[O1T] Equipe Nationale de la France
par fernando » 08 Août 2013, 14:26
Les 23
Gardiens : Lloris, Mandanda, Landreau
Défenseurs : Debuchy, Abidal, Mangala, Rami, Clichy Evra, Sagna, Koscielny.
Milieux de terain : Guilavogui, kondogbia, Mavuba, Capoue, M. Sissoko, Grenier.
Attaquants : Ribéry, Valbuena, Payet, Nasri, Benzema, Giroud.
'tain il doit être fou Mavuba!
Chouette jubilé pour Abidal sinon
Gardiens : Lloris, Mandanda, Landreau
Défenseurs : Debuchy, Abidal, Mangala, Rami, Clichy Evra, Sagna, Koscielny.
Milieux de terain : Guilavogui, kondogbia, Mavuba, Capoue, M. Sissoko, Grenier.
Attaquants : Ribéry, Valbuena, Payet, Nasri, Benzema, Giroud.
'tain il doit être fou Mavuba!
Chouette jubilé pour Abidal sinon
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par mr_tnt » 08 Août 2013, 14:31
Pour comparaison :
La sélection belge :
Gardiens : Koen Casteels (TSG Hoffenheim), Thibaut Courtois (Atletico de Madrid), Simon Mignolet (Liverpool FC)
Défenseurs : Toby Alderweireld (Ajax Amsterdam), Laurent Ciman (R. Standard CL), Guillaume Gillet (RSC Anderlecht), Vincent Kompany (Manchester City), Nicolas Lombaerts (Zenit St-Petersburg), Sébastien Pocognoli (Hannover 96), Daniel Van Buyten (Bayern München), Jelle Van Damme (R Standard CL), Jan Vertonghen (Tottenham Hotspur)
Milieux de terrain : Nacer Chadli (Tottemham Hotspur), Steven Defour (FC Porto), Moussa Dembélé (Tottenham Hotspur), Marouane Fellaini (Everton FC), Timmy Simons (FC Nürnberg), Axel Witsel (Zenit St-Petersburg)
Attaquants : Zakaria Bakkali (PSV), Christian Benteke (Aston Villa FC), Kevin De Bruyne (Chelsea FC), Eden Hazard (Chelsea FC), Romelu Lukaku (Chelsea FC), Dries Mertens (SSC Napoli), Kevin Mirallas (Everton FC)
Je sens de la crainte...
La sélection belge :
Gardiens : Koen Casteels (TSG Hoffenheim), Thibaut Courtois (Atletico de Madrid), Simon Mignolet (Liverpool FC)
Défenseurs : Toby Alderweireld (Ajax Amsterdam), Laurent Ciman (R. Standard CL), Guillaume Gillet (RSC Anderlecht), Vincent Kompany (Manchester City), Nicolas Lombaerts (Zenit St-Petersburg), Sébastien Pocognoli (Hannover 96), Daniel Van Buyten (Bayern München), Jelle Van Damme (R Standard CL), Jan Vertonghen (Tottenham Hotspur)
Milieux de terrain : Nacer Chadli (Tottemham Hotspur), Steven Defour (FC Porto), Moussa Dembélé (Tottenham Hotspur), Marouane Fellaini (Everton FC), Timmy Simons (FC Nürnberg), Axel Witsel (Zenit St-Petersburg)
Attaquants : Zakaria Bakkali (PSV), Christian Benteke (Aston Villa FC), Kevin De Bruyne (Chelsea FC), Eden Hazard (Chelsea FC), Romelu Lukaku (Chelsea FC), Dries Mertens (SSC Napoli), Kevin Mirallas (Everton FC)
Je sens de la crainte...
par John Holmes » 08 Août 2013, 15:11
Une putain d'équipe les Belges, je leur souhaite un beau parcours en coupch du mondao.
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par krouw2 » 08 Août 2013, 15:57
Près d’un an après sa dernière apparition tricolore (France-Biélorussie, 3-1, le 11 septembre 2012), Rio Mavuba a de nouveau vu son nom coché par Didier Deschamps, le sélectionneur national. Le capitaine des Dogues figure dans la liste des Bleus qui affronteront la Belgique, mercredi 14 août prochain à Bruxelles (21h). Il a livré sa réaction à chaud en exclusivité à LOSC.fr !
08/08/13
Rio, bonjour et félicitations. Comment as-tu appris cette sélection ?
