[O1T] FOOT ETRANGER!

Messagepar manulosc » 20 Nov 2015, 20:22

non du portugal
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Messagepar gblosc » 20 Nov 2015, 20:29

De toutes façons, c'est encore Cristiano Ronaldo qui va gagner, pas de suspense ...
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Messagepar manulosc » 21 Nov 2015, 21:58

sporting - Benfica a l instant sur l equipe 21
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Messagepar manulosc » 21 Nov 2015, 22:10

but de Benfica 0-1
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Messagepar boban » 21 Nov 2015, 22:19

C'est Rui Costa le coach du Sl? Il n'est plus directeur sportif?
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Messagepar manulosc » 21 Nov 2015, 22:22

si il est directeur sportif
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Messagepar manulosc » 21 Nov 2015, 22:49

1-1
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Messagepar manulosc » 21 Nov 2015, 22:51

mi temp
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Messagepar manulosc » 21 Nov 2015, 23:29

carton rouge pour le gardien remplacement de benfica
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Messagepar manulosc » 21 Nov 2015, 23:58

prolongation
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Messagepar manulosc » 22 Nov 2015, 00:29

pfff but du sporting
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Messagepar manulosc » 22 Nov 2015, 00:40

Benfica éliminé
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Messagepar krouw2 » 22 Nov 2015, 01:09

tant mieux
Hollande 2027
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Messagepar Dageek » 22 Nov 2015, 09:57

manulosc a écrit:pfff but du sporting


Oh la une émotion !
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Messagepar fernando » 26 Nov 2015, 13:11

Altice s'offre La Premier League

Selon nos informations, le groupe Altice (Ma Chaîne Sport, Numéricable, SFR...) a acquis les droits de la Premier League, pour le marché français. Il s'agit d'un coup très dur pour Canal+.

Selon nos informations, le groupe Altice (Ma Chaîne Sport, Numéricable, SFR…) a acquis les droits de la Premier League, le championnat d’Angleterre de football, pour le marché français. Propriété du milliardaire Patrick Drahi, ce nouveau géant des médias et des télécoms a remporté l’appel d’offres lancé par la Premier League et va donc être le nouveau diffuseur de cette compétition de prestige lors des trois prochaines saisons. Il s’agit d’un coup très dur pour Canal+, qui retransmet actuellement cette épreuve contre un chèque annuel de 63 millions d’euros.

Le groupe Altice, qui a fait une offre supérieure aux 63 millions d’euros annuels du contrat actuel, doit apporter des précisions techniques sur son offre lundi matin à la Premier League, mais va être attributaire de ces droits.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar Giallo » 26 Nov 2015, 14:50

Canal va tout miser sur le curling en guise de représailles
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar ruitos » 26 Nov 2015, 14:52

la routourne a tourné...
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Messagepar guinness » 26 Nov 2015, 15:05

cool, l'abo de numericable va augmenter
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Messagepar despe » 26 Nov 2015, 15:08

Adieu Canal :( 40€ pour le Top 14 ça fait cher.
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Messagepar John Holmes » 26 Nov 2015, 15:42

guinness a écrit:cool, l'abo de numericable va augmenter


spa sur
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Messagepar fernando » 28 Nov 2015, 19:06

Allé, To20, té supporter son la!
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Messagepar Xylophène » 04 Déc 2015, 17:08

Le Monde a écrit:Bientôt le « Big Bang » du football européen ?

Le 9 décembre 2015, l'économiste Yvon Rocaboy présentera au séminaire "Football et Sciences Sociales" un article intitulé : "Compétition entre ligues nationales de football : Existe-t-elle ? Devrait-on la réguler ?". Dans ses travaux, Yvon Rocaboy s'interroge sur les conséquences de la coexistence des compétitions nationales (telles que le championnat de Ligue 1) et continentales (telles que la Champion's League). Plus particulièrement, il se demande si cette coexistence ne pousse pas les ligues nationales à privilégier une répartition inégalitaires des droits TV, au détriment de l'intérêt du spectacle domestique. En effet, le souhait de bien figurer dans les compétitions européennes incite les ligues nationales à favoriser l'émergence d'un ou plusieurs "champions nationaux". Ceci passe par une répartition déséquilibrée des droits TV (et de toute autre recette glanée dans le cadre de la ligue) qui conduit, à terme, à la constitution d'un petit groupe de clubs dominants qui trustent les premières places.

Une possible dissolution des ligues espagnols, allemandes, italiennes et françaises ?


