[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar bitadmin » 13 Mai 2014, 14:13

j'ai rien fait Der
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bitadmin
 
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Messagepar krouw2 » 13 Mai 2014, 14:54

Si on commence à voter pour les gens qui bossent ichi

Sinon, y a Jean Marie , 32 ans de Parlement Européen fictif
Hollande 2027
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krouw2
 
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Messagepar Der » 13 Mai 2014, 16:34

bitadmin a écrit:j'ai rien fait Der

Loul l'aveu implicite.


Non, je parlais de http://www.vote-et-vous.fr/ qui m'a dit de voter Lepage.
On se fait des bisous et on s'encule.
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Der
 
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Messagepar fernando » 14 Mai 2014, 13:25

Un vrai déglinguo Hollande. Comment il a mis la finance au pas, z'ont rien compris.

Loi bancaire : la spéculation a-t-elle réellement été interdite en France ?

Le Monde.fr | 14.05.2014 à 12h52 | Par Mathilde Damgé

« La finance a été maîtrisée », affirmait François Hollande sur les ondes de RMC le 6 mai, deux ans jour pour jour après son élection. Celui qui, dans son discours du Bourget, avait expliqué que son adversaire était le monde de la finance, a-t-il donc eu raison de la spéculation la plus nocive à l'économie réelle ?

Rien n'est moins sûr. En tout cas, c'est ce que l'on observe si l'on se penche sur les deux activités spéculatives les plus symboliques des dérives du système financier, les spéculations sur les matières premières agricoles et le trading haute fréquence (THF) – c'est-à-dire les échanges, réalisés à toute vitesse par des programmes informatiques conçus pour enchaîner une série de micro-gains.

Moins de 1 % de l'activité dans la filiale dédiée

La loi bancaire, votée en juillet 2013, se veut le cadre de la nouvelle régulation. Elle « prévoit la séparation des opérations spéculatives des banques et de leurs activités utiles à l'économie ».

Pour limiter la spéculation, il s'agit donc d'obliger les établissements bancaires à cantonner leurs activités dites « pour compte propre » dans une filiale séparée, financée de manière autonome - afin d'éviter tout risque de contamination avec la banque en cas de crise. Les activités « pour compte propre » correspondent au négoce réalisé avec les fonds propres des banques pour leur seul bénéfice, et non pour le compte de clients. Par exemple, le desk « Delta One » de la Société générale, dans lequel officiait Jérôme Kerviel, était dédié à ce type d'activités.


Ces filiales réunissent donc en leur sein l'ensemble du « prop trading » mais elles ont en outre interdiction de pratiquer certaines activités spéculatives jugées « trop risquées ou qui peuvent être nuisibles à l'économie ou à la société ». La loi précise :


Art. L. 511-48 II. ― Les filiales mentionnées au I ne peuvent réaliser les opérations suivantes :
1° Les opérations de négoce à haute fréquence taxables au titre de l'article 235 ter ZD bis du code général des impôts ;
2° Les opérations sur instruments financiers à terme dont l'élément sous-jacent est une matière première agricole.

Les banques doivent identifier les activités à transférer à la filiale au plus tard le 1er juillet 2014 et le transfert doit être effectif avant le 1er juillet 2015. Cependant les décrets relatifs à l'article 2 (dont la publication était envisagée pour décembre 2013) n'ont toujours pas été signés.

En tout cas, parmi les quatre principaux établissements tricolores intervenant sur les marchés, seuls BNP Paribas et la Société générale devraient créer une telle filiale ; Natixis n'a plus d'activités pour compte propre, et Crédit agricole affirme ne pas être concerné : « S'agissant des activités concernées par la loi, nous ne les exerçons plus ou elles sont gérées en extinction ».

Les activités ciblées par le projet de loi bancaire seraient en tout cas très restreintes. Moins de 1 % du total des activités des établissements bancaires, selon leurs propres estimations l'an dernier, devrait être placé dans la fameuse filiale spécialisée.

Par exemple, selon sa dernière présentation aux investisseurs, mardi 13 mai, la Société générale devraient trasnférer seulement 2% des activités de la banque d'investissement à la filiale qu'elle doit créer (voir page 60), soit effectivement bien moins de un 1 % du total de ses activités.

