à part l'échine du diable, effectivement tout est à chier dans son cinoche .. et même là, les effets spéciaux .. déjà mouef, ça m'fais pas bander de voir des robots se battre sous la pluie, et puis brin, tu t'cognes 1h30 de dialogues désespérants de bêtises, pour 3 mandales de kaiju
edith : putain j'suis en mode orograf et conjugézon du vandreudi moi
[Mr] Cinéma
par fernando » 11 Oct 2013, 10:53
Je suis d'accord ce film serait mieux sans les acteurs et les dialogues ^^
Sinon de Del Toro hormis l'échine du Diable, j'ai vraiment bien aimé le labyrinthe de Pan, et je kiffe bien les 2 Hellboy. Je trouve ça plus réjouissant que la masse des films de super-héros produits à la chaîne par Hollywood. Le personnage est bien fun, et y'a un bel imaginaire porté à l'écran (surtout dans le 2).
Sinon de Del Toro hormis l'échine du Diable, j'ai vraiment bien aimé le labyrinthe de Pan, et je kiffe bien les 2 Hellboy. Je trouve ça plus réjouissant que la masse des films de super-héros produits à la chaîne par Hollywood. Le personnage est bien fun, et y'a un bel imaginaire porté à l'écran (surtout dans le 2).
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par John Holmes » 11 Oct 2013, 11:22
bien aimé moi Pacific Rim, ça vaut un Kechiche
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par kaptn_kvern » 11 Oct 2013, 20:20
loul stik'! "He fucking left the baaaaaaaaaand"!
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par laurentlille1 » 12 Oct 2013, 23:22
+1 pour Prisoners, longtemps que j'avais pas ressenti un tel suspense devant un film. La dernière demi-heure est incroyable de tension.
par laurentlille1 » 13 Oct 2013, 13:35
Je t'ai devancé, je me suis trouvé un lien hier pour le regarder.
Par contre, après avoir vu le film, faut qu'ils arrêtent de fumer des joints en matant des films intimistes français les "journalistes" ciné du Monde:
"Prisoners": la torture en spectacle
Par Isabelle Regnier
Vous souvenez-vous du Silence des Agneaux, ce thriller poisseux qui opposait le démoniaque Hannibal le cannibale à la jeune Clarisse agent du FBI dans une enquête qui ravivait chez elle tout un tissu de traumas refoulés? Prisoners reprend ce canevas, en y insérant en plus une trame socio-politique. Signé Denis Villeneuve (le réalisateur d'Incendies), ce film, qui a triomphé à Toronto et paraît bien placé dans la course pour les Oscars, commence avec l'enlèvement de deux fillettes, une blanche et une noire – le détail a son importance – alors que les parents sont en train de fêter ensemble Thanksgiving.
Déjà, les pionniers et les Indiens célébraient cette fête ensemble, raconte Keller Doller (Hugh Jackman), le père de la petite Blanche, quelques minutes avant de comprendre que les enfants ont disparu, comme s'il voulait souligner la différence entre sa couleur de peau et celle de ses amis, le gouffre historique qui continue de les séparer. Malgré la paix apparente de cet après midi de fête, il y a de l'agressivité dans l'air. Un malaise plane, qui va exploser quand les parents constateront la disparition des petites filles.
SIMPLE D'ESPRIT
On appelle la police, les voisins organisent une battue et, le soir même, un simple d'esprit d'allure inquiétante (Paul Dano, épatant dans le rôle) est arrêté, placé en garde à vue, interrogé pendant 48 heures et finalement relâché faute d'éléments probants. Convaincu qu'il est le coupable, Keller Doller décide de l'enlever, de le séquestrer et de le torturer jusqu'à ce qu'il parle.
Prisoners est un film sur l'ère d'Obama. A travers ce père de famille militariste, nationaliste, obsédé par ce qu'il pense être son devoir de protéger les siens des agressions extérieures, le film pointe du doigt les travers d'un pays paralysé par la paranoïa, arcbouté sur les valeurs de sécurité (physique autant qu'économique), malade de sa soif de bouc-émissaire. L'idée se défend. La manière de la mettre en scène moins.
