John Holmes a écrit:Bon maintenat faut qu'il amène des bons petits jeunes dans ses bagages...
on en a en réservce, faudra qu il les intégre...pas chers..sont dans le projet
Monsieur Girard il faut partir maintenant
par GilbertSedman » 14 Juin 2013, 16:34
Je n'aime pas le mec, mais vu le mercato qu'on lui prépare, je lui souhaite un bon courage à René.
Comme disait Bernard tapie : 'on laboure avec les boeufs qu'on a !'
Phrase qui colle très bien au futsal....
Comme disait Bernard tapie : 'on laboure avec les boeufs qu'on a !'
Phrase qui colle très bien au futsal....
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par laurentlille1 » 14 Juin 2013, 17:13
Merci aux supporters de lui fournir rapidement une adresse de vente de costumes et de pulls à col roulé sur Lille.
par fernando » 14 Juin 2013, 18:17
Georges n'aurait pas fait mieux.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 15 Juin 2013, 13:30
Girard : «Lille fait partie du top 5»
Nommé entraîneur du LOSC la veille, René Girard a été présenté à la presse samedi midi. «Après Montpellier, je ne pouvais pas avoir meilleure opportunité», a-t-il souligné.
Trois jours. C’est le laps de temps qui s’est écoulé entre le départ de Rudi Garcia à la Roma et la nomination de son remplaçant, René Girard, à la tête du LOSC. Arrivé dans le Nord vendredi soir, le technicien a paraphé un contrat de trois ans ce samedi matin. Il a notamment été préféré à l’entraineur de M’Gldabach, Lucien Favre, dont le nom circulait également pour le poste. Après lui avoir souhaité «un bienvenue chez les Ch’tis» de circonstance, Michel Seydoux est revenu sur les raisons qui l’avaient conduit à lui dire un «oui franc et massif». La rencontre entre les deux hommes a pesé.
«On ne peut pas séduire tout le monde. Ceux qui ont des réserves vont pouvoir discuter avec lui. Les interrogations seront vite levées». Michel Seydoux. «Ce qui m’a beaucoup plu dans nos premiers contacts, c’est l’intelligence de René, a-t-il souligné. Les gens intelligents s’adaptent beaucoup plus vite que ceux qui ne le sont pas». Une remarque qui vaut autant sur le plan footballistique que du tempérament. Celui de René Girard est réputé volcanique, ce qui ne lui a, pour l’instant, pas valu une franche adhésion des supporters du LOSC, notamment sur les réseaux sociaux. «On ne peut pas séduire tout le monde, a tempéré Seydoux. Ceux qui ont des réserves vont pouvoir discuter avec lui. Les interrogations seront vite levées». Ovationné pour ses adieux à la Mosson en fin de saison de dernière, Girard a d’ores et déjà «parié» qu’il en serait de même à Lille à la fin de son contrat. Et de plaisanter : «Je vous rassure, mon casier judiciaire est blanc».
S’il avait manifesté une attirance pour l’Angleterre, Girard ne s’en est finalement que rapproché géographiquement. «Très heureux», il a vanté la compétitivité (toujours intacte, selon lui) et les «installations de premier ordre» du LOSC. «Lille fait partie du top 5, a-t-il affirmé. Après Montpellier, je ne pouvais pas avoir meilleure opportunité.» Même en dépit des nombreux départs qui devraient marquer l’intersaison lilloise ? «Je sais qu’on aura une belle équipe l’année prochaine, a-t-il répondu sans donner d’objectif chiffré. Il y a des choses qui doivent être faites pour les besoins du club, mais on pourra travailler. L’effectif sera compétitif. Ça peut faire penser à ce que j’ai connu avec Montpellier quand j’étais parti avec des jeunes à la différence que le LOSC a un gros temps d’avance sur le MHSC». A Lille, une page s’est tournée. Seydoux espère que celle ouverte avec Girard sera «belle».
Nommé entraîneur du LOSC la veille, René Girard a été présenté à la presse samedi midi. «Après Montpellier, je ne pouvais pas avoir meilleure opportunité», a-t-il souligné.
