J'ajoute sur l'électorat RN :
Autant la première montée du FN sur le podium de la présidentiel était un accident industriel de la gauche. Chirac finit avec 80% des voix exprimées.
Autant celle de 2022 m'apparait beaucoup plus crédible dans l'idée d'un vrai ancrage d'adhésion au programme RN, en ce sens qu'il n'attire plus que les fachos ou les exténués de la politique.
Et une fois que t'as posé ta pêche dans l'urne, une première fois avec le nom de Le Pen sur ton bulletin, ça doit être sacrément difficile de se remettre en question.
Législatives de la peur
par Giallo » 25 Juin 2024, 18:52
Ah ben c’est plus qu’un échec pour Macron, propos de 2017 :
« Je ferai tout durant les cinq années qui viennent pour qu’ils n’aient plus aucune raison de voter pour les extrêmes”
7 ans plus tard il leur offre le pays sur un plateau d’argent.
« Je ferai tout durant les cinq années qui viennent pour qu’ils n’aient plus aucune raison de voter pour les extrêmes”
7 ans plus tard il leur offre le pays sur un plateau d’argent.
ce message ne vient pas de moi
par Giallo » 26 Juin 2024, 07:37
Le groupe vit bien.
Quatennens toujours présent quand il s’agit de donner des gifles.
ce message ne vient pas de moi
par fernando » 26 Juin 2024, 08:40
nicobungy a écrit:
Enculé de rouquemoute !!
C'te merde en boite ce type.
Pas mieux.
LFI et son ambiance stalinienne, ça donne envie quand même.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Baratte » 26 Juin 2024, 13:44
Le stalinisme incarné par méluche et le rouquemoute est effectivement un répulsif , comme maqueron en est un ...la wehrmacht est on ordre mais ...
Merci maqueron pour le bordel ! Enfin , non je déconne ! 7 années de merdier qui ont bien bien profité aux investisseurs et capitalistes en laissant de côté avec mépris 85% des français .
NB: Et je ne parle pas des catastrophes écologiques et de la perte de souveraineté face aux diktats de Bruxelles à la botte de la bourse mondiale .
Merci maqueron pour le bordel ! Enfin , non je déconne ! 7 années de merdier qui ont bien bien profité aux investisseurs et capitalistes en laissant de côté avec mépris 85% des français .
NB: Et je ne parle pas des catastrophes écologiques et de la perte de souveraineté face aux diktats de Bruxelles à la botte de la bourse mondiale .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Baratte » 26 Juin 2024, 18:19
Non , je ne suis pas contre l'Europe mais sous certaines conditions comme . Il ya trop de décisions prises par Bruxelles qui vont à l'encontre de l'intérêt des peuples .
Et maqueron en bon technocrate suce-boules bah ses catastrophes écolos , on peut parler du glyphosate bien sûr mais surtout de tous les accords de libre échange signés avec le Canada , le Mexique , le Vietnam et j'en oublie qui sont nocifs pour nos industries et notre agriculture mais surtout qui nous laisse une empreinte carbone abominable .
NB : Pour les accords de libre échange on oubliera pas cet empaffé de sarko qui malgré un référendum contre avait ouvert la voie avec le traité de Lisbonne .
Et maqueron en bon technocrate suce-boules bah ses catastrophes écolos , on peut parler du glyphosate bien sûr mais surtout de tous les accords de libre échange signés avec le Canada , le Mexique , le Vietnam et j'en oublie qui sont nocifs pour nos industries et notre agriculture mais surtout qui nous laisse une empreinte carbone abominable .
NB : Pour les accords de libre échange on oubliera pas cet empaffé de sarko qui malgré un référendum contre avait ouvert la voie avec le traité de Lisbonne .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par fernando » 27 Juin 2024, 13:37
Vu d’Allemagne. Emmanuel Macron, le “pyromane” qui rêve encore d’être pompier
Le président français ne supporte pas que la population ne le suive plus, “se montre extrême dans ses discours comme dans ses actes” et s’enferme de façon irresponsable dans sa caricature de “sauveur de la nation en détresse”, cingle “Der Spiegel”.
