La faucheuse en action

Messagepar John Holmes » 20 Juin 2013, 15:23

Justement faut aller au delà de la saison 1... feignasse
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Messagepar fernando » 20 Juin 2013, 15:34

Der a écrit:Putain encore un!?

Qu'est-ce que vous avez avec Walking Dead?
Sérieux elle est vraiment naze cette série. J'ai tenu 4 épisodes.


Je comprends pas non plus l'engouement autour de Walking Dead. J'ai eu l'impression de regarder un truc qui dure 1h, mais qui aurait pu durer 20 ou 30mn. T'as toutes les ficelles pour rallonger la sauce artificiellement. Fondamentalement c'est ça qui me gave dans bcp de séries, ça prend bcp de temps à regarder par rapport à l'intérêt que ça représente. Je regarderais plus volontiers des séries si c'était plus souvent sur des formats arrêtés au départ : 5, 10, 15 épisodes...
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Messagepar ChevalierBlanc » 20 Juin 2013, 15:36

fernando a écrit:
Der a écrit:Putain encore un!?

Qu'est-ce que vous avez avec Walking Dead?
Sérieux elle est vraiment naze cette série. J'ai tenu 4 épisodes.


Je comprends pas non plus l'engouement autour de Walking Dead. J'ai eu l'impression de regarder un truc qui dure 1h, mais qui aurait pu durer 20 ou 30mn. T'as toutes les ficelles pour rallonger la sauce artificiellement. Fondamentalement c'est ça qui me gave dans bcp de séries, ça prend bcp de temps à regarder par rapport à l'intérêt que ça représente. Je regarderais plus volontiers des séries si c'était plus souvent sur des formats arrêtés au départ : 5, 10, 15 épisodes...


C'est peut-être une question de maturité ? Vous n'êtes pas prêts les gars.
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Messagepar Giallo » 20 Juin 2013, 15:37

perso, ces dernières années il y a eu bien plus de séries qui m'ont marquées que de films
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar guinness » 20 Juin 2013, 15:42

Walking Dead, c'est bien naze, énéfé
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Messagepar John Holmes » 20 Juin 2013, 15:59

Snakedriver a écrit:perso, ces dernières années il y a eu bien plus de séries qui m'ont marquées que de films



+1

aprés les gouts les couleurs... mais dire que c'est naze ou nul, remember les séries y'a 15 - 20 ans merde.
J'étais pas chaud pour WD et ben là je suis grave aprés la saison 4. Il faut voir au delà du gore...
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Messagepar Der » 20 Juin 2013, 16:08

Le gore ne me dérange pas, bien au contraire.

Mais c'est pas parce que c'est mieux que "K2000" ou "l'agence tout risque" (et encore, ça se discute) que ça en fait une bonne série. ;-)
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar fernando » 20 Juin 2013, 16:10

John Holmes a écrit:remember les séries y'a 15 - 20 ans merde.


Un peu de respect pour le Prince de Bel-Air stp.

J'étais pas chaud pour WD et ben là je suis grave aprés la saison 4. Il faut voir au delà du gore...


Moi j'ai juste l'impression qu'il y a très peu de séries qui valent au final le coup de s'en taper des dizaines et des dizaines d'heures...
Putain Walking Dead me dire qu'il y a déjà 4 saisons ça me gave d'avance, idem pour Dexter ou plein d'autres trucs.

J'me dis qu'il y a bcp mieux à voir ou à faire sur un tel laps de temps.
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Messagepar John Holmes » 20 Juin 2013, 16:11

Putain tu mets K2000 et l'agence tourisme dans le même sac, t'es vraiment un mec abjecte Der !

T'im digoûte sur le torah de la mecque de Ravih Shankar.
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Messagepar basmainforme » 20 Juin 2013, 16:13

le premier qui dit du mal de Kit et Michael, jeul butte !
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Messagepar Giallo » 20 Juin 2013, 16:15

Je pense qu'il y a toujours eu de bonnes séries, Le Prisonnier par exemple c'était quand même carrément bien. Ensuite c'est dur de les comparer sur tous les points avec les séries de maintenant parce que les budgets ont explosés, mais si l'on doit faire un comparatif au niveau de l'écriture des scénarios c'est vrai que ça a vraiment beaucoup évolué depuis une vingtaine d'années. Aujourd'hui certaines séries comme The Wire, The Sopranos ou Boardwalk Empire font vraiment penser à de très bons long métrages découpés en chapitres.
Dernière édition par Giallo le 20 Juin 2013, 16:16, édité 1 fois.
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar Der » 20 Juin 2013, 16:15

Yeah! J'ai lancé un vrai débat/fight, K2000 VS Agence Tourizm.
\o/
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar fernando » 20 Juin 2013, 16:23

Snakedriver a écrit:Aujourd'hui certaines séries comme The Wire, The Sopranos ou Boardwalk Empire font vraiment penser à de très bons long métrages découpés en chapitres.


