Effectif du Losc 2013-2014
par ChevalierBlanc » 24 Juil 2013, 13:22
Le plus beau geste du football reste quand même la repsie de volée.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par karmelille » 24 Juil 2013, 17:12
goulham wé c'est bien.
mais bon, faudrait pas qu'ils tournent une suite au seigneur des anneaux sinon il risque d'être indispo plusieurs mois.
mais bon, faudrait pas qu'ils tournent une suite au seigneur des anneaux sinon il risque d'être indispo plusieurs mois.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par karmelille » 25 Juil 2013, 11:21
golum c'est l'image de synthèse de flouze ?
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par fernando » 26 Juil 2013, 08:59
Marvin Martin: «Je n’ai pas perdu une année, il fallait en passer par là»
Marvin Martin va-t-il connaître une deuxième saison lilloise plus aboutie que la précédente ?
Le meneur de jeu lillois, conscient d’avoir vécu une première saison contrastée, en décalage avec ses qualités naturelles, a envie de redevenir un joueur décisif. Ça tombe bien, René Girard l’aligne derrière les attaquants, et il semble s’éclater.
Il est là depuis un an mais on a l’impression de le découvrir seulement : Marvin Martin, discret sur le terrain et en dehors l’an passé, pour une première saison timide (0 but, 5 passes), offre des signes de renaissance.
Mardi, il a d’abord accepté de nous voir, de discuter un bon quart d’heure, sans fuir les questions ni les réponses. Et avec le sourire. Le lendemain, il a confirmé ce qu’on devine depuis quelques semaines : avec deux passes décisives sur deux coups de pied arrêtés face au Red Star (2-0), et une grosse activité au cœur du jeu, il s’est comporté comme le patron de l’équipe. La transformation est tout bonnement bluffante, alors qu’il multipliait les passes latérales ou vers l’arrière l’an passé.
« On dirait qu’il est comme dans un poisson dans l’eau, témoigne René Girard. Il est bien physiquement, il a envie de travailler, on le sent vraiment bien dans sa peau. Au niveau du groupe, c’est même un détonateur, chose qui peut surprendre un peu. Et sur le terrain, on retrouve le Marvin des belles années. J’espère que ça va continuer comme ça. Quand il est là, il arrive à faire jouer l’équipe avec sa baguette, à mettre du tempo, et ça, c’est bien pour nous. » Visiblement, ses vacances « entre potes, au soleil » lui ont fait un bien fou. L’an passé, l’Euro avait grignoté son été, son énergie et sa préparation. Son transfert à près de 12 millions d’euros, qui l’arrachait à son club formateur, aussi. Mais ce n’est pas tout. Son année d’apprentissage, le départ de certains cadres cet été et la jeunesse du groupe lillois sont autant de bonnes raisons de le voir s’éclairer de nouveau.
Il s’était écarté de ce qu’il est réellement. « La première année (dans un nouveau club) est toujours difficile, on se lâche moins. Suffit qu’on soit un peu timide…, souffle-t-il comme un aveu. Je me retenais un peu, la peur de décevoir… Quand je me regardais, j’apportais moins, j’allais moins devant, ce n’était pas trop mon style… Ce n’était pas volontaire, peut-être la peur de mal faire, même si a priori je gère bien la pression. Tellement je voulais bien faire… Je n’étais pas comme à Sochaux ou en équipe de France ». Le vrai Marvin Martin (25 ans) serait donc sur le point d’éclore à Lille. Plus vrai, plus fort peut-être. « L’année dernière va me servir sur le plan mental, j’ai beaucoup appris. Je n’ai pas perdu une année, j’ai mûri. Il fallait en passer par là », dit-il avec assurance.
Son renouveau est également porté par le choix de René Girard de le faire évoluer derrière l’attaquant, à la pointe du losange du 4-4-2. Un poste qu’il affectionne particulièrement et qui semble lui permettre de faire émerger ses qualités naturelles. « C’est sûr que j’affectionne ce poste, surtout avec deux attaquants. C’est comme ça qu’on jouait à Sochaux quand on a fini cinquième… Et puis, quand on est milieu et passeur, avoir des attaquants avec différents profils comme on a, c’est super intéressant ».
