sérieusement ?
Y'en a encore qui en ont quelque chose à foutre sur ce site ?
c'est juste une question hein
[O1T] So chaud pour nos fesses !
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par fanofmonk » 20 Sep 2013, 21:54
fernando a écrit:rhazelle a écrit:tin la stat qui tue pour Martin.
combien de passes décisives ? Pt le + gros bid de l'histoire du lox (en terme de rapport qualité prix) !
Plus gros transfert de l'histoire du Lox, 220 000 USD/mois, et le gars est 10 fois moins bon que Bodmer ou Acimovic. Offensivement il pèse moins que Balmont.
Cheeuuur pour les finances du club, et pour nous pauvres supporters. Y'a moyen qu'on se le tape jusqu'à la fin de son contrat.
Une carrière à la Ibrahim Ba, construite sur un malentendu après avoir flambé une saison.
c'est quoi votre truc de MUSD? "M" pour million mais "USD"???
par karmelille » 20 Sep 2013, 23:22
Putain...
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par n.iiicolas » 21 Sep 2013, 15:22
Vous avez un ami (si c'en est encore un, ce traitre) qui est parti vivre dans le Pas-de-Calais ? Un ami qui est né là-bas avec des gènes loscistes ? Vous connaissez un gars style Tournemaine Eric ? Donnez lui mon contact !
Une section historique de "Dogues du 6-2" est en en cours de création ...avec pour siège Béthune, pour tout le bassin minier du pays lensois qui pue, et la Côte d'opale est bienvenue !
FAITES TOURNER
Contact: François DAVELUY - 06.....
Une section historique de "Dogues du 6-2" est en en cours de création ...avec pour siège Béthune, pour tout le bassin minier du pays lensois qui pue, et la Côte d'opale est bienvenue !
FAITES TOURNER
Contact: François DAVELUY - 06.....
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
par fernando » 21 Sep 2013, 17:27
loul
Martin : «J’ai envie de tout casser»
Par Vincent Duchesne, 20-09-2013
Avant le déplacement à Sochaux, Marvin Martin s’est longuement confié à Sport24.com. Sa saison dernière compliquée, les critiques, l’équipe de France, le milieu de terrain lillois se livre. Sans concession.
Marvin, quel bilan faites-vous de votre première saison à Lille ?
Marvin Martin : Je dirais que c’était une saison d’adaptation. C’est sûr que je n’étais pas à 100%. Je revenais de l’Euro 2012, j’ai changé de club dans la foulée alors que ça faisait 10 ans que j’étais à Sochaux. Même si on m’a mis dans les meilleures conditions, je n’ai pas réussi à trouver mes marques. Je me cherchais un peu. Je n’étais pas en totale confiance.
5 passes décisives, 0 but. Vous qui martelez votre désir d’être le plus décisif possible, vous ne pouvez pas vous en satisfaire…
Mais je ne suis pas satisfait, c’est sûr. Loin de là ! Pour un joueur offensif comme moi, c’est trop peu. Même lorsque j’ai terminé meilleur passeur de Ligue 1 avec Sochaux (17 passes en 2010-2011), je n’étais pas totalement satisfait. Si j’avais pu en faire plus, je l’aurais fait avec plaisir. Je suis un perfectionniste. Même quand je fais de bonnes choses, j’en veux toujours plus. Je travaille et je fais tout pour réussir.
En décembre dernier, vous nous aviez pourtant exprimé votre confiance en annonçant que vous trouviez, peu à peu, vos repères…
Oui, je me sentais mieux. Je n’étais plus blessé (Ndlr : touché aux adducteurs fin septembre 2012) donc ça allait mieux dans ma tête. Après, je ne considère pas que toutes mes performances étaient mauvaises même si je n’ai pas été décisif.
Me retrouver seul, loin de ma famille, de mes amis comme Ryad (Boudebouz), ça a été compliqué
—
Vos difficultés sont-elles surtout dues à ce changement d’environnement ?
Il n’y a pas que ça. Je ne peux pas rejeter la faute uniquement là-dessus. Bien sûr, ça a joué. Me retrouver seul, loin de ma famille, de mes amis comme Ryad (Boudebouz), ça a été compliqué. Même si j’avais de la famille à Paris, ce n’est pas pareil. Tout changer, du jour au lendemain, c’est difficile. Ça n’avait rien à voir avec ce que j’avais vécu à Sochaux.