Chez moi, tranquille devant la télé. Mes enfants partaient justement à la sieste au moment où mon nom est sorti de la bouche de Didier Deschamps. J’ai foncé les réveiller pour leur dire que "Papa partait en Équipe de France". Bon, ils ne dormaient pas encore, heureusement (rires). On était tous très heureux.
T’y attendais-tu ?
Très franchement, non. Je l’espérais car j’ai reçu une présélection, mais à part ça, je n’avais aucune autre indication. Même si je me sens bien physiquement suite à notre bonne préparation.
Bien que tu y sois maintenant habitué (il compte 9 capes internationales), ça fait quoi d’entendre son nom dans la liste ?
On ne peut même pas s’imaginer à quel point ça fait chaud au cœur. Voir son visage et son nom associés à l’Équipe de France, c’est toujours quelque chose de très fort. Les Bleus, c’est énorme à vivre, surtout après la saison galère que j’ai vécu avec mes blessures. Je suis sincèrement content de retrouver ce groupe.
C’est donc un nouveau retour en force pour toi après ces pépins physiques…
Oui, cela montre que le sélectionneur croit en moi, qu’il ne m’a pas oublié du jour au lendemain parce que je me suis blessé. J’ai énormément travaillé pour revenir à mon meilleur niveau. J’en profite d’ailleurs pour saluer le staff médical du LOSC qui m’a beaucoup aidé.
Quel regard portes-tu sur la féroce concurrence à ton poste ?
Elle a toujours existé, quelle que soit la place qu’on occupe sur le terrain. Je ne me prends donc pas la tête avec cette question. À partir du moment où tu intègres le groupe France, tu sais que tu seras mis en compétition avec d’autres joueurs de très haut niveau. Je pense d’abord à savourer. Puis quand je serai à Clairefontaine, je me donnerai à fond, comme d’habitude, avec l’envie de montrer que je mérite d’être là. À moi d’y aller sereinement, de faire mes preuves et d’essayer d’avoir du temps de jeu.
Que penses-tu de cette sélection belge que vous vous apprêtez à affronter ?
C’est une grosse équipe qui est selon moi sous-estimée. Elle possède de jeunes talents évoluant pour la plupart en Premier League. Ce sera un match difficile, ça c’est sûr.
Parmi eux, il y en a un que tu connais assez bien, n’est ce pas ?
(il sourit) Je suis très content de retrouver Eden Hazard et de jouer contre lui, surtout avec l’Équipe de France. Après tout ce qu’on a vécu ensemble, ça sera forcement un moment intense. Je l’ai vu arriver dans le groupe, grandir, puis exploser. On s’apprête aujourd’hui à se croiser avec nos sélections respectives. C’est un grand plaisir… Je dis ça aujourd’hui, mais pas sûr que je tienne le même discours après la rencontre (il éclate de rire).
Car on va peut être assister à un match dans le match entre Rio Mavuba et Eden Hazard…
S’il évolue en position de numéro 10 et que j’ai la chance de jouer, il risque d’y avoir de beaux duels, oui (sourire). Il est l’un des meilleurs joueurs du monde. Ça sera dur. Mais bon, le "petit" va devoir respecter l’"ancien" sur le terrain (rires).
On imagine que tu as reçu pas mal de coups de fil
Oui, énormément. Que ce soit par textos ou par téléphone pour me féliciter. J’essaye de répondre à chacun mais ce n’est pas évident. Et puis il faut que je parte moi aussi à la sieste…
Un grand merci à Rio Mavuba pour sa disponibilité. Demain, retrouvez la suite de l’interview du capitaine lillois sur LOSC.fr. Il y évoquera notamment le retour du championnat imminent et la réception du FC Lorient (samedi, 21h).
Didier Deschamps à propos du retour de Rio Mavuba
« Rio revient dans le groupe après une saison dernière difficile, puisqu’il a été blessé. J’ai pris la décision de ne pas convoquer les 3 joueurs suspendus pour le match contre la Géorgie (Matuidi, Cabaye, Pogba). Cela me semblait logique de préparer cette rencontre avec des joueurs susceptibles de la débuter. Rio fait donc partie des éléments du milieu de terrain qui peuvent être amenés à occuper un rôle. »
08/08/13
Rio, bonjour et félicitations. Comment as-tu appris cette sélection ?