L’équipe de France, fréquentée sous Laurent Blanc (15 sélections), c’est évidemment trop tôt pour en parler. Même si elle reste dans un coin de la tête du meneur de jeu, qui voit le Lyonnais Clément Grenier marquer des points à distance, il choisit la prudence : « La Coupe du monde, c’est le rêve de tout footballeur. Mais le principal, c’est d’abord les bonnes performances avec Lille, j’ai vraiment envie de ça. Le reste viendra naturellement ».
Et pourquoi pas une belle surprise de Lille cette saison ? « On a tout pour faire une belle saison, le groupe a peu changé, même s’il y a eu de gros départs. On peut faire un bon truc. Tout le monde est focalisé sur le PSG et Monaco, tant mieux pour nous… »
Marvin Martin va-t-il connaître une deuxième saison lilloise plus aboutie que la précédente ?
Le meneur de jeu lillois, conscient d’avoir vécu une première saison contrastée, en décalage avec ses qualités naturelles, a envie de redevenir un joueur décisif. Ça tombe bien, René Girard l’aligne derrière les attaquants, et il semble s’éclater.
Il est là depuis un an mais on a l’impression de le découvrir seulement : Marvin Martin, discret sur le terrain et en dehors l’an passé, pour une première saison timide (0 but, 5 passes), offre des signes de renaissance.
Mardi, il a d’abord accepté de nous voir, de discuter un bon quart d’heure, sans fuir les questions ni les réponses. Et avec le sourire. Le lendemain, il a confirmé ce qu’on devine depuis quelques semaines : avec deux passes décisives sur deux coups de pied arrêtés face au Red Star (2-0), et une grosse activité au cœur du jeu, il s’est comporté comme le patron de l’équipe. La transformation est tout bonnement bluffante, alors qu’il multipliait les passes latérales ou vers l’arrière l’an passé.
« On dirait qu’il est comme dans un poisson dans l’eau, témoigne René Girard. Il est bien physiquement, il a envie de travailler, on le sent vraiment bien dans sa peau. Au niveau du groupe, c’est même un détonateur, chose qui peut surprendre un peu. Et sur le terrain, on retrouve le Marvin des belles années. J’espère que ça va continuer comme ça. Quand il est là, il arrive à faire jouer l’équipe avec sa baguette, à mettre du tempo, et ça, c’est bien pour nous. » Visiblement, ses vacances « entre potes, au soleil » lui ont fait un bien fou. L’an passé, l’Euro avait grignoté son été, son énergie et sa préparation. Son transfert à près de 12 millions d’euros, qui l’arrachait à son club formateur, aussi. Mais ce n’est pas tout. Son année d’apprentissage, le départ de certains cadres cet été et la jeunesse du groupe lillois sont autant de bonnes raisons de le voir s’éclairer de nouveau.
Il s’était écarté de ce qu’il est réellement. « La première année (dans un nouveau club) est toujours difficile, on se lâche moins. Suffit qu’on soit un peu timide…, souffle-t-il comme un aveu. Je me retenais un peu, la peur de décevoir… Quand je me regardais, j’apportais moins, j’allais moins devant, ce n’était pas trop mon style… Ce n’était pas volontaire, peut-être la peur de mal faire, même si a priori je gère bien la pression. Tellement je voulais bien faire… Je n’étais pas comme à Sochaux ou en équipe de France ». Le vrai Marvin Martin (25 ans) serait donc sur le point d’éclore à Lille. Plus vrai, plus fort peut-être. « L’année dernière va me servir sur le plan mental, j’ai beaucoup appris. Je n’ai pas perdu une année, j’ai mûri. Il fallait en passer par là », dit-il avec assurance.
Son renouveau est également porté par le choix de René Girard de le faire évoluer derrière l’attaquant, à la pointe du losange du 4-4-2. Un poste qu’il affectionne particulièrement et qui semble lui permettre de faire émerger ses qualités naturelles. « C’est sûr que j’affectionne ce poste, surtout avec deux attaquants. C’est comme ça qu’on jouait à Sochaux quand on a fini cinquième… Et puis, quand on est milieu et passeur, avoir des attaquants avec différents profils comme on a, c’est super intéressant ».
L’équipe de France, fréquentée sous Laurent Blanc (15 sélections), c’est évidemment trop tôt pour en parler. Même si elle reste dans un coin de la tête du meneur de jeu, qui voit le Lyonnais Clément Grenier marquer des points à distance, il choisit la prudence : « La Coupe du monde, c’est le rêve de tout footballeur. Mais le principal, c’est d’abord les bonnes performances avec Lille, j’ai vraiment envie de ça. Le reste viendra naturellement ».
