[Mr] Cinéma

Messagepar fernando » 30 Août 2013, 14:27

J'vais ptet bien me laisser tenter alors =)
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar John Holmes » 30 Août 2013, 14:30

très bons ces deux puddings
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Messagepar djezon-15 » 30 Août 2013, 17:15

c est bien vendu
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Messagepar fernando » 30 Août 2013, 17:24

T'as pas aimé Djez?
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Messagepar djezon-15 » 31 Août 2013, 21:52

pas encore vu, la je sors d une triplette daubesque, conjuring, flingueuse, jobs ( cest le moins pire)
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Messagepar fernando » 01 Sep 2013, 19:09

Hayao Miyazaki arrête le cinéma

Le maître du film d'animation japonais Hayao Miyazaki prendra sa retraite du cinéma après la Mostra de Venise où son dernier film, Kaze Tachinu ("Le vent se lève") est en compétition pour le Lion d'or, a annoncé dimanche 1er septembre à Venise le président des studios japonais Ghibli, Koji Hoshino. Le réalisateur de 72 ans, qui n'a pas pu se rendre au festival du film de Venise cette année, donnera une conférence de presse prochainement à Tokyo.

Kaze Tachinu, son onzième long-métrage, applaudi à l'issue de sa projection à la Mostra, est déjà sorti cet été au Japon, où "il rencontre un très grand succès" selon M. Hoshino. Il est programmé début 2014 en France. Il raconte la vie d'un ingénieur aéronautique qui a réellement existé, Jiro Horikoshi, concepteur de l'avion de chasse Mitsubishi "Zéro", porte-étendard de l'armée de l'air japonaise durant la seconde guerre mondiale.

Enfant, Jiro rêve de voler et de dessiner des avions inspirés de ceux du concepteur italien Italo Caproni. Ne pouvant devenir pilote en raison de sa myopie, il rejoint la division aéronautique d'une célèbre multinationale en 1927 et devient l'un des concepteurs d'avions les plus brillants du monde. Il tombe amoureux de Nahoko, une jeune femme dont il a croisé la destinée adolescent en lui sauvant la vie.

Prenant appui sur la vie de son héros, Hayao Miyazaki, qui s'est inspiré d'un roman de l'écrivain japonais Tatsuo Hori, déroule, en deux heures de temps, tout un pan de l'histoire de son pays : le tremblement de terre de Kanto en 1923, la grande dépression, l'épidémie de tuberculose et le basculement progressif du Japon dans le conflit de 39-45.

Couronné par un Lion d'or à Venise en 2005 pour l'ensemble de sa carrière, le père de Mon voisin Totoro, Princesse Mononoke, Le Voyage de Chihiro ou Ponyo a reçu de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film animé en 2003 pour Le Voyage de Chihiro, œuvre qui avait déjà été honorée deux ans plus tôt d'un Ours d'or à Berlin.

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Messagepar bijams » 02 Sep 2013, 11:31

fernando a écrit:Hayao Miyazaki arrête le cinéma

Le maître du film d'animation japonais Hayao Miyazaki prendra sa retraite du cinéma après la Mostra de Venise où son dernier film, Kaze Tachinu ("Le vent se lève") est en compétition pour le Lion d'or, a annoncé dimanche 1er septembre à Venise le président des studios japonais Ghibli, Koji Hoshino. Le réalisateur de 72 ans, qui n'a pas pu se rendre au festival du film de Venise cette année, donnera une conférence de presse prochainement à Tokyo.

Kaze Tachinu, son onzième long-métrage, applaudi à l'issue de sa projection à la Mostra, est déjà sorti cet été au Japon, où "il rencontre un très grand succès" selon M. Hoshino. Il est programmé début 2014 en France. Il raconte la vie d'un ingénieur aéronautique qui a réellement existé, Jiro Horikoshi, concepteur de l'avion de chasse Mitsubishi "Zéro", porte-étendard de l'armée de l'air japonaise durant la seconde guerre mondiale.

