[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar Der » 23 Juil 2013, 14:19

On dirait un raton laveur sur ton gif...
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar bitadmin » 23 Juil 2013, 14:23

c'est un chaton laveur, nuance
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Messagepar celentano » 23 Juil 2013, 14:31

http://www.slate.fr/monde/75722/fondate ... -escaliers

"«A une heure du matin, j'ai entendu mon chien Toaster pleurer et japper de douleur. J'ai découvert un raton laveur en train de l'attaquer.

Je n'encourage pas la violence contre les animaux. Je voulais éloigner le plus possible cet animal sauvage de nous. Toaster va bien, mais a des marques de morsures et de griffures."
celentano
 
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Messagepar Victor » 23 Juil 2013, 14:50

bitadmin a écrit:CCC ? le comité contre les chats ?

Image


J'en suis à 847 et c'est pas encore fini...
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Messagepar otto » 23 Juil 2013, 15:21

Quelqu'un a des nouvelles du raton-laveur ?
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Messagepar otto » 23 Juil 2013, 15:23

La police des polices a ouvert une enquête à la demande du ministère de l’Intérieur afin d’identifier les auteurs de propos racistes postés, après les incidents de Trappes, sur une page Facebook dédiée à la police. Après les violences urbaines qui ont frappé cette banlieue à l’ouest de Paris, la ville de Trappes suite au contrôle d’une femme intégralement voilée, des commentaires «au contenu violent et parfois raciste» ont été postés sur ce forum Facebook intitulé «Forum police-info.com», selon une source proche du dossier.

Les auteurs de ces posts sur le site qui précise être un forum «non-officiel» de la police nationale et de la police municipale, se présentent comme des policiers, ou des sympathisants.

«L’enquête de l’Inspection générale de la Police Nationale (IGPN, la police des polices, ndlr) devra déterminer s’il s’agit bien de policiers qui ont tenu ces propos, et auquel cas, c’est intolérable et des poursuites disciplinaires seront engagées. Mais il faut être extrêmement prudent, savoir dans quel cadre ces propos ont été tenus», a indiqué le porte-parole du ministère Pierre-Henri Brandet.

La page Facebook de ce forum «a été fermée par le compte administrateur», a précisé une source proche du dossier, et n’était plus accessible mardi matin. «Les policiers doivent être exemplaires, quelles que soient les circonstances. L’exemplarité est essentielle et indispensable si l’on veut rétablir ou raviver le lien de confiance qui doit unir nos forces de sécurité et la population», a plaidé Pierre-Henri Brandet.

«Je suis très méfiant sur ce type de forums non officiels qui peuvent rameuter des gens qui n’ont rien à voir avec la police, parce qu’on ne sait pas qui parle réellement», a expliqué Nicolas Comte, le porte-parole d’Unité-SGP FO, 1er syndicat des gardiens
Copwatch assure avoir identifié des policiers

«L’expression de propos racistes tombe sous le coup de la loi et s’il y a des expressions racistes sur ce forum, il faut le fermer», a-t-il ajouté. «J’émets une très grande réserve sur ce genre de sites. Mais si les faits sont reconnus, ce n’est pas acceptable. Il faut que les policiers, même quand les conditions de travail sont difficiles, restent irréprochables, ce qui n’est pas toujours facile», a expliqué Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint d’Alliance (2e syndicat des gardiens de la paix).

Par ailleurs, le site Copwatch Nord-Ile-de-France, relayé par Indymedia, assure avoir eu accès à ce forum, et être parvenu à identifier les auteurs de certains de ces propos, des policiers dont il révèle les noms, leur photo, et parfois leur service d’affectation.

Œuvre d’un «collectif de citoyens souhaitant lutter par la transparence et l’information contre les violences policières», Copwatch-Nord-Ile-de-France publie des photos de policiers et de gendarmes, ainsi parfois que leurs noms et leurs adresses personnelles.

La justice a ordonné à plusieurs reprises la fermeture de ce site qui, à chaque fois, a été réactivé. «Il faut véritablement que l’Intérieur fasse tout pour que Copwatch arrête de nuire même si on est conscient que c’est compliqué en raison de l’hébergement des sites à l’étranger», a réagi Nicolas Comte.

«Nous avons déjà saisi le ministre il y a plusieurs semaines sur le problème de Copwatch, en expliquant qu’il fallait identifier les individus, et les interpeller, car ils mettent les policiers en danger. Et nous allons le saisir de nouveau», a expliqué Frédéric Lagache.
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Messagepar krouw2 » 23 Juil 2013, 15:28

moué, et les commentaires sur le figaro, rmc , france 3 , y a du mourd à lire auchi
Hollande 2027
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Messagepar fernando » 23 Juil 2013, 16:43

"Le modèle du tout austérité s'effrite"

=> La Tribune = brûlot gauchiste
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar krouw2 » 23 Juil 2013, 16:45

tout a fait mon cher Nando, l'austérité c'est l'avenir
Hollande 2027
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Messagepar Der » 23 Juil 2013, 16:50

fernando a écrit:"Le modèle du tout austérité s'effrite"

=> La Tribune = brûlot gauchiste

Nan mais fautes de frappes. Il faut bien évidemment lire "Le modèle du tout austérité file la fritte"
On se fait des bisous et on s'encule.
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Der
 
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Messagepar fernando » 24 Juil 2013, 12:30

Rodolfo va plus oser mettre son tshirt "les jeunes avec Balladur"...