Ouais, y'a aussi de plus en plus de cinéastes reconnus qui se lancent dans les séries.
Et puis faut avouer que ces dernières années, la créativité est plus du côté des séries que de Hollywood qui ne fait plus des remakes, prequels et autres spin-off à l'infini.
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Messagepar John Holmes » 20 Juin 2013, 16:24

J'ai choisi mon camp... Mais je crois qu'on pollue le topox

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Messagepar boban » 20 Juin 2013, 16:25

Bon sinon pensée pour Bij' qui a du pleurer toutes les larmes de son corps, limite il s'engage au hezbollah...
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Messagepar ursulet » 20 Juin 2013, 16:25

Der a écrit:Yeah! J'ai lancé un vrai débat/fight, K2000 VS Agence Tourizm.
\o/



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Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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Messagepar John Holmes » 20 Juin 2013, 16:26

boban a écrit:... limite il s'engage au hezbollah...


il bossait déja pour eux, il t'avait pas dit !
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Messagepar Giallo » 20 Juin 2013, 16:27

pour info et rebondir sur mon post sur l'explosion des budgets des séries, j'avais lu que Gandolfini justement, touchait 1MUSD par épisode avec les Sopranos...
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar krouw2 » 20 Juin 2013, 16:29

c'était bien l'agence tourimse
Hollande 2027
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Messagepar John Holmes » 20 Juin 2013, 16:42

Moi j'adore qu'un plan se déroule sans accroc :
viewtopic.php?f=2&t=156&p=67785&hilit=s%C3%A9rie#p67785
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Messagepar stikky » 20 Juin 2013, 17:26

C'est sur que c'était pas les feuer of love ou premières galoches au niveau acting :

Tony Vs Carma : fight round 2
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Messagepar stikky » 20 Juin 2013, 17:32

Snakedriver a écrit:pour info et rebondir sur mon post sur l'explosion des budgets des séries, j'avais lu que Gandolfini justement, touchait 1MUSD par épisode avec les Sopranos...


Ce que touchaient les 6 actors de friends... chacun
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Messagepar bijams » 21 Juin 2013, 00:12

Repose en paix mon ami.

It's good to be in something from the ground floor. I came too late for that and I know. But lately, I'm getting the feeling that I came in at the end. The best is over
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Messagepar bijams » 21 Juin 2013, 00:17

C’est la nouvelle à propos de laquelle je n’aurai jamais imaginé écrire : James Gandolfini est décédé ce mercredi, apparemment d’une attaque cardiaque, pendant un séjour à Rome. Né le 18 septembre 1961, il avait 51 ans.
James était, bien sûr, la vedette de la mythique série Les Soprano, dans laquelle il tenait le rôle de Tony Soprano, le fils de mafieux à la tête de l’entreprise criminelle familiale, dans le New Jersey. La série (actuellement diffusée sur OCS) a contribué à mettre sur orbite la chaine américaine HBO en lui permettant de capter un public plus exigeant et de réunir jusqu’à 18 millions de téléspectateurs pour une série originale.

Un chef d’œuvre télévisuel
Produite de 1999 à 2007 et comptant quelques 86 épisodes, Les Soprano, si elle est peu connue du très grand public, est considérée comme un chef-d’œuvre, l’une des séries les plus novatrices jamais produites. Elle a considérablement changé les normes d’écritures pour la télévision, tout en prouvant qu’il existait un public pour les séries du câble. Mad Men, Dexter, Six Feet Under ou encore Breaking Bad (voire même le modèle des productions originales de Canal+, avec entre autre la série Mafiosa) doivent leur existence au succès phénoménal des Soprano.
David Chase, le créateur et showrunner de la série, a choisi de mettre à sa tête un virtuel inconnu. Jusqu’à lors, James Gandolfini n’avait tenu que des seconds rôles de méchants et pourtant, sans être « bankable », il devient une tête d’affiche. Chase avait senti dans le physique bourru et le regard de Gandolfini le personnage mal dans sa peau, en proie à des crises d’anxiété et obligé de consulter une psy en secret… tout en étant capable de tuer quelqu’un de ses propres mains.
Aujourd’hui, Chase qualifie Gandolfini de « génie » et de « meilleur acteur de tous les temps ». Une chose qu’on ne peut qu’approuver quand on voit l’interprétation subtile et recherchée de James. Pour cela, il avait remporté trois années de suite l’Emmy Award du meilleur acteur dans une série dramatique.