Un filet aux mailles très larges

Concernant le THF, « il passe à travers les mailles du filet », selon Alexandre Naulot, interrogé par LeMonde.fr. Le chargé de plaidoyer au sein de l'association Oxfam explique : « Il est défini comme une suite d'opérations qui annulent et modifient les ordres passés dans un délai de moins d'une demi-seconde, ou comme une annulation de plus de 80 % de ses ordres par un opérateur sur une seule journée de Bourse ».

Donc, si les opérateurs réalisent volontairement des opérations toutes les 0,51 seconde ou en faisant en sorte que moins de 80 % des ordres soient annulés, ces opérations sont autorisées car elles ne rentrent pas dans le champ d'application, restrictif, de la loi.

Les matières premières agricoles moins tentantes

Quant aux matières premières agricoles, même avant la loi bancaire, elles suscitaient déjà beaucoup moins d'intérêt. Essentiellement pour une question d'image : « Les responsables en avaient marre d'être accusés de la faim dans le monde pendant les assemblées générales », affirme un ancien banquier spécialisé dans les matières premières.

Mais aussi pour une question de baisse de rentabilité : « L'activité de couverture pour des clients, comme dans le cas d'agriculteurs ou d'entreprises agroalimentaires cherchant à se protéger d'une baisse des cours du blé ou du soja, génère des commissions mais ce n'est plus, en soi, la poule aux oeufs d'or », ajoute ce connaisseur.

L'ONG Oxfam France a relevé en 2012 que les quatre principales banques françaises – BNP Paribas, Société générale, Crédit agricole et Natixis (BPCE) – dirigeaient, via une société de gestion dédiée, au moins dix-huit fonds spéculant sur les matières premières. Aujourd'hui, on n'en trouve plus aucun émanant d'une banque française si l'on se réfère au site Morningstar, qui répertorie les différents fonds offerts aux investisseurs et épargnants français.

Les « services au client » et la tenue de marché épargnés

Autre faille de la loi, les banques pourront toujours mener des activités spéculatives de THF et de trading de matières premières agricoles, si elles entrent dans le cadre de « fourniture de services aux clients, l'activité de tenue de marché, la gestion de trésorerie, les opérations d'investissement ou la couverture par l'établissement de ses propres risques », précise Céline Antonin, économiste à l'OFCE, dans un post de blog.

La « tenue de marché » désigne le fait d'intervenir sur les marchés sans chercher à tirer profit de son action (en vendant ou achetant des actions, des obligations, etc) pour assurer la « liquidité » du marché, c'est-à-dire la possibilité d'échanger des produits.

Pour éviter que les acteurs de l'industrie financière utilisent cet argument récurrent pour continuer leurs activités spéculatives, la loi doit fixer un seuil au-delà duquel la tenue marché devrait basculer dans la filiale séparée.


Une décision qui dépend maintenant de Bercy. Le décret à ce sujet reste encore en attente de publication.

Par ailleurs, la loi elle-même reste floue sur l'origine et la localisation géographique : est-ce que l'interdiction de spéculation s'applique aux filiales basées en France (au sens fiscal du terme) ou s’applique-t-elle de manière extraterritoriale, à savoir à toutes les filiales des banques d’investissements françaises basées à l’étranger (Londres, New York, etc) d’où se déroule le THF ?
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Messagepar Dageek » 14 Mai 2014, 14:18

Cte bluff...
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Messagepar SAV » 14 Mai 2014, 14:39

fernando a écrit: Moins de 1 % de l'activité dans la filiale dédiée

Me suis arrêté là.
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Messagepar W » 14 Mai 2014, 23:54

It's art. You don't need pants.
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Messagepar fernando » 15 Mai 2014, 16:20

Beau palmarès en seulement 2 ans.