Pour faire passer son message, le réalisateur canadien ne fait pas dans la demi-mesure. Il demande à son personnage d'être à la fois un citoyen aimé et respecté de tous (puisqu'il représente l'Amérique), et un monstre fasciste à tendance psychopathe (puisque c'est ainsi que Villeneuve voit les Etats-Unis d'aujourd'hui). Cette littéralité contradictoire dans l'usage de la métaphore trahit à la fois un manque de respect pour les personnages (qui sont ces Noirs qui acceptent sans tiquer des invités qui leurs suggèrent qu'ils sont ennemis?) et pour le spectateur.
Le reste du film est à l'avenant. A l'enquête et au discours politique, Denis Villeneuve a cru bon ajouter quelques couches de trauma. Aussi bien chez Doller, dont on comprend que le père s'est suicidé quand il était jeune (ce qui explique son obsession pour la protection de sa famille et le fait qu'il soit propriétaire d'une maison abandonnée où il va torturer à loisir le pauvre Paul Dano), que chez l'inspecteur du FBI (Jake Gyllenehaal) qui fut, pendant ses années passées en pensionnat, victime de pédophilie (détail qui ne sert à rien d'autre qu'à ajouter une note de sordide au film).
Villeneuve accumule les niveaux de récits comme un mauvais pâtisser qui ajouterait ad nauseam des ingrédients à son gâteau en espérant faire oublier son absence de talent. Au lieu de susciter ainsi l'adhésion du spectateur par une mise en scène adéquate, un regard porté sur ses personnages, une attention aux détails, il impose son histoire à grand renfort de raccourcis (clichés du genre, dialogues explicatifs...). Car on le comprend, ce qui l'intéresse vraiment c'est l'argument choc de son film: la torture, que, sous prétexte de dénoncer, il se délecte à filmer. Tout cela est aussi tendancieux que peu ragoûtant.
Tain, l'addition de conneries et d'approximations, c'est à se demander si la conne qui a écrit ça a vraiment vu le film...
Par contre, après avoir vu le film, faut qu'ils arrêtent de fumer des joints en matant des films intimistes français les "journalistes" ciné du Monde:
"Prisoners": la torture en spectacle
Par Isabelle Regnier
Vous souvenez-vous du Silence des Agneaux, ce thriller poisseux qui opposait le démoniaque Hannibal le cannibale à la jeune Clarisse agent du FBI dans une enquête qui ravivait chez elle tout un tissu de traumas refoulés? Prisoners reprend ce canevas, en y insérant en plus une trame socio-politique. Signé Denis Villeneuve (le réalisateur d'Incendies), ce film, qui a triomphé à Toronto et paraît bien placé dans la course pour les Oscars, commence avec l'enlèvement de deux fillettes, une blanche et une noire – le détail a son importance – alors que les parents sont en train de fêter ensemble Thanksgiving.
Déjà, les pionniers et les Indiens célébraient cette fête ensemble, raconte Keller Doller (Hugh Jackman), le père de la petite Blanche, quelques minutes avant de comprendre que les enfants ont disparu, comme s'il voulait souligner la différence entre sa couleur de peau et celle de ses amis, le gouffre historique qui continue de les séparer. Malgré la paix apparente de cet après midi de fête, il y a de l'agressivité dans l'air. Un malaise plane, qui va exploser quand les parents constateront la disparition des petites filles.
SIMPLE D'ESPRIT
On appelle la police, les voisins organisent une battue et, le soir même, un simple d'esprit d'allure inquiétante (Paul Dano, épatant dans le rôle) est arrêté, placé en garde à vue, interrogé pendant 48 heures et finalement relâché faute d'éléments probants. Convaincu qu'il est le coupable, Keller Doller décide de l'enlever, de le séquestrer et de le torturer jusqu'à ce qu'il parle.
