fernando a écrit:La national/socialisme n'est que paix et amour. Ce sont juste des incompris, peu aidés il est vrai par quelques malentendus historiques.
* fixed
[01T] Glorification de la région
par ghostrida! » 19 Mars 2014, 21:52
King Kong a écrit:ghostrida! a écrit:Y'a un truc que je pige pas avec les identitaires : pourquoi la défense de la culture d'un territoire doit-elle passer notamment par la haine de l'autre ? C'est pas compatible ?
Merci King Kong de vouloir bien éclairer ma lanterne...
La haine..?? Quand t'es identifié faf/natio/IDENTITAIRE, tu as 9 chances sur 10 d'être l'agressé que l'agresseur et le 1 fois sur 10 fais les gros titres et donc tu crois que la haine vient de ce camp!
Tu réponds pas à ma question, King Kong...
Pour ce qui est des agressions, arrêtez de jouer les pleureuses. Vous êtes dans le game. Vous êtes des mecs virils, évoluant en meute la plupart du temps... Objectivement vous risquez pas grand chose.
Pourquoi natios et identitaires sont comme culs et chemises ? C'est complètement paradoxal. Trop de "région" tue la Nation.
par King Kong » 19 Mars 2014, 22:10
fernando a écrit:La nationalisme n'est que paix et amour. Ce sont juste des incompris, peu aidés il est vrai par quelques malentendus historiques.
malentendu et mensonges bolcheviks!
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par King Kong » 19 Mars 2014, 22:27
ghostrida, tu vis en 1980? tu croises souvent des bandes de fafs dans la rues, franchement? C'est un mythe dépassé
les natios et les identitaires sont des fois amis mais souvent ennemies,mais comme je ne milite nulle part (et ne vote même pas fn) je peux pas en dire plus!
m'enfin c'est bien les beaux discours mais si un jour apres une grosse déprogression sociale on vous propose un appartement aux 3 ponts, aux piles, à l'alma ou autres quartiers ,vous acceptez? la verité si je mens?
Quel société multiculturelle vie dans la paix et l'amour, nando?
les natios et les identitaires sont des fois amis mais souvent ennemies,mais comme je ne milite nulle part (et ne vote même pas fn) je peux pas en dire plus!
m'enfin c'est bien les beaux discours mais si un jour apres une grosse déprogression sociale on vous propose un appartement aux 3 ponts, aux piles, à l'alma ou autres quartiers ,vous acceptez? la verité si je mens?
Quel société multiculturelle vie dans la paix et l'amour, nando?
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par ghostrida! » 19 Mars 2014, 23:09
King Kong a écrit:ghostrida, tu vis en 1980? tu croises souvent des bandes de fafs dans la rues, franchement? C'est un mythe dépassé
les natios et les identitaires sont des fois amis mais souvent ennemies,mais comme je ne milite nulle part (et ne vote même pas fn) je peux pas en dire plus!
m'enfin c'est bien les beaux discours mais si un jour apres une grosse déprogression sociale on vous propose un appartement aux 3 ponts, aux piles, à l'alma ou autres quartiers ,vous acceptez? la verité si je mens?
Quel société multiculturelle vie dans la paix et l'amour, nando?
Tu ne réponds toujours pas à ma question initiale, gros malin.
Peux-tu me filer une stat' sur les nombreuses agressions dont vous auriez fait l'objet ?
Nan parce que personnellement, je lis beaucoup plus "un étudiant agressé par un groupe du GUD" que "un nazillon agressé par une bande de gauchistes"...
par King Kong » 20 Mars 2014, 10:43
http://croah.fr/videos/1903-discours-ah ... semitisme/
les juifs? aucune influence..
les juifs? aucune influence..
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par King Kong » 20 Mars 2014, 10:47
http://www.lunion.presse.fr/region/il-a ... b24n318071
Racisme anti blanc? complot de l'extreme droite bien sur..