Enfant, Jiro rêve de voler et de dessiner des avions inspirés de ceux du concepteur italien Italo Caproni. Ne pouvant devenir pilote en raison de sa myopie, il rejoint la division aéronautique d'une célèbre multinationale en 1927 et devient l'un des concepteurs d'avions les plus brillants du monde. Il tombe amoureux de Nahoko, une jeune femme dont il a croisé la destinée adolescent en lui sauvant la vie.

Prenant appui sur la vie de son héros, Hayao Miyazaki, qui s'est inspiré d'un roman de l'écrivain japonais Tatsuo Hori, déroule, en deux heures de temps, tout un pan de l'histoire de son pays : le tremblement de terre de Kanto en 1923, la grande dépression, l'épidémie de tuberculose et le basculement progressif du Japon dans le conflit de 39-45.

Couronné par un Lion d'or à Venise en 2005 pour l'ensemble de sa carrière, le père de Mon voisin Totoro, Princesse Mononoke, Le Voyage de Chihiro ou Ponyo a reçu de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film animé en 2003 pour Le Voyage de Chihiro, œuvre qui avait déjà été honorée deux ans plus tôt d'un Ours d'or à Berlin.



Ah merde.
L'action Kleenex est en chute libre.
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Messagepar Dageek » 02 Sep 2013, 11:50

clair

ce porc de W qui s astiquait devant princesse Mononoké
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Messagepar John Holmes » 02 Sep 2013, 12:23

Hé ho les baltringues respectez le maître SVP

Johnou Chafoin
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Messagepar pepito_banzaï » 02 Sep 2013, 12:26

Putain le drame. Ca fait encore parti des rares films qui peuvent m'attirer au ciné.
La vie est une pute qui te veut pas que du bien.
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Messagepar fernando » 03 Sep 2013, 10:40

PALME D’HORREUR – Le tournage de « La Vie d’Adèle » raconté par ses actrices


On les avait peu entendues sur ce sujet, Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux, les deux actrices qui dans La Vie d'Adèle, d'Abdellatif Kechiche, vivent une histoire d'amour intense, récompensée par une Palme d'or à Cannes en mai.

Alors que la critique encensait le film, Le Monde, puis d'autres médias donnaient la parole aux techniciens qui ont travaillé sur le film, dressant le portrait d'un réalisateur colérique, voire tyrannique. Des "comportements proches du harcèlement moral", confiaient certains, qui évoquaient également un certain mépris, plus courant dans le cinéma, pour le code du travail.

On avait lu ceci dans Libération : "Sa caméra les a sublimées mais au prix de nombreuses crises de nerfs et d'un nombre incalculable de scènes de sexe très peu simulées qui ne figurent plus, pour la plupart, dans le montage actuel du film." Dans une brève interview accordée au Monde, Adèle Exarchopoulos (19 ans alors) racontait sa gêne durant le tournage, mais n'insistait pas sur d'éventuels mauvais souvenirs. Puis, les deux actrices et le réalisateurs avaient formé un trio uni lors de la remise de la Palme, avec un baiser symbolique.

Au site The Daily Beast, alors que La Vie d'Adèle est présentée au Festival américain de Telluride, les deux actrices décrivent dimanche un réalisateur qui fait la part belle à la "manipulation", un tournage "horrible", "sans fin", parfois violent. Elles se disent aussi admiratives de l'auteur, fières du film, qu'elles laissent manifestement derrière elles.

Adèle Exarchopoulos : "[Kechiche] nous a prévenues qu'il faudrait lui faire une confiance aveugle et donner énormément de nous-mêmes. (...) et j'ai dit 'oui, bien sûr !', parce que je suis jeune et que je n'ai pas beaucoup d'expérience. Mais une fois sur le tournage, j'ai compris qu'il voulait réellement que nous lui donnions tout. La plupart des gens n'osent même pas demander ce qu'il nous a demandé, et ils le font avec beaucoup de tact – tu es rassurée pendant les scènes de sexe, qui sont chorégraphiées."

Léa Seydoux : "Nous avons passé dix jours sur cette scène. Ça n'était pas 'OK, aujourd'hui on tourne la scène de sexe !' Ça a duré dix jours !"


