Un topic romophobe sur l'autre passion.losc ?
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 20:12
Me suis bien marré ce matin en passant à coté d'un camp de roms à Ivry: à l'entrée du mini bidonville, 3 fauteuils roulants et une dizaine de béquilles... pretes à l'emploi.
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 20:35
bitembois a écrit:entendu ce matin sur FBN.
"La métropole lilloise accueille 3000 roms, soit 20% de la population rom en France"
Viendez....
Accueille, c'est pas le terme que j'aurai choisi naturellement
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 20:43
2 portes à côté de mon taf, c'est l'offi(office français de l'immigration et de l'intégration)
Lol, à 7h30, ils sont là, à faire la queue comme devant la CAF mais pas devant pôle emploi
Lol, à 7h30, ils sont là, à faire la queue comme devant la CAF mais pas devant pôle emploi
par une des fakes de Der » 08 Mai 2013, 20:17
Réalisée par la Commission européenne, la carte des collectivités qui ont engagé une politique volontariste en faveur des roms comprend 32 communes françaises.
http://www.lagazettedescommunes.com/166481/carte-les-communes-qui-agissent-en-faveur-des-roms/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=08-05-2013-quotidien
32 sur 36700...
http://www.lagazettedescommunes.com/166481/carte-les-communes-qui-agissent-en-faveur-des-roms/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=08-05-2013-quotidien
32 sur 36700...
par une des fakes de Der » 13 Mai 2013, 11:46
C'est la consécration, une pleine page dans le Monde de ce matin : "La colère de Villeneuve d'Ascq contre les Roms".
27 cambriolages en avril dans le quartier du Triolo, qui jouxte le camp.
27 cambriolages en avril dans le quartier du Triolo, qui jouxte le camp.
par une des fakes de Der » 16 Mai 2013, 17:40
Quatre nomades dans le collimateur de la SNCF
Ce n'est pas du cuivre volé qui mène des surveillants de la SNCF dans les parages du petit camp de nomades de Lézennes. Non, c'est un gros fil électrique, branché clandestinement sur un compteur SNCF, que suivent les surveillants de la compagnie ferroviaire, à travers les herbes folles et les buissons, vers le campement. Il est 23 h 30 ce 8 mai. Brusquement, dans le faisceau des lampes torches, apparaissent deux femmes en train d'uriner à l'écart. Elles apprécient médiocrement. Première tension.
Lorsque les deux surveillants - un homme, une femme - veulent pénétrer dans le camp pour constater le vol d'électricité, le ton monte. « Ils étaient menaçants », explique-t-on du côté de la SNCF. Des jets de gaz lacrymogène sont opérés en direction des ressortissants roumains. En face, on riposte : jets de boîtes de conserve, de reliefs de repas, d'ustensiles de cuisine en direction des agents. La voiture administrative est cabossée et une vitre est brisée. Plus des coups. Un jour d'immobilisation est constaté par la médecine légale pour un des agents.
Quelques jours plus tard, quatre suspects sont reconnus, convoqués, interpellés. Tous, dans le box des prévenus, nient mordicus. Parmi les quatre figure une jeune femme : très jolie, dans un français presque parfait, elle dit son désir d'intégration, parle de ses enfants scolarisés à Villeneuve. C'est la seule à admettre sa présence.
Les trois hommes, par le truchement d'une interprète, protestent de leur innocence. L'un prenait une douche chez une parente à Tourcoing. L'autre se trouvait en compagnie d'un ami à Croix. Quant au troisième, il dormait à l'heure des horions échangés et n'est sorti de sa caravane qu'après la bagarre.
Le procureur Christophe Amunzateguy n'en croit rien : « Ils n'ont pas été ramassés comme des escargots dans un panier, ils ont tous été formellement reconnus, ce n'est pas un complot, c'est une enquête ». Huit mois de prison ferme sont requis. En défense, Me Barbara Florczak s'étonne qu'on puisse « faire un paquet, un prix de gros, sans chercher la participation de chacun ». Et d'ajouter : « On n'a même pas vérifié les alibis de mes clients ! » Jugement: 8 mois de sursis pour les quatre.
Ce n'est pas du cuivre volé qui mène des surveillants de la SNCF dans les parages du petit camp de nomades de Lézennes. Non, c'est un gros fil électrique, branché clandestinement sur un compteur SNCF, que suivent les surveillants de la compagnie ferroviaire, à travers les herbes folles et les buissons, vers le campement. Il est 23 h 30 ce 8 mai. Brusquement, dans le faisceau des lampes torches, apparaissent deux femmes en train d'uriner à l'écart. Elles apprécient médiocrement. Première tension.