Racisme anti blanc? complot de l'extreme droite bien sur..
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par bitadmin » 01 Avr 2014, 10:53
Des nouvelles de Riddick ????
Une opération antidrogue menée par la gendarmerie a mobilisé 170 militaires aux aurores, ce matin à Ostricourt. Les gendarmes ciblaient un réseau en particulier et ont interpellé dix personnes qui ont été placées en garde à vue. Des produits stupéfiants et de l’argent liquide ont également été saisis.
C’est une vaste opération coordonnée regroupant des gendarmes de la compagnie de Douai, du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie (PSPG), de l’EDSR, de la section de recherche de Lille, du groupement d’intervention régional, le tout appuyé par un escadron de gendarmes mobiles de Noyon et l’hélicoptère d’Amiens. L’objectif étant de mener une opération simultanée pour créer l’effet de surprise et ne permettre aucune fuite. Les objectifs semblent avoir été atteints. Dix personnes ont été interpellées et placées en garde à vue. S’agissant d’une affaire de stupéfiants, celle-ci peut durer jusqu’à 96 heures.
Une opération antidrogue menée par la gendarmerie a mobilisé 170 militaires aux aurores, ce matin à Ostricourt. Les gendarmes ciblaient un réseau en particulier et ont interpellé dix personnes qui ont été placées en garde à vue. Des produits stupéfiants et de l’argent liquide ont également été saisis.
C’est une vaste opération coordonnée regroupant des gendarmes de la compagnie de Douai, du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie (PSPG), de l’EDSR, de la section de recherche de Lille, du groupement d’intervention régional, le tout appuyé par un escadron de gendarmes mobiles de Noyon et l’hélicoptère d’Amiens. L’objectif étant de mener une opération simultanée pour créer l’effet de surprise et ne permettre aucune fuite. Les objectifs semblent avoir été atteints. Dix personnes ont été interpellées et placées en garde à vue. S’agissant d’une affaire de stupéfiants, celle-ci peut durer jusqu’à 96 heures.
par n.iiicolas » 04 Avr 2014, 20:53
Au départ, l’histoire était heureuse. Après de nombreuses années loin de sa sœur, placée en famille d’accueil quand elle était jeune et coupée de sa famille, C. V., alors âgé de 28 ans, reprenait contact avec elle sous l’impulsion de son beau-frère. Habitant Charleville-Mézières avec sa copine, il va même jusqu’à se faire héberger chez une autre sœur, à Roubaix, quand ses relations de couple deviennent compliquées, au printemps 2011. Peu à peu, les deux sœurs apprennent à connaître leur frangin, et lui découvre un pan de famille qu’il ne connaissait pas.
C’est là, à Roubaix, que C. V. fait connaissance avec ses deux nièces, Carolina (*) et Karine (*), respectivement 12 ans et 14 ans en juillet 2011. Là, qu’au moins un soir, après avoir visionné un film avec la première dans sa chambre, l’homme va franchir les limites et transformer l’histoire en cauchemar.
Pour Carolina, « c’est son tonton ». Mais lui voit en elle une femme, une copine, malgré ses 12 ans. La retenant à l’intérieur de sa chambre, C. V. va peu à peu laisser ses mains s’égarer sur elle. « Elle a pas refusé quand je l’ai fait, quand j’ai mis ma main. Elle aurait pu crier », se défend l’homme qualifié de rustre, immature et intellectuellement limité par les analyses psychiatriques devant un tribunal correctionnel atterré. Des attouchements qui se transforment en viol. « J’aime pas », lâche Carolina pour l’arrêter, mais l’homme ne se stoppe pas... Un geste que C. V. finit tout de même par comprendre. « Je regrette car c’est moi l’adulte. ». Et comme si de rien n’était, oncle et nièce se quitte ainsi.