Si tout ça n’était pas aussi grave, on pourrait traiter Emmanuel Macron de “drama queen”, enfin plus exactement de “drama king”. C’est-à-dire quelqu’un qui a tendance à en faire des tonnes quand les choses ne vont pas bien pour lui.
Voilà donc qu’après avoir précipité des élections législatives sans nécessité, le président français met en garde contre une guerre civile. Dissoudre l’Assemblée nationale parce qu’on est vexé par son échec aux élections européennes, c’était déjà costaud : l’acte est certes conforme à la Constitution mais politiquement violent et met la France en ébullition. Et c’est un acte d’autosabotage par-dessus le marché, car il creuse la division du pays et pourrait rendre celui-ci ingouvernable dès le mois de juillet.
Macron a provoqué une crise qui risque de nuire à toute l’Europe. C’est déjà assez grave.
“Guerre civile”
Mais quand le chef de l’État parle de “guerre civile”, un terme lourd de sens et totalement exagéré, pour semer la peur de l’extrême droite et de l’extrême gauche, il ne se comporte plus en “drama king” mais en pyromane.
Macron joue avec le feu et souhaite qu’on l’appelle pour éteindre l’incendie. Il sème le chaos et se pose en garant de la stabilité. Il prétend souhaiter renforcer les partis modérés du centre et se montre extrême dans ses discours comme dans ses actes.
Cela ne peut pas bien se terminer.
La plupart des électeurs français ne veulent plus que Macron les sauve. Le scénario le plus probable pour les scrutins du 30 juin et du 7 juillet est, selon tous les sondages, une défaite calamiteuse pour son camp. Le Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen et Jordan Bardella devrait l’emporter, mais sans obtenir la majorité absolue. Le Nouveau Front populaire, une alliance de partis de gauche et d’extrême gauche, devrait également réaliser un bon score.
Macron ne met pas sa fonction en jeu, mais le contrôle du pays lui échappe. Il ne le supporte manifestement pas. Il ne supporte pas non plus l’ingratitude des gens alors qu’il a quand même bien mené son pays lors de toutes les crises des années précédentes. Moins les gens le suivent, plus le chef de l’État devient hystérique et imprévisible. Il n’a pas l’air modéré, il a l’air désespéré.
Un jour, il conjure dans une longue lettre ses compatriotes de donner la victoire à la raison lors des élections législatives, c’est-à-dire aux candidats de son camp. Un autre, il adopte le vocabulaire de l’extrême droite et fustige les projets “immigrationnistes” de la gauche. Puis il balance une menace de guerre civile.
Dans le vide
Son argument, c’est que les extrêmes de gauche comme de droite réduisent les gens à l’appartenance à un groupe – que ce soit l’origine, la religion ou une communauté auto-définie. Et cela excite la haine, aggrave les conflits, soutient-il. Il avait déjà essayé un truc similaire il y a quelques semaines en tenant des propos drastiques – “L’Europe est mortelle” – pour utiliser les élections européennes à son avantage. Ça n’avait pas marché.
Ses avertissements ne prennent plus, et certainement pas ceux contre l’extrême droite. Le président a trop souvent exploité la xénophobie et l’euroscepticisme du Rassemblement national pour ses campagnes. Il a recherché le duel avec Le Pen parce que c’est contre elle qu’il avait les meilleures chances au second tour – un pur calcul tactique. Macron a même parfois copié la politique lepéniste de la “préférence nationale”. Il n’est donc plus crédible. Son alerte à la guerre civile va résonner dans le vide.
Ce qui risque de se passer en cas d’une victoire du RN le 7 juillet est tout de même grave. Il pourrait à nouveau y avoir des troubles dans les banlieues – et pile au moment où Paris accueille les Jeux olympiques.