Lorsque les deux surveillants - un homme, une femme - veulent pénétrer dans le camp pour constater le vol d'électricité, le ton monte. « Ils étaient menaçants », explique-t-on du côté de la SNCF. Des jets de gaz lacrymogène sont opérés en direction des ressortissants roumains. En face, on riposte : jets de boîtes de conserve, de reliefs de repas, d'ustensiles de cuisine en direction des agents. La voiture administrative est cabossée et une vitre est brisée. Plus des coups. Un jour d'immobilisation est constaté par la médecine légale pour un des agents.
Quelques jours plus tard, quatre suspects sont reconnus, convoqués, interpellés. Tous, dans le box des prévenus, nient mordicus. Parmi les quatre figure une jeune femme : très jolie, dans un français presque parfait, elle dit son désir d'intégration, parle de ses enfants scolarisés à Villeneuve. C'est la seule à admettre sa présence.
Les trois hommes, par le truchement d'une interprète, protestent de leur innocence. L'un prenait une douche chez une parente à Tourcoing. L'autre se trouvait en compagnie d'un ami à Croix. Quant au troisième, il dormait à l'heure des horions échangés et n'est sorti de sa caravane qu'après la bagarre.
Le procureur Christophe Amunzateguy n'en croit rien : « Ils n'ont pas été ramassés comme des escargots dans un panier, ils ont tous été formellement reconnus, ce n'est pas un complot, c'est une enquête ». Huit mois de prison ferme sont requis. En défense, Me Barbara Florczak s'étonne qu'on puisse « faire un paquet, un prix de gros, sans chercher la participation de chacun ». Et d'ajouter : « On n'a même pas vérifié les alibis de mes clients ! » Jugement: 8 mois de sursis pour les quatre.
par une des fakes de Der » 16 Mai 2013, 17:53
Parmi les quatre figure une jeune femme : très jolie, dans un français presque parfait (...)
Sacré journaliste.
par une des fakes de Der » 16 Mai 2013, 21:10
Métropole lilloise : le Préfet du Nord prend un arrêté d'interdiction de la mendicité des mineurs sur certains carrefours
Les enfants qui mendient aux carrefours : une situation de plus en plus courante sur la métropole lilloise... et dangereuse selon la préfecture du Nord qui a décidé d'interdire cette pratique sur 19 carrefours de Lille, la Madeleine, Roubaix, Tourcoing, Wasquehal et Villeneuve d'Ascq.
Le communiqué de presse de la préfecture du Nord précise : "Le préfet du Nord a interdit, par arrêté en date du 16 mai 2013, la mendicité par des mineurs à certains carrefours dangereux de l’agglomération lilloise, dans les communes de Lille, La Madeleine et Villeneuve d’Ascq, Wasquehal, Roubaix et Tourcoing. Faisant suite au constat de la présence prolongée de personnes, notamment de mineurs, sur la chaussée routière, cette décision vise à prévenir le risque d’accident pour ces jeunes enfants eux-mêmes et pour tous les usagers de la route."
Voici l'arrêté complet qui comprend la liste des carrefours visés :
http://nord-pas-de-calais.france3.fr/20 ... 52773.html
Les enfants qui mendient aux carrefours : une situation de plus en plus courante sur la métropole lilloise... et dangereuse selon la préfecture du Nord qui a décidé d'interdire cette pratique sur 19 carrefours de Lille, la Madeleine, Roubaix, Tourcoing, Wasquehal et Villeneuve d'Ascq.
Le communiqué de presse de la préfecture du Nord précise : "Le préfet du Nord a interdit, par arrêté en date du 16 mai 2013, la mendicité par des mineurs à certains carrefours dangereux de l’agglomération lilloise, dans les communes de Lille, La Madeleine et Villeneuve d’Ascq, Wasquehal, Roubaix et Tourcoing. Faisant suite au constat de la présence prolongée de personnes, notamment de mineurs, sur la chaussée routière, cette décision vise à prévenir le risque d’accident pour ces jeunes enfants eux-mêmes et pour tous les usagers de la route."