Et pourquoi pas une belle surprise de Lille cette saison ? « On a tout pour faire une belle saison, le groupe a peu changé, même s’il y a eu de gros départs. On peut faire un bon truc. Tout le monde est focalisé sur le PSG et Monaco, tant mieux pour nous… »
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par karmelille » 26 Juil 2013, 09:25
j'avoue être étonné qu'il nous fasse pas un caca nerveux lui cet été. J'l'aurais pas parié.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par fernando » 31 Juil 2013, 09:04
Enyeama numéro 1
Vincent Enyeama (30 ans) sera le gardien numéro 1 du LOSC la saison prochaine. Tel en a décidé René Girard, qui laissera donc Steeve Elana sur le banc. Prêté ces derniers mois au Maccabi Tel-Aviv, le gardien nigérian revient donc dans le Nord dans la peau d'un titulaire.
Elana, merci pour ta carrière au Lox.
Le Lox, seul club (hormis QSG) avec un 2ème gardien) à 100 000 boules/mois?
Vincent Enyeama (30 ans) sera le gardien numéro 1 du LOSC la saison prochaine. Tel en a décidé René Girard, qui laissera donc Steeve Elana sur le banc. Prêté ces derniers mois au Maccabi Tel-Aviv, le gardien nigérian revient donc dans le Nord dans la peau d'un titulaire.
Elana, merci pour ta carrière au Lox.
Le Lox, seul club (hormis QSG) avec un 2ème gardien) à 100 000 boules/mois?
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par ChevalierBlanc » 31 Juil 2013, 17:22
Je n'ai pas pu me retenir de danser.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par fernando » 01 Août 2013, 20:42
---------------------------Elana-----------------------
-------------------------Enyeama---------------------
Sidibé---------------Basa-------------Kjaer-------------Béria
Jeanvier--------Jeanvier-----------Rozie-----------Souaré
Balmont---------------Mavuba--------------------Martin
Delaplace---------------Gueye--------------------Meité
Rodelin-------------------Kalou--------------------Thauvin
Mendes------------------Roux------------------------Ruiz
Origi------------------ De Melo------------------------Origi
7 défenseurs
6 milieux
8 jouors offensifs
Manque un AG, Tulio tu peux partir tu vas pas jouer de la saison, et voilà on est bons.
-------------------------Enyeama---------------------
Sidibé---------------Basa-------------Kjaer-------------Béria
Jeanvier--------Jeanvier-----------Rozie-----------Souaré
Balmont---------------Mavuba--------------------Martin
Delaplace---------------Gueye--------------------Meité
Rodelin-------------------Kalou--------------------Thauvin
Mendes------------------Roux------------------------Ruiz
Origi------------------ De Melo------------------------Origi
7 défenseurs
6 milieux
8 jouors offensifs
Manque un AG, Tulio tu peux partir tu vas pas jouer de la saison, et voilà on est bons.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par karmelille » 02 Août 2013, 02:29
J ai un flash ! Jerry vandamme il existe plus lui !!!???
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par fernando » 02 Août 2013, 09:14
Lille, mincir et grandir ?
Notre tour de France des clubs passe aujourd'hui par Lille. Nouvel entraîneur, nouveau projet et équipe en partie remodelée, le LOSC a presque tout changé cet été pour rebondir sportivement en s'adaptant à une réalité économique difficile.
René Girard comptera sur ses cadres, comme Rio Mavuba, pour encadrer les jeunes joueurs. (L'Equipe)
L'entraîneur : René Girard
Rudi Garcia parti après cinq années de bons et loyaux services, ponctuées par un doublé Coupe-Championnat en 2011, Lille a dû se tourner vers un nouvel entraîneur. Un homme prêt à repartir sur un nouveau cycle avec une équipe rajeunie et une masse salariale moins importante. Après avoir rencontré Lucien Favre, le coach de Mönchengladbach, Michel Seydoux a choisi René Girard. Moins cher, libre après son départ de Montpellier, l'ancien sélectionneur des Bleuets a notamment plu grâce à son passé de formateur. «Il est en adéquation avec le club et son projet», a souligné le PDG du LOSC. L'ancien coach héraultais, champion de France en 2012, s'est rapidement adapté à son nouvel environnement, parvenant même à séduire une partie des supporters, sceptiques à son arrivée. Ses premiers mois de compétition avec le club nordiste serviront, ou non, à convaincre.