Présidentielle de 1995 : M. Balladur soupçonné d'avoir détourné les fonds spéciaux de Matignon

LE MONDE | 24.07.2013 à 10h43 • Mis à jour le 24.07.2013 à 11h21 | Par Gérard Davet et Fabrice Lhomme

Pour Edouard Balladur, le spectre de la Cour de justice de la République (CJR) se rapproche inexorablement. En délivrant, le 18 juillet, un réquisitoire supplétif pour "détournement de fonds publics" et "recel" aux juges chargés du volet financier de l'affaire de Karachi, Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire, le parquet de Paris a conforté les soupçons de malversations entourant le financement, en 1995, de la campagne présidentielle de l'ancien premier ministre. Nicolas Bazire, l'ex-directeur de son cabinet à Matignon, qui dirigea aussi sa campagne, est déjà poursuivi dans ce dossier.

Le délit de "détournement de fonds publics", dont sont désormais saisis les juges, vise le recours, par le premier ministre-candidat, aux fonds secrets, qui auraient abondé de manière illicite sa campagne présidentielle. Le réquisitoire du parquet répondait à une ordonnance du 26 juin des juges. Outre les fonds spéciaux, la campagne de M. Balladur aurait également bénéficié de "rétrocommissions" issues de ventes d'armes fin 1994 au Pakistan et à l'Arabie saoudite.

AVEUX TARDIFS DE L'INTERMÉDIAIRE ZIAD TAKIEDDINE

Homme-clé du dossier, l'intermédiaire Ziad Takieddine, écroué le 31 mai, a réitéré les 5 et 8 juillet ses accusations de financement illicite. Les juges viennent de lui accorder sa remise en liberté contre une caution de 4,3 millions d'euros.

Les aveux – tardifs – de l'intermédiaire Ziad Takieddine, reconnaissant avoir reversé aux proches de M. Balladur une partie des sommes perçues en marge de la vente, fin 1994, de sous-marins au Pakistan et de frégates à l'Arabie saoudite, s'ajoutant aux témoignages attestant le recours illicite aux fonds spéciaux pour subvenir aux dépenses de la campagne du premier ministre en 1995, les magistrats instructeurs ne devraient donc avoir d'autre choix, à la rentrée, que de se dessaisir au profit de la Cour de justice de la République (CJR). Cette juridiction est en effet la seule habilitée à enquêter – puis, le cas échéant, juger et condamner – sur un ministre pour des faits commis dans l'exercice de ses fonctions.

Le cas de M. Balladur pourrait lui être soumis, de même que celui de son ancien ministre de la défense, François Léotard, ouvertement suspecté d'avoir tout fait pour imposer les intermédiaires Ziad Takieddine et Abdul Rahman El-Assir dans plusieurs contrats d'armement, en contrepartie du versement de rétrocommissions. L'homme-lige de M. Léotard, Renaud Donnedieu de Vabres, conseiller à la défense entre 1993 et 1995, est déjà poursuivi pour "abus de biens sociaux et recel".

TÉMOIGNAGES ACCRÉDITANT L'UTILISATION DE FONDS "SECRETS"

Depuis son déclenchement, fin 2010, l'enquête des juges Van Ruymbeke et Le Loire a accumulé les documents et témoignages accréditant l'utilisation par l'équipe de M. Balladur, lors de la campagne présidentielle, de ces fameux fonds "secrets" mis à la disposition des ministres, dont le gouvernement de Lionel Jospin décida la suppression en 2001.

Par exemple, en novembre 2011, Frédéric Aucher, un ancien gendarme, militant RPR de longue date, avait expliqué aux policiers de la division nationale d'investigations financières et fiscales (DNIF) dans quelles conditions il était devenu, début 1995, secrétaire général de la campagne de M. Balladur. "Lorsque l'on m'a demandé de venir à la campagne et que M. Pierre Mongin m'a demandé de quitter mon poste du ministère de la coopération, il m'a dit qu'il compenserait ma perte de salaire par une enveloppe de fonds secrets de Matignon, avait-il révélé. En fin de mois, Pierre Mongin me remettait des espèces. Le montant a évolué au fil des mois. Le premier mois, j'ai eu 30 000 francs, puis 50 000 francs à deux reprises."