L’homme derrière Tony Soprano

La première fois que j’ai rencontré James, il était aussi maussade que Tony Soprano. Il arrivait de Londres en compagnie d’autres membres de l’équipe (dont David Chase et Michael Imperioli). Là-bas la promotion ne s’était pas bien passée et il ne pensait qu’à repartir aux Etats-Unis. 24 heures plus tard, tout avait changé. L’ambiance était au beau fixe, il avait accepté de donner une interview pour la 200ème de « Destination Séries » et on refaisait le monde durant des diners homériques.
Je découvrais alors dans son regard et son énigmatique sourire un peu de la vulnérabilité de Tony Soprano. Quelques mois plus tard, je le retrouvais sur le tournage de la série où ils m’avaient tous invité. Et je me souviendrais encore longtemps de la stupéfaction du caméraman américain qui travaillait aux côtés de mon réalisateur Philippe Appieto, quand, devant le porche de la résidence Soprano et vêtu d’une robe de chambre, Gandolfini est venu nous faire un « hug ». La série était habituellement « off limit » pour tous les journalistes et James ne donnait jamais d’interview.

Une star qui refusait de l’être

À l’opposé d’une diva, James était tout simplement quelqu’un de timide. Il n’était pas sûr de lui, persuadé que ce qu’il avait à dire n’intéresserait personne. Pour gagner sa confiance, il fallait être aussi franc qu’il l’était. James était le comédien le plus humble qu’il m’a été permis de connaitre et traitait tout le monde dans l’équipe sur un pied d’égalité. Doté d’un appétit gargantuesque, je le voyais dévorer des linguinis pour le tournage d’une des mémorables scènes dans l’arrière-boutique du Pork Store, refaire la scène 5 ou 6 fois… pour ensuite partir déjeuner ! L’accessoiriste m’avait même confié qu’une fois, James avait jeté son dévolu sur un plat qui devait servir dans une prochaine scène ! Très rigoureux, Gandolfini quittait la table du diner quand l’heure se faisait plus tardive, histoire d’être reposé pour le tournage du lendemain.
Gandolfini n’a pas profité de son statut de star pour devenir vedette de blockbuster. Il avait produit des documentaires et des mini-séries, et avait jouait aux côtés de Brad Pitt et Julia Roberts dans le film Le Mexicain. Il se souvenait aussi très bien de son précédent séjour en France, pour le tournage du film d’Alain Corneau Le Nouveau Monde, dans lequel il jouait l’un des militaires américains de la base française qui fascine le jeune héros du film.
James Gandolfini était loin d’être un homme parfait. Il était tout simplement un acteur prodigieux et un remarquable être humain.
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Messagepar stikky » 21 Juin 2013, 09:09

moins dithyrambique mais tout aussi intéressant

L'acteur, qui a porté la célèbre série sur ses larges épaules, vient de mourir à 51 ans d'une crise cardiaque.
Mots-clés : mort, Crise cardiaque, série, mafia, les Soprano, James Gandolfini, david chase


En 2004, James Gandolfini était l’invité de James Lipton dans sa célèbre émission "Inside The Actor’s Studio". L’important, dans cette interview, ce furent les premières secondes. Gandolfini entrait en scène. Il portait un costume. Il avançait d’un pas lourd vers un petit fauteuil, dans lequel il entreprit de s’asseoir, entravé par son poids, soufflant des naseaux, tirant sur son pantalon tandis qu’il croisait les jambes. La salle fut prise d’un fou rire. Lui aussi. Sans un mot prononcé, tout le monde se mit à applaudir. Ce n’était pas Gandolfini qui s’asseyait. C’était Tony Soprano, le mafieux mélancolique, en chair et en os, aux prises avec l’étroitesse du fauteuil dans le cabinet de sa psy, leitmotiv de la série.