Peut-on rejeter la faute sur votre positionnement sur le terrain ?
Non, je ne pense pas. Que ce soit en numéro 10 ou plus en retrait, ce sont des positions que j’affectionne. Le dispositif tactique n’a rien à voir là-dedans. C’est vrai que j’ai évolué un peu plus bas qu’à Sochaux mais ce fut le fruit d’une discussion avec le coach. C’était une demande de ma part parce que j’avais envie de toucher plus de ballons. Plus haut, je ne me sentais pas assez utile et disponible.
Quelles étaient vos relations avec Rudi Garcia ?
Ça se passait super bien. J’ai toujours eu sa confiance. C’est important. Pour le mental, c’est vraiment appréciable. C’était un plus pour être mieux dans ma tête et sur le terrain. Même si je n’étais pas très bon, je jouais quand même. Malheureusement, je n’ai pas réussi à rendre cette confiance comme je l’espérais.
Le statut de successeur d’Eden Hazard a-t-il été pesant ?
On n’évolue pas du tout au même poste et je suis loin d’avoir fait tout ce qu’il a accompli. On n’a pas les mêmes qualités. Ça n’a rien à voir. Même si j’essayais de faire abstraction de tout ce qui se dit, on en entend tous les jours ! Ce n’est pas de la pression mais on se dit que les gens attendent beaucoup. On ne te laisse pas le temps de t’intégrer. Les gens ne comprennent pas trop.
Pensez-vous qu’il y a eu trop d’attente ?
Oui, je pense. C’est peut-être normal après tout. Quand un club achète un nouveau joueur, on a envie de voir ce qu’il vaut, ce qu’il est capable de faire. Je ne me suis pas senti perdu. Dans ma tête, c’était clair. Je me devais de revenir à mon meilleur niveau en travaillant. Encore et toujours. Même si c’est revenu petit à petit, le fait de ne pas être décisif a peut-être pas mal joué contre moi. Si j’avais fourni des prestations moyennes tout en faisant plus de passes décisives et en inscrivant quelques buts, on aurait peut-être dit que j’avais fait une bonne saison.
On vous a comparé à Eden Hazard à Lille mais aussi à Zinédine Zidane en équipe de France après votre doublé contre l’Ukraine pour votre première sélection. Ces étiquettes ont-elles été dures à porter ?
Vous savez, je n’écoute pas ce genre de choses. Ça ne m’a pas gêné, ni contrarié. Moi, je suis moi et personne d’autre. Je ne suis pas quelqu’un qui se prend la tête ou qui va se la raconter. Zidane et Eden, ils ont fait des choses extraordinaires. Je suis encore loin de tout ça. J’ai encore beaucoup de choses à prouver.
Vous n’avez pas été épargné par les critiques depuis un an. Comment l’avez-vous vécu ?
C’est dur parce qu’on passe très rapidement des éloges aux critiques. Si les critiques font partie du jeu, certaines choses ne m’ont pas plu comme le fait que l’on parle de mon salaire. On a dit que je valais tant, que je touchais tant et qu’à l’arrivée, je ne faisais rien. C’est ma vie privée, ça ne regarde personne. En plus, la plupart du temps, les montants annoncés n’étaient pas les bons. Si je ne suis pas bon sur le terrain, il n’y a pas de souci, on peut me critiquer. Mais certaines petites choses font mal. Ça pique.
Ces difficultés ne peuvent que m’endurcir. J’en ressortirai plus fort
Vous attendiez-vous à vivre une année si difficile en signant à Lille ?
Je savais très bien que ça pouvait arriver car dans une carrière, il y a toujours des moments difficiles. Ce n’est jamais tout beau, tout rose. Je m’y attendais. Mais pas comme ça, pas de manière aussi brutale.
Avez-vous regretté votre choix d’avoir signé à Lille ?