M. Aucher s'est dit certain qu'il s'agissait des fonds secrets, car cela lui avait "été présenté comme cela par M. Mongin", précisant que " tous les billets étaient d'un montant de 500 francs". En décembre 2012, l'ex-trésorier de la campagne de M. Balladur, René Galy-Dejean, avait été encore plus explicite s'agissant d'un dépôt suspect de plus de 3 millions de francs en liquide, en avril 1995, sur le compte de l'AFICEB (Association de financement de la campagne d'Edouard Balladur). Il avait assuré avoir été convoqué par Pierre Mongin à Matignon en ces termes : "Arrivé dans son bureau, avait rapporté M. Galy-Dejean, il me montre plusieurs boîtes en carton et me dit : 'Voilà 3 millions en petites coupures'. C'est cette somme que j'ai apportée à la cellule trésorerie."

DE FORTES SOMMES EN LIQUIDE SUR LE COMPTE DE CAMPAGNE

Concernant l'origine de ces fonds, l'ancien trésorier avait confié : "Je garde en tête la phrase plusieurs fois publiquement prononcée par M. Balladur : 'J'ai utilisé tous les moyens légaux qui étaient à ma disposition'." En clair, il s'agissait selon M. Galy-Dejean de fonds spéciaux.

La publication de ce témoignage dans Le Monde du 10 janvier avait provoqué une vive réaction de M. Mongin. L'actuel PDG de la RATP avait démenti "vigoureusement" avoir "jamais remis cet argent à M. Galy-Dejean", et annoncé le dépôt d'une plainte contre l'ex-trésorier pour "dénonciation calomnieuse". Les révélations de M. Galy-Dejean avaient toutefois valu à M. Mongin d'être reconvoqué par les juges, le 16 janvier, cette fois en qualité de témoin assisté, statut entre celui de témoin et de mis en examen.

Autre témoignage gênant pour M. Balladur, celui de l'ancien chauffeur de M. Galy-Dejean. Jean-Louis le Guevel a déclaré à la police, le 19 mars, s'être rendu début 1995 à Matignon chercher des fonds secrets. "Nous sommes rentrés par l'accès livraisons de Matignon. J'ai garé la voiture en marche arrière, devant l'entrée de service, à l'abri des regards. M. Galy-Dejean et M. Alexandre Galdin sont restés à Matignon environ une demi-heure. Ils sont sortis et, je m'en souviens précisément, avec quatre sacs en jute provenant de la Banque de France J'ai tout. de suite compris qu'ils venaient de récupérer une somme d'argent à Matignon et que c'était pour la campagne de M. Balladur."

Un récit qualifié de "faux" devant les policiers par M. Galdin, qui a toutefois fait part de ses doutes sur l'arrivée de fortes sommes en liquide sur le compte de campagne. M. Balladur, lui, a toujours nié tout financement illicite : le 28 avril 2010, il avait affirmé devant une mission d'information parlementaire que la plupart des fonds en espèces dont sa campagne bénéficia avaient été recueillis "lors de centaines de meetings", auprès "des militants, des sympathisants", via notamment la vente de pin's et autres t-shirts à sa gloire...
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Messagepar fernando » 24 Juil 2013, 15:54

Jean-Luc Mélenchon se justifie après l’achat d’un jet privé par le Parti de gauche
Nouvelle polémique en vue pour le tribun de gauche. Après avoir été raillé pour ses louanges sur la classe Affaire en avion, Jean-Luc Mélenchon, lassé des critiques, a décidé de passer le pas et préfère désormais voyager en jet privé. Reportage.

Ses déclarations sur sa volonté de ne plus voyager en classe éco mais en classe affaire avaient fait sourire ou grincer les dents. Mais l’achat d’un jet privé par le Parti de gauche pour ses déplacements en France ou à l’étranger risque de ne plus faire sourire. Jean-Luc Mélenchon a justifié l’achat par les nombreuses critiques reçues à son encontre après ses propos sur la classe Affaire. « Tout le monde a ironisé, ah dis donc voilà Jean-Luc Mélenchon qui prend l’avion. Quelle histoire ! Eh bien, oui je prends l’avion, je vis avec mon temps » a-t-il tonné ce matin au micro de France-Info.

Interrogé sur l’image qu’il risque désormais d’incarner, l’homme politique se défend, affirmant à nouveau vivre avec son temps. « À mon âge, même la classe Affaire ne suffit plus. De plus, les plans sociaux se multiplient partout en France. Le Parti de gauche doit être présent là où il est attendu. Avec cet avion, je peux me rendre sur n’importe quelle zone de plan social en moins de deux heures ». Un cadre du parti expliquait sous couvert d’anonymat que l’avion était ainsi toujours prêt, avec un plein d’essence et un équipage prêt à décoller à la moindre alerte.