Evoquant le "génie torturé" de Kechiche pour expliquer ses crises de rage, les deux actrices détaillent leur épuisement au fil de cinq mois et demi de tournage (contre deux initialement prévus, selon Seydoux), extrêmement physique :

Léa Seydoux : "[Kechiche] filmait avec trois caméras, donc la scène de bagarre se faisait en une prise continue d’une heure. Durant le tournage, j’ai dû pousser [Adèle] sur une porte en verre en criant : 'Maintenant va-t'en !' Elle s’est cognée à la porte et s’est coupée. Elle saignait de partout et pleurait avec son nez qui coulait. Kechiche a ensuite dit : 'Non, on n’a pas fini. On la refait.'"

Adèle Exarchopoulos : "Elle essayait de m'aider à faire cesser le saignement, et [Kechiche] criait : 'Non ! Embrasse-la ! Lèche sa morve !'"

Les deux actrices évoquent ainsi en négatif la méthode Kechiche, qui pousse loin l'improvisation et multiplie les prises (il "cherchait en permanence parce qu'il ne savait pas précisément ce qu'il voulait"), à la recherche d'un élan vital qu'il reconstruira au montage. La Palme et le succès critique adoucissent leurs souvenirs. Quant à travailler de nouveau avec le réalisateur, Seydoux répond "jamais", et sa comparse "ne pense pas" qu'on l'y reprendra.

"[Nous] avons découvert le film qu'à Cannes, à la projection destinée à la presse étrangère, confiait Léa Seydoux à Télérama. J'en suis sortie avec la certitude que Kechiche est un génie, sans que cela ne l'excuse pour autant : je ne pense pas que la réussite artistique justifie tout, ni que le film soit le résultat de la douleur infligée pendant sa fabrication. D'ailleurs, il n'a gardé que 5 % de ce que l'on avait tourné, et ses choix ont plutôt apaisé le récit, l'ont rendu moins violent."

Finalement, "je l'ai aidée, Adèle m'a aidée. C'est plus qu'une collaboration, on s'est sauvées mutuellement. Kechiche a eu l'intelligence de raconter cette histoire, mais le film, c'est quand même Adèle et moi", estime l'actrice.
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Messagepar GilbertSedman » 03 Sep 2013, 10:43

Violenter un ou une Seydoux, beaucoup en rêve
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar fernando » 03 Sep 2013, 10:58

Plutôt la nièce. Je veux bien me faire une scène de sexe de 10j avec elle.
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Messagepar SAV » 03 Sep 2013, 17:10

fernando a écrit:Plutôt la nièce. Je veux bien me faire une scène de sexe de 10j avec elle.

Petite-nièce, même (Jérôme Seydoux est son grand-père).
Sinon, si vous voulez vous faire une idée de la plastique de Léa sous toutes les coutures, je vous conseille "Grand Central".
Très bon film par ailleurs.

Edit : sinon Kechiche c'est un barge.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar Dageek » 03 Sep 2013, 17:17

+1
Un pote a une copine qui etait figurante sur une scene qui devait finir genre tout le monde a oilp ( g pas vu le fim ), et il poussait pour que ca finisse en sexe non simulé. Vu les histoires qu on a entendu sur le tournage, si c est vrai c est clairement un cramé.
Ou un visionnaire
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Messagepar fernando » 03 Sep 2013, 17:36

SAV a écrit:Sinon, si vous voulez vous faire une idée de la plastique de Léa sous toutes les coutures, je vous conseille "Grand Central".
Très bon film par ailleurs.


