POSEZ ARME ! – En Allemagne, des soldats ont les seins qui poussent
En Allemagne, les parades militaires ont des effets pour le moins inattendus. Une étude médicale, publiée l'an dernier, a révélé qu'un nombre anormalement élevé de soldats allemands étaient atteints de gynécomastie unilatérale. En clair, leurs glandes mammaires, la plupart du temps à gauche, se développent de façon significative. Jusqu'à atteindre, dans certains cas, un généreux bonnet B.
La cause serait professionnelle. Il s'agirait de l'impact des fusils sur la gauche des poitrines des fantassins. Car les troupes le plus atteintes sont les soldats du bataillon de garde – Wachbataillon, outre-Rhin –, qui défilent lors des visites officielles. A chaque parade, ils exécutent le même mouvement répétitif, et font claquer leur arme sur leur sein gauche.
"Il y a un lien significatif entre leur activité dans le bataillon de garde et le développement de leur sein du côté gauche", a expliqué le professeur Bjorn Krapohl, directeur de la chirurgie plastique à l’hôpital militaire de Berlin.
Seul traitement possible, l'ablation du sein protubérant, tant le tissu musculaire est abîmé. Jusqu'à présent, cette gynécomastie unilatérale a été diagnostiquée chez trente-cinq soldats.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
C'est comme si tu tirais une conclusion hâtive, parce qu'ils auraient trouvé 20 cerveaux sur des supporteurs Lensois.....de là à dire qu'il se peut qu'il y en ait qui, aurait vraiment un cervela....
Aux Etats-Unis, Stephen Colbert est une pointure de la télévision. Alors quand le présentateur vedette de la chaîne Comedy central annonce mardi sur Twitter qu’il s'apprête à recevoir les Daft Punk dans The Colbert report, l’audimat chauffe. Manque de chance ou gros coup de bluff, Stephen Colbert a finalement annoncé à ses téléspectateurs que les Daft Punk ne seraient pas présents car un contrat les liant à MTV les contraignait à réserver leur prochaine prestation aux MTV Video Music Awards qui auront lieu à New York à la fin du mois.
Roi du dancefloor, capable de tous les déhanchés, osant smurfer, breaker, danser le french cancan, Stephen Colbert a réinterprété «the song of the summer of the century» et donné de sa personne comme il en l’habitude. Cette fois, il a sorti les gros moyens, faisant appel à Matt Damon, Ashton Kutcher, Hugh Laurie, Jeff Bridges, Bryan Cranston de Breaking Bad et osant une incursion dans le bureau d'Henry Kissinger et sur le plateau de son collègue Jimmy Fallon, autre star de la chaîne.
Kidnappé par des islamistes armés, menacé de mort, contraint de quitter sa famille. C'est le calvaire qu'a traversé le commerçant pakistanais Malik Afridi pour une unique raison : son refus obstiné de couper sa moustache de 76 cm en forme d'arche. Le port de la moustache a longtemps été un gage de virilité au Pakistan. Mais avec la montée en puissance des talibans, la barbe longue est de plus en plus imposée. Après de nombreuses menaces, Malik Afridi a « sacrifié sa moustache » en 2009, de peur d'être tué. Mais il l'a laissée repousser et affirme avec gravité : « Je ne pourrai jamais couper à nouveau ma moustache. C'est mon identité. C'est ma vie ». Il rêve désormais d'obtenir l'asile à l'étranger...
Un Vietnamien et son fils sortent de la jungle après 40 ans
Le père avait fui son village avec son enfant au début des années 1970 après un bombardement américain.
Un Vietnamien et son fils qui auraient vécu pendant quarante ans dans la jungle ont été ramenés dans le village qu’ils auraient fui pendant la guerre du Vietnam, a indiqué samedi un responsable s’inquiétant de leur capacité à d’adapter à leur nouvelle vie.
Des images de la télévision locale ont montré Ho Van Thanh, 82 ans, et son fils Ho Van Lang, 42 ans, émaciés et vêtus de pagnes en écorce d’arbre, être emmenés mercredi apparemment contre leur gré, le père porté dans un hamac, le fils les mains attachées devant lui.
Au début des années 1970, Thanh, alors membre d’une guérilla communiste, avait fui son village après la mort de sa mère et de deux de ses enfants lors d’un bombardement américain, emmenant avec lui son fils de deux ans, a expliqué samedi à l’AFP Hoang Anh Ngoc, un responsable local dans la province de Quang Ngai, dans le centre du pays.
Mais les deux hommes qui auraient vécu de fruits et de maïs qu’ils cultivaient, parlent à peine quelques mots de leur dialecte de la minorité ethnique Kor et ils risquent d’avoir du mal à s’adapter, surtout le fils qui n’a connu quasiment que la jungle toute sa vie.
«Le fils a peur de la foule. Il ne parle pas aux étrangers (...) mais il parle un peu à sa famille», a noté Ngoc. Il est hébergé chez des proches mais «évidemment nous avons peur qu’il retourne dans la forêt, nous le surveillons», a-t-il ajouté.
Le père en revanche, épuisé et placé sous traitement dans un hôpital local, est «trop vieux et trop faible pour s’enfuir», a-t-il estimé, notant que les autorités allaient leur construire une maison.
Cabane
Les deux hommes avaient déjà par le passé été arrachés à la jungle, avant d’y retourner.
Selon le journal en ligne Dan Tri, le plus jeune fils du vieil homme, qui avait seulement trois mois lors du bombardement et qui leur rendait visite tous les ans, avait déjà essayé en 2004 de les ramener chez eux. Mais ils avaient refusé de rester longtemps, «préférant leur vie indépendante à la vie traditionnelle des familles vietnamiennes», a précisé le journal.
Mais les deux hommes avaient été aperçus récemment dans la forêt par des habitants de la région qui les avaient signalés aux autorités. Ils ont été retrouvés «vivant dans une cabane à cinq mètres du sol, et les deux hommes portaient seulement un pagne en écorce d’arbre», avait précisé vendredi le quotidien Tuoi Tre, évoquant la présence d’outils rudimentaires dont certains fabriqués à partir d’obus datant de la guerre.
Après avoir été capturé mercredi, Lang «mâchait des noix de bétel et fumait sans arrêt, regardant tout le monde autour de lui avec un regard vide», avait-il ajouté.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
ça rappelle le soldat japonais qui a vécu pendant 25 ans sur une ile et qui s'est rendu en 1970. Il faisait encore la guerre tout seul sur son bout de terre contre les USA Il a fallu appeler son supérieur pour lui demander se se rendre ! Une chance qu'il était encore en vie ....
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
stikky a écrit:ça rappelle le soldat japonais qui a vécu pendant 25 ans sur une ile et qui s'est rendu en 1970. Il faisait encore la guerre tout seul sur son bout de terre contre les USA Il a fallu appeler son supérieur pour lui demander se se rendre ! Une chance qu'il était encore en vie ....