« Pour que je ne dise rien, il m’achetait des choses »
De honte, de peur qu’une famille qui venait juste de se retrouver se déchire, Carolina garde pour elle ces attouchements. Forcée par la générosité d’un oncle qui se comporte avec elle comme avec une copine. « Pour que je ne dise rien, il m’achetait des choses », souffle Carolina, en parlant notamment d’un téléphone portable reçu en cadeau d’anniversaire. Un cadeau « normal, car je fais toujours des cadeaux à mes nièces », d’après le prévenu.
Mais des cadeaux qui n’empêchent par C. V. de déraper à nouveau, quelques mois plus tard, en novembre, au domicile de la mère de Carolina et Karine, à Douai. Cette fois, c’est Karine qui subit l’envie de son oncle. De façon fugace néanmoins. Cela n’ira pas plus loin et le prévenu nie l’avoir fait exprès. « Je reconnais les faits pour Carolina, mais pour Karine, j’ai peut-être touché en la chatouillant, mais je ne m’en rappelle pas. » Pourtant la fille de 14 ans l’assure : « Il m’a dit qu’il faisait ça car il était en manque de sa copine. » Son but, à chaque fois, l’homme ne se l’explique pas.
C. V. est condamné à trois ans d’emprisonnement dont deux avec sursis et mise à l’épreuve. Il devra également dédommager les victimes à hauteur de 5 000 € pour Carolina, 1 000 € pour Karine, ainsi que 1 000 € pour leurs parents. De plus, l’homme sera automatiquement inscrit au FIJAISV (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes).viol
C’est là, à Roubaix, que C. V. fait connaissance avec ses deux nièces, Carolina (*) et Karine (*), respectivement 12 ans et 14 ans en juillet 2011. Là, qu’au moins un soir, après avoir visionné un film avec la première dans sa chambre, l’homme va franchir les limites et transformer l’histoire en cauchemar.
Pour Carolina, « c’est son tonton ». Mais lui voit en elle une femme, une copine, malgré ses 12 ans. La retenant à l’intérieur de sa chambre, C. V. va peu à peu laisser ses mains s’égarer sur elle. « Elle a pas refusé quand je l’ai fait, quand j’ai mis ma main. Elle aurait pu crier », se défend l’homme qualifié de rustre, immature et intellectuellement limité par les analyses psychiatriques devant un tribunal correctionnel atterré. Des attouchements qui se transforment en viol. « J’aime pas », lâche Carolina pour l’arrêter, mais l’homme ne se stoppe pas... Un geste que C. V. finit tout de même par comprendre. « Je regrette car c’est moi l’adulte. ». Et comme si de rien n’était, oncle et nièce se quitte ainsi.
« Pour que je ne dise rien, il m’achetait des choses »
De honte, de peur qu’une famille qui venait juste de se retrouver se déchire, Carolina garde pour elle ces attouchements. Forcée par la générosité d’un oncle qui se comporte avec elle comme avec une copine. « Pour que je ne dise rien, il m’achetait des choses », souffle Carolina, en parlant notamment d’un téléphone portable reçu en cadeau d’anniversaire. Un cadeau « normal, car je fais toujours des cadeaux à mes nièces », d’après le prévenu.
Mais des cadeaux qui n’empêchent par C. V. de déraper à nouveau, quelques mois plus tard, en novembre, au domicile de la mère de Carolina et Karine, à Douai. Cette fois, c’est Karine qui subit l’envie de son oncle. De façon fugace néanmoins. Cela n’ira pas plus loin et le prévenu nie l’avoir fait exprès. « Je reconnais les faits pour Carolina, mais pour Karine, j’ai peut-être touché en la chatouillant, mais je ne m’en rappelle pas. » Pourtant la fille de 14 ans l’assure : « Il m’a dit qu’il faisait ça car il était en manque de sa copine. » Son but, à chaque fois, l’homme ne se l’explique pas.