Côté politique intérieure, Macron devrait être durablement paralysé. Ce qui aura des effets en matière de politique étrangère. Il ne sera plus le moteur de l’Union européenne, il aura du mal à tenir son rôle de ferme soutien de l’Ukraine contre la Russie. Il provoque déjà la nervosité des marchés financiers, qui redoutent une nouvelle crise de l’euro.
On peut malgré tout être sûr d’une chose : le président français, qui ne se retirera pas avant la fin de son mandat en 2027, se posera en sauveur de la nation en détresse. Et ne nous épargnera pas ses déclarations dramatiques.
Le président français ne supporte pas que la population ne le suive plus, “se montre extrême dans ses discours comme dans ses actes” et s’enferme de façon irresponsable dans sa caricature de “sauveur de la nation en détresse”, cingle “Der Spiegel”.
Si tout ça n’était pas aussi grave, on pourrait traiter Emmanuel Macron de “drama queen”, enfin plus exactement de “drama king”. C’est-à-dire quelqu’un qui a tendance à en faire des tonnes quand les choses ne vont pas bien pour lui.
Voilà donc qu’après avoir précipité des élections législatives sans nécessité, le président français met en garde contre une guerre civile. Dissoudre l’Assemblée nationale parce qu’on est vexé par son échec aux élections européennes, c’était déjà costaud : l’acte est certes conforme à la Constitution mais politiquement violent et met la France en ébullition. Et c’est un acte d’autosabotage par-dessus le marché, car il creuse la division du pays et pourrait rendre celui-ci ingouvernable dès le mois de juillet.
Macron a provoqué une crise qui risque de nuire à toute l’Europe. C’est déjà assez grave.
“Guerre civile”
Mais quand le chef de l’État parle de “guerre civile”, un terme lourd de sens et totalement exagéré, pour semer la peur de l’extrême droite et de l’extrême gauche, il ne se comporte plus en “drama king” mais en pyromane.
Macron joue avec le feu et souhaite qu’on l’appelle pour éteindre l’incendie. Il sème le chaos et se pose en garant de la stabilité. Il prétend souhaiter renforcer les partis modérés du centre et se montre extrême dans ses discours comme dans ses actes.
Cela ne peut pas bien se terminer.
La plupart des électeurs français ne veulent plus que Macron les sauve. Le scénario le plus probable pour les scrutins du 30 juin et du 7 juillet est, selon tous les sondages, une défaite calamiteuse pour son camp. Le Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen et Jordan Bardella devrait l’emporter, mais sans obtenir la majorité absolue. Le Nouveau Front populaire, une alliance de partis de gauche et d’extrême gauche, devrait également réaliser un bon score.
Macron ne met pas sa fonction en jeu, mais le contrôle du pays lui échappe. Il ne le supporte manifestement pas. Il ne supporte pas non plus l’ingratitude des gens alors qu’il a quand même bien mené son pays lors de toutes les crises des années précédentes. Moins les gens le suivent, plus le chef de l’État devient hystérique et imprévisible. Il n’a pas l’air modéré, il a l’air désespéré.
Un jour, il conjure dans une longue lettre ses compatriotes de donner la victoire à la raison lors des élections législatives, c’est-à-dire aux candidats de son camp. Un autre, il adopte le vocabulaire de l’extrême droite et fustige les projets “immigrationnistes” de la gauche. Puis il balance une menace de guerre civile.
Dans le vide
Son argument, c’est que les extrêmes de gauche comme de droite réduisent les gens à l’appartenance à un groupe – que ce soit l’origine, la religion ou une communauté auto-définie. Et cela excite la haine, aggrave les conflits, soutient-il. Il avait déjà essayé un truc similaire il y a quelques semaines en tenant des propos drastiques – “L’Europe est mortelle” – pour utiliser les élections européennes à son avantage. Ça n’avait pas marché.
Ses avertissements ne prennent plus, et certainement pas ceux contre l’extrême droite. Le président a trop souvent exploité la xénophobie et l’euroscepticisme du Rassemblement national pour ses campagnes. Il a recherché le duel avec Le Pen parce que c’est contre elle qu’il avait les meilleures chances au second tour – un pur calcul tactique. Macron a même parfois copié la politique lepéniste de la “préférence nationale”. Il n’est donc plus crédible. Son alerte à la guerre civile va résonner dans le vide.