Non. Jamais. Même si ça a été dur, j’ai passé une super année. J’ai joué la Ligue des champions. J’ai beaucoup appris. Surtout dans la tête. J’ai grandi un peu. J’ai gagné en maturité. Je sais que je suis quelqu’un de fort mentalement. Ces difficultés ne peuvent que m’endurcir. J’en ressortirai plus fort. En aucun cas je ne regrette quoi que ce soit.
Dans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ?
Je me sens super bien. Physiquement, je suis bien malgré une petite blessure au genou pendant la trêve. Sur le terrain, je me sens bien. Je suis très content d’être à Lille et j’espère qu’on va faire une très belle saison. Avec le coach (René Girard), ça se passe super bien, c’est un entraîneur qui est à l’écoute. J’ai envie de tout casser. Franchement, ce n’est que du bonheur. Il y a tout ici pour réussir. Ça ne dépend que de moi. Je pense être sur la bonne voie.
Et l’équipe de France dans tout ça ?
Bien sûr que j’y pense. Quand on y goûte une fois, on a envie d’y retourner tout le temps. Tout passera par mes performances. Si je suis bon sur le terrain, j’aurai plus de chance d’être rappelé par le sélectionneur. Ça fait partie de mes objectifs.
Vous n’avez plus été appelé en équipe de France depuis août 2012 alors que vous étiez devenu incontournable sous Laurent Blanc…
Ça m’a fait mal de ne plus y retourner. C’est difficile de ne plus être appelé du jour au lendemain. Ce n’est pas pour ça que je vais baisser la tête et arrêter de penser aux Bleus. Au contraire. Je vais continuer à travailler. Ce genre de choses vous endurcit encore plus. A moi de tout faire pour y retourner.
Avez-vous eu des nouvelles de Didier Deschamps ?
Non, aucune.
Sochaux manque d’ambitions
Avez-vous la Coupe du monde 2014 dans un coin de votre tête ?
Oui, bien sûr. Une Coupe du monde au Brésil, c’est quelque chose de magique. J’ai très envie d’y aller.
Un dernier mot sur le déplacement à Sochaux ce week-end…
C’est toujours particulier. Un peu moins par rapport à l’année dernière car c’était la première fois. C’est mon club formateur. Si je suis là aujourd’hui, c’est en grande partie grâce à lui. J’ai beaucoup appris là-bas. J’ai vécu de très bons moments là-bas. J’ai encore des amis dans le club. C’est toujours spécial. On va tout faire pour récupérer les points perdus à domicile contre Nice.
Que vous inspire leur place de lanterne rouge ?
Hormis une saison, où on a fini européen, la plupart du temps, c’est toujours la même chose avec le maintien comme seul objectif. C’est ce que je reprochais un peu au club. On peut le comprendre d’un point de vue financier car Sochaux reste un club formateur. Mais Sochaux manque d’ambitions. L’équipe pourrait faire partie de la première partie de tableau. C’est un peu dommage de démarrer une saison en jouant uniquement le maintien. Je l’ai connu, je sais ce que c’est. Là, je vois qu’ils sont derniers et ça ne me fait pas plaisir. Mais je ne m’en fais pas. Je connais très bien le coach et ils ne resteront pas derniers.
Martin : «J’ai envie de tout casser»
Par Vincent Duchesne, 20-09-2013
Avant le déplacement à Sochaux, Marvin Martin s’est longuement confié à Sport24.com. Sa saison dernière compliquée, les critiques, l’équipe de France, le milieu de terrain lillois se livre. Sans concession.
Marvin, quel bilan faites-vous de votre première saison à Lille ?
Marvin Martin : Je dirais que c’était une saison d’adaptation. C’est sûr que je n’étais pas à 100%. Je revenais de l’Euro 2012, j’ai changé de club dans la foulée alors que ça faisait 10 ans que j’étais à Sochaux. Même si on m’a mis dans les meilleures conditions, je n’ai pas réussi à trouver mes marques. Je me cherchais un peu. Je n’étais pas en totale confiance.
5 passes décisives, 0 but. Vous qui martelez votre désir d’être le plus décisif possible, vous ne pouvez pas vous en satisfaire…
Mais je ne suis pas satisfait, c’est sûr. Loin de là ! Pour un joueur offensif comme moi, c’est trop peu. Même lorsque j’ai terminé meilleur passeur de Ligue 1 avec Sochaux (17 passes en 2010-2011), je n’étais pas totalement satisfait. Si j’avais pu en faire plus, je l’aurais fait avec plaisir. Je suis un perfectionniste. Même quand je fais de bonnes choses, j’en veux toujours plus. Je travaille et je fais tout pour réussir.