Prisoners est un film sur l'ère d'Obama. A travers ce père de famille militariste, nationaliste, obsédé par ce qu'il pense être son devoir de protéger les siens des agressions extérieures, le film pointe du doigt les travers d'un pays paralysé par la paranoïa, arcbouté sur les valeurs de sécurité (physique autant qu'économique), malade de sa soif de bouc-émissaire. L'idée se défend. La manière de la mettre en scène moins.
Pour faire passer son message, le réalisateur canadien ne fait pas dans la demi-mesure. Il demande à son personnage d'être à la fois un citoyen aimé et respecté de tous (puisqu'il représente l'Amérique), et un monstre fasciste à tendance psychopathe (puisque c'est ainsi que Villeneuve voit les Etats-Unis d'aujourd'hui). Cette littéralité contradictoire dans l'usage de la métaphore trahit à la fois un manque de respect pour les personnages (qui sont ces Noirs qui acceptent sans tiquer des invités qui leurs suggèrent qu'ils sont ennemis?) et pour le spectateur.
Le reste du film est à l'avenant. A l'enquête et au discours politique, Denis Villeneuve a cru bon ajouter quelques couches de trauma. Aussi bien chez Doller, dont on comprend que le père s'est suicidé quand il était jeune (ce qui explique son obsession pour la protection de sa famille et le fait qu'il soit propriétaire d'une maison abandonnée où il va torturer à loisir le pauvre Paul Dano), que chez l'inspecteur du FBI (Jake Gyllenehaal) qui fut, pendant ses années passées en pensionnat, victime de pédophilie (détail qui ne sert à rien d'autre qu'à ajouter une note de sordide au film).
Villeneuve accumule les niveaux de récits comme un mauvais pâtisser qui ajouterait ad nauseam des ingrédients à son gâteau en espérant faire oublier son absence de talent. Au lieu de susciter ainsi l'adhésion du spectateur par une mise en scène adéquate, un regard porté sur ses personnages, une attention aux détails, il impose son histoire à grand renfort de raccourcis (clichés du genre, dialogues explicatifs...). Car on le comprend, ce qui l'intéresse vraiment c'est l'argument choc de son film: la torture, que, sous prétexte de dénoncer, il se délecte à filmer. Tout cela est aussi tendancieux que peu ragoûtant.
Tain, l'addition de conneries et d'approximations, c'est à se demander si la conne qui a écrit ça a vraiment vu le film...
par fernando » 13 Oct 2013, 13:55
Je lirai ça après voir vu le flim.
Sinon je constate qu'ils sont les seuls à ne pas avoir aimé ces balochards : http://www.allocine.fr/film/fichefilm-180887/critiques/presse/
Sinon je constate qu'ils sont les seuls à ne pas avoir aimé ces balochards : http://www.allocine.fr/film/fichefilm-180887/critiques/presse/
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 13 Oct 2013, 14:19
ursulet a écrit:La même qui va se tripoter devant la vie d'Adèle.
Exactement. Ils devraient "sectoriser" un peu les critiques cinéma, c'est ridicule d'envoyer quelqu'un chroniquer un film accessible au grand public si sa grille de lecture repose sur les références à la nouvelle vague et à Bergman.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par boban » 13 Oct 2013, 16:18
King Kong a écrit:boban a écrit:Me mate Argo ce soir...
Alors?
Je suis une merde.. Me suis endormi au bout d'une heure... Ces putains d'horaires du matin sont arrangeants mais le soir je ne tiens devant rien...vais le télécharger sur canal à la demande car c'était vraiment pas mal
par laurentlille1 » 13 Oct 2013, 18:44
djezon-15 a écrit:viens de voir prisonners, bon film, par contre les scènes de tortures la critique au dessus les a vues où?
Le pire c'est le délire sur le racisme qu'elle se tape.
fernando a écrit:laurentlille1 a écrit:Je t'ai devancé, je me suis trouvé un lien hier pour le regarder.
Et t'as bien aimé?
Pas encore pu le regarder, je te dirai.
par GilbertSedman » 14 Oct 2013, 09:43
hummmm cynthia et facebook c'était couru d'avance
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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