Quant à l’achat de l’avion, là aussi Jean-Luc Mélenchon s’explique : « Nous l’avons acheté chez Dassault Industrie. Je connais personnellement les ouvriers qui ont travaillé sur cet avion. Et je sais qu’ils sont très fiers de voir le fruit de leur travail servir une cause juste » a-t-il martelé avant de siroter un verre de champagne alors que l’avion commençait ses manœuvres de descente sur l’aéroport d’Ibiza.

http://www.legorafi.fr/2013/07/01/jean-luc-melenchon-se-justifie-apres-lachat-dun-jet-prive-par-le-parti-de-gauche/
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Messagepar SAV » 25 Juil 2013, 12:05

Carla Bruni: Faites don des 410000€ d'argent public dépensés pour votre site personnel

de Nicolas Bousquet
Paris
Change.org
Signez la pétition

Durant la présidence de Nicolas Sarkozy, la première dame, Carla Bruni, a fait financer par l'État un site internet pour sa fondation. Coût total pour le contribuable : 410 000 euros.
C'est ce que révèle un rapport de la Cours des comptes qui détaille les dépenses internet de l'Élysée. Le site internet personnel de Carla Bruni http://www.carlabrunisarkozy.org a coûté 330 000 euros en 2011, et 80 000 euros en 2012, le tout financé par l'État et donc par les contribuables.

Comment peut-on accepter, alors qu'on demande des efforts importants à tous, que la première dame profite de sa position pour faire financer ce qui relève d'une dépense privée ?
Non seulement une telle prise en charge de ces dépenses est indécente, mais en plus, ce site tel qu'il est conçu ne nécessitait certainement pas un tel investissement.

En tant que développeur de sites internet, je connais le coût de tels projets. Ce qui coûte cher, lorsqu'on construit un site, c'est son développement, son design, ou encore sa maintenance et sa sécurisation. Mais rien de tout ça dans le site de Madame Bruni. Ce site aurait pu être fait par n'importe qui, pour moins de 10.000 euros.
Comme l'analyse Olivier Laurelli dans un billet sur Rue 89, ce site a été créé sur la base de modèles de sites internet gratuit ou presque, et ne présente aucune garantie en termes de sécurité (il a lui même réussi à détecter de nombreuses failles dans le site). Le design du site est basé sur un modèle existant, et ce n'est donc pas non plus le travail de graphiste qui a du coûter cher. En plus, certaines fonctions du site pour lesquelles le contribuable a payé une maintenance n'ont pas été mises à jour depuis 2008...

Madame Bruni a aussi engagé 8 personnes pour gérer les articles à poster sur ce site! 8 collaborateurs, pour une rémunération nette globale de plus de 36 000 euros. Soit en tout plus de 61 000 euros par mois pour faire fonctionner ce site d'auto-promotion.

Je suis outré qu'une telle dépense ait été prise en charge par l'État. Sur son site, Carla Bruni écrit "Je pense souvent à cette expression qu'emploie le professeur Brigitte Estournet du « superflu indispensable »". Pour moi, le superflu n'est pas indispensable quand il s'agit de l'argent du contribuable. Nous ne sommes pas les porte-monnaie de nos élus : nous payons des impôts pour la communauté, pas pour satisfaire les besoins luxueux de ceux-ci ou de leurs proches.

Rejoignez-moi pour demander à Carla Bruni de faire profiter les Français de ces 410 000 euros. Puisque la Fondation Carla Bruni agit pour aider “les publics vulnérables”, demandons-lui de rendre cet argent en faisant un don de 410 000 euros à des associations caritatives qui oeuvrent pour les plus démunis.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar fernando » 25 Juil 2013, 12:11

Ca fait cher le site ouaib enéfé.
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Messagepar Dageek » 25 Juil 2013, 12:18

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Messagepar fernando » 29 Juil 2013, 11:32

Stukomplo, de l'acharnement, Tapie est innocent, comme d'hab.

Affaire Tapie : les deux lettres qui prouvent l'escroquerie

LE MONDE | 29.07.2013 à 10h22 • Mis à jour le 29.07.2013 à 11h13 | Gérard Davet et Fabrice Lhomme

Les trois juges parisiens chargés d'enquêter sur l'arbitrage Tapie pensent enfin tenir les documents susceptibles d'étayer leurs soupçons d'"escroquerie en bande organisée" dans l'affaire Adidas. Il s'agit de deux lettres, rédigées par l'avocat de Bernard Tapie, Me Maurice Lantourne, et adressées les 5 et 12 septembre 2006 à... Pierre Estoup, celui-là même qui allait, quelques mois plus tard, signer une déclaration d'indépendance et rédiger dans sa quasi-globalité la sentence arbitrale accordant 405 millions d'euros à M. Tapie, le 7 juillet 2008.

Dans ces courriers, dont Le Monde a eu connaissance, il est exclusivement question du conflit entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais, lié à la vente d'Adidas. Or ces deux hommes, financièrement intéressés au résultat de l'arbitrage Tapie – Me Lantourne a perçu 2,5 millions d'euros d'honoraires, et M. Estoup, près de 300 000 euros pour son rôle d'arbitre –, avaient pourtant assuré aux enquêteurs ne jamais avoir abordé ce sujet avant l'arbitrage.