L'émergence de ces quelques champions nationaux déséquilibre assurément la compétition domestique et son intérêt faiblit. La régulation que suggère Yvon Rocaboy irait dans le sens de la contrainte d'une répartition plus égalitaire des droits TV dans les ligues nationales. Rocaboy s'intéresse aussi aux effets de l'émergence d'une ligue plus riche que les autres (il pense bien sûr à la Premier League) et suggère que ce déséquilibre pourrait faire se replier sur elles-mêmes les ligues dominées ou conduire à des dissolutions-réorganisations des ligues.

Le cercle vertueux des droits étrangers pour la Premier League

Nous sommes sans doute, en effet, à l'aube d'un big bang du football européen. L'écart entre les ressources des différentes ligues se creuse de manière phénoménale avec ce contrat à 3,3 milliards d'euros annuels (2,3 milliards de droits TV domestiques + 1 milliard de droits étrangers au moins) que vont se partager les vingt clubs anglais de 2016 à 2019. Dans le même temps, les 4 autres ligues majeures (Liga, Serie A, Bundesliga, Ligue 1) peinent à réunir entre 748,5 et 960 millions d'euro chacune. Et le cercle vertueux de l'afflux de ressources vers la Premier League semble engagé. La vente des droits TV à l'étranger n'a pas fini de réserver d'heureuses surprises au commissionnaire de la Premier League : ainsi Altice s'est emparé, en novembre, des droits de la Premier League pour le marché français pour un montant d'environ 100 millions d'euros annuels (contre 63 millions d'euros annuels versés par Canal + auparavant). Mois après mois, les diffuseurs du monde entier vont surenchérir pour acquérir les droits de LA ligue majeure du 1er sport mondial...

Quel forme ce big bang pourrait-il prendre ? Plusieurs scenarii sont envisageables :

- La création d'une Super Ligue européenne. C'est un serpent de mer né à la fin des années 1990. Il fut question de 14 clubs, puis de 18, puis de 32 (organisée en 2 conférences). Ce n'est plus, aujourd'hui, le scenario le plus vraisemblable. Ce qui a changé depuis les derniers bruissements (2009) autour de la création, dans le sillage du G14, de cette super ligue, c'est l'émergence de ce fossé entre la Premier League et les autres ligues. Certes, ce fossé n'existe pas encore entre les clubs anglais et les 2 clubs espagnols les plus riches, mais ceci pourrait changer très vite suite à la décision espagnole d'avril 2015 de s'aligner sur les autres pays en pratiquant la négociation centralisée des droits TV. Si l'une des ambitions affichées est de faire passer les droits domestiques espagnols annuels à 1 milliard d'euros, il n'est pas sûr que le FC Barcelone et le Real de Madrid y trouvent leur compte : qui dit négociation collective dit aussi répartition plus égalitaire des droits TV et il semble peu probable que l'écart entre le premier et le dernier puisse demeurer dans un rapport de 1 à 11 (sachant que le premier appel d'offre collectif a débouché sur l'attribution de 2 lots principaux pour 883 millions d'euros annuels le 2 décembre 2015). En tout état de cause, les grands clubs anglais ne voudront plus quitter le golden cocon de leur ligue où les livres sterling coulent à flot.

- La dislocation des ligues espagnols, allemandes, italiennes et françaises et la constitution d'une ligue regroupant les cadors de ces championnats. C'est la conjecture implicitement privilégiée par Rocaboy. La Premier League vivrait sa vie seule et une ligue continentale verrait le jour, regroupant Barcelone, le Real de Madrid, Munich, Dortmund, la Juventus, l'AS Roma, le Paris Saint Germain, ... et sans doute aussi des clubs portugais, néerlandais, russes et ukrainiens. On peut même imaginer l'émergence d'un superbowl du soccer avec une finale opposant le champion de la ligue continentale et le champion de la Premier League.

- L'absorption de 5 ou 6 continentaux par la Premier League. Exit les clubs gallois et bonjour le gaulois Paris Saint Germain. Le top du football mondial se concentrerait sur 4 ou 5 villes britanniques, 2 espagnoles, 1 allemande, 1 française et 1 ou 2 villes italiennes. La conjoncture est propice : le Paris Saint Germain qatari rêve de grands espaces, les clubs espagnols ont plus à perdre qu'à gagner de la négociation collective des droits TV en Liga (et le FC Barcelone en est menacé d'exclusion en cas d'indépendance de la Catalogne), le Bayern se lasse d'enfiler les buts comme des perles en Bundesliga et la "vielle dame" pourrait enfin sortir de la malédiction qui la voit être reléguée tous les 15 ans pour des affaires de matchs truqués...

