[O1T] Déprogression
par otto » 06 Juil 2013, 12:13
D'après plusieurs médias brésiliens , un match amateur a plus que dégénéré dimanche dernier à Pius XII, ville de l’État du Maranhão (nord). Un arbitre de 20 ans nommé Otávio Jordão da Silva Cantanhede a expulsé un joueur identifié comme Josemir Santos Abreu, 31 ans. Ce dernier, mécontent de la décision aurait alors agressé l'arbitre, qui aurait répliqué en sortant un couteau de sa poche et en poignardant le joueur. Celui-ci est mort sur le chemin de l'hôpital.
Suite à la mort du joueur, ses amis ont retrouvé l'arbitre et l'ont tué de manière particulièrement violente, à l'aide notamment de faux. Après l'avoir écartelé puis décapité, les agresseurs ont ensuite planté la tête du jeune arbitre sur un pieu. La police a déjà arrêté trois personnes dans le cadre de cette affaire.
Suite à la mort du joueur, ses amis ont retrouvé l'arbitre et l'ont tué de manière particulièrement violente, à l'aide notamment de faux. Après l'avoir écartelé puis décapité, les agresseurs ont ensuite planté la tête du jeune arbitre sur un pieu. La police a déjà arrêté trois personnes dans le cadre de cette affaire.
par John Holmes » 06 Juil 2013, 14:14
WTF oO... le Brésil tu peux pas test !!!
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par GilbertSedman » 08 Juil 2013, 16:29
Michel Jonasz, Zouk Machine et des ex candidats de The Voice à la Fête de l’andouille d’Aire-sur-la-Lys, fin août
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par SAV » 08 Juil 2013, 16:47
GilbertSedman a écrit:Michel Jonasz, Zouk Machine et des ex candidats de The Voice à la Fête de l’andouille d’Aire-sur-la-Lys, fin août
Bah Claude François était bien allé à la kermesse de la bière de Maubeuge.
Mais cheur pour Jonasz comme même.
Brigitte Macron 2027.
par SAV » 08 Juil 2013, 16:59
Un lien qui envoie du mourd :
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Metropole_Lilloise/actualite/Secteur_Metropole_Lilloise/2011/07/13/article_14-juillet-le-programme-des-festivites-dans-la.shtml
Du Jean Manson à Pont-à-Marcq, du Julie Pietri à Wavrin, du Eve Angeli à Loos...
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Metropole_Lilloise/actualite/Secteur_Metropole_Lilloise/2011/07/13/article_14-juillet-le-programme-des-festivites-dans-la.shtml
Du Jean Manson à Pont-à-Marcq, du Julie Pietri à Wavrin, du Eve Angeli à Loos...
Brigitte Macron 2027.
par fernando » 08 Juil 2013, 17:05
SAV a écrit:Un lien qui envoie du mourd :
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Metropole_Lilloise/actualite/Secteur_Metropole_Lilloise/2011/07/13/article_14-juillet-le-programme-des-festivites-dans-la.shtml
Du Jean Manson à Pont-à-Marcq, du Julie Pietri à Wavrin, du Eve Angeli à Loos...
Il date de 2011 ton lien Sac à Vin. Michel Delpech à la Madeleine, j'y étais bordel!
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par basmainforme » 08 Juil 2013, 17:07
Der a écrit:Attention c'est du mourd: Lââm, Louisy Joseph, Nâdiya et Leslie à La Madeleine.
Si c'est pas une déclaration de guerre à la musique, j'y connais rien.