Chez moi, tranquille devant la télé. Mes enfants partaient justement à la sieste au moment où mon nom est sorti de la bouche de Didier Deschamps. J’ai foncé les réveiller pour leur dire que "Papa partait en Équipe de France". Bon, ils ne dormaient pas encore, heureusement (rires). On était tous très heureux.
T’y attendais-tu ?
Très franchement, non. Je l’espérais car j’ai reçu une présélection, mais à part ça, je n’avais aucune autre indication. Même si je me sens bien physiquement suite à notre bonne préparation.
Bien que tu y sois maintenant habitué (il compte 9 capes internationales), ça fait quoi d’entendre son nom dans la liste ?
On ne peut même pas s’imaginer à quel point ça fait chaud au cœur. Voir son visage et son nom associés à l’Équipe de France, c’est toujours quelque chose de très fort. Les Bleus, c’est énorme à vivre, surtout après la saison galère que j’ai vécu avec mes blessures. Je suis sincèrement content de retrouver ce groupe.
C’est donc un nouveau retour en force pour toi après ces pépins physiques…
Oui, cela montre que le sélectionneur croit en moi, qu’il ne m’a pas oublié du jour au lendemain parce que je me suis blessé. J’ai énormément travaillé pour revenir à mon meilleur niveau. J’en profite d’ailleurs pour saluer le staff médical du LOSC qui m’a beaucoup aidé.
Quel regard portes-tu sur la féroce concurrence à ton poste ?
Elle a toujours existé, quelle que soit la place qu’on occupe sur le terrain. Je ne me prends donc pas la tête avec cette question. À partir du moment où tu intègres le groupe France, tu sais que tu seras mis en compétition avec d’autres joueurs de très haut niveau. Je pense d’abord à savourer. Puis quand je serai à Clairefontaine, je me donnerai à fond, comme d’habitude, avec l’envie de montrer que je mérite d’être là. À moi d’y aller sereinement, de faire mes preuves et d’essayer d’avoir du temps de jeu.
Que penses-tu de cette sélection belge que vous vous apprêtez à affronter ?
C’est une grosse équipe qui est selon moi sous-estimée. Elle possède de jeunes talents évoluant pour la plupart en Premier League. Ce sera un match difficile, ça c’est sûr.
Parmi eux, il y en a un que tu connais assez bien, n’est ce pas ?
(il sourit) Je suis très content de retrouver Eden Hazard et de jouer contre lui, surtout avec l’Équipe de France. Après tout ce qu’on a vécu ensemble, ça sera forcement un moment intense. Je l’ai vu arriver dans le groupe, grandir, puis exploser. On s’apprête aujourd’hui à se croiser avec nos sélections respectives. C’est un grand plaisir… Je dis ça aujourd’hui, mais pas sûr que je tienne le même discours après la rencontre (il éclate de rire).
Car on va peut être assister à un match dans le match entre Rio Mavuba et Eden Hazard…
S’il évolue en position de numéro 10 et que j’ai la chance de jouer, il risque d’y avoir de beaux duels, oui (sourire). Il est l’un des meilleurs joueurs du monde. Ça sera dur. Mais bon, le "petit" va devoir respecter l’"ancien" sur le terrain (rires).
On imagine que tu as reçu pas mal de coups de fil
Oui, énormément. Que ce soit par textos ou par téléphone pour me féliciter. J’essaye de répondre à chacun mais ce n’est pas évident. Et puis il faut que je parte moi aussi à la sieste…
Un grand merci à Rio Mavuba pour sa disponibilité. Demain, retrouvez la suite de l’interview du capitaine lillois sur LOSC.fr. Il y évoquera notamment le retour du championnat imminent et la réception du FC Lorient (samedi, 21h).
Didier Deschamps à propos du retour de Rio Mavuba
« Rio revient dans le groupe après une saison dernière difficile, puisqu’il a été blessé. J’ai pris la décision de ne pas convoquer les 3 joueurs suspendus pour le match contre la Géorgie (Matuidi, Cabaye, Pogba). Cela me semblait logique de préparer cette rencontre avec des joueurs susceptibles de la débuter. Rio fait donc partie des éléments du milieu de terrain qui peuvent être amenés à occuper un rôle. »
Hollande 2027
par fernando » 13 Août 2013, 14:38
Mavuba «arrive de loin»
Eloigné des Bleus depuis deux ans, Rio Mavuba a été rappelé par Didier Deschamps pour le déplacement en Belgique, mercredi. Conscient que d'autres joueurs «ont marqué des points» durant son absence, le milieu de terrain veut «rattraper son retard».