Trois jours. C’est le laps de temps qui s’est écoulé entre le départ de Rudi Garcia à la Roma et la nomination de son remplaçant, René Girard, à la tête du LOSC. Arrivé dans le Nord vendredi soir, le technicien a paraphé un contrat de trois ans ce samedi matin. Il a notamment été préféré à l’entraineur de M’Gldabach, Lucien Favre, dont le nom circulait également pour le poste. Après lui avoir souhaité «un bienvenue chez les Ch’tis» de circonstance, Michel Seydoux est revenu sur les raisons qui l’avaient conduit à lui dire un «oui franc et massif». La rencontre entre les deux hommes a pesé.
«On ne peut pas séduire tout le monde. Ceux qui ont des réserves vont pouvoir discuter avec lui. Les interrogations seront vite levées». Michel Seydoux. «Ce qui m’a beaucoup plu dans nos premiers contacts, c’est l’intelligence de René, a-t-il souligné. Les gens intelligents s’adaptent beaucoup plus vite que ceux qui ne le sont pas». Une remarque qui vaut autant sur le plan footballistique que du tempérament. Celui de René Girard est réputé volcanique, ce qui ne lui a, pour l’instant, pas valu une franche adhésion des supporters du LOSC, notamment sur les réseaux sociaux. «On ne peut pas séduire tout le monde, a tempéré Seydoux. Ceux qui ont des réserves vont pouvoir discuter avec lui. Les interrogations seront vite levées». Ovationné pour ses adieux à la Mosson en fin de saison de dernière, Girard a d’ores et déjà «parié» qu’il en serait de même à Lille à la fin de son contrat. Et de plaisanter : «Je vous rassure, mon casier judiciaire est blanc».
S’il avait manifesté une attirance pour l’Angleterre, Girard ne s’en est finalement que rapproché géographiquement. «Très heureux», il a vanté la compétitivité (toujours intacte, selon lui) et les «installations de premier ordre» du LOSC. «Lille fait partie du top 5, a-t-il affirmé. Après Montpellier, je ne pouvais pas avoir meilleure opportunité.» Même en dépit des nombreux départs qui devraient marquer l’intersaison lilloise ? «Je sais qu’on aura une belle équipe l’année prochaine, a-t-il répondu sans donner d’objectif chiffré. Il y a des choses qui doivent être faites pour les besoins du club, mais on pourra travailler. L’effectif sera compétitif. Ça peut faire penser à ce que j’ai connu avec Montpellier quand j’étais parti avec des jeunes à la différence que le LOSC a un gros temps d’avance sur le MHSC». A Lille, une page s’est tournée. Seydoux espère que celle ouverte avec Girard sera «belle».
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par laurentlille1 » 15 Juin 2013, 14:13
fernando a écrit:Girard : «Lille fait partie du top 5»
J'aurais plutot dit "Lille fait partie du top 6"
par GilbertSedman » 15 Juin 2013, 15:40
Le cvt dirait 'Lille fera partie du top 15'
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par krouw2 » 15 Juin 2013, 20:14
Girard : «Le top 5, c'est quoi ?»
Présenté à la presse samedi midi, René Girard a accepté, quelques heures plus tard, de revenir pour nous sur son arrivée à la tête du LOSC. Malgré la politique d'austérité désormais prônée par le club, il assure que les Dogues «ont encore de bons moments à passer».
«René Girard, vous aviez fait part de votre souhait de découvrir l’Angleterre et vous voilà finalement entraîneur de Lille. Racontez-nous votre choix.
Ça s’est fait très simplement. Au départ, c’est vrai qu’une expérience en Premier League me tentait, mais je n’ai jamais exclu de rester en France. Enfin si, un peu, dans la mesure où j’arrivais en fin de contrat et qu’il y avait très peu de postes disponibles. Quand Lille m’a sollicité, le challenge m’a tout de suite intéressé. Le LOSC fait partie des meilleurs clubs français au niveau des installations et des performances réalisées depuis quelques années.