C. V. est condamné à trois ans d’emprisonnement dont deux avec sursis et mise à l’épreuve. Il devra également dédommager les victimes à hauteur de 5 000 € pour Carolina, 1 000 € pour Karine, ainsi que 1 000 € pour leurs parents. De plus, l’homme sera automatiquement inscrit au FIJAISV (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes).viol
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
par SAV » 26 Avr 2014, 21:06
Mouscron : il oblige une dame de 64 ans à lui faire une fellation : trois ans ferme
Nord Eclair Belgique.
Il ne se souvenait plus de l’agression sexuelle commise le 11 janvier dernier dans un appartement de la rue du Couvent mais pour le tribunal correctionnel, il ne fait aucun doute que Nordine a forcé une sexagénaire à lui pratiquer une fellation. Il est condamné à trois ans de prison ferme.
Détenu à la prison de Tournai depuis le 12 janvier 2014, Nordine Affakir (33 ans) y restera trois ans de plus, sans compter les sursis qui devraient tomber les uns après les autres après la condamnation prononcée jeudi par le tribunal correctionnel de Tournai. Car l’homme vient de rajouter une dix-huitième ligne à son casier judiciaire. Jusqu’ici, on pouvait qualifier Nordine de délinquants car ses condamnations concernaient des vols (ndlr : il a écopé de trois ans de prison devant la Cour d’appel de Mons en 2008 pour un vol avec violence) mais après cette condamnation pour viol, il vient d’entrer dans la cour des grands.
Ce jour-là, vers 15h, une dame âgée de 64 ans, habituée à fréquenter le Mezcal Pub, un café situé à l’angle formé par les rues de la Marlière et du Couvent, est arrivée dans le café en état de choc, selon des témoins. Selon deux d’entre eux, elle était stressée et elle pleurait beaucoup. « Elle a déclaré qu’un homme était entré par effraction chez elle et qu’il a introduit de force son pénis dans sa bouche », avait expliqué le procureur du roi. L’homme avait ensuite pris son téléphone portable, pour l’empêcher d’appeler les secours.
Quelques minutes plus tard, le suspect était interpellé par la police en possession du téléphone portable. Ivre, l’homme ne se souvenait plus de rien. Lors de l’audience du 10 avril dernier, il est resté sur les mêmes positions. Pour le tribunal, il ne fait aucun doute que cette amnésie est opportune car celui qui est entré dans l’appartement devait avoir les idées claires pour mettre en place son stratagème. Outre le casier judiciaire du gaillard, le tribunal a aussi pris en compte son profil dressé par les experts en psychologie : personnalité borderline, caractère antisocial, etc.
Le doute émis par la défense sur la prévention de viol n’a pas convaincu le tribunal. Nordine passera trois ans en prison.
Nord Eclair Belgique.
Il ne se souvenait plus de l’agression sexuelle commise le 11 janvier dernier dans un appartement de la rue du Couvent mais pour le tribunal correctionnel, il ne fait aucun doute que Nordine a forcé une sexagénaire à lui pratiquer une fellation. Il est condamné à trois ans de prison ferme.
Détenu à la prison de Tournai depuis le 12 janvier 2014, Nordine Affakir (33 ans) y restera trois ans de plus, sans compter les sursis qui devraient tomber les uns après les autres après la condamnation prononcée jeudi par le tribunal correctionnel de Tournai. Car l’homme vient de rajouter une dix-huitième ligne à son casier judiciaire. Jusqu’ici, on pouvait qualifier Nordine de délinquants car ses condamnations concernaient des vols (ndlr : il a écopé de trois ans de prison devant la Cour d’appel de Mons en 2008 pour un vol avec violence) mais après cette condamnation pour viol, il vient d’entrer dans la cour des grands.