En décembre dernier, vous nous aviez pourtant exprimé votre confiance en annonçant que vous trouviez, peu à peu, vos repères…
Oui, je me sentais mieux. Je n’étais plus blessé (Ndlr : touché aux adducteurs fin septembre 2012) donc ça allait mieux dans ma tête. Après, je ne considère pas que toutes mes performances étaient mauvaises même si je n’ai pas été décisif.
Me retrouver seul, loin de ma famille, de mes amis comme Ryad (Boudebouz), ça a été compliqué
—
Vos difficultés sont-elles surtout dues à ce changement d’environnement ?
Il n’y a pas que ça. Je ne peux pas rejeter la faute uniquement là-dessus. Bien sûr, ça a joué. Me retrouver seul, loin de ma famille, de mes amis comme Ryad (Boudebouz), ça a été compliqué. Même si j’avais de la famille à Paris, ce n’est pas pareil. Tout changer, du jour au lendemain, c’est difficile. Ça n’avait rien à voir avec ce que j’avais vécu à Sochaux.
Peut-on rejeter la faute sur votre positionnement sur le terrain ?
Non, je ne pense pas. Que ce soit en numéro 10 ou plus en retrait, ce sont des positions que j’affectionne. Le dispositif tactique n’a rien à voir là-dedans. C’est vrai que j’ai évolué un peu plus bas qu’à Sochaux mais ce fut le fruit d’une discussion avec le coach. C’était une demande de ma part parce que j’avais envie de toucher plus de ballons. Plus haut, je ne me sentais pas assez utile et disponible.
Quelles étaient vos relations avec Rudi Garcia ?
Ça se passait super bien. J’ai toujours eu sa confiance. C’est important. Pour le mental, c’est vraiment appréciable. C’était un plus pour être mieux dans ma tête et sur le terrain. Même si je n’étais pas très bon, je jouais quand même. Malheureusement, je n’ai pas réussi à rendre cette confiance comme je l’espérais.
Le statut de successeur d’Eden Hazard a-t-il été pesant ?
On n’évolue pas du tout au même poste et je suis loin d’avoir fait tout ce qu’il a accompli. On n’a pas les mêmes qualités. Ça n’a rien à voir. Même si j’essayais de faire abstraction de tout ce qui se dit, on en entend tous les jours ! Ce n’est pas de la pression mais on se dit que les gens attendent beaucoup. On ne te laisse pas le temps de t’intégrer. Les gens ne comprennent pas trop.
Pensez-vous qu’il y a eu trop d’attente ?
Oui, je pense. C’est peut-être normal après tout. Quand un club achète un nouveau joueur, on a envie de voir ce qu’il vaut, ce qu’il est capable de faire. Je ne me suis pas senti perdu. Dans ma tête, c’était clair. Je me devais de revenir à mon meilleur niveau en travaillant. Encore et toujours. Même si c’est revenu petit à petit, le fait de ne pas être décisif a peut-être pas mal joué contre moi. Si j’avais fourni des prestations moyennes tout en faisant plus de passes décisives et en inscrivant quelques buts, on aurait peut-être dit que j’avais fait une bonne saison.
On vous a comparé à Eden Hazard à Lille mais aussi à Zinédine Zidane en équipe de France après votre doublé contre l’Ukraine pour votre première sélection. Ces étiquettes ont-elles été dures à porter ?
Vous savez, je n’écoute pas ce genre de choses. Ça ne m’a pas gêné, ni contrarié. Moi, je suis moi et personne d’autre. Je ne suis pas quelqu’un qui se prend la tête ou qui va se la raconter. Zidane et Eden, ils ont fait des choses extraordinaires. Je suis encore loin de tout ça. J’ai encore beaucoup de choses à prouver.
Vous n’avez pas été épargné par les critiques depuis un an. Comment l’avez-vous vécu ?