béru aime ça
par SAV » 08 Juil 2013, 20:33
Jakie QUARTZ : "J'ai été frappée par des policiers"
Jakie QUARTZ, rendue célèbre durant les années 80 grâce à trois tubes "Mise au point", "Vivre ailleurs" et "A la vie, à l'amour", est au centre d'une affaire qui remue le Web. Alors que la chanteuse était avec sa mère en bas de son immeuble, un voisin est venu vers elle et l'a bousculée, sa mère et elle. Il a bousculé maman si violemment qu'elle est tombée déclare-t-elle à nos confrères d'"Ici Paris". Jakie QUARTZ est alors allée frapper à la porte de son voisin pour avoir des explications. Comme il n'ouvrait pas, je me suis mise à l'insulter à travers la porte, puis j'ai appelé la police pour porter plainte. Les fonctionnaires m'ont traitée de gros tas, j'ai été frappée par des policiers. Ils se sont acharnés sur moi en me battant et me tordant dans tous les sens. Après l'incident, Jakie QUARTZ s'est retrouvée à l'hôpital Henri-Mondor avec plusieurs hématomes, dont un à l'intérieur du fessier droit. Son médecin lui a donné une ITT de quinze jours.
Malheureusement pour elle, ce n'est pas la première déconvenue à laquelle l'artiste doit faire face en quelques mois seulement. A la sortie en salles du film réalisé par Frédéric FORESTIER et Thomas LANGMANN "Stars 80", en octobre dernier, Jakie QUARTZ était revenue sur son éviction du long-métrage aux 1 845 040 entrées - alors qu'elle avait elle aussi participé à la tournée "RFM Party 80" qui a inspiré le film. Un "oublie" qui l'avait beaucoup blessée. Je suis un peu écœurée, c'est normal. Mais ce n'est pas ma première préoccupation. Vous savez, quand on est ainsi mise à l'écart, on se sent bafouée, blessée. Je n'ai pas été la seule. Après tout, ils n'allaient pas prendre tous les chanteurs des années 80... Peut-être ai-je été rejetée parce que j'ai grossi... J'ai 57 ans, je ne suis plus la même qu'à 27. Un garçon qui prend du poids, ça passe, mais pour une femme, les réflexions sont dures. Personne ne sait que j'ai pris du poids à cause de problèmes de thyroïdes. Cela fait quatre ans que j'accompagne ma mère, qui est malade. Je ne veux pas ajouter de la peine à sa douleur parce qu'à chaque fois, elle prend ça à 100% alors non, je ne veux plus en parler, je ne veux pas expliquer pourquoi j'ai été écartée. Vous savez, ce n'est qu'un film. Mon histoire ne s'arrête pas là.
En effet, à bientôt 58 ans, la chanteuse qui fourmille de projets a, depuis, remis les pendules à l'heure sur sa page Facebook. C'est une mauvaise période à passer... je passe mes journées à l'hôpital pour m'occuper de ma mère malade, c'est d'ailleurs à cause de cela qu'a eu lieu le conflit avec les policiers, ils voulaient m'emmener de force et je n'ai pas voulu laisser ma mère seule... et j'avoue avoir un caractère impulsif... surtout quand ça concerne ma mère... Je ne sais pas ce qu'il va se passer par la suite mais j'espère que tout va rentrer dans l'ordre rapidement. Le seul point positif dans cette histoire c'est que j'ai l'impression que je reprend doucement contact avec vous... laissez moi encore un peu de temps... j'espère vous retrouvez complètement un jour... je ne laisserai pas à d'autres le soin d'écrire le dernier chapitre de mon histoire...
Jakie QUARTZ, rendue célèbre durant les années 80 grâce à trois tubes "Mise au point", "Vivre ailleurs" et "A la vie, à l'amour", est au centre d'une affaire qui remue le Web. Alors que la chanteuse était avec sa mère en bas de son immeuble, un voisin est venu vers elle et l'a bousculée, sa mère et elle. Il a bousculé maman si violemment qu'elle est tombée déclare-t-elle à nos confrères d'"Ici Paris". Jakie QUARTZ est alors allée frapper à la porte de son voisin pour avoir des explications. Comme il n'ouvrait pas, je me suis mise à l'insulter à travers la porte, puis j'ai appelé la police pour porter plainte. Les fonctionnaires m'ont traitée de gros tas, j'ai été frappée par des policiers. Ils se sont acharnés sur moi en me battant et me tordant dans tous les sens. Après l'incident, Jakie QUARTZ s'est retrouvée à l'hôpital Henri-Mondor avec plusieurs hématomes, dont un à l'intérieur du fessier droit. Son médecin lui a donné une ITT de quinze jours.