Ce jour-là, vers 15h, une dame âgée de 64 ans, habituée à fréquenter le Mezcal Pub, un café situé à l’angle formé par les rues de la Marlière et du Couvent, est arrivée dans le café en état de choc, selon des témoins. Selon deux d’entre eux, elle était stressée et elle pleurait beaucoup. « Elle a déclaré qu’un homme était entré par effraction chez elle et qu’il a introduit de force son pénis dans sa bouche », avait expliqué le procureur du roi. L’homme avait ensuite pris son téléphone portable, pour l’empêcher d’appeler les secours.
Quelques minutes plus tard, le suspect était interpellé par la police en possession du téléphone portable. Ivre, l’homme ne se souvenait plus de rien. Lors de l’audience du 10 avril dernier, il est resté sur les mêmes positions. Pour le tribunal, il ne fait aucun doute que cette amnésie est opportune car celui qui est entré dans l’appartement devait avoir les idées claires pour mettre en place son stratagème. Outre le casier judiciaire du gaillard, le tribunal a aussi pris en compte son profil dressé par les experts en psychologie : personnalité borderline, caractère antisocial, etc.
Le doute émis par la défense sur la prévention de viol n’a pas convaincu le tribunal. Nordine passera trois ans en prison.
Brigitte Macron 2027.
par SAV » 04 Mai 2014, 13:32
Philippe, frère de Dany Boon, chef pizzaïolo depuis quinze jours à Houplines
Du côté d’Armentières, la famille Boon n’en finit pas de faire parler d’elle. Avec un nom déjà bien connu du monde politique mais surtout du spectacle, Philippe Hamidou, petit frère de Dany Boon, se distingue en ouvrant... un camion à pizza. Rencontre.
Phillippe Hamidou se lance dans la restauration, un domaine auquel il a déjà touché, il y a des années. Il est depuis deux semaines le nouveau gérant de la Bona Pizzz, à Houplines.
Parti à l’étranger, l’ancien chef cuisto a cédé le fameux camion pizza à l’Armentiérois, qui n’a pas hésité à reprendre le projet : « Le food truck est à la mode, l’occasion s’est présentée et puis la restauration me manquait. »
Dans la famille Hamidou, Philippe est discret. Le petit frère de Dany Boon a un parcours plutôt atypique. Après un début de carrière professionnelle comme pâtissier-boulanger, il a rapidement basculé vers le monde du spectacle, avec le succès de son frangin.
Avec son frère pour le prochain one man show
Les deux frères travaillent ensemble, l’un sur scène, l’autre en régie, mais lorsqu’on lui demande si la carrière d’acteur le tente, il répond sans hésitation, dans un sourire : « La scène ne m’a jamais tenté, moi je suis très bien en régie, derrière dans l’ombre. »
Du fait de l’installation de son artiste de frère à Hollywood, Philippe Hamidou a décidé de se créer lui aussi une petite parenthèse. Mais la collaboration entre les deux hommes est loin d’être terminée. Philippe sait déjà que d’ici quelques temps, « dans deux-trois ans », il le rejoindra en vue de préparer son prochain one man show.
En attendant, l’Armentiérois entend s’investir dans son nouveau métier. Il sait, aussi, que son nom, devrait en attirer plus d’un. « C’est vrai qu’il y aura sûrement des curieux », s’amuse le nouveau pizzaïolo.
VDN
Du côté d’Armentières, la famille Boon n’en finit pas de faire parler d’elle. Avec un nom déjà bien connu du monde politique mais surtout du spectacle, Philippe Hamidou, petit frère de Dany Boon, se distingue en ouvrant... un camion à pizza. Rencontre.
Phillippe Hamidou se lance dans la restauration, un domaine auquel il a déjà touché, il y a des années. Il est depuis deux semaines le nouveau gérant de la Bona Pizzz, à Houplines.
Parti à l’étranger, l’ancien chef cuisto a cédé le fameux camion pizza à l’Armentiérois, qui n’a pas hésité à reprendre le projet : « Le food truck est à la mode, l’occasion s’est présentée et puis la restauration me manquait. »
Dans la famille Hamidou, Philippe est discret. Le petit frère de Dany Boon a un parcours plutôt atypique. Après un début de carrière professionnelle comme pâtissier-boulanger, il a rapidement basculé vers le monde du spectacle, avec le succès de son frangin.