Pour obtenir ces documents cruciaux, les juges Serge Tournaire, Guillaume Daïeff et Claire Thépaut se sont rendus en perquisition, à trois reprises, les 3, 4 et 8 juillet, au cabinet d'avocats Fried Frank, dans le 8e arrondissement de Paris. Me Maurice Lantourne, le conseil de Bernard Tapie, y a travaillé de 2006 à 2009. Or, l'arbitrage a été évoqué officiellement le 30 janvier 2007, pour se conclure, le 7 juillet 2008, par la sentence controversée. Les juges se sont fait remettre les courriers internes, fiches de travail et autres courriels de cette période, ayant trait à l'affaire Tapie.

ESTOUP : "JE N'AI DÉLIVRÉ AUCUNE CONSULTATION"

La saisie a été contestée par le délégué du bâtonnier de Paris, et il a fallu qu'une juge des libertés et de la détention, la vice-présidente Annie Rochet, se prononce sur la possibilité de verser ces pièces en procédure. Le 12 juillet, dans une ordonnance détaillée, la juge Rochet a donné raison aux magistrats. Elle cite notamment le "document 45, une lettre de Me Lantourne à M. Estoup datée du 12 septembre 2006. (...) Elle est en contradiction avec les déclarations des intéressés relatives à leurs liens." Effectivement, le 6 novembre 2008, déjà suspecté d'avoir eu des relations commerciales avec Me Lantourne, M. Estoup avait dû s'expliquer auprès des conseils du Consortium de réalisation (CDR), la structure chargée de gérer le passif du Crédit lyonnais.

M. Estoup encourait une possible récusation, et Bercy s'interrogeait alors sur un éventuel recours contre la sentence. Il avait simplement admis avoir participé avec Me Lantourne à trois arbitrages déjà anciens, entre 1999 à 2002. Il avait ajouté : "Je n'ai délivré aucune consultation, aucun avis, ni reçu aucune note dans le dossier faisant l'objet du présent arbitrage." Il a aussi assuré, le 19 décembre 2012, devant la Cour de justice de la République, qui examine le rôle de l'ex-ministre de l'économie, Christine Lagarde, dans cette affaire : "Je n'ai jamais eu l'occasion de connaître de contentieux ayant pu intéresser Bernard Tapie." Le 8 octobre 2008, pour sa part, Me Lantourne avait écrit au CDR : "Je n'ai jamais consulté M. Estoup..." L'affaire s'était arrêtée là.

PLUS DE DOUTE, LES DEUX HOMMES ONT PARTIE LIÉE

Depuis, les magistrats ont établi que les deux hommes avaient travaillé sur les mêmes dossiers à au moins neuf reprises, et pas trois. Et voilà maintenant que les juges disposent de ces fameux courriers de septembre 2006. Car dès le 5 septembre 2006, Me Lantourne écrit à Pierre Estoup. La lettre porte comme référence "Aff. BT". Il joint à cette missive toutes les pièces essentielles afférentes au conflit Tapie/Crédit lyonnais. Le 8 septembre 2006, comme l'atteste l'agenda de l'avocat, il rencontre M. Estoup. Avec cette mention : "Quid dossier". A l'époque, selon ses propres dires, il est pourtant censé ne plus travailler avec le futur arbitre depuis quatre ans.

Une semaine plus tard, le 12 septembre 2006, il s'adresse donc à nouveau à Pierre Estoup, cette fois pour lui adresser une note rédigée par ses soins et relative à l'affaire Tapie. Il y souligne qu'"il paraît aujourd'hui opportun de mettre un terme à la liquidation judiciaire" et assure que les "fautes commises par le CDR et le Crédit lyonnais sont extrêmement graves".

Les juges n'ont plus guère de doute : pour eux, les deux hommes ont partie liée. Une conviction renforcée par une autre découverte, issue elle aussi de la perquisition. Le 1er octobre 2004, un confrère de Me Lantourne lui demande, en vue d'organiser une réception, une liste de ses invités personnels. Me Lantourne transmet en retour, le 8 octobre, un listing d'une vingtaine de personnes qu'il souhaite voir conviées. Parmi celles-ci... MM. Tapie et Estoup. La juge Rochet en conclut que l'"on peut y apprendre que B. Tapie et P. Estoup étaient invités à la même réception". Quatre ans avant l'arbitrage. Et six ans après l'intrigante dédicace adressée en 1998 par M. Tapie à M. Estoup : "Votre soutien a changé le cours de mon destin..."