Concernant les installations, d’accord. Mais au niveau performance, est-ce toujours le cas ?
Il n’y a qu’à regarder le classement des cinq ou six dernières années…
« J'ai signé ici en sachant ce qui pouvait se passer, que 3 ou 4 joueurs pourraient être amenés à partir.» La différence, c’est que vous ne disposerez pas du même effectif que lors des cinq ou six dernières années…
Que le club ait besoin de se réactualiser sur certains points, c’est une chose. J’ai signé ici en sachant ce qui pouvait se passer, que 3 ou 4 joueurs pourraient être amenés à partir. Mais ça n’enlèvera rien à la qualité du groupe qui sera là l’an prochain. Et ce n’est pas ça qui va faire qu’on ne sera plus dans le top 5. Ou alors si, mais dans ce cas-là, le top 5, c’est quoi ? Le PSG, Monaco et l’aspect financier. Mais bon, là, ce n’est même pas un top 5, c’est un top 2.
Est-ce plus facile d’arriver à Lille dans ce contexte, avec des moyens financiers moindres et des attentes qui le seront peut-être également ?
Je ne raisonne pas comme ça. Moi je viens ici pour finir le mieux classé possible. Et dans ces cas-là, la pression est toujours la même.
Est-ce une nécessité pour le LOSC de disputer une Coupe d’Europe l’an prochain ?
La Ligue des champions, c’est quelque chose de primordial pour tous les clubs français. Et Lille a prouvé qu’il avait les moyens de viser l’Europe. Maintenant, le président n’a pas mis de pression particulière par rapport à ça. Les ambitions viendront petit à petit. En même temps, si Monaco et Paris sont voués à terminer aux deux premières places, ça limite pas mal le champ d’action. Personnellement, je crois qu’on peut jouer au foot avec d’autres ingrédients. On va essayer de le montrer.
«Mon tempérament ? Revenir systématiquement à ça, je trouve ça un peu restrictif.» En interne comme chez les supporters, votre nom n’a pas fait l’unanimité. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Je n’ai pas senti de courants au sein du club. J’ai toujours travaillé avec les quatre mêmes personnes, il n’y a pas de problème à ce niveau-là. Quant aux supporters, j’ai envie de leur dire qu’on va se retrouver dans les prochaines semaines et qu’on aura le temps de discuter. On n’est pas si différent que ça. Mon caractère ? Ça démontre peut-être la limite de certaines personnes dans l’appréciation de quelqu’un qui fait son boulot. Revenir systématiquement à ça, je trouve ça un peu restrictif.
Au-delà de votre caractère, vous serez également attendu sur le plan du jeu…
Il y a toujours des attentes. Les gens veulent voir du spectacle, du beau football. Ils l’ont eu à Lille. A Montpellier aussi et pas seulement l’année du titre. Voilà, je ne vais pas changer du jour au lendemain. On va essayer d’être le plus performant et le plus attrayant possible pour les supporters qui sont l’un des meilleurs publics de France tant par la qualité que par la quantité. Lille a encore des bons moments à passer.»
Présenté à la presse samedi midi, René Girard a accepté, quelques heures plus tard, de revenir pour nous sur son arrivée à la tête du LOSC. Malgré la politique d'austérité désormais prônée par le club, il assure que les Dogues «ont encore de bons moments à passer».
«René Girard, vous aviez fait part de votre souhait de découvrir l’Angleterre et vous voilà finalement entraîneur de Lille. Racontez-nous votre choix.
Ça s’est fait très simplement. Au départ, c’est vrai qu’une expérience en Premier League me tentait, mais je n’ai jamais exclu de rester en France. Enfin si, un peu, dans la mesure où j’arrivais en fin de contrat et qu’il y avait très peu de postes disponibles. Quand Lille m’a sollicité, le challenge m’a tout de suite intéressé. Le LOSC fait partie des meilleurs clubs français au niveau des installations et des performances réalisées depuis quelques années.
Concernant les installations, d’accord. Mais au niveau performance, est-ce toujours le cas ?