François Hollande, ou comment enterrer ses promesses en 7 leçons

Les critiques adressées à François Hollande au cours de ses deux premières années de mandat se sont souvent concentrées sur le reniement de ses promesses de campagne. Mais alors que certains grands engagements symboliques, comme le combat contre la finance ou l’exemplarité du comportement, ne cessent de revenir dans la bouche de ses détracteurs, d'autres, plus nombreux, sont passés inaperçus.

"Lui Président", qui suit le destin des promesses de François Hollande depuis deux ans, vous propose une analyse de l’art délicat du "briser de promesse" tel que pratiqué par le président socialiste.

■1. Assumer l’échec
■2. Renvoyer la promesse aux calendes grecques
■3. Reporter la faute sur les autres
■4. Changer la promesse en cours de route
■5. Jouer sur les mots
■6. Tenir, puis revenir sur la promesse
■7. Espérer que cela passe (plutôt) inaperçu

1. Assumer l’échec

Face à la réalité implacable des chiffres, l’exécutif n’a souvent eu d’autre choix que de reconnaître son échec. Ce fut le cas sur le retour du déficit à 3 % dès 2013 ou sur l’inversion de la courbe du chômage , mais également sur les impôts, que François Hollande a promis d’augmenter "le moins possible" en 2014 après avoir annoncé leur stabilisation , que François Hollande a finalement promis . Quelques semaines plus tôt, Pierre Moscovici avait renoncé à légiférer sur les rémunérations abusives dans le privé , s’en remettant à un code de bonne conduite élaboré par le patronat. Sont passées au passage à la trappe la suppression des stocks-options et l’encadrement des bonus .

L’exercice du pouvoir a également conduit le président Hollande à reculer sur des engagements plus symboliques : à l’été 2013, alors qu’il brisait pour la quatrième fois sa promesse de ne pas donner d’interview depuis l’Elysée , son entourage a expliqué que "s’exprimer depuis le lieu de pouvoir" était "normal", les temps s’étant "durcis". La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a rajouté que la différence avec l'époque Sarkozy était marquée par l'absence "d'infériorisation quasi hiérarchique des journalistes".

Le principe de réalité semble également avoir eu raison de sa promesse de prendre le train plutôt que l'avion "par souci de proximité et d'économie" : le chef de l’Etat s’est rendu à Lille en avion pour pouvoir "rentrer plus vite à Paris [...] dans un contexte de conflit international".

2. Renvoyer la promesse aux calendes grecques

Certaines thématiques ont été remisées sous le tapis à mesure que les difficultés s’amoncelaient sur le chemin de la majorité. C’est le cas de la PMA (procréation médicalement assistée) , promise aux couples de lesbiennes et aux femmes seules pendant la campagne, puis successivement écartée de la loi sur le mariage pour tous et du projet de loi sur la famille, jusqu’à être conditionnée à un avis favorable du comité consultatif national d’éthique – prévu pour la fin 2014.

La "relance de l’union politique européenne" a suivi le même scénario : François Hollande avait annoncé des initiatives communes avec Angela Merkel avant les élections fédérales allemandes de septembre 2013, avant de les repousser à l’après-élections. Depuis, aucune démarche n’a été entreprise.

3. Reporter la faute sur les autres

A tort ou à raison, François Hollande et son entourage ont souvent justifié la distance prise avec les promesses de campagne par les vents contraires soufflant sur son quinquennat. La mauvaise volonté des alliés européens de la France ont compromis son projet de renégocier le traité européen de stabilité budgétaire , enterré les euro-obligations pour "plusieurs années" et réduit les ambitions de la taxe européenne sur les transactions financières .

Le Conseil constitutionnel a retoqué la première version de la taxe à 75 % sur les hauts revenus , contraignant le gouvernement à la réduire à portion congrue. L’établissement français du sang a opposé une fin de non-recevoir à l’ouverture du don du sang aux homosexuels et les parlementaires socialistes ont renoncé à appliquer le non-cumul des mandats dès 2012 . La volte-face de Barack Obama a hypothéqué la « réaction fulgurante » de la France aux attaques chimiques perpétrées en Syrie et la frilosité de la communauté internationale a contraint Paris à une intervention solitaire au Mali .