Mais les enquêteurs s'intéressent aussi à un deuxième arbitre de l'affaire Tapie, l'avocat Jean-Denis Bredin. La juge Rochet note d'ailleurs dans son ordonnance : "On peut s'interroger sur la neutralité de J.-D. Bredin." C'est que Me Lantourne a également adressé des courriers à son confrère, et ce bien avant qu'il ne soit désigné arbitre. Egalement référencée "Aff. BT.", une missive est rédigée le 25 avril 2006. Suivie d'une autre, le 29 septembre 2006, où Me Lantourne, à la demande de M. Tapie, transmet à Me Bredin le "projet d'avis de M. Lafortune, avocat général à la Cour de cassation". Comment le camp Tapie a-t-il eu connaissance de ce qui n'est encore qu'un "projet", rédigé par le magistrat Maurice Lafortune, le concernant ? La Cour de cassation se prononcera en octobre 2006, son arrêt faisant repartir la procédure de zéro.

Longuement interrogé le 3 juin, notamment sur l'activisme de Me Lantourne, Me Bredin s'en est pris à M. Estoup, à qui il avait pourtant consacré une dédicace l'assurant de ses "très fidèles amitiés". "Le comportement de M. Estoup dans ses relations avec Me Lantourne et Bernard Tapie n'est pas normal", a-t-il dit. S'il n'a aucun souvenir des courriers que lui a adressés Me Lantourne, il se rappelle en revanche des conditions dans lesquelles fut rédigée la sentence. M. Estoup, dont il juge les avis "partiaux", a "fait la rédaction du travail préparatoire de la sentence dans sa quasi-totalité". Pierre Mazeaud, le président ? "Il a fait ses observations, mais oralement." Et ce fameux "préjudice moral", soit les 45 millions d'euros accordés au couple Tapie ? Il se souvient que l'un des arbitres "trouvait que cela n'était pas assez". "M. Estoup ?", risquent les policiers. "Oui", répond Me Bredin.

Sollicité par Le Monde, M. Estoup n'a pas souhaité s'exprimer. M. Lantourne, quant à lui, a appelé à "la plus grande prudence sur les documents saisis, qui ne sont parfois que des projets de lettres. Par ailleurs, je maintiens n'avoir jamais demandé à M. Estoup de travailler en 2006 sur ce dossier."
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Messagepar fernando » 29 Juil 2013, 13:49

François Hollande invente la République de "Macédonie"

Lors d'un déplacement à Ljubljana, en Slovénie, François Hollande a évoqué "l'ancienne République yougoslave de Macédonie", au lieu de la Macédoine.
C'est la troisième fois que le chef de l'Etat commet quelques erreurs d'ordre géographique. Le 4 juillet, à Tunis, alors qu'il était interrogé sur la situation en Egypte il avait répondu : "La France a pris acte de la situation en Tunisie." Avant de tenter de rattraper son erreur.
Autre lapsus quelques semaines auparavant : en visite au Japon, il avait évoqué le "peuple chinois" à la place du peuple japonais.

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Messagepar fernando » 29 Juil 2013, 17:02

Les courriers de Bernard Tapie aux décideurs politiques

LE MONDE | 29.07.2013 à 10h26 • Mis à jour le 29.07.2013 à 16h24 | Par Gérard Davet et Fabrice Lhomme

Bernard Tapie a l'activisme débridé. Et contagieux. Les trois juges d'instruction l'ont constaté lors des perquisitions menées les 3, 4 et 8 juillet au cabinet d'avocats parisien Fried Frank, où travaillait de 2006 à 2009 Me Maurice Lantourne, le conseil de l'homme d'affaires. Plusieurs documents saisis ont fait l'objet d'une contestation du délégué du bâtonnier, tranchée par la juge des libertés et de la détention, Annie Rochet.

Elle a estimé, le 12 juillet, que ces pièces devaient être versées à la procédure. En effet, ces documents sont "des notes de Bernard Tapie à des hommes politiques alors qu'il a prétendu n'avoir fait aucune intervention politique". De tels documents "pourraient expliquer comment l'arbitrage est devenu possible. (...) Les liens de Bernard Tapie avec des hommes politiques sont de nature à se rattacher à la commission des infractions d'autant qu'ils sont niés contre toute évidence."

La magistrate se réfère en l'occurrence à la déposition de M. Tapie, faite sous serment, en tant que témoin, le 31 juillet 2012. Les enquêteurs lui avaient demandé notamment s'il avait eu pour "interlocuteurs" des "ministres, des directeurs de cabinet, des présidents de la République". M. Tapie avait répondu : "Jamais aucun (...). Il m'est arrivé d'aller à Bercy ou ailleurs mais pas du tout pour parler de mon dossier. J'ai rencontré M. Guéant et M. Pérol mais pas pour ce dossier."

"PRÉPARATION MINUTIEUSE"

Manifestement, Bernard Tapie n'avait pas dit toute la vérité, ou perdu la mémoire. Les enquêteurs ont saisi au moins dix courriers adressés depuis 2004 par l'homme d'affaires à des décideurs – Patrick Ouart, conseiller justice de M. Sarkozy à l'Elysée, ou Brice Hortefeux –, dont quatre à Claude Guéant, secrétaire général de la présidence jusqu'en 2011.