La star : Salomon Kalou
Arrivé l'été dernier avec un statut de vedette, Salomon Kalou a mis sept mois avant de trouver son équilibre dans le Nord. Fantomatique durant la première partie de saison, l'Ivoirien a effacé cette impression à partir de février. Une date qui correspond à son replacement dans l'axe de l'attaque lilloise. Dès lors, l'ancien joueur de Chelsea s'est montré décisif, terminant la saison à 14 buts (en 28 apparitions) en L1, se faisant même nommer joueur du mois d'avril en Championnat. Si son départ a été évoqué cet été en raison de ses émoluments, plus en adéquation avec la politique salariale du club, son niveau sportif n'est plus une source de débat.
La bonne pioche : Simon Kjaer
Côté face, c'est un défenseur lent et inconstant, n'ayant jamais convaincu en trois ans au VfL Wolfsburg, qui débarque dans le Nord. Côté pile, le LOSC a attiré un jeune (24 ans) et expérimenté international danois pour seulement 3 millions d'euros. Reste à savoir quelle facette Simon Kjaer montrera au LOSC. L'ancien joueur de l'AS Roma est convaincu que l'environnement du club est fait pour le relancer. «Que ce soit dans ma progression, d’un point de vue géographique ou par rapport aux gens qui habitent cette région, il est évident que l’idée de rejoindre un tel club ne peut être que la bonne», a assuré le remplaçant d'Aurélien Chedjou.
Le joueur à suivre : Florian Thauvin
Révélation de Ligue 1 la saison dernière avec Bastia (10 buts), Florian Thauvin a passé un été agité. Entre un titre de champion du monde des moins de 20 ans auquel il a activement participé et les appels du pied de l'Olympique de Marseille, le jeune joueur n'a guère eu le temps de se reposer. Pour l'instant, il est encore au LOSC, où il sera l'un des fers de lance de l'attaque nordiste, remplaçant notamment Dimitri Payet. Sa force de percussion, son jeu court et ses dribbles déroutants pourraient être un atout majeur de Lille.
Les ambitions
Si le club bénéficie toujours de superbe structure, entre le domaine de Luchin et son stade moderne, le LOSC, qui ne jouera pas de Coupes européennes cette saison, a revu ses ambitions à la baisse. Depuis trois ans, le club visait le titre, Lille sait désormais qu'il ne devrait pas pouvoir jouer dans la même cours que le Paris-SG et l'AS Monaco, aux effectifs pléthoriques. Une place sur le podium, à la bataille avec l'OM ou l'OL, reste toutefois envisageable.
René Girard veut enclencher une nouvelle dynamique avec un groupe moins expérimenté que celui de la saison dernière. (L'Equipe)
Budget : 75 millions d'euros
Affluence moyenne : 40 593 spectateurs en 2012-2013
Droits TV : 32 075 535 euros
L'équipe type
V. Enyeama
F. Béria-S. Kjaer-M. Basa-P. Souaré
R. Mavuba-F. Balmont-I. Gueye
M. Martin
S. Kalou-N. Roux
http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Lille-mincir-et-grandir/385922
évolution du budget :
2010-11 : 55M€ (comme les 3 saisons précédentes)
2011-12 : 80M€
2012-13 : 100M€
2013-14 : 75M€ selon l'Equipe
Violente cure d'amaigrissement! (comme pour krouw²)
Notre tour de France des clubs passe aujourd'hui par Lille. Nouvel entraîneur, nouveau projet et équipe en partie remodelée, le LOSC a presque tout changé cet été pour rebondir sportivement en s'adaptant à une réalité économique difficile.
René Girard comptera sur ses cadres, comme Rio Mavuba, pour encadrer les jeunes joueurs. (L'Equipe)
L'entraîneur : René Girard
Rudi Garcia parti après cinq années de bons et loyaux services, ponctuées par un doublé Coupe-Championnat en 2011, Lille a dû se tourner vers un nouvel entraîneur. Un homme prêt à repartir sur un nouveau cycle avec une équipe rajeunie et une masse salariale moins importante. Après avoir rencontré Lucien Favre, le coach de Mönchengladbach, Michel Seydoux a choisi René Girard. Moins cher, libre après son départ de Montpellier, l'ancien sélectionneur des Bleuets a notamment plu grâce à son passé de formateur. «Il est en adéquation avec le club et son projet», a souligné le PDG du LOSC. L'ancien coach héraultais, champion de France en 2012, s'est rapidement adapté à son nouvel environnement, parvenant même à séduire une partie des supporters, sceptiques à son arrivée. Ses premiers mois de compétition avec le club nordiste serviront, ou non, à convaincre.