Malgré les circulaires prises par le ministère de l’intérieur Manuel Valls, les préfets n’ont pas suivi les engagements de François Hollande sur le relogement des familles de Roms expulsées et sur la fin de la rétention des enfants .

Enfin, l’alliance de circonstance de la droite, du centre et d’une partie de la gauche non-socialiste a été tenue responsable de l’échec du paquet de réformes constitutionnelles annoncé par le candidat socialiste. Constitutionalisation du dialogue social , fin de l’accession des anciens présidents au Conseil constitutionnel , ratification de la charte européenne des langues régionales , réforme du statut pénal du chef de l’Etat et droit de vote des étrangers ont été hypothéqués à l’été 2013 alors que se profilait un échec de François Hollande à rassembler une majorité des trois cinquièmes du Parlement. Notons toutefois qu’il lui restait la possibilité de faire adopter ces réformes par référendum.

4. Changer la promesse en cours de route

L’astuce de l’amendement des promesses a été utilisée à de multiples reprises depuis le début du quinquennat. Annoncés pour 2014, le droit de vote des étrangers et le non-cumul des mandats ont été respectivement reportés sine die et repoussé à 2017, avec une conséquence sérieuse : ils ne se sont pas appliqués lors des municipales de 2014. Quand la stabilisation des impôts pour 2014 s’est révélée improbable, l’exécutif a avancé l’idée d’une "pause fiscale", qui s’est déplacée de 2014 à 2015, avant de se transformer en baisse des impôts en 2016, puis "d’ici 2017". Dix-huit mois après avoir acté l’abandon du chantier du centre national de la musique , la ministre de la culture Aurélie Filippetti a également décidé de recoller les morceaux en réorientant les missions du Centre national des variétés vers la musique.

Sur l’inversion de la courbe du chômage , l’astuce de François Hollande est loin d’être passée inaperçue. D’abord promise pour septembre 2013, elle a été discrètement repoussée à la fin 2013 – sans succès. Le nouveau ministre du travail, François Rebsamen, a changé son fusil d’épaule en fixant comme objectif le passage sous la barre des 3 millions de chômeurs avant la fin du quinquennat.

5. Jouer sur les mots

C’est l’une des promesses qui a le plus fait jaser en début de quinquennat : "Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes jugées et condamnées" . Si plusieurs ministres ont été nommés malgré de précédentes condamnations (Jean-Marc Ayrault, Christiane Taubira, Harlem Désir), stricto sensu, aucun conseiller de l’Elysée ne se trouvait dans cette situation.

Il en est de même de la promesse d’arrêter les commandes de sondages de l’Elysée , prolifiques sous le quinquennat Sarkozy. Si la diète est officiellement de mise, plusieurs articles suggèrent que la présidence commande des études indirectement, par l’intermédiaire du service d’information du gouvernement (SIG), rattaché à Matignon.

Encore une fois, François Hollande a tenu, à la lettre, sa promesse de séparer les activités spéculatives des activités "réelles" au sein des banques . Seulement, la définition de la frontière entre les deux a suscité beaucoup de critiques, au motif qu’elle épargnait l’immense majorité des activités spéculatives des banques.

Conformément à son agenda international, le président français a bien achevé à la fin 2012 le retrait d’Afghanistan des troupes françaises… combattantes , laissant sur place quelques centaines de militaires pour assurer la transition.

Enfin, il a fait savoir que le fait de recevoir des parlementaires à l’Elysée ne brisait pas sa promesse, car il ne s’agissait pas de "grands-messes" comme à l’époque de Nicolas Sarkozy. De la même façon que les discrètes réceptions de dictateurs à Paris contrastaient selon son entourage avec les visites en "grand appareil" de mise lors du quinquennat précédent…

6. Tenir, puis revenir sur la promesse

A plusieurs reprises, François Hollande s’est empressé de détricoter ce qu’avait mis en place Nicolas Sarkozy, avant de revenir quelques temps plus tard avec une idée étrangement similaire. C’est le cas de la "TVA sociale", abrogée dès l’été 2012 . Quelques mois plus tard, la majorité votait une augmentation de la TVA pour financer des mesures pour la compétitivité des entreprises .