Avec son frère pour le prochain one man show
Les deux frères travaillent ensemble, l’un sur scène, l’autre en régie, mais lorsqu’on lui demande si la carrière d’acteur le tente, il répond sans hésitation, dans un sourire : « La scène ne m’a jamais tenté, moi je suis très bien en régie, derrière dans l’ombre. »
Du fait de l’installation de son artiste de frère à Hollywood, Philippe Hamidou a décidé de se créer lui aussi une petite parenthèse. Mais la collaboration entre les deux hommes est loin d’être terminée. Philippe sait déjà que d’ici quelques temps, « dans deux-trois ans », il le rejoindra en vue de préparer son prochain one man show.
En attendant, l’Armentiérois entend s’investir dans son nouveau métier. Il sait, aussi, que son nom, devrait en attirer plus d’un. « C’est vrai qu’il y aura sûrement des curieux », s’amuse le nouveau pizzaïolo.
VDN
Brigitte Macron 2027.
par Nougets » 07 Mai 2014, 14:27
Depuis le 1er mai, Lilébo est en charge du nettoyage de cinq quartiers de Lille. Et à compter de lundi, cette filiale d’Esterra y assure aussi la collecte des déchets, dont les dates ont varié pour de nombreuses zones lilloises. Ce mardi matin, le résultat global était quelque peu mitigé.
On pourrait appeler cela la visite guidée par les détritus. Ou la quête du Petit Poucet. Dans le conte pour enfants, le petit garçon sème des cailloux blancs pour retrouver son chemin. Ce mardi matin, plus d’une rue de Lille était jonchée de sacs roses ou noirs (sans parler des conteneurs). Depuis un peu moins d’une semaine, Esterra et sa filiale Lilébo (créée pour l’occasion) cumulent toutes les missions de nettoyage urbain pour le centre-ville, le Vieux-Lille, Wazemmes, Vauban et Moulins. Esterra reste en charge de la collecte des ordures ménagères dans les cinq autres quartiers comme, d’ailleurs, dans le reste de la communauté urbaine de Lille.
Pour les cinq entités de l’intra-muros lillois, cette synergie est censée apporter de la cohérence et de l’efficacité. Comme le souligne d’ailleurs Esterra, cette société sera jugée sur « une obligation de résultat et non de moyens ». Chargé de la mise en place de cette réforme sous l’ancien mandat municipal, Jacques Richir explique, également, que des agents municipaux sillonneront les rues afin de relever les dysfonctionnements. Les smartphones ont dû bien chauffer. Dans le centre-ville, des artères comme la rue de Valmy ou le boulevard Jean-Baptiste-Lebas avaient, sur certains tronçons, des allures de victimes de grève des éboueurs.
Trottoirs parsemés
Des habitants de « J.-B.-Lebas » ou encore de certaines rues du secteur Saint-Michel se sont plaints de ne pas avoir été informés des changements de jour de passage des bennes. Dès dimanche soir, des tronçons dorénavant abonnés au ramassage du lundi présentaient des trottoirs parsemés de sacs et conteneurs. Vingt-quatre heures plus tard, la confusion devenait flagrante. Quant aux quartiers situés en dehors de l’intra-muros, l’encombrement des trottoirs indique les mêmes couacs. Rue de l’Arbrisseau, à Lille-Sud (où le calendrier actuel spécifie un ramassage le lundi), à 10h30, on slalomait entre les sacs roses. Du côté de Fives, rues de Rivoli, Pierre-Legrand ou des Noirs, les ordures dégueulaient encore largement sur l’asphalte à midi. Pour ces artères également, la tournée officielle avait eu lieu la veille.