J'ai prévu d'aller le voir. Tu avances un argument supplémentaire de poids en faveur de ce flim.
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Messagepar fernando » 03 Sep 2013, 17:37

Dageek a écrit:+1
Un pote a une copine qui etait figurante sur une scene qui devait finir genre tout le monde a oilp ( g pas vu le fim ), et il poussait pour que ca finisse en sexe non simulé. Vu les histoires qu on a entendu sur le tournage, si c est vrai c est clairement un cramé.
Ou un visionnaire


C'est nouveau sa passion pour le sexe? Ses premiers films c'est pas trop ça comme ambiance. Au passage mon dieu que c'est chiant le graine et le mulet...
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Messagepar fernando » 04 Sep 2013, 17:36

Quelqu'un a vu "you're next"? Je me demande si c'est bien pour les amateurs du genre.
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Messagepar fernando » 05 Sep 2013, 09:22

kaptn_kvern a écrit:Vu hier soir, Le dernier pub avant la fin du monde (Simon Pegg et Nick Frost). Un flim de dingues! Bonnes barres du début à la fin, pour ceuss qui zont aimé Shaun of the dead et Hot Fuzz, y a pas à hésiter.


+1, je me suis bien fendu la gueule, toujours aussi bonne cette petite équipe!

Mention spéciale à la fin du film, où il se sont vraiment fait plaisir, c'est du grand n'importe quoi :-D
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Messagepar djezon-15 » 05 Sep 2013, 22:44

le pub demain, passe qu a lille, saoulant la prog a villeneuve!
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Messagepar bijams » 12 Sep 2013, 09:18

Vu le Majordome hier soir.

C'est genre Forest Gump le film, pas mal, belle rétrospective de l'histoire moderne américaine.
Par contre, y a Lenny Kravitz qui y joue, même s'il enlève son percing du nez, tu vois la trace.
Un majordome de Nixon avec un percing dans le nez, c'est crédible.
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Messagepar otto » 14 Sep 2013, 20:49

Vu hier "You are Next". Une belle bouze. Qu'est-ce qui faut pas faire pour toucher une belle paire de boobs...
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Messagepar djezon-15 » 14 Sep 2013, 21:14

j y echappe il y ets plus a l ugc..porutant slasher du mois dans le fantastique..
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Messagepar fernando » 28 Sep 2013, 12:51

On se sent moins seul grâce à cet article

Une pub huée dans les salles de cinéma : Shalimar ou le parfum de l'infamie

Difficile de l'éviter quand on va régulièrement au cinéma, la nouvelle pub du parfum Shalimar de Guerlain exaspère les cinéphiles...

La scène a lieu tous les jours, à chaque séance. La mannequin Natalia Vodianova s'éveille dans une lumière évanescente tandis que, dans la salle, les sièges et les dents commencent à grincer. Les spectateurs assidus qui se sont déjà maintes fois infligé le supplice redoutent le coup fourré dès que les lumières commencent à baisser, signe de l'emplacement préférentiel dédié au spot, juste avant le film.

Et puis le machin dure, étalant grossièrement son esthétique de grand magasin pour nous raconter... quoi ? Pas grand chose. 5 minutes 45 plus tard, le truc s'achève enfin et la salle soupire et parfois siffle. On entend quelques rires gras et des «Tout ça pour ça !» avant que, tant bien que mal, le public rassemble ses esprits pour ce qu'il était venu voir initialement : un film de cinéma.

On retrouve sans trop de mal sur twitter les violents cris du coeur de cinéphiles agacés :

La pub Shalimar donne vraiment envie d'acheter le parfum. Puis de vider le flacon dans le caniveau et de pisser dedans.

Combien d'abonnés UGC illimité mettent chaque jour fin à leur vie car ils ne pouvaient supporter une fois de plus la pub #SHALIMAR ???

Cette satanée pub Shalimar qui réussit quand même à te faire ressentir la mort pendant près de 5mn dès que tu vas au cinéma : 0/10

#lesgens qui ont contribué d’une quelconque manière à la pub Shalimar et sa diffusion au cinéma avant le film sont la lie de l’humanité.


Mais que peut bien avoir de si spécial ce « court-métrage », comme ont convenu de l'appeler les spécialistes, pour provoquer une telle exaspération ?

