rien. Ça a été un gros bide.»
Sacré Dernis
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