Après avoir annulé la création du "conseiller territorial" imaginé par Nicolas Sarkozy au printemps 2013, François Hollande a présenté en début d’année un projet de réforme territoriale qui supprime elle aussi les conseils départementaux et la clause de compétence générale .

7. Espérer que cela passe (plutôt) inaperçu

Le président a-t-il regretté les multiples petits engagements pris au gré de sa campagne, ou les a-t-il tout simplement oubliés ? En 2013, il ne s’est en tout cas pas rendu à la commémoration annuelle du génocide arménien , et n’a pas empêché plusieurs de ses conseillers de parler dans les médias . L’indignation de la communauté du logiciel libre n’a pas non plus dérangé le gouvernement au moment d’enterrer l'interdiction de la vente liée de logiciels et de matériel informatique . Pas plus que celle des ONG au moment de renoncer à augmenter l’aide française au développement . Peu de commentateurs se sont en outre émus lorsque le gouvernement a abandonné la réforme censée réindexer le smic sur l’inflation , au motif qu’elle présentait "beaucoup d’inconvénients".

Cette stratégie de la discrétion a toutefois révélé ses failles quand il s’est agi de mettre fin à la "sanctuarisation" du budget de la culture en 2013 ou de réduire de 3 milliards les dotations aux collectivités territoriales , en raison de la visibilité médiatique des intérêts en jeu. La curiosité de la presse politique n’a enfin pas manqué de relever que la règle de 10 conseillers maximum par ministre avait été allègrement brisée sous le gouvernement Ayrault, puis relevée à 12 conseillers depuis l’arrivée de Manuel Valls à Matignon.
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Messagepar Nougets » 15 Mai 2014, 16:48

J'ai pas lu, rire.
Expatrié.
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Messagepar Dageek » 15 Mai 2014, 17:20

Loul nougets
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Messagepar fernando » 15 Mai 2014, 17:27

:)
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Messagepar krouw2 » 15 Mai 2014, 22:09

et y a un truc bien sur i télé, ça parle d' Europe

ok je sors
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Messagepar W » 15 Mai 2014, 23:14

Image
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Messagepar fernando » 15 Mai 2014, 23:27

Pas mal ^^
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Messagepar krouw2 » 15 Mai 2014, 23:41

2 noirouf têtes de listes, ça sent le bluff

sinon pas mal l'écolo Schleuxe, on a vraiment les verts les pires d' Europe
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Messagepar otto » 16 Mai 2014, 07:20

J'aime bien :)
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Messagepar bitadmin » 16 Mai 2014, 09:16

Le ministre de l'Education nationale Benoît Hamon a repoussé la rentrée scolaire des élèves reportée au 2 septembre
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Messagepar Dageek » 16 Mai 2014, 09:29

bitadmin a écrit:Le ministre de l'Education nationale Benoît Hamon a repoussé la rentrée scolaire des élèves reportée au 2 septembre

Quand j ai entendu cette histoire de fronde des enseignants par rapport au " choc psychologique" d une rentrée le 29 août ( enfin la prérentrée ) j ai cru que c était une blague . Ils se rendent pas compte au SNES qu ils donnent du grain à moudre aux rageux anti profs la... Ma femme qui est de cette race la était consternée également, elle vote pour un rétrécissement des vacs d été de 2 semaines faut dire...
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Messagepar fernando » 19 Mai 2014, 23:19

Putain j'ai vu quelques clips de campagne pour les européennes, c'est du mourd...

Rachoumade totale pour celui de Nouvelle Donne, sur le mode humoristique...

Et celui de l'UDI-Modem débute par un argument subtil : image d'un cimetière militaire avec commentaire larmoyant "pour ne jamais oublier cela.."
Faut oser.
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Messagepar fernando » 19 Mai 2014, 23:22

Putain j'ai vu quelques clips de campagne pour les européennes, c'est du mourd...

Rachoumade totale pour celui de Nouvelle Donne, sur le mode humoristique...