Lilébo a notamment pour mission de s’attaquer aux dépôts sauvages, les sorties de poubelles en dehors des bons horaires étant assimilés comme tels. Des « repasses » aux anciennes dates sont notamment prévues sur les secteurs concernés. « La première semaine, on double les moyens pour rectifier les anomalies, explique un responsable d’Esterra. Tout va rentrer dans l’ordre. » En fin de journée, des périmètres étaient déjà débarrassés. Des « repasses » devraient aussi concerner les secteurs hors de l’intra-muros.
http://www.lavoixdunord.fr/region/nouve ... -fan-lille
Manu t'attends quoi pour passer dans ma rue? C'est le bordel là.
On pourrait appeler cela la visite guidée par les détritus. Ou la quête du Petit Poucet. Dans le conte pour enfants, le petit garçon sème des cailloux blancs pour retrouver son chemin. Ce mardi matin, plus d’une rue de Lille était jonchée de sacs roses ou noirs (sans parler des conteneurs). Depuis un peu moins d’une semaine, Esterra et sa filiale Lilébo (créée pour l’occasion) cumulent toutes les missions de nettoyage urbain pour le centre-ville, le Vieux-Lille, Wazemmes, Vauban et Moulins. Esterra reste en charge de la collecte des ordures ménagères dans les cinq autres quartiers comme, d’ailleurs, dans le reste de la communauté urbaine de Lille.
Pour les cinq entités de l’intra-muros lillois, cette synergie est censée apporter de la cohérence et de l’efficacité. Comme le souligne d’ailleurs Esterra, cette société sera jugée sur « une obligation de résultat et non de moyens ». Chargé de la mise en place de cette réforme sous l’ancien mandat municipal, Jacques Richir explique, également, que des agents municipaux sillonneront les rues afin de relever les dysfonctionnements. Les smartphones ont dû bien chauffer. Dans le centre-ville, des artères comme la rue de Valmy ou le boulevard Jean-Baptiste-Lebas avaient, sur certains tronçons, des allures de victimes de grève des éboueurs.
Trottoirs parsemés
Des habitants de « J.-B.-Lebas » ou encore de certaines rues du secteur Saint-Michel se sont plaints de ne pas avoir été informés des changements de jour de passage des bennes. Dès dimanche soir, des tronçons dorénavant abonnés au ramassage du lundi présentaient des trottoirs parsemés de sacs et conteneurs. Vingt-quatre heures plus tard, la confusion devenait flagrante. Quant aux quartiers situés en dehors de l’intra-muros, l’encombrement des trottoirs indique les mêmes couacs. Rue de l’Arbrisseau, à Lille-Sud (où le calendrier actuel spécifie un ramassage le lundi), à 10h30, on slalomait entre les sacs roses. Du côté de Fives, rues de Rivoli, Pierre-Legrand ou des Noirs, les ordures dégueulaient encore largement sur l’asphalte à midi. Pour ces artères également, la tournée officielle avait eu lieu la veille.
Lilébo a notamment pour mission de s’attaquer aux dépôts sauvages, les sorties de poubelles en dehors des bons horaires étant assimilés comme tels. Des « repasses » aux anciennes dates sont notamment prévues sur les secteurs concernés. « La première semaine, on double les moyens pour rectifier les anomalies, explique un responsable d’Esterra. Tout va rentrer dans l’ordre. » En fin de journée, des périmètres étaient déjà débarrassés. Des « repasses » devraient aussi concerner les secteurs hors de l’intra-muros.
http://www.lavoixdunord.fr/region/nouve ... -fan-lille
Manu t'attends quoi pour passer dans ma rue? C'est le bordel là.
Expatrié.
par basmainforme » 07 Mai 2014, 14:47
te l'fais expres ?
en gros ils signent contrat dans lequels ils s'engagent sur tant ou tant de moyens
en gros ils signent contrat dans lequels ils s'engagent sur tant ou tant de moyens
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