La star : Salomon Kalou
Arrivé l'été dernier avec un statut de vedette, Salomon Kalou a mis sept mois avant de trouver son équilibre dans le Nord. Fantomatique durant la première partie de saison, l'Ivoirien a effacé cette impression à partir de février. Une date qui correspond à son replacement dans l'axe de l'attaque lilloise. Dès lors, l'ancien joueur de Chelsea s'est montré décisif, terminant la saison à 14 buts (en 28 apparitions) en L1, se faisant même nommer joueur du mois d'avril en Championnat. Si son départ a été évoqué cet été en raison de ses émoluments, plus en adéquation avec la politique salariale du club, son niveau sportif n'est plus une source de débat.
La bonne pioche : Simon Kjaer
Côté face, c'est un défenseur lent et inconstant, n'ayant jamais convaincu en trois ans au VfL Wolfsburg, qui débarque dans le Nord. Côté pile, le LOSC a attiré un jeune (24 ans) et expérimenté international danois pour seulement 3 millions d'euros. Reste à savoir quelle facette Simon Kjaer montrera au LOSC. L'ancien joueur de l'AS Roma est convaincu que l'environnement du club est fait pour le relancer. «Que ce soit dans ma progression, d’un point de vue géographique ou par rapport aux gens qui habitent cette région, il est évident que l’idée de rejoindre un tel club ne peut être que la bonne», a assuré le remplaçant d'Aurélien Chedjou.
Le joueur à suivre : Florian Thauvin
Révélation de Ligue 1 la saison dernière avec Bastia (10 buts), Florian Thauvin a passé un été agité. Entre un titre de champion du monde des moins de 20 ans auquel il a activement participé et les appels du pied de l'Olympique de Marseille, le jeune joueur n'a guère eu le temps de se reposer. Pour l'instant, il est encore au LOSC, où il sera l'un des fers de lance de l'attaque nordiste, remplaçant notamment Dimitri Payet. Sa force de percussion, son jeu court et ses dribbles déroutants pourraient être un atout majeur de Lille.
Les ambitions
Si le club bénéficie toujours de superbe structure, entre le domaine de Luchin et son stade moderne, le LOSC, qui ne jouera pas de Coupes européennes cette saison, a revu ses ambitions à la baisse. Depuis trois ans, le club visait le titre, Lille sait désormais qu'il ne devrait pas pouvoir jouer dans la même cours que le Paris-SG et l'AS Monaco, aux effectifs pléthoriques. Une place sur le podium, à la bataille avec l'OM ou l'OL, reste toutefois envisageable.
René Girard veut enclencher une nouvelle dynamique avec un groupe moins expérimenté que celui de la saison dernière. (L'Equipe)
Budget : 75 millions d'euros
Affluence moyenne : 40 593 spectateurs en 2012-2013
Droits TV : 32 075 535 euros
L'équipe type
V. Enyeama
F. Béria-S. Kjaer-M. Basa-P. Souaré
R. Mavuba-F. Balmont-I. Gueye
M. Martin
S. Kalou-N. Roux
http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Lille-mincir-et-grandir/385922
évolution du budget :
2010-11 : 55M€ (comme les 3 saisons précédentes)
2011-12 : 80M€
2012-13 : 100M€
2013-14 : 75M€ selon l'Equipe
Violente cure d'amaigrissement! (comme pour krouw²)
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par boban » 02 Août 2013, 13:14
Balmont dans l'équipe...
"Avec Rudi Garcia, ça s'est toujours bien passé, même si je n'ai pas bien compris ses choix la dernière saison. Et, en interne, des choses ont été mal gérées... S'il était resté, je me serais vraiment posé la question (de partir). Le changement fait du bien aux joueurs. Car on avait pris trop d'habitudes. On était entré dans un truc pas très, très bon", a déclaré le Dogue à L'Equipe.
"Avec Rudi Garcia, ça s'est toujours bien passé, même si je n'ai pas bien compris ses choix la dernière saison. Et, en interne, des choses ont été mal gérées... S'il était resté, je me serais vraiment posé la question (de partir). Le changement fait du bien aux joueurs. Car on avait pris trop d'habitudes. On était entré dans un truc pas très, très bon", a déclaré le Dogue à L'Equipe.
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