Ce qui risque de se passer en cas d’une victoire du RN le 7 juillet est tout de même grave. Il pourrait à nouveau y avoir des troubles dans les banlieues – et pile au moment où Paris accueille les Jeux olympiques.
Côté politique intérieure, Macron devrait être durablement paralysé. Ce qui aura des effets en matière de politique étrangère. Il ne sera plus le moteur de l’Union européenne, il aura du mal à tenir son rôle de ferme soutien de l’Ukraine contre la Russie. Il provoque déjà la nervosité des marchés financiers, qui redoutent une nouvelle crise de l’euro.
On peut malgré tout être sûr d’une chose : le président français, qui ne se retirera pas avant la fin de son mandat en 2027, se posera en sauveur de la nation en détresse. Et ne nous épargnera pas ses déclarations dramatiques.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Yusuf Akbar » 27 Juin 2024, 16:59
Je profite de poster un message politique ici, car sur d’autres forums il est impossible de toucher à la personne d’Emmanuel Macron sauf quand on s’appelle Djeunzz et que l’on fait de la propagation macronarde nuit et jour.
Merci pour le partage Nando. Totalement en ligne avec l’article.
Je suis même revolté que ce soit en Allemagne que l’on en parle le mieux de Macron. Je trouve que les médias passent beaucoup trop l’éponge sur sa responsabilité.
fernando a écrit:Vu d’Allemagne. Emmanuel Macron, le “pyromane” qui rêve encore d’être pompier
Le président français ne supporte pas que la population ne le suive plus, “se montre extrême dans ses discours comme dans ses actes” et s’enferme de façon irresponsable dans sa caricature de “sauveur de la nation en détresse”, cingle “Der Spiegel”.
Si tout ça n’était pas aussi grave, on pourrait traiter Emmanuel Macron de “drama queen”, enfin plus exactement de “drama king”. C’est-à-dire quelqu’un qui a tendance à en faire des tonnes quand les choses ne vont pas bien pour lui.
Voilà donc qu’après avoir précipité des élections législatives sans nécessité, le président français met en garde contre une guerre civile. Dissoudre l’Assemblée nationale parce qu’on est vexé par son échec aux élections européennes, c’était déjà costaud : l’acte est certes conforme à la Constitution mais politiquement violent et met la France en ébullition. Et c’est un acte d’autosabotage par-dessus le marché, car il creuse la division du pays et pourrait rendre celui-ci ingouvernable dès le mois de juillet.
Macron a provoqué une crise qui risque de nuire à toute l’Europe. C’est déjà assez grave.
“Guerre civile”
Mais quand le chef de l’État parle de “guerre civile”, un terme lourd de sens et totalement exagéré, pour semer la peur de l’extrême droite et de l’extrême gauche, il ne se comporte plus en “drama king” mais en pyromane.
Macron joue avec le feu et souhaite qu’on l’appelle pour éteindre l’incendie. Il sème le chaos et se pose en garant de la stabilité. Il prétend souhaiter renforcer les partis modérés du centre et se montre extrême dans ses discours comme dans ses actes.
Cela ne peut pas bien se terminer.
La plupart des électeurs français ne veulent plus que Macron les sauve. Le scénario le plus probable pour les scrutins du 30 juin et du 7 juillet est, selon tous les sondages, une défaite calamiteuse pour son camp. Le Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen et Jordan Bardella devrait l’emporter, mais sans obtenir la majorité absolue. Le Nouveau Front populaire, une alliance de partis de gauche et d’extrême gauche, devrait également réaliser un bon score.