C’est dur parce qu’on passe très rapidement des éloges aux critiques. Si les critiques font partie du jeu, certaines choses ne m’ont pas plu comme le fait que l’on parle de mon salaire. On a dit que je valais tant, que je touchais tant et qu’à l’arrivée, je ne faisais rien. C’est ma vie privée, ça ne regarde personne. En plus, la plupart du temps, les montants annoncés n’étaient pas les bons. Si je ne suis pas bon sur le terrain, il n’y a pas de souci, on peut me critiquer. Mais certaines petites choses font mal. Ça pique.
Ces difficultés ne peuvent que m’endurcir. J’en ressortirai plus fort
Vous attendiez-vous à vivre une année si difficile en signant à Lille ?
Je savais très bien que ça pouvait arriver car dans une carrière, il y a toujours des moments difficiles. Ce n’est jamais tout beau, tout rose. Je m’y attendais. Mais pas comme ça, pas de manière aussi brutale.
Avez-vous regretté votre choix d’avoir signé à Lille ?
Non. Jamais. Même si ça a été dur, j’ai passé une super année. J’ai joué la Ligue des champions. J’ai beaucoup appris. Surtout dans la tête. J’ai grandi un peu. J’ai gagné en maturité. Je sais que je suis quelqu’un de fort mentalement. Ces difficultés ne peuvent que m’endurcir. J’en ressortirai plus fort. En aucun cas je ne regrette quoi que ce soit.
Dans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ?
Je me sens super bien. Physiquement, je suis bien malgré une petite blessure au genou pendant la trêve. Sur le terrain, je me sens bien. Je suis très content d’être à Lille et j’espère qu’on va faire une très belle saison. Avec le coach (René Girard), ça se passe super bien, c’est un entraîneur qui est à l’écoute. J’ai envie de tout casser. Franchement, ce n’est que du bonheur. Il y a tout ici pour réussir. Ça ne dépend que de moi. Je pense être sur la bonne voie.
Et l’équipe de France dans tout ça ?
Bien sûr que j’y pense. Quand on y goûte une fois, on a envie d’y retourner tout le temps. Tout passera par mes performances. Si je suis bon sur le terrain, j’aurai plus de chance d’être rappelé par le sélectionneur. Ça fait partie de mes objectifs.
Vous n’avez plus été appelé en équipe de France depuis août 2012 alors que vous étiez devenu incontournable sous Laurent Blanc…
Ça m’a fait mal de ne plus y retourner. C’est difficile de ne plus être appelé du jour au lendemain. Ce n’est pas pour ça que je vais baisser la tête et arrêter de penser aux Bleus. Au contraire. Je vais continuer à travailler. Ce genre de choses vous endurcit encore plus. A moi de tout faire pour y retourner.
Avez-vous eu des nouvelles de Didier Deschamps ?
Non, aucune.
Sochaux manque d’ambitions
Avez-vous la Coupe du monde 2014 dans un coin de votre tête ?
Oui, bien sûr. Une Coupe du monde au Brésil, c’est quelque chose de magique. J’ai très envie d’y aller.
Un dernier mot sur le déplacement à Sochaux ce week-end…
C’est toujours particulier. Un peu moins par rapport à l’année dernière car c’était la première fois. C’est mon club formateur. Si je suis là aujourd’hui, c’est en grande partie grâce à lui. J’ai beaucoup appris là-bas. J’ai vécu de très bons moments là-bas. J’ai encore des amis dans le club. C’est toujours spécial. On va tout faire pour récupérer les points perdus à domicile contre Nice.
Que vous inspire leur place de lanterne rouge ?
Hormis une saison, où on a fini européen, la plupart du temps, c’est toujours la même chose avec le maintien comme seul objectif. C’est ce que je reprochais un peu au club. On peut le comprendre d’un point de vue financier car Sochaux reste un club formateur. Mais Sochaux manque d’ambitions. L’équipe pourrait faire partie de la première partie de tableau. C’est un peu dommage de démarrer une saison en jouant uniquement le maintien. Je l’ai connu, je sais ce que c’est. Là, je vois qu’ils sont derniers et ça ne me fait pas plaisir. Mais je ne m’en fais pas. Je connais très bien le coach et ils ne resteront pas derniers.
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