Au moins trois courriers intriguent plus particulièrement les magistrats. Selon la juge Rochet, "on est au cœur de l'affaire. (...) Tous ces documents montrent la préparation minutieuse de la décision d'arbitrage largement anticipée par B. Tapie qui va jusqu'à imaginer le montant des impôts qu'il pourrait être amené à payer sur les sommes qui pourraient lui être versées et comment en diminuer le tarif." D'ailleurs, le juge Serge Tournaire, chargé de l'enquête, l'écrit dans une ordonnance du 9 juillet : ce traitement fiscal "a fait l'objet de négociations directes entre Bernard Tapie, le cabinet du ministre du budget, Eric Woerth, et Claude Guéant."

TRAITEMENT FISCAL D'EXCEPTION


M. Tapie s'y est pris très tôt. Dès le 2 septembre 2004, il profite de la présence de son ami Nicolas Sarkozy à Bercy pour régler ses affaires. "Je me permets de vous préciser un projet de calendrier qui permettrait d'aboutir au résultat escompté par le ministre et vous-même", écrit-il à M. Guéant, directeur du cabinet du ministre des finances.

L'idée, c'est que le Consortium de réalisation (CDR), chargé de solder le passif du Crédit lyonnais, est un peu trop indépendant. Il s'agit de "faire figurer dans le projet de loi de finances les modalités de cession du CDR 'à la caisse'" – c'est-à-dire la Caisse des dépôts et consignations (CDC), bras armé de Bercy. M. Guéant a bientôt rendez-vous avec Francis Mayer, le directeur général de la CDC – autant en profiter.

Puis, le 6 octobre 2005, M. Tapie écrit à M. Guéant et lui demande que "Nicolas parle à son collègue de Bercy". Enfin, il y a encore ces deux écrits du 1er et 15 décembre 2005, dans lesquels il réclame à Laurent Le Mesle, directeur du cabinet du garde des sceaux, un traitement fiscal d'exception, sur fond de prescription...
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Messagepar Dageek » 29 Juil 2013, 17:42

KOTD spotted
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Messagepar fernando » 29 Juil 2013, 18:26

Gné?
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Messagepar Dageek » 29 Juil 2013, 18:32

Ken of the deule
déja postay en FDP ( jcrois ? )
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Messagepar fernando » 29 Juil 2013, 18:36

J'ai pas l'impression, mais spa grave.
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Messagepar Dageek » 29 Juil 2013, 22:17

jdois confondre avec le org, rachoumade
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Messagepar fernando » 01 Août 2013, 10:22

ah bah c'est du propre c't'histoire

Affaire Barcenas : les points clés du scandale qui embarrasse Mariano Rajoy

Le Monde.fr | 31.07.2013 à 14h11 • Mis à jour le 01.08.2013 à 09h43 | Par Claire Rainfroy

Un nouveau scandale secoue la droite espagnole au pouvoir l'affaire Barcenas. Le Parti populaire (PP), au pouvoir depuis décembre 2011, est empêtré dans une affaire de corruption, dans laquelle Mariano Rajoy, chef du gouvernement, pourrait être impliqué – il doit s'exprimer jeudi sur le sujet.

Tout commence en janvier 2013, lorsque les quotidiens espagnols El Mundo et El Pais révèlent que d'importantes sommes d'argent illégal aurait été versées aux cadres du PP par Luis Barcenas.

QUI EST LUIS BARCENAS ?

A 55 ans, Luis Barcenas a une longue carrière politique derrière lui. Ancien sénateur, il a également géré pendant vingt ans les finances du Parti populaire, avant d'en être nommé trésorier en 2008. Un poste et un avenir politique prometteurs qu'il s'est résigné à abandonner en 2009, après que la plus haute juridiction espagnole, le Tribunal suprême, a ouvert une enquête contre lui pour fraude fiscale. En cause, quelque 48 millions d'euros que Barcenas aurait cachés au fisc espagnol au moyen de comptes en Suisse.

Mais à cette fraude fiscale, s'ajoutent de nouvelles révélations. L'ancien trésorier du PP aurait également, selon le quotidien El Mundo, distribué chaque mois entre 5 000 et 15 000 euros dans des enveloppes à des cadres du parti conservateur. Des divulgations qui se précisent lorsque le journal El Pais publie les registres présumés de la comptabilité occulte du PP, qui établiraient l'existence de ces gratifications illégales.

Jusqu'à son arrestation, le 27 juin 2010, l'ancien trésorier contestait l'existence de ces primes illégales et niait être l'auteur de ces registres. Mais depuis qu'il dort en prison, Luis Barcenas est passé aux aveux.

QU'A RÉVÉLÉ L'ANCIEN TRÉSORIER DU PP ?