Voici l'arrêté complet qui comprend la liste des carrefours visés :
http://nord-pas-de-calais.france3.fr/20 ... 52773.html
par GilbertSedman » 20 Mai 2013, 14:57
Fake ! Il n'y a pas un seul feu rouge dans le labyrinthe
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par gblosc » 20 Mai 2013, 15:25
nutshot a écrit:Métropole lilloise : le Préfet du Nord prend un arrêté d'interdiction de la mendicité des mineurs sur certains carrefours
Les enfants qui mendient aux carrefours : une situation de plus en plus courante sur la métropole lilloise... et dangereuse selon la préfecture du Nord qui a décidé d'interdire cette pratique sur 19 carrefours de Lille, la Madeleine, Roubaix, Tourcoing, Wasquehal et Villeneuve d'Ascq.
Le communiqué de presse de la préfecture du Nord précise : "Le préfet du Nord a interdit, par arrêté en date du 16 mai 2013, la mendicité par des mineurs à certains carrefours dangereux de l’agglomération lilloise, dans les communes de Lille, La Madeleine et Villeneuve d’Ascq, Wasquehal, Roubaix et Tourcoing. Faisant suite au constat de la présence prolongée de personnes, notamment de mineurs, sur la chaussée routière, cette décision vise à prévenir le risque d’accident pour ces jeunes enfants eux-mêmes et pour tous les usagers de la route."
Voici l'arrêté complet qui comprend la liste des carrefours visés :
http://nord-pas-de-calais.france3.fr/20 ... 52773.html
Je vais dans l'absurde, mais étant donné que la plupart des gamins n'a pas de pièce d'identité sur eux, comment prouver qu'ils sont mineurs ???
par Giallo » 04 Juin 2013, 13:22
Arras : enquête ouverte après un accident de la circulation impliquant un policier et un enfant rom
La police a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances d'un accident de la circulation impliquant un policier et un enfant rom qui circulait à vélo, lundi en fin d'après-midi à Arras.
Selon La Voix du Nord, qui a révélé l'information, la voiture impliquée est celle d'un haut fonctionnaire de la police nationale. Le véhicule était bien conduit par un policier, a confirmé la source policière à l'AFP, sans préciser son grade.
L'enfant, âgé de six ans, a été blessé, mais pas sérieusement, a-t-on indiqué de même source. L'enquête devra déterminer s'il s'agit d'un simple accrochage ou si l'enfant a été percuté par le véhicule, selon la source policière.
La police a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances d'un accident de la circulation impliquant un policier et un enfant rom qui circulait à vélo, lundi en fin d'après-midi à Arras.
Selon La Voix du Nord, qui a révélé l'information, la voiture impliquée est celle d'un haut fonctionnaire de la police nationale. Le véhicule était bien conduit par un policier, a confirmé la source policière à l'AFP, sans préciser son grade.
L'enfant, âgé de six ans, a été blessé, mais pas sérieusement, a-t-on indiqué de même source. L'enquête devra déterminer s'il s'agit d'un simple accrochage ou si l'enfant a été percuté par le véhicule, selon la source policière.
ce message ne vient pas de moi
par ursulet » 04 Juin 2013, 13:44
bitadmin a écrit:j'ai halluciné ce midi à Grand Place.
Les gamins roms viennent sur la terrasse du Mc Do à 5-6, pillent les tables et se barrent avec la bouffe des clients.
10 minutes plus tard, ils refont pareil....
ils volent les hamburgers et les frites? ils leur rendent service.
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
par GilbertSedman » 04 Juin 2013, 14:27
Raison de plus pour aller au o'mulligan
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par otto » 04 Juin 2013, 21:56
Ben heureusement !
Source : Gauche alternative Champigny et environs
Depuis le discours de Sarkozy fin juillet 2010, les expulsions brutales de leurs campements de Roms français et les expulsions vers la Roumanie de Roms européens, avec destruction de leurs biens, mise en fourrière des caravanes, ont été légitimées.
Ainsi, depuis fin juillet, 23 000 Roms français ont été délogés de leurs campements, et 5 900 Roms européens (roumains et bulgares essentiellement), et jetés sur les routes.
Ces pratiques indignes du pays des droits de l’homme, condamnées par tous les humanistes, par l’Europe, par le Pape, rappellent, toute proportion gardée, les pires heures de notre histoire.