Malheureusement pour elle, ce n'est pas la première déconvenue à laquelle l'artiste doit faire face en quelques mois seulement. A la sortie en salles du film réalisé par Frédéric FORESTIER et Thomas LANGMANN "Stars 80", en octobre dernier, Jakie QUARTZ était revenue sur son éviction du long-métrage aux 1 845 040 entrées - alors qu'elle avait elle aussi participé à la tournée "RFM Party 80" qui a inspiré le film. Un "oublie" qui l'avait beaucoup blessée. Je suis un peu écœurée, c'est normal. Mais ce n'est pas ma première préoccupation. Vous savez, quand on est ainsi mise à l'écart, on se sent bafouée, blessée. Je n'ai pas été la seule. Après tout, ils n'allaient pas prendre tous les chanteurs des années 80... Peut-être ai-je été rejetée parce que j'ai grossi... J'ai 57 ans, je ne suis plus la même qu'à 27. Un garçon qui prend du poids, ça passe, mais pour une femme, les réflexions sont dures. Personne ne sait que j'ai pris du poids à cause de problèmes de thyroïdes. Cela fait quatre ans que j'accompagne ma mère, qui est malade. Je ne veux pas ajouter de la peine à sa douleur parce qu'à chaque fois, elle prend ça à 100% alors non, je ne veux plus en parler, je ne veux pas expliquer pourquoi j'ai été écartée. Vous savez, ce n'est qu'un film. Mon histoire ne s'arrête pas là.
En effet, à bientôt 58 ans, la chanteuse qui fourmille de projets a, depuis, remis les pendules à l'heure sur sa page Facebook. C'est une mauvaise période à passer... je passe mes journées à l'hôpital pour m'occuper de ma mère malade, c'est d'ailleurs à cause de cela qu'a eu lieu le conflit avec les policiers, ils voulaient m'emmener de force et je n'ai pas voulu laisser ma mère seule... et j'avoue avoir un caractère impulsif... surtout quand ça concerne ma mère... Je ne sais pas ce qu'il va se passer par la suite mais j'espère que tout va rentrer dans l'ordre rapidement. Le seul point positif dans cette histoire c'est que j'ai l'impression que je reprend doucement contact avec vous... laissez moi encore un peu de temps... j'espère vous retrouvez complètement un jour... je ne laisserai pas à d'autres le soin d'écrire le dernier chapitre de mon histoire...
Brigitte Macron 2027.
par otto » 08 Juil 2013, 21:02
A l’ouest de la Finlande, sur la presqu’île d’Olkiluoto, des ouvriers s’affairent à creuser un immense trou de 450 mètres de profondeur, parcouru par cinq kilomètres de route.
Lorsqu’il sera terminé, en 2020, l’industrie nucléaire finlandaise commencera alors à y enterrer des milliers de tonnes de déchets radioactifs. Et quand cette besogne sera à son tour achevée, 100 ans plus tard, la cavité sera scellée et devra rester inviolée pendant 100 000 ans.
Un défi insensé, plein de risques, qui dépasse techniquement et philosophiquement tout ce que l’homme a pu entreprendre jusque-là.
La route est longue, étroite, et sa platitude n’a d’égale que sa monotonie. Elle serpente dans la région du Satakunta, à travers des bordées de bouleaux et de sapins, et débouche tout droit sur le Golfe de Botnie, cette étendue d’eau qui sépare la Finlande de la Suède.
Avant de bifurquer sur la gauche, pour rejoindre la route nationale 8, puis encore sur la droite, quelques kilomètres plus loin, en direction de la presqu’île d’Olkiluoto, on traverse la bourgade d’Eurajoki.
Eurajoki est une coquille sans charme particulier, Eurajoki transpire l’ennui, mais Eurajoki est une commune prospère. Comme tous ceux pour qui ce nom évoque quelque chose, je n’aurais jamais entendu parler de ce petit bled grisâtre du sud-ouest de la Finlande s’il n’était pas la municipalité qui chapeaute le complexe nucléaire d’Olkiluoto.