On lui suggère qu’il est plutôt poissard dès qu’il s’agit des Bleus. Rio Mavuba conteste : «Si je n’ai pas été appelé pendant 5 ans, c’est que ce n’est pas qu’une question de chance». Le milieu du LOSC a évidemment raison, mais on ne peut s’empêcher de lui répéter l’ironie de la situation. Snobé par Raymond Domenech puis Laurent Blanc ces dernières années, l’ancien Bordelais a enfin trouvé un sélectionneur - Didier Deschamps en l’occurrence - qui lui fait confiance. Et c’est précisément à ce moment-là que les blessures ne l’ont pas épargné. Il n’est plus apparu sous le maillot bleu depuis la venue de la Biélorussie au Stade de France le 11 septembre 2012.
Présenté comme l’un des possibles leaders sur lesquels comptait s’appuyer le sélectionneur lors de sa nomination, Mavuba a été opéré une première fois du ménisque externe du genou gauche au mois d’octobre 2012, avant de subir une arthroscopie à ce même genou le 29 janvier dernier. Bilan : près de six mois d’indisponibilité et une carrière internationale qui s’écrit de nouveau en pointillés. «Forcément à un moment, tu te poses la question de savoir si tu as manqué le bon wagon, souligne-t-il. Mais il n’y a pas de raison. Le sélectionneur m’a fait confiance au début. Ensuite, je n’ai plus été convoqué parce que je n’étais pas disponible. Mais j’ai toujours eu confiance en moi».
Son objectif ? Rester dans le groupe
Durant son absence, Yohan Cabaye, mais surtout Blaise Matuidi ont pris de l’avance, tandis que Paul Pogba a, lui, émergé. Si ces trois joueurs-là n’avaient pas été suspendus face à la Géorgie, le 6 septembre prochain, Mavuba aurait-il d’ailleurs été rappelé aussi vite par "DD" ? «Certains joueurs ont marqué des points, admet le joueur de 29 ans. A moi de rattraper mon retard». En conférence de presse, Deschamps a confirmé que les capitaine des Dogues avait «un rôle à jouer». Sans pour autant le réinstaller dans un statut de cadre dans l’immédiat. «Ça ne se fait pas du jour au lendemain», a-t-il affirmé. Mavuba ne dit pas autre chose : «L’objectif désormais, c’est de rester dans le groupe. J’arrive de loin». En espérant que «les blessures qui (l’)ont poursuivi l’an dernier sont bel et bien derrière (lui)».
Eloigné des Bleus depuis deux ans, Rio Mavuba a été rappelé par Didier Deschamps pour le déplacement en Belgique, mercredi. Conscient que d'autres joueurs «ont marqué des points» durant son absence, le milieu de terrain veut «rattraper son retard».
On lui suggère qu’il est plutôt poissard dès qu’il s’agit des Bleus. Rio Mavuba conteste : «Si je n’ai pas été appelé pendant 5 ans, c’est que ce n’est pas qu’une question de chance». Le milieu du LOSC a évidemment raison, mais on ne peut s’empêcher de lui répéter l’ironie de la situation. Snobé par Raymond Domenech puis Laurent Blanc ces dernières années, l’ancien Bordelais a enfin trouvé un sélectionneur - Didier Deschamps en l’occurrence - qui lui fait confiance. Et c’est précisément à ce moment-là que les blessures ne l’ont pas épargné. Il n’est plus apparu sous le maillot bleu depuis la venue de la Biélorussie au Stade de France le 11 septembre 2012.
Présenté comme l’un des possibles leaders sur lesquels comptait s’appuyer le sélectionneur lors de sa nomination, Mavuba a été opéré une première fois du ménisque externe du genou gauche au mois d’octobre 2012, avant de subir une arthroscopie à ce même genou le 29 janvier dernier. Bilan : près de six mois d’indisponibilité et une carrière internationale qui s’écrit de nouveau en pointillés. «Forcément à un moment, tu te poses la question de savoir si tu as manqué le bon wagon, souligne-t-il. Mais il n’y a pas de raison. Le sélectionneur m’a fait confiance au début. Ensuite, je n’ai plus été convoqué parce que je n’étais pas disponible. Mais j’ai toujours eu confiance en moi».