Il faut s’y opposer, et apporter notre soutien concret aux Roms victimes de cette chasse à l’homme. Mais bien des idées reçues s’y opposent encore. Passons-les en revue :
1 « Les Roms ont de tout temps choisi ce mode de vie »
Non, les Roms n’ont pas tous, et de tout temps, choisi ce mode de vie. Pour preuve, ils sont entre 400 000 et 700 000 français vivant en France souvent depuis des siècles, et souvent sédentarisés. Si un grand nombre en Europe pratiquent le nomadisme, ce n’est souvent par choix, mais parce qu’ils sont traités comme des indésirables. Beaucoup ne rêvent que d’une chose : se sédentariser, scolariser leurs enfants, vivre « comme tout le monde ».
2. « Ils ne veulent pas travailler ! »
Compte tenu des persécutions et discriminations qu’ils ont subies et subissent encore dans de nombreux pays européens, de leur mobilité incessante du fait qu’ils sont chassés tous les trois mois de leur lieu de vie, les Roms n’ont la plupart du temps pas pu aller à l’école, ne sont pas diplômés, et sont cantonnés dans des métiers traditionnels qui pour certains disparaissent, comme ferrailleurs, rempailleurs de chaises…Pourtant, ils ont des savoir-faire, des compétences (maçonnerie, construction, jardinage, ménage..) et cherchent du travail. Mais ils se heurtent à un grand ostracisme.
3. « Ils ne savent que faire la manche »
Du fait de leur difficulté à trouver un emploi, les Roms qui n’ont pas de ressource sont obligés de mendier pour se nourrir et nourrir leurs enfants.
4. « Ils s’installent sur des terrains qui ne leur appartiennent pas »
Ce ne sont pas eux qui sont en infraction, mais les maires des villes de plus de 5000 habitants, qui depuis la loi contre l’exclusion de 1998, doivent installer des « aires d’accueil » et ne l’ont pas fait (il n’a été réalisé qu’un tiers de celles prévues). Et quand elles le font, ces terrains sont en général pris entre une déchetterie et une autoroute, très à l’écart de l’agglomération, rendant encore plus difficiles, notamment, la scolarisation des enfants et l’accès à l’emploi.
5. . « Ce sont des voleurs »
Sans travail, sans ressources, la tentation peut exister pour certains de voler, ce qui est bien sûr condamnable. Toutefois, certains tribunaux admettent le vol « par nécessité », pour survivre. Mais les statistiques avancées sur la proportion d’entre eux qui auraient été condamnés pour vol sont fausses, car il est interdit de faire des statistiques ethniques.
5. « Ils n’ont qu’à retourner en Roumanie »
Les Roms roumains, sédentarisés depuis le 14è siècle, ont été tenus en esclavage dans ce pays jusqu’à il y a peu. C’est en Roumanie que les préjugés et l’ostracisme à leur égard sont les plus violents. De plus, citoyens européens, ils devraient avoir le droit de circuler librement en Europe – les capitaux le peuvent bien, eux ! - , si une clause spéciale n’avait été prise contre eux et les Roms bulgares, leur interdisant de rester plus de trois mois dans un même pays, et les condamnant ainsi à l’errance (en quelque sorte, une double peine).
6. « Les autres pays européens ne font pas mieux »
Si certains pays ne traitent pas correctement ces citoyens européens, ce n’est pas une raison pour faire de même. Au contraire, la France doit soit suivre l’exemple des pays qui intègrent les Roms sans difficulté, soit donner l’exemple, en mettant en place de réelles politiques de logement, de scolarisation, d’accès au travail et aux soins. C’est possible, comme le montrent les exemples de l’Allemagne, l’Espagne ou la Pologne.
Il est temps de mettre enfin en place des politiques favorisant l’accès à l’emploi, à l’école et à la formation, au logement, de ces citoyens européens, et de lutter contre toute discrimination à leur égard, y compris venant de l’Etat français lui-même.
Nous appelons donc tous les citoyens attachés à l’égalité entre les hommes, à la fraternité, aux droits de l’homme et de l’enfant, à apporter leur soutien à la défense et à l’insertion des Roms ou appelés tels par tous les moyens possibles.
Source : Gauche alternative Champigny et environs
par bitadmin » 05 Juin 2013, 08:31
L'évacuation du camp de Roms de la plaine Winston Churchill, situé à la limite entre Lille et La Madeleine, a commencé ce mercredi matin à 6h.
Les deux pelleteuses sont entrés en action vers 6h30 et ont entamé la destruction du camp devant un dispositif policier impressionnant. Le camp a compté jusqu’à 130 personnes mais seule une soixantaine était toujours présente ce matin.