Après "les Sopranos", l’acteur n’a pas fait grand-chose de marquant. Avant non plus. Des seconds rôles de voyous ou de militaires, dans lesquels on échouait à voir autre chose qu’un Tony Soprano mal déguisé. Lors du casting inaugural, il pensait ne pas être pris. Il râlait, persuadé que la production choisirait un acteur plus télégénique. Il disait: "Ce type, c’est moi". David Chase, le créateur de la série, s’avéra du même avis. Ni l’un ni l’autre ne savaient à quel point leur intuition était juste.
Le centre de gravité de la série

Pendant "les Sopranos", James Gandolfini a fait au mieux. David Chase raconte qu’il était inquiet. Il ne se trouvait pas bon. Chase lui répondait: "Tu ne comprends pas". C’est peut-être la chose la plus intelligente qui a été dite sur sa performance. Gandolfini était soumis à des rythmes de travail herculéens. Il apparaît dans 80% des plans. Il tournait six, sept, huit heures par jour. Le reste du temps, il travaillait son texte avec son ancienne professeur d’art dramatique, embauchée à temps plein. Il peinait à mémoriser cette masse impressionnante de dialogues. Sur le plateau, les trous de mémoire étaient fréquents. Il entrait dans des rages noires, il arrachait les téléphones muraux, renversait les meubles du pied, comme son personnage, comme David Chase lui-même, maladivement colérique.

Le génie de James Gandolfini, c’était peut-être cette façon hagarde de supporter le poids entier des "Sopranos", comme Tony tient sa famille à bout de bras, malgré la colère, la dépression, la fatigue. Il n’était pas le meilleur acteur de la série. Il n’avait ni l’intelligence époustouflante d’un Michael Imperioli (Christopher, son neveu) ou d’une Edie Falco (Carmela, l’épouse), ni la puissance comique de Toni Sirico (l’inoubliable Paulie) ou de Frank Vincent (Phil Leotardo, la nemesis sopranienne des dernières saisons). Dans les premières saisons, il lui arrivait même de jouer comme un pied, ce qui n’avait aucune importance. Il était plus qu’un acteur et moins qu’un acteur : il était le centre de gravité, le trou noir autour duquel tout un monde évolue.
Un rôle devenu sa vie

Plusieurs fois, James Gandolfini a voulu arrêter. Les vicieux sous-entendent que c’étaient des manœuvres salariales. Effectivement, HBO l’a convaincu par le chéquier. Mais il n’en pouvait vraiment plus. En plus de l’épuisement, il souffrait de ce que son personnage devenait. Il vénérait cette classe ouvrière italo-américaine de la côte est que David Chase, qui en était lui aussi issu, s’employait à réduire en miettes. Et puis il devinait que ce rôle prenait le pas sur sa vie et sur son métier. Partout, des fans l’arrêtaient en l’appelant Tony. Son obésité bovine, sa calvitie, sa démarche, ses vêtements de nouveau riche, son accent, son regard : tout en lui était devenu un gimmick de la culture post-industrielle.

Cette fusion, cette omniprésence, voilà peut-être un des éléments qui explique le statut très particulier des "Sopranos" dans l’histoire culturelle récente. On peine à trouver une série aussi immersive (à notre humble avis, il n’y a rien eu d’autre), un personnage aussi ambivalent, à ce point suspendu entre le singulier et le symbolique, inspirant dans le même mouvement de menton la répulsion et l’identification, la peur et l’empathie. La mort de James Gandolfini surgit quelques semaines après que la guilde des scénaristes américains a porté "les Sopranos" au pinacle, la décrétant "série la mieux écrite de l’histoire de la télévision". Le monde entier a accueilli la nouvelle de sa crise cardiaque comme si elle était celle de Tony Soprano. James Gandolfini a prêté sa vie à un chef d’œuvre. On a connu des destins moins enviables.
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Messagepar boban » 22 Juin 2013, 18:16

un mort aux 24heures du Mans

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Messagepar Dageek » 22 Juin 2013, 22:19

Ca va c est pas docteur mamour
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Messagepar boban » 23 Juin 2013, 12:41

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Messagepar Dageek » 23 Juin 2013, 15:12

horrib

Et carrément morbide en fait.
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Messagepar n.iiicolas » 23 Juin 2013, 21:55

Nelson Mandela... Je pense que cette année c'est bon
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
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