Macron ne met pas sa fonction en jeu, mais le contrôle du pays lui échappe. Il ne le supporte manifestement pas. Il ne supporte pas non plus l’ingratitude des gens alors qu’il a quand même bien mené son pays lors de toutes les crises des années précédentes. Moins les gens le suivent, plus le chef de l’État devient hystérique et imprévisible. Il n’a pas l’air modéré, il a l’air désespéré.
Un jour, il conjure dans une longue lettre ses compatriotes de donner la victoire à la raison lors des élections législatives, c’est-à-dire aux candidats de son camp. Un autre, il adopte le vocabulaire de l’extrême droite et fustige les projets “immigrationnistes” de la gauche. Puis il balance une menace de guerre civile.
Dans le vide
Son argument, c’est que les extrêmes de gauche comme de droite réduisent les gens à l’appartenance à un groupe – que ce soit l’origine, la religion ou une communauté auto-définie. Et cela excite la haine, aggrave les conflits, soutient-il. Il avait déjà essayé un truc similaire il y a quelques semaines en tenant des propos drastiques – “L’Europe est mortelle” – pour utiliser les élections européennes à son avantage. Ça n’avait pas marché.
Ses avertissements ne prennent plus, et certainement pas ceux contre l’extrême droite. Le président a trop souvent exploité la xénophobie et l’euroscepticisme du Rassemblement national pour ses campagnes. Il a recherché le duel avec Le Pen parce que c’est contre elle qu’il avait les meilleures chances au second tour – un pur calcul tactique. Macron a même parfois copié la politique lepéniste de la “préférence nationale”. Il n’est donc plus crédible. Son alerte à la guerre civile va résonner dans le vide.
Ce qui risque de se passer en cas d’une victoire du RN le 7 juillet est tout de même grave. Il pourrait à nouveau y avoir des troubles dans les banlieues – et pile au moment où Paris accueille les Jeux olympiques.
Côté politique intérieure, Macron devrait être durablement paralysé. Ce qui aura des effets en matière de politique étrangère. Il ne sera plus le moteur de l’Union européenne, il aura du mal à tenir son rôle de ferme soutien de l’Ukraine contre la Russie. Il provoque déjà la nervosité des marchés financiers, qui redoutent une nouvelle crise de l’euro.
On peut malgré tout être sûr d’une chose : le président français, qui ne se retirera pas avant la fin de son mandat en 2027, se posera en sauveur de la nation en détresse. Et ne nous épargnera pas ses déclarations dramatiques.
Merci pour le partage Nando. Totalement en ligne avec l’article.
Je suis même revolté que ce soit en Allemagne que l’on en parle le mieux de Macron. Je trouve que les médias passent beaucoup trop l’éponge sur sa responsabilité.
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par Nougets » 27 Juin 2024, 18:33
Nougets a écrit:Tu as raison, le terme "draguer" n'est pas le bon.
En revanche, il n'a rien fait pour le combattre, tout comme la gauche en son temps, il a voulu s'en servir pour affaiblir le camp d'en face.
Ils ont nourri la bête, ils l'ont dédiabolisé, ils ont banalisé le racisme de son ADN.Giallo a écrit:je crois que je ne me fais pas bien comprendre, concrètement quelle mesure ou proposition de Macron est d'extrême droite puisqu'il est sensé draguer leurs électeurs ?
l'exemple de Noug sur Darmanin c'est du Sarkozisme pur et dur (c'est pareil que "nettoyer les cités au karcher") pas de l'extrême droite, ne vous en déplaise.
Aucune.
Et aucune pour le combattre.
La loi immigration.
Ah ben je l'avais oublié celle la !
Expatrié.
par Yusuf Akbar » 28 Juin 2024, 03:07
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par stikky » 28 Juin 2024, 13:20
fernando a écrit:Il ne supporte pas non plus l’ingratitude des gens alors qu’il a quand même bien mené son pays lors de toutes les crises des années précédentes.
euh, on parle bien du même Macron ?
bien géré les crises ?
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par rodolfo » 28 Juin 2024, 15:54
Il faut lui reconnaitre qu'il a tout fait pour protéger les emplois et les entreprises pendant la crise COVID.