Son objectif ? Rester dans le groupe
Durant son absence, Yohan Cabaye, mais surtout Blaise Matuidi ont pris de l’avance, tandis que Paul Pogba a, lui, émergé. Si ces trois joueurs-là n’avaient pas été suspendus face à la Géorgie, le 6 septembre prochain, Mavuba aurait-il d’ailleurs été rappelé aussi vite par "DD" ? «Certains joueurs ont marqué des points, admet le joueur de 29 ans. A moi de rattraper mon retard». En conférence de presse, Deschamps a confirmé que les capitaine des Dogues avait «un rôle à jouer». Sans pour autant le réinstaller dans un statut de cadre dans l’immédiat. «Ça ne se fait pas du jour au lendemain», a-t-il affirmé. Mavuba ne dit pas autre chose : «L’objectif désormais, c’est de rester dans le groupe. J’arrive de loin». En espérant que «les blessures qui (l’)ont poursuivi l’an dernier sont bel et bien derrière (lui)».
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 13 Août 2013, 14:40
Toulalan sort de son silence… mais pas trop
Même s'il refuse toujours de revenir en détails sur les événements de Knysna, Jérémy Toulalan a accepté de sortir de son mutisme intégral au sujet des Bleus et de sortir momentanément de sa carapace dans une interview accordée à nos confrères de France Football.
Dans ce milieu du football où beaucoup d’acteurs sortent du même moule, Jérémy Toulalan jure violemment avec le décor, très lisse. Jamais habillé en vêtements de marque, pas fan de voitures de luxe ni de montres de grands joailliers suisses (« Je n’aime pas être reconnu, c’est même tout l’inverse ») et ennemi des réseaux sociaux, le nouveau milieu de terrain de l’AS Monaco n’est pas non plus un adepte de la langue de bois. Un homme rare, on vous dit. Alors plutôt que de faire trop de dégâts lorsqu’il s’exprime, il préfère ne pas parler. « Pour être clair et que ça se sache, je continue à tout refuser. Je sais que ça peut fâcher. D’ailleurs, en Espagne, les médias commençaient à l’être », explique Toulalan au cœur d’une interview vérité accordée au magazine France Football. Presque un miracle. « Si le ‘‘ Doc ’’ (ndlr : Fabrice Bryand, ancien médecin du FC Nantes et de l’équipe de France) ne me le demande pas, je ne le fais pas, avoue-t-il d’ailleurs sans chercher à se cacher. J’ai une confiance aveugle en lui. J’ai parlé aux médias car cela fait, paraît-il, partie du métier mais réellement j’aurais pu m’en passer et d’ailleurs, je m’en passe. »
« Je n’ai pas balancé avant, ce n’est pas pour le faire maintenant »
Sur Knysna et cette affaire du bus devenue tellement célèbre, Jérémy Toulalan a pourtant beaucoup d’inconnues à livrer. De véritables révélations que le joueur de 29 ans exprimera en temps voulu. En attendant, il préfère tout garder pour lui. Peut-être même qu’il ne dira jamais rien. Car « la Toule », comme le surnomment ses véritables amis qui se comptent sur le doigt d’une main, ne veut pas jouer les « donneuses ». Même s’il sait que c’est monnaie courante dans le métier, lui s’y refuse. « Je n’ai pas envie de revenir pour foutre la zizanie en révélant des infos que personne ne sait. Car sur Knysna, personne ne sait vraiment. Tout n’a pas été dit. Ce dont je suis sûr, c’est qu’il y a un mec qui a assumé, et c’est moi. J’ai dit ce que j’avais fait, mais les autres, on ne les a pas entendus. Personne… Je n’ai pas balancé avant, ce n’est pas pour le faire maintenant. Pourtant à la réunion de discipline, au retour d’Afrique du Sud, on m’a encouragé à le dire. Eh bien, non, ce n’est pas moi qui balancerai. Je ne fonctionne pas comme ça. »
« Moi, je peux me regarder dans une glace »
Jusqu’au moment où il le décidera (ou pas…), l’ancien Lyonnais - parti à Malaga pour découvrir un autre football mais surtout se laver l’esprit (« J’ai failli tout arrêter lors de ma dernière saison à Lyon, car c’était trop difficile ») - laissera donc tout le monde penser qu’il faisait partie des meneurs de Knysna. Lui présente cela différemment. « J’ai été le couillon de l’affaire. J’ai donné, ça m’a desservi, j’ai compris. Je ne regrette rien, j’ai dit ce que je pensais. Moi, je peux me regarder dans une glace. Si je vous réponds, je vends la mèche. Si je donne un nom, ça fera mal à cette personne. Et je pense qu’en plus, ça ferait pas mal de bruit. A ce point ? Ah ça, oui ! » Pour l’instant, celui qui n’a plus remis les pieds en équipe nationale depuis cette Coupe du Monde tapageuse en Afrique du Sud accepte de s’exprimer un peu plus sur la lettre lue par Raymond Domenech, qui aurait été écrite par un des propres conseillers du joueur formé à Nantes. « La lettre, c’est bâtard, puisqu’il n’y a pas eu que mon conseiller à l’écrire. Mais ce n’est pas ça la véritable histoire ! Je pourrais vous expliquer ce qui s’est passé réellement, mais ce n’est pas à moi de le faire. J’ai assumé ma part. » Il faudra toutefois se contenter de cette réponse certes intéressante mais trop brève.