Il n’y a qu’à regarder le classement des cinq ou six dernières années…
« J'ai signé ici en sachant ce qui pouvait se passer, que 3 ou 4 joueurs pourraient être amenés à partir.» La différence, c’est que vous ne disposerez pas du même effectif que lors des cinq ou six dernières années…
Que le club ait besoin de se réactualiser sur certains points, c’est une chose. J’ai signé ici en sachant ce qui pouvait se passer, que 3 ou 4 joueurs pourraient être amenés à partir. Mais ça n’enlèvera rien à la qualité du groupe qui sera là l’an prochain. Et ce n’est pas ça qui va faire qu’on ne sera plus dans le top 5. Ou alors si, mais dans ce cas-là, le top 5, c’est quoi ? Le PSG, Monaco et l’aspect financier. Mais bon, là, ce n’est même pas un top 5, c’est un top 2.
Est-ce plus facile d’arriver à Lille dans ce contexte, avec des moyens financiers moindres et des attentes qui le seront peut-être également ?
Je ne raisonne pas comme ça. Moi je viens ici pour finir le mieux classé possible. Et dans ces cas-là, la pression est toujours la même.
Est-ce une nécessité pour le LOSC de disputer une Coupe d’Europe l’an prochain ?
La Ligue des champions, c’est quelque chose de primordial pour tous les clubs français. Et Lille a prouvé qu’il avait les moyens de viser l’Europe. Maintenant, le président n’a pas mis de pression particulière par rapport à ça. Les ambitions viendront petit à petit. En même temps, si Monaco et Paris sont voués à terminer aux deux premières places, ça limite pas mal le champ d’action. Personnellement, je crois qu’on peut jouer au foot avec d’autres ingrédients. On va essayer de le montrer.
«Mon tempérament ? Revenir systématiquement à ça, je trouve ça un peu restrictif.» En interne comme chez les supporters, votre nom n’a pas fait l’unanimité. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Je n’ai pas senti de courants au sein du club. J’ai toujours travaillé avec les quatre mêmes personnes, il n’y a pas de problème à ce niveau-là. Quant aux supporters, j’ai envie de leur dire qu’on va se retrouver dans les prochaines semaines et qu’on aura le temps de discuter. On n’est pas si différent que ça. Mon caractère ? Ça démontre peut-être la limite de certaines personnes dans l’appréciation de quelqu’un qui fait son boulot. Revenir systématiquement à ça, je trouve ça un peu restrictif.
Au-delà de votre caractère, vous serez également attendu sur le plan du jeu…
Il y a toujours des attentes. Les gens veulent voir du spectacle, du beau football. Ils l’ont eu à Lille. A Montpellier aussi et pas seulement l’année du titre. Voilà, je ne vais pas changer du jour au lendemain. On va essayer d’être le plus performant et le plus attrayant possible pour les supporters qui sont l’un des meilleurs publics de France tant par la qualité que par la quantité. Lille a encore des bons moments à passer.»
Hollande 2027
par Giallo » 15 Juin 2013, 22:49
krouw2 a écrit:le président n’a pas mis de pression particulière par rapport à ça. Les ambitions viendront petit à petit.
En gros c'est fini l'époque où on avait "le projet", on peut très bien se retrouver à avoir "l'ambition" de jouer le maintien en octobre ?
ce message ne vient pas de moi
par krouw2 » 21 Juin 2013, 15:32
Garcia : "Je suis triste de quitter le LOSC"
Rudi Garcia voulait dire "au-revoir" aux supporters du LOSC, partir en bons termes. Il a fait passer le message au cours d'une conférence de presse organisée à Lille ce vendredi après-midi.
Rudi Garcia en conférence de presse à Lille ce vendredi après-midi.