Spécificité du sport : passer des déclarations de principes à l'édiction de règlements

Quelle que soit la forme du big bang du football européen, l'Union Europénne serait avisée de penser à la régulation de ce grand spectacle sportif. Au delà de la libre circulation des travailleurs garantie par l'arrêt Bosman, il faut songer à l'instauration de mécanismes de préservation de l'équilibre compétitif. Il faut enfin que l'Union instaure des règles de partage relativement égalitaires des revenus et mette en place des plafonds salariaux (salary caps). Il ne suffit pas de reconnaître la spécificité du sport (comme dans le Traité de Lisbonne) si l'on conserve une organisation modelée par un arrêt qui, de fait, nie la spécificité de l'industrie du spectacle sportif.

http://ecosport.blog.lemonde.fr/2015/12 ... -europeen/
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."

Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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Messagepar ruitos » 04 Déc 2015, 17:13

***les 4 autres ligues majeures (Liga, Serie A, Bundesliga, Ligue 1)***


lol...
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Messagepar John Holmes » 04 Déc 2015, 17:48

mort au foot pro
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Messagepar fernando » 15 Déc 2015, 12:39

Football : « Vingt ans après l’arrêt Bosman, le footballeur reste une marchandise »

Le Monde.fr | 15.12.2015 à 11h24 | Propos recueillis par Yann Bouchez

L’avocat Luc Misson est l’un des principaux artisans de l’arrêt Bosman. Le 15 décembre 1995, la Cour de justice des communautés européennes décide de donner raison à son client, le footballeur belge Jean-Marc Bosman, opposé à son ancien club du RFC Liège et à l’UEFA (Union des associations européennes de football). L’arrêt permet alors de libérer les joueurs arrivés au terme de leur contrat et de ne plus limiter le nombre de joueurs étrangers par club.

Après avoir été côte à côte pendant de longues années, Luc Misson et Jean-Marc Bosman se sont brouillés. Me Misson, spécialiste du droit européen, revient sur l’évolution du football depuis vingt ans.

En 2007, douze ans après l’arrêt Bosman, vous avez regretté que le texte ait été « détricoté » par la Commission européenne… Que vouliez-vous dire ?

Je ne dirais pas que c’est uniquement de la responsabilité de la Commission européenne. C’est aussi le fruit de la grande habileté des fédérations, à une époque où les grands clubs étaient très actifs, et où on entendait beaucoup parler de G14 [organisation de lobbying des clubs européens les plus riches, le G14 a été fondé en 2000 et remplacé en 2008 par l’association européenne des clubs]. On a mystifié l’arrêt Bosman : la libre circulation ne devait ne concerner que les citoyens européens, mais elle a été organisée à l’échelle mondiale. Le marché a été complètement modifié, ce qui a eu des conséquences économiques énormes.

Nous demandions la libre circulation en Europe, mais aussi que le droit de la concurrence soit appliqué. Or la Cour de justice a dit, en une ligne : « Puisque le procès est gagné en libre circulation, il n’y a pas à répondre en droit de la concurrence. »

Nous nous sommes retrouvés face à une libre circulation mondialisée – ce qui n’était pas obligatoire – et sans règles de concurrence. Ce qui pose un gros problème car les forces économiques, en fonction des pays, de la taille des clubs, sont très différentes. Comment voulez-vous qu’un club sud-américain ou africain puisse résister à la volonté de Manchester United ou du Barça d’engager la perle qu’ils ont chez eux ?

Les clubs les plus riches, après s’être dans un premier temps opposés à Bosman, semblent avoir réussi le pari de s’en servir à leur profit…

Oui. En plus, ils ont l’habileté d’être discrets. Jadis, il y avait des négociations à la Commission européenne entre la FIFPro [syndicat mondial des footballeurs] ou des syndicats nationaux de joueurs et le G14. Aujourd’hui, ces organisations n’apparaissent plus. C’est comme si ces clubs ne se voyaient plus, ne se parlaient plus.

On a prétendu vouloir inventer une parade en obligeant les clubs à avoir un certain nombre de joueurs formés localement [adoptée en 2005 par l’UEFA, cette règle oblige, depuis la saison 2008-2009, les clubs disputant des compétitions européennes à avoir au moins 8 joueurs sur 25 « formés localement »]. Mais ici en Belgique, les grands clubs anglais s’acharnent à recruter de très jeunes joueurs. Ils sont considérés comme des joueurs formés localement, mais en réalité ils viennent d’Afrique, d’Amérique latine ou des petits pays d’Europe, comme la Belgique.