Le 15 juillet 2013, il a finalement reconnu être l'auteur de ces registres de comptabilité parallèle, dont il a remis des versions manuscrite et numérique aux juges. Au total, neuf porte-documents contenant des informations sur le financement occulte du parti de ces vingt dernières années.


Luis Barcenas a assuré que les remises d'enveloppes étaient "systématiques". "Pendant ces vingt dernières années au moins, le Parti populaire a été financé de manière illégale", a-t-il déclaré à El Mundo. Un système de corruption de grande ampleur au sein du parti, dont il aurait hérité en prenant ses fonctions de gestionnaire des finances du parti, dans les années 1990.

Selon ses déclarations, les fonds seraient provenus des dons d'entrepreneurs, et auraient été utilisés pour financer les coûts du parti et les gratifications illégales accordées aux cadres du PP.

MARIANO RAJOY "AU COURANT" DES FINANCEMENTS ILLÉGAUX


D'après les révélations de Luis Barcenas, le président espagnol, Mariano Rajoy, aurait été au courant de ces financements illégaux, dont ce dernier aurait largement bénéficié. "Tous les présidents et secrétaires généraux" du parti auraient touché ces gratifications illégales, a déclaré l'ancien trésorier.

Dans les registres comptables publiés par El Pais, l'actuel chef du gouvernement est en effet mentionné. Il aurait touché des sommes atteignant 25 200 euros par an, pendant onze ans. Si Mariano Rajoy nie en bloc ces accusations, d'autres documents accablent le chef du gouvernement et président du Parti populaire. "Mariano Rajoy a gardé un contact direct et permanent (au moins de mai 2011 à mars 2013) avec l'ancien trésorier et il lui a demandé qu'il nie la comptabilité parallèle et l'existence des primes", affirmait El Mundo, dans son édition du 14 juillet.

A l'appui, des échanges de SMS entre le chef du gouvernement et Luis Barcenas, que ce dernier a pris soin de diffuser après avoir été lâché par son ancienne formation politique. Le porte-parole du PP au Congrès avait en effet déclaré à son sujet qu'il était "un délinquant ayant fait du mensonge son style de vie". Selon El Mundo, Luis Barcenas, en colère, affirmait le 14 mars à Mariano Rajoy se sentir "libéré de tout engagement envers [lui] et envers le parti".

Le parti populaire s'était désolidarisé de M. Barcenas lorsque ce dernier avait été impliqué dans le scandale Gürtel, qui empoisonne la droite depuis 2009, et dont le lien serait établi avec l'affaire Barcenas.

AFFAIRE "GÜRTEL" : L'ACHAT DE CONTRATS PUBLICS


Le scandale Gürtel, une affaire de corruption généralisée au sein du Parti populaire, implique 70 personnes, dont 18 membres du PP. Le scandale éclate en 2009, lorsque des révélations montrent l'existence du réseau dit "Gürtel". Le principe : moyennant voitures de luxe et argent liquide transmis au parti, des entrepreneurs, menés par l'homme d'affaires Francisco Correa, obtiennent des contrats publics.

Là encore, Luis Barcenas est un personnage clé du scandale. L'ancien trésorier du parti a été inculpé pour avoir touché d'importantes sommes via ce réseau. Des versements qui pourraient expliquer les quelque 48 millions d'euros déposés sur des comptes bancaires en Suisse par l'ancien trésorier.

Les deux affaires de corruption ont été confiées au juge de l'Audience nationale de Madrid, Pablo Ruz. Mardi 30 juillet, le magistrat vient de convoquer la secrétaire générale du Parti populaire, Maria Dolores de Cospedal, également citée dans les registres de comptabilité. La numéro deux du PP devrait s'exprimer prochainement sur la présumée comptabilité occulte du parti.

De son côté, Mariano Rajoy devrait évoquer l'affaire Barcenas ce premier août devant le Congrès. Un discours très attendu par l'opposition, qui réclame que le chef du gouvernement conservateur s'explique, depuis que son nom est associé au scandale.
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Messagepar Dageek » 01 Août 2013, 10:25

Heureusement que c est pas chez nous que ça arriverait
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Messagepar fernando » 01 Août 2013, 10:30

Chez nous la droite est clean, rien du tour de ce genre là.

Ca fait classe comme même la corruption à grande échelle et les enveloppes de cash dans un parti dit "populaire" qui dirige un pays avec 26% de chômage.
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Messagepar King Kong » 01 Août 2013, 11:44

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Messagepar fernando » 01 Août 2013, 11:47

30mn d'interview de Serge Ayoub, tu nous gâtes!
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Messagepar King Kong » 01 Août 2013, 12:04

Ouai c'est un peu long, mais le début est très interessant( ceci n'est que mon avis bien sur) Valls qui parle d'assassinat avant l'enquête, l'instruction, le jugement, comment après ça la procedure peut etre partiale? Pourquoi Esteban n'est il pas libéré, alors qu'il se defend face à 3 agresseurs? etc..
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