« On s’est fait baiser »
« Aujourd’hui, je n’y tiens pas trop, ajoute Toulalan, encore meurtri. J’y reviendrai certainement un jour, mais, là, c’est trop tôt. Je ne suis revenu en France que depuis un mois. Ce n’est pas le bon timing. Je ne vais pas me mettre une balle dans le pied d’entrée. » Mais en veut-il à ce fameux conseiller qui l’avait invité à ne pas rédiger cette lettre avant de finalement la mettre en forme à sa demande ? Là non plus, pas de réponse. Mais une leçon pour la vie. « Quand on est honnête et franc dans le milieu du foot, on se fait avoir. Parfois je me demande si ça ne serait pas mieux d’être complètement con. Mais on s’est fait baiser, comme quoi on n’est pas si intelligents que ça. Ça restera un gros poids pour moi. Les autres ? J’aurais pu en tuer. Je ne l’ai pas fait. » Réservé, Jérémy Toulalan a préféré se refermer sur lui-même. Un peu le résumé de sa vie. Et même de la suite qui l’attend une fois qu’il sera retiré de ce monde du football qu’il apprécie si peu. A l’image des gens en général. « J’aime plus être seul qu’entouré. C’est difficile car ma femme aime être avec du monde. Moi aussi, je peux être bien avec du monde, mais ce n’est pas naturel. Le seul qui ne l’est pas, c’est mon père. Il part avec son chien et on ne le revoit plus pendant des heures. Je ferai ça aussi. » D’ici là, il aura peut-être mis enfin fin au mystère qui entoure toujours aujourd’hui les événements de Knsyna.
Même s'il refuse toujours de revenir en détails sur les événements de Knysna, Jérémy Toulalan a accepté de sortir de son mutisme intégral au sujet des Bleus et de sortir momentanément de sa carapace dans une interview accordée à nos confrères de France Football.
Dans ce milieu du football où beaucoup d’acteurs sortent du même moule, Jérémy Toulalan jure violemment avec le décor, très lisse. Jamais habillé en vêtements de marque, pas fan de voitures de luxe ni de montres de grands joailliers suisses (« Je n’aime pas être reconnu, c’est même tout l’inverse ») et ennemi des réseaux sociaux, le nouveau milieu de terrain de l’AS Monaco n’est pas non plus un adepte de la langue de bois. Un homme rare, on vous dit. Alors plutôt que de faire trop de dégâts lorsqu’il s’exprime, il préfère ne pas parler. « Pour être clair et que ça se sache, je continue à tout refuser. Je sais que ça peut fâcher. D’ailleurs, en Espagne, les médias commençaient à l’être », explique Toulalan au cœur d’une interview vérité accordée au magazine France Football. Presque un miracle. « Si le ‘‘ Doc ’’ (ndlr : Fabrice Bryand, ancien médecin du FC Nantes et de l’équipe de France) ne me le demande pas, je ne le fais pas, avoue-t-il d’ailleurs sans chercher à se cacher. J’ai une confiance aveugle en lui. J’ai parlé aux médias car cela fait, paraît-il, partie du métier mais réellement j’aurais pu m’en passer et d’ailleurs, je m’en passe. »
« Je n’ai pas balancé avant, ce n’est pas pour le faire maintenant »
Sur Knysna et cette affaire du bus devenue tellement célèbre, Jérémy Toulalan a pourtant beaucoup d’inconnues à livrer. De véritables révélations que le joueur de 29 ans exprimera en temps voulu. En attendant, il préfère tout garder pour lui. Peut-être même qu’il ne dira jamais rien. Car « la Toule », comme le surnomment ses véritables amis qui se comptent sur le doigt d’une main, ne veut pas jouer les « donneuses ». Même s’il sait que c’est monnaie courante dans le métier, lui s’y refuse. « Je n’ai pas envie de revenir pour foutre la zizanie en révélant des infos que personne ne sait. Car sur Knysna, personne ne sait vraiment. Tout n’a pas été dit. Ce dont je suis sûr, c’est qu’il y a un mec qui a assumé, et c’est moi. J’ai dit ce que j’avais fait, mais les autres, on ne les a pas entendus. Personne… Je n’ai pas balancé avant, ce n’est pas pour le faire maintenant. Pourtant à la réunion de discipline, au retour d’Afrique du Sud, on m’a encouragé à le dire. Eh bien, non, ce n’est pas moi qui balancerai. Je ne fonctionne pas comme ça. »