+ le bouclier tarifaire sur l'énergie.
Les gens sont quand même un peu ingrats avec lui, même si toutes ces mesures étaient en fait de la poudre de Perlinpinpin à très cher et que cela n'a fait que décaler les faillites d'entreprises et les coûts exorbitants de l'énergie (Balo quand tu as tes centrales nucléaires qui tournent plein pot)
S'il n'avait rien fait à ce moment là, les mêmes auraient critiqué.......
Mais heureusement, nous avons l'extrême gauche qui va nous sauver avec son SMIC à 1 600€ net (ils n'ont pas du suivre bcp de cours d'économie les cons.....) et leurs fichés S qui viennent redresser le Pays.....
Quelle époque....
+ le bouclier tarifaire sur l'énergie.
Les gens sont quand même un peu ingrats avec lui, même si toutes ces mesures étaient en fait de la poudre de Perlinpinpin à très cher et que cela n'a fait que décaler les faillites d'entreprises et les coûts exorbitants de l'énergie (Balo quand tu as tes centrales nucléaires qui tournent plein pot)
S'il n'avait rien fait à ce moment là, les mêmes auraient critiqué.......
Mais heureusement, nous avons l'extrême gauche qui va nous sauver avec son SMIC à 1 600€ net (ils n'ont pas du suivre bcp de cours d'économie les cons.....) et leurs fichés S qui viennent redresser le Pays.....
Quelle époque....
par fernando » 28 Juin 2024, 16:31
Sur le Covid, la comm sur le masque notamment était mauvaise, mais sur le fond la gestion de la crise a été correcte.
Sur la gestion de la crise ukrainienne et énergétique qui en découle, en phase aussi globalement avec ce qui a été fait.
Sur la gestion de la crise des gilets jaunes, y'a davantage à redire...
Sur la gestion de la crise ukrainienne et énergétique qui en découle, en phase aussi globalement avec ce qui a été fait.
Sur la gestion de la crise des gilets jaunes, y'a davantage à redire...
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Giallo » 28 Juin 2024, 23:19
fernando a écrit:Sur le Covid, la comm sur le masque notamment était mauvaise, mais sur le fond la gestion de la crise a été correcte.
Sur la gestion de la crise ukrainienne et énergétique qui en découle, en phase aussi globalement avec ce qui a été fait.
Sur la gestion de la crise des gilets jaunes, y'a davantage à redire...
Et sur les retraites également et sur la crise politique qui a suivi les législatives de 2022, et sur les émeutes en banlieue etc…
ce message ne vient pas de moi
par Deub » 29 Juin 2024, 18:24
J'ai lu les programmes des candidats de ma circonscription (la même que Nando). Pas facile de choisir dès le premier tour.
Si j'élimine les listes LO, LFI fan de Mélenchon et RN, il me reste une renaissance honteuse (sans logo) et une LR.
LR, j'ai l'impression qu'ils ont intégré que les moins de 60 ans ne voteraient de toute façon pas pour eux et qu'ils misent tout sur les retraités.
"Revalorisation de toutes les retraites en fonction de l'inflation", "annulation de la CSG pour les retraités", "réduction massives des impôts", "augmentation des pensions de réversion", "aucune retraite en dessous du SMIC net".
La meilleure mesure pour les non retraités, c'est "facilitation des donations".
Si j'élimine les listes LO, LFI fan de Mélenchon et RN, il me reste une renaissance honteuse (sans logo) et une LR.
LR, j'ai l'impression qu'ils ont intégré que les moins de 60 ans ne voteraient de toute façon pas pour eux et qu'ils misent tout sur les retraités.
"Revalorisation de toutes les retraites en fonction de l'inflation", "annulation de la CSG pour les retraités", "réduction massives des impôts", "augmentation des pensions de réversion", "aucune retraite en dessous du SMIC net".
La meilleure mesure pour les non retraités, c'est "facilitation des donations".
Dernière édition par Deub le 29 Juin 2024, 21:39, édité 1 fois.
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