La destruction du camp fait suite à une ordonnance d’évacution du tribunal de Lille du 4 avril. Aucune information sur le devenir des personnes évacuées n’était disponible ce mercredi matin.
Un très fort dégagement de fumée était visible dans les rues de Lille vers 7h30 suite à un feu de baraquement qui a suivi l’évacuation. Les pompiers sont intervenus rapidement alors que le camp avait déjà était évacué.
Environ 2.600 Roms sont installés dans une quarantaine de campements dans la région lilloise. La maire de Lille et présidente de Lille Métropole, Martine Aubry, réclame depuis des mois que l'Etat assure une meilleure répartition à l'échelle nationale des communautés roms pour alléger le fardeau de l'agglomération et prenne en même temps des mesures permettant leur hébergement dans des conditions décentes.
Les deux pelleteuses sont entrés en action vers 6h30 et ont entamé la destruction du camp devant un dispositif policier impressionnant. Le camp a compté jusqu’à 130 personnes mais seule une soixantaine était toujours présente ce matin.
La destruction du camp fait suite à une ordonnance d’évacution du tribunal de Lille du 4 avril. Aucune information sur le devenir des personnes évacuées n’était disponible ce mercredi matin.
Un très fort dégagement de fumée était visible dans les rues de Lille vers 7h30 suite à un feu de baraquement qui a suivi l’évacuation. Les pompiers sont intervenus rapidement alors que le camp avait déjà était évacué.
Environ 2.600 Roms sont installés dans une quarantaine de campements dans la région lilloise. La maire de Lille et présidente de Lille Métropole, Martine Aubry, réclame depuis des mois que l'Etat assure une meilleure répartition à l'échelle nationale des communautés roms pour alléger le fardeau de l'agglomération et prenne en même temps des mesures permettant leur hébergement dans des conditions décentes.
par otto » 08 Juin 2013, 19:45
Trois cocktails Molotov ont été jetés sans faire de blessé dans la nuit de jeudi à vendredi contre des caravanes occupées par des familles Roms à Hellemmes, près de Lille.
Les engins incendiaires ont été lancés aux alentours de 3 heures du matin en direction de caravanes sans les atteindre, par des individus qui passaient en voiture devant une aire d'accueil où vivent depuis décembre cinq familles Roms, a expliqué Frédéric Marchand, maire (PS) d'Hellemmes.
Le jet de cocktails Molotov a été accompagné d'insultes, comme 'de l'essence pour les Roms', a rapporté sur son site Internet le collectif Soutien aux Roms à Hellemmes, qui dénonce une agression "raciste".
À l'automne, le chantier d'aménagement de cette aire d'accueil avait suscité une vive opposition de certains habitants, mais depuis l'installation des familles, en décembre, "le climat s'est apaisé avec les riverains", a souligné le maire.
"Je serai inflexible. Le racisme et la connerie ne passeront pas", a déclaré Frédéric Marchand, évoquant "un acte extérieur et isolé qui s'inscrit un peu dans cette montée qu'on sent de la violence et de comportements extrémistes".
Une plainte a été déposée au commissariat d'Hellemmes, ont indiqué le maire et l'association L'Atelier solidaire.
Oups, me suis trompé de topik ---> GFdP
Les engins incendiaires ont été lancés aux alentours de 3 heures du matin en direction de caravanes sans les atteindre, par des individus qui passaient en voiture devant une aire d'accueil où vivent depuis décembre cinq familles Roms, a expliqué Frédéric Marchand, maire (PS) d'Hellemmes.
Le jet de cocktails Molotov a été accompagné d'insultes, comme 'de l'essence pour les Roms', a rapporté sur son site Internet le collectif Soutien aux Roms à Hellemmes, qui dénonce une agression "raciste".
À l'automne, le chantier d'aménagement de cette aire d'accueil avait suscité une vive opposition de certains habitants, mais depuis l'installation des familles, en décembre, "le climat s'est apaisé avec les riverains", a souligné le maire.
"Je serai inflexible. Le racisme et la connerie ne passeront pas", a déclaré Frédéric Marchand, évoquant "un acte extérieur et isolé qui s'inscrit un peu dans cette montée qu'on sent de la violence et de comportements extrémistes".
Une plainte a été déposée au commissariat d'Hellemmes, ont indiqué le maire et l'association L'Atelier solidaire.
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