Sa longueur d'abord, qui énerve tout le monde mais aussi en particulier les distributeurs de films qui se refusent de tels excès pour les bandes-annonces, mais aussi son emplacement, préférentiel donc (c'est à dire avant le film, lumières éteintes), habituellement réservé aux bandes-annonces justement. On ne s'attardera pas sur ce que le clip a de sexiste ou de raciste (c'est aussi ça l'esprit Guerlain) tant c'est un lieu commun quand il s'agit de parler de publicité, car ce que révèle ce virulent rejet est plus profond.

Car dans l'érection spontanée d'un Taj Mahal en toc, c'est le cinéma qu'on assassine. En premier lieu, la publicité a engagé un budget de production de 4 millions d'euros, ce qui signifie que si vous la voyez en ce moment avant Miele, La Bataille de Solférino ou Alabama Monroe, le film pour lequel vous avez payé votre place aura coûté (beaucoup) moins cher. Evidemment la pub rapporte in fine de l'argent à la filière ou en tous cas aux salles qui la diffusent, mais le préjudice est plus insidieux. En effet, La Légende de Shalimar (oui pardon, le «court-métrage» a un titre) contribue encore un peu plus à démystifier le cinéma en nourrissant le cynisme du spectateur. Non, définitivement, les films de Terrence Malick ne ressemblent pas à des pubs pour le parfum, ce sont ces images creuses et sinistres qui s'évertuent, à coups de millions et de couchers de soleil, à ressembler à des films de Terrence Malick. Si enfin on hésite à pardonner à Hans Zimmer de s'être ainsi compromis en signant la musique, on le remerciera de n'avoir fait que céder les droits du morceau Chevaliers De Sangreal jusque là associé à la BO d'un des pires navets de sa filmographie (Da Vinci Code), évitant ainsi de souiller le souvenir de La Ligne rouge, Thelma et Louise ou Inception.

Et avec tout ça, mine de rien, l'envie d'aller au cinéma s'estompe un peu, comme les effluves imaginaires, pornos et même pas chics, de ce parfum hideux.

J'ai prévu d'aller au cinéma mais j'ai peur de me farcir la pub Shalimar...

J'étais au cinéma, j'attendais mon film et aucune pub Shalimar n'était projetée sur l'écran. Et puis je me suis réveillé... #Beurk #Enough

Pourquoi les gens telechargent? Pour ne pas à avoir subir les pubs Dior et Shalimar au cinéma.


Si par pur masochisme vous souhaitiez vous l'imposer, la «Légende» est aussi à portée de clic :

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Messagepar Dageek » 28 Sep 2013, 12:54

Un ramassis de clichés pourris, des plans archi déja vus dans des pubs de parfum. Que c est pompeux
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Messagepar fernando » 28 Sep 2013, 12:58

De la merde en barres, c'est prétentieux et interminable.
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Messagepar kaptn_kvern » 28 Sep 2013, 13:27

Nan mais attendez quoi, vous êtes pas sérieux les gars. Pour une fois que les mecs ont oser casser les codes de la pub traditionnelle, ouvrir de nouveaux horizons quoi. La pub ne sera plus jamais la même. Il y a eu un "avant", il y aura un "après" Shalimar. Ils ont su dé-structurer la temporalité et le mouvement dans ce spot qui n'est pas qu'une pub pour du parfum. Ca va au-delà de ça. Il donne une perspective nouvelle dans la façon de concevoir et de vivre la pub. Il ne s'agit plus seulement de vendre un produit, mais d'emmener le spectateur dans un voyage sensorielle au lyrisme envoûtant. Le spectateur devient acteur d'une aventure dont il ne sortira pas indemne. Rien que pour ça, je dis : Merci Shalimar! Merci Guerlain! Et vive la France!

(aussi bien je m'en branle, pour ce que je vais au cinéma, ça va pas me faire un deuxième trou de balle).
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
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kaptn_kvern
 
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Messagepar ursulet » 28 Sep 2013, 13:35

Certes mais ca manque quand meme de nichons...
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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Messagepar kaptn_kvern » 28 Sep 2013, 13:39

S'pafo.
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Messagepar ursulet » 28 Sep 2013, 13:40

Ah je le savais, bien fait de pas regarder...
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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