Avec ses deux réacteurs en fonction depuis la fin des années 70, et l’interminable construction de son EPR – le fameux réacteur pressurisé européen d’Areva –, cette presqu’île constitue l’un des centres névralgiques de la politique énergétique de la Finlande.
Mais ce qui en fait un endroit à part sur le globe, c’est son tombeau nucléaire, construit par l’entreprise Posiva. L’endroit a été baptisé « Onkalo », « la cave » en finnois. Des bataillons d’ouvriers étrangers, venus de toute l’Europe, y ont creusé un immense trou à même la roche.
Selon le plan établi, à partir de 2020, l’industrie nucléaire finlandaise y stockera tous les déchets produits par ses centrales depuis 1996. L’opération de stockage est prévue pour durer 100 ans. Un siècle durant lequel, chaque semaine, un funeste cortège de camions chargés de détritus à la toxicité inégalable empruntera les cinq kilomètres de route souterraine qui mènent au fond de la cave.
Ouverture interdite pendant 100 000 ans
Ces milliers de tonnes de déchets seront alors réparties dans des trous creusés à l’intérieur d’une interminable galerie de tunnels. Puis méticuleusement, les unes après les autres, ces cavités seront rebouchées.
Enfin, quand cent ans plus tard, en 2120, les 4 500 orifices imaginés seront repus du matériel mortifère, alors on refermera cet édifice titanesque et on devra prétendre qu’il n’a jamais existé.
C’est là que se profile le paradoxe qui fait toute la folie d’Onkalo. Une fois la grotte obstruée, il s’agira de s’assurer que personne n’ait l’idée saugrenue d’éventrer la roche de nouveau.
Après tout, si nos prédécesseurs se sont entêtés à ouvrir le tombeau égyptien de Toutânkhamon – un sanctuaire qui aurait dû rester inviolé pour l’éternité –, quel message pourrait bien être assez fort pour dissuader les générations futures d’explorer à leur tour ce qui sera devenu un vestige du passé, d’une autre civilisation peut-être ?
Une aberration qui sied à notre espèce
Les résidus radioactifs d’uranium et de plutonium dont il est question devront demeurer sous terre pendant 100 000 ans. Pas 100 ans. Pas 1 000 ans. Ici, les esprits narquois pourraient alors avancer qu’à 2 000 ans près, on est tout à fait en mal de certifier si un type répondant au nom de Jésus Christ a réellement existé, quand bien même quatre autres personnages tout aussi obscurs auraient chacun signé un ouvrage pour perpétuer sa parole et ses actes.
Onkalo est donc l’histoire d’un trou creusé par notre espèce, une cavité conçue à la seule fin de recevoir les restes d’un procédé technologique pas complètement maîtrisé.
Une fable universelle de l’homme censé inventer un message pour expliquer à son prochain qu’il ne faut pas ouvrir un cercueil dont il lui confie la charge, sans avoir l’assurance que ce prochain soit en mesure de décrypter ledit message.
En d’autres mots, une aberration qui a pourtant du sens, une mécanique qui sied parfaitement à notre espèce. « Agissons d’abord, on réfléchira plus tard », n’est jamais qu’une maxime qui nous ressemble bien.
Soyons pas jaloux ! On a Bure...
Lorsqu’il sera terminé, en 2020, l’industrie nucléaire finlandaise commencera alors à y enterrer des milliers de tonnes de déchets radioactifs. Et quand cette besogne sera à son tour achevée, 100 ans plus tard, la cavité sera scellée et devra rester inviolée pendant 100 000 ans.
Un défi insensé, plein de risques, qui dépasse techniquement et philosophiquement tout ce que l’homme a pu entreprendre jusque-là.
La route est longue, étroite, et sa platitude n’a d’égale que sa monotonie. Elle serpente dans la région du Satakunta, à travers des bordées de bouleaux et de sapins, et débouche tout droit sur le Golfe de Botnie, cette étendue d’eau qui sépare la Finlande de la Suède.