« Il fallait que les autorités étatiques jouent un rôle. On ne peut pas laisser les entreprises faire entre elles ce qu’elles veulent. »

Ces clubs-là ont aussi le pouvoir de faire les transferts de joueurs adultes qu’ils souhaitent, au niveau de la concurrence, c’est devenu une catastrophe. La concurrence est devenue impossible face aux grands clubs, qui se rencontrent entre eux à la fin des grandes compétitions.

L’arrêt Bosman, en obligeant les clubs à libérer tout joueur arrivé en fin de contrat, était censé offrir plus de liberté aux footballeurs. Ces derniers sont-ils vraiment plus libres aujourd’hui ?

C’est la liberté du renard dans le poulailler. Les grandes stars n’ont aucun problème pour circuler. Par contre, je suis très inquiet pour l’évolution du statut social des joueurs plus modestes.

Aujourd’hui, il semble surtout difficile pour un footballeur d’aller au terme de son contrat…

Ils n’y arrivent plus jamais. Soit le club veut garder le joueur et lui propose des prolongations avant d’être arrivé au terme du contrat. Soit le club ne veut pas le garder et ce n’est pas compliqué : on met le joueur sur le banc. Psychologiquement, c’est très dur pour le footballeur, il se rend compte que sa valeur est en train de diminuer, il lui manque les sensations des terrains et du public. Une bonne partie de sa rémunération étant constituée par des primes de résultats, il gagne moins bien sa vie. Faire partir un joueur n’est donc pas difficile. Les clubs se sont rendu compte que ce n’était pas un problème.

« Les entreprises ont fait ce qui les arrangeait, et les plus gros clubs sont arrivés à dominer un marché mondialisé à leur profit. »

Par contre, quand le joueur résilie unilatéralement son contrat, c’est très compliqué. La France, avec la grève de 1972, a toujours été favorisée au niveau du respect des droits des joueurs. Mais en Belgique, un joueur qui casse unilatéralement son contrat est un joueur qui ne retrouvera aucune équipe en Belgique.



Ce que l’on appelait jadis le gentlemen’s agreement entre les clubs continue d’exister. La législation permet au joueur de casser son contrat, en payant des indemnités qui ne sont pas négligeables, mais il n’empêche que le joueur qui a cassé son contrat ne jouera plus, il n’y a rien à faire.

Votre bilan de l’après-Bosman est plutôt sombre…

Il est très décevant. Les principes sont là, mais le sort du joueur n’a guère été amélioré. Le footballeur reste une marchandise. Le fait que le droit de la concurrence n’ait pas été pris en compte est l’une des causes de tout cela. Il aurait fallu veiller à ce qu’il n’y ait pas d’abus de positions dominantes de la part de certains clubs ni des accords qui faussent la concurrence. Il fallait que les autorités étatiques jouent un rôle. On ne peut pas laisser les entreprises faire entre elles ce qu’elles veulent. Dans le football, cela n’a pas été fait.

Résultat, les entreprises ont fait ce qui les arrangeait, et les plus gros clubs sont arrivés à dominer un marché mondialisé à leur profit. La plupart des clubs auront perdu beaucoup, car la Commission européenne n’a pas pris les choses en main.

L’affaire Bosman a été un instant fugace, où les droits sociaux du travailleur sportif se sont trouvés confrontés aux intérêts des entreprises sportives, qui sont organisées au niveau européen avec l’UEFA, et au niveau mondial avec la FIFA. Ces associations d’entreprises ont bien compris qu’elles devaient réfléchir en fonction de leurs intérêts et développer leurs stratégies. Ce sont elles qui ont vraiment la main et qui mènent les politiques vers là où elles veulent qu’ils aillent.
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Messagepar manulosc » 16 Déc 2015, 09:29

Le Benfica, qui jouait un match en retard de la 7e journée de Championnat ce mardi sur le terrain de l'Uniao Madeira, a manqué l'occasion de revenir sur le Sporting (35 points) et le FC Porto (33 points), détachés en tête du classement. Les Aigles ont fait match nul (0-0), et comptent désormais 28 points.
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Messagepar Giallo » 16 Déc 2015, 09:51

Courage Manu, Porto n'est qu'à deux points du Sporting, c'est encore possible !
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Messagepar Dageek » 17 Déc 2015, 16:52

Cheur Mourinho
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Messagepar fernando » 17 Déc 2015, 20:31

C'est surtout à Chelsea que ça va coûter cheur.
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Messagepar Dageek » 17 Déc 2015, 20:33

à priori pas les 50 M annoncés mais une dizaines ( évidemment ça allait négocier )
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