Et celui de l'UDI-Modem débute par un argument subtil : image d'un cimetière militaire avec commentaire larmoyant "pour ne jamais oublier cela.."
Faut oser.
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Messagepar krouw2 » 19 Mai 2014, 23:56

je suis le seul à penser que les socialos vont faire un bon score? On sera loin au dessus des 14% AMHA;
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Messagepar SAV » 20 Mai 2014, 10:52

fernando a écrit:Putain j'ai vu quelques clips de campagne pour les européennes, c'est du mourd...

Rachoumade totale pour celui de Nouvelle Donne, sur le mode humoristique...

Et celui de l'UDI-Modem débute par un argument subtil : image d'un cimetière militaire avec commentaire larmoyant "pour ne jamais oublier cela.."
Faut oser.

'çui du NPA y'est bon aussi.
Sur fond de musique rap, avec un sans papier nouar en mode "on veut, on veut..."
Le tout réalisé par Ken Loach.
C't'un peu twilight zone ce truc.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar Deub » 20 Mai 2014, 23:06

Celui du Front de Gauche avec les poulets relève le niveau

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Messagepar krouw2 » 20 Mai 2014, 23:29

put1 loul , un poulet first price Français c'est pas mieux

J'ai vu le clip de NDA ce soir sur le même sujet, je l'ai trouvé plutôt réussi, message sobre, concret..

Mais si on pouvait arrêter de polémiquer un mois pendant la durée du mondial, il faut que la planète football fasse la fête là
Hollande 2027
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Messagepar SAV » 21 Mai 2014, 14:12

Juncker ou Schulz ? A la fin c’est Merkel qui décide...
Marianne.

Malgré tous les efforts dialectiques déployés par les socialistes pour persuader les électeurs français qu'ils ont, dimanche prochain, le destin de l'Europe entre leurs mains, dans son pays Angela Merkel est beaucoup plus claire : le choix du président de la Commission européenne fera l'objet de longues tractations motivées notamment par des enjeux de politique intérieure allemande.

t devenu un élément langage au Parti socialiste. Stéphane Le Foll, le porte-parole du gouvernement, le répète sur tous les tons pour bien faire rentrer l’idée dans le crâne de ses concitoyens : « Vous allez pouvoir élire le président de la commission européenne pour la première fois ». François Hollande lui-même, dans sa tribune au Monde y est allé de son couplet. Quant à Jean-Christophe Cambadélis, il a poussé le bouchon encore plus loin en qualifiant la Commission de « gouvernement de l’Europe ». Encore une semaine de campagne (aussi terne soit-elle) et les VRP des européennes tenteront de nous vendre l’élection du « président de l’Europe » au suffrage universel direct. A les entendre, nous n’en serions finalement plus très loin...

Malgré tous ces efforts d’enfumage, c’est peu dire que la mayonnaise démocratique européenne ne prend pas, comme si les peuples s’étaient déjà faits à l’idée qu’en Europe (en particulier depuis le référendum de 2005), la décision ne dépendait plus vraiment des urnes. D'autant que, s’il est vrai que les chefs d'Etat et de gouvernement doivent désormais proposer un candidat à la présidence de la Commission « en tenant compte des élections au Parlement européen », aucune obligation n’est faite de désigner une personnalité appartenant au parti arrivé en tête aux élections européennes.

Pour Merkel, les élections n'auront qu'une valeur « indicative »

En Allemagne, Angela Merkel, elle au moins, la joue franche du collier expliquant dans la plupart de ses interventions récentes qu'il n'y a aucun « lien automatique entre le nombre de votes et [les hautes fonctions] à pourvoir ». Pour elle, le résultat des élections européennes n’aura qu’une valeur « indicative », méprisant ainsi les tentatives des partis visant à mettre en avant leur propre candidat.

Interrogée encore cette semaine par le Leipziger Volkszeitung sur le risque de « détruire la démocratie européenne en cas de désignation d’un candidat qui ne serait pas issu du parti vainqueur des élections », la chancelière calme le jeu en déclarant que « le conseil doit tenir compte du résultat des élections », mais ajoute dans l'immédiate foulée : « Nous allons beaucoup discuter à partir de dimanche ». Une façon de souligner, une fois de plus, que le choix du président de la Commission fera l’objet de longues tractations entre gouvernements.