Avant de bifurquer sur la gauche, pour rejoindre la route nationale 8, puis encore sur la droite, quelques kilomètres plus loin, en direction de la presqu’île d’Olkiluoto, on traverse la bourgade d’Eurajoki.
Eurajoki est une coquille sans charme particulier, Eurajoki transpire l’ennui, mais Eurajoki est une commune prospère. Comme tous ceux pour qui ce nom évoque quelque chose, je n’aurais jamais entendu parler de ce petit bled grisâtre du sud-ouest de la Finlande s’il n’était pas la municipalité qui chapeaute le complexe nucléaire d’Olkiluoto.
Avec ses deux réacteurs en fonction depuis la fin des années 70, et l’interminable construction de son EPR – le fameux réacteur pressurisé européen d’Areva –, cette presqu’île constitue l’un des centres névralgiques de la politique énergétique de la Finlande.
Mais ce qui en fait un endroit à part sur le globe, c’est son tombeau nucléaire, construit par l’entreprise Posiva. L’endroit a été baptisé « Onkalo », « la cave » en finnois. Des bataillons d’ouvriers étrangers, venus de toute l’Europe, y ont creusé un immense trou à même la roche.
Selon le plan établi, à partir de 2020, l’industrie nucléaire finlandaise y stockera tous les déchets produits par ses centrales depuis 1996. L’opération de stockage est prévue pour durer 100 ans. Un siècle durant lequel, chaque semaine, un funeste cortège de camions chargés de détritus à la toxicité inégalable empruntera les cinq kilomètres de route souterraine qui mènent au fond de la cave.
Ouverture interdite pendant 100 000 ans
Ces milliers de tonnes de déchets seront alors réparties dans des trous creusés à l’intérieur d’une interminable galerie de tunnels. Puis méticuleusement, les unes après les autres, ces cavités seront rebouchées.
Enfin, quand cent ans plus tard, en 2120, les 4 500 orifices imaginés seront repus du matériel mortifère, alors on refermera cet édifice titanesque et on devra prétendre qu’il n’a jamais existé.
C’est là que se profile le paradoxe qui fait toute la folie d’Onkalo. Une fois la grotte obstruée, il s’agira de s’assurer que personne n’ait l’idée saugrenue d’éventrer la roche de nouveau.
Après tout, si nos prédécesseurs se sont entêtés à ouvrir le tombeau égyptien de Toutânkhamon – un sanctuaire qui aurait dû rester inviolé pour l’éternité –, quel message pourrait bien être assez fort pour dissuader les générations futures d’explorer à leur tour ce qui sera devenu un vestige du passé, d’une autre civilisation peut-être ?
Une aberration qui sied à notre espèce
Les résidus radioactifs d’uranium et de plutonium dont il est question devront demeurer sous terre pendant 100 000 ans. Pas 100 ans. Pas 1 000 ans. Ici, les esprits narquois pourraient alors avancer qu’à 2 000 ans près, on est tout à fait en mal de certifier si un type répondant au nom de Jésus Christ a réellement existé, quand bien même quatre autres personnages tout aussi obscurs auraient chacun signé un ouvrage pour perpétuer sa parole et ses actes.
Onkalo est donc l’histoire d’un trou creusé par notre espèce, une cavité conçue à la seule fin de recevoir les restes d’un procédé technologique pas complètement maîtrisé.
Une fable universelle de l’homme censé inventer un message pour expliquer à son prochain qu’il ne faut pas ouvrir un cercueil dont il lui confie la charge, sans avoir l’assurance que ce prochain soit en mesure de décrypter ledit message.
En d’autres mots, une aberration qui a pourtant du sens, une mécanique qui sied parfaitement à notre espèce. « Agissons d’abord, on réfléchira plus tard », n’est jamais qu’une maxime qui nous ressemble bien.
Soyons pas jaloux ! On a Bure...
par GilbertSedman » 09 Juil 2013, 07:55
#cvt
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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