« Moi, je peux me regarder dans une glace »
Jusqu’au moment où il le décidera (ou pas…), l’ancien Lyonnais - parti à Malaga pour découvrir un autre football mais surtout se laver l’esprit (« J’ai failli tout arrêter lors de ma dernière saison à Lyon, car c’était trop difficile ») - laissera donc tout le monde penser qu’il faisait partie des meneurs de Knysna. Lui présente cela différemment. « J’ai été le couillon de l’affaire. J’ai donné, ça m’a desservi, j’ai compris. Je ne regrette rien, j’ai dit ce que je pensais. Moi, je peux me regarder dans une glace. Si je vous réponds, je vends la mèche. Si je donne un nom, ça fera mal à cette personne. Et je pense qu’en plus, ça ferait pas mal de bruit. A ce point ? Ah ça, oui ! » Pour l’instant, celui qui n’a plus remis les pieds en équipe nationale depuis cette Coupe du Monde tapageuse en Afrique du Sud accepte de s’exprimer un peu plus sur la lettre lue par Raymond Domenech, qui aurait été écrite par un des propres conseillers du joueur formé à Nantes. « La lettre, c’est bâtard, puisqu’il n’y a pas eu que mon conseiller à l’écrire. Mais ce n’est pas ça la véritable histoire ! Je pourrais vous expliquer ce qui s’est passé réellement, mais ce n’est pas à moi de le faire. J’ai assumé ma part. » Il faudra toutefois se contenter de cette réponse certes intéressante mais trop brève.
« On s’est fait baiser »
« Aujourd’hui, je n’y tiens pas trop, ajoute Toulalan, encore meurtri. J’y reviendrai certainement un jour, mais, là, c’est trop tôt. Je ne suis revenu en France que depuis un mois. Ce n’est pas le bon timing. Je ne vais pas me mettre une balle dans le pied d’entrée. » Mais en veut-il à ce fameux conseiller qui l’avait invité à ne pas rédiger cette lettre avant de finalement la mettre en forme à sa demande ? Là non plus, pas de réponse. Mais une leçon pour la vie. « Quand on est honnête et franc dans le milieu du foot, on se fait avoir. Parfois je me demande si ça ne serait pas mieux d’être complètement con. Mais on s’est fait baiser, comme quoi on n’est pas si intelligents que ça. Ça restera un gros poids pour moi. Les autres ? J’aurais pu en tuer. Je ne l’ai pas fait. » Réservé, Jérémy Toulalan a préféré se refermer sur lui-même. Un peu le résumé de sa vie. Et même de la suite qui l’attend une fois qu’il sera retiré de ce monde du football qu’il apprécie si peu. A l’image des gens en général. « J’aime plus être seul qu’entouré. C’est difficile car ma femme aime être avec du monde. Moi aussi, je peux être bien avec du monde, mais ce n’est pas naturel. Le seul qui ne l’est pas, c’est mon père. Il part avec son chien et on ne le revoit plus pendant des heures. Je ferai ça aussi. » D’ici là, il aura peut-être mis enfin fin au mystère qui entoure toujours aujourd’hui les événements de Knsyna.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 14 Août 2013, 00:48
Encore raté Rio!
Avec Guilavogui et Kondogbia
Pogba, Cabaye ou encore Matuidi étant absents contre la Belgique, Didier Deschamps fera confiance aux jeunes