"C'est difficile de partir. Je suis triste de partir, a reconnu Rudi Garcia au cours de cette dernière conférence de presse lilloise. Quand vous avez vécu des grands moments comme le doublé, c'est forcément difficile. Mais je pense que c'était le moment. Et je suis aussi content. Je ressens beaucoup d'excitation pour ce qui est devant." Le désormais ex-entraîneur du LOSC est revenu brièvement et sans entrer dans les détails sur son départ du LOSC. Il est resté très positif remerciant Michel Seydoux, Frédéric Paquet, les joueurs, les supporters...
Il a expliqué très rapidement pourquoi il avait décidé de quitter le LOSC alors qu'il a très longtemps dit qu'il voulait rester : "Il y a un mois et demi, je pensais rester et puis il y a eu cette sollicitation de l'AS Rome. (...) Tout s'est précipité. Si on n'avait joué la Coupe d'Europe, ça n'aurait rien changé. J'avais eu des discussions avec le président. Vous vous doutez bien que j'aurais préféré laisser l'Europe. Mon seul regret c'est de ne pas avoir pu remercier mes supporters lors du dernier match."
Rudi Garcia a indiqué qu'il avait eu des propositions après le titre (dont la Roma) mais ne s'était pas posé la question d'un départ à l'époque car il voulait jouer dans le Grand Stade et goûter à la Ligue des Champions.
"Je suis fier d'être le premier entraîneur français à entraîner en Série A, a-t-il conclu. J'espère gagner des titres et passer autant de temps qu'au LOSC (5 ans".
Rudi Garcia voulait dire "au-revoir" aux supporters du LOSC, partir en bons termes. Il a fait passer le message au cours d'une conférence de presse organisée à Lille ce vendredi après-midi.
Rudi Garcia en conférence de presse à Lille ce vendredi après-midi.
"C'est difficile de partir. Je suis triste de partir, a reconnu Rudi Garcia au cours de cette dernière conférence de presse lilloise. Quand vous avez vécu des grands moments comme le doublé, c'est forcément difficile. Mais je pense que c'était le moment. Et je suis aussi content. Je ressens beaucoup d'excitation pour ce qui est devant." Le désormais ex-entraîneur du LOSC est revenu brièvement et sans entrer dans les détails sur son départ du LOSC. Il est resté très positif remerciant Michel Seydoux, Frédéric Paquet, les joueurs, les supporters...
Il a expliqué très rapidement pourquoi il avait décidé de quitter le LOSC alors qu'il a très longtemps dit qu'il voulait rester : "Il y a un mois et demi, je pensais rester et puis il y a eu cette sollicitation de l'AS Rome. (...) Tout s'est précipité. Si on n'avait joué la Coupe d'Europe, ça n'aurait rien changé. J'avais eu des discussions avec le président. Vous vous doutez bien que j'aurais préféré laisser l'Europe. Mon seul regret c'est de ne pas avoir pu remercier mes supporters lors du dernier match."
Rudi Garcia a indiqué qu'il avait eu des propositions après le titre (dont la Roma) mais ne s'était pas posé la question d'un départ à l'époque car il voulait jouer dans le Grand Stade et goûter à la Ligue des Champions.
"Je suis fier d'être le premier entraîneur français à entraîner en Série A, a-t-il conclu. J'espère gagner des titres et passer autant de temps qu'au LOSC (5 ans".
Hollande 2027
par karmelille » 22 Juin 2013, 15:44
""" Si on n'avait joué la Coupe d'Europe, ça n'aurait rien changé."""
Pas la peine de donner la source, les fautes d' ortho et gram c est signé eurosport. Suis a deux doigts de leur écrire.
Pas la peine de donner la source, les fautes d' ortho et gram c est signé eurosport. Suis a deux doigts de leur écrire.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par Vinchenzo » 22 Juin 2013, 15:49
karmelille a écrit:""" Si on n'avait joué la Coupe d'Europe, ça n'aurait rien changé."""
Pas la peine de donner la source, les fautes d' ortho et gram c est signé eurosport. Suis a deux doigts de leur écrire.
Laisse les se reposer de temps en temps ...
par karmelille » 22 Juin 2013, 15:50
LOL.
Jlé pensé en l écrivant.
Jlé pensé en l écrivant.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
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