En ce sens, la chancelière allemande est d’une parfaite cohérence : elle a été la première a adressé une fin de non-recevoir aux partisans d’un rôle accru du Parlement dans le processus de nomination du prochain président de la Commission européenne. Pour Merkel, c’est aux chefs d’État et de gouvernement qu’il revient de désigner à la majorité qualifiée et « en tenant compte » donc du résultat du scrutin celui qui dirigera l’exécutif européen, comme le prévoient explicitement les traités. Reste donc au Parlement le simple droit de refuser le candidat proposé.

Pour ne pas faire de Martin Schulz un futur rival ?

C’est que les préoccupations de Merkel ne relèvent pas uniquement de la légitimité d’une démocratie européenne, déjà largement entamée. A la tête d’une grande coalition avec les sociaux démocrates, la chancelière allemande doit prendre en compte aussi quelques éléments de politique intérieure.

Si le candidat des sociaux démocrates Martin Schulz (SPD) a longtemps eu les faveurs de Merkel (le quotidien allemand Der Spiegel faisant même état, en octobre 2013, d’un accord entre la chancelière et lui pour porter le projet économique que la dame de fer de Berlin entend imposer à la Commission européenne), la chancelière aurait aujourd'hui changé son fusil d’épaule. Merkel, issue de la droite chrétienne démocrate (CDU) voudrait désormais éviter que Schulz n’utilise son éventuel mandat européen à des fins de politique intérieure et ne finisse, à terme, par s'imposer comme un rival sur le plan intérieur et vienne même fragiliser, par ricochet, la coalition CDU-SPD.

Par ailleurs, Angela Merkel a tout fait pour imposer Jean-Claude Juncker comme tête de liste du parti conservateur européen, et l’ancien ministre luxembourgeois ne manque jamais de rappeler qu’il bénéficie du soutien de la chancelière.

Bref, la jolie bluette serinée par les socialistes français d’un président de la Commission européenne choisi par les électeurs fera l’objet, en fait, de bien des tractations politiques motivées par des enjeux certes européens, mais aussi et surtout de politique intérieure… berlinoise.

A la manière de l’attaquant anglais Gary Lineker, resté célèbre pour sa définition du football « un jeu qui se joue à onze contre onze et, à la fin, "c’est l’Allemagne qui gagne", on pourrait dire de l’Europe qu’elle est aujourd'hui « un jeu politique qui se joue à 28, on vote tous en même temps et, à la fin, c’est toujours Angela qui gagne ».
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Messagepar Dageek » 21 Mai 2014, 14:15

En France, finir deputé europeen c est la rachoumade, la pire voie de garage, loin de Paris, t existe plus mediatiquement donc t es mort. En Allemagne ils envoient les meilleurs, des mecs qui y font carriere et qui bossent vraiment. Pas etonnant qu ils aient le controle du bouzin
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Messagepar ursulet » 21 Mai 2014, 14:33

A 85 ans, Jean-Marie Le Pen ne changera pas. En marge de ce qui était peut-être son dernier meeting de campagne, mardi soir, à Marseille, le président d'honneur du FN a jugé que "Monseigneur Ebola peut régler en trois mois" la question de "l'explosion démographique".

Jean-Marie Le Pen, qui discutait notamment avec le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade et était entouré de plusieurs personnes dont deux journalistes de l'AFP, expliquait lors de ce cocktail de presse la teneur de son discours prévu une heure plus tard au Palais de l'Europe du Parc Chanot de la cité phocéenne. C'est dans cadre qu'il a expliqué que le virus Ebola, qui sévit actuellement en Afrique occidentale, pourrait régler la question de l'immigration.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politi ... jtJLYC9.99
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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ursulet
 
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Messagepar Dageek » 21 Mai 2014, 14:43

Il a fait une blague raciste en off, quel scandale.
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Messagepar SAV » 21 Mai 2014, 14:43

Après tous les efforts consenties par Marine pour "normaliser" son parti, c'est pas de bol.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar King Kong » 21 Mai 2014, 14:46

Un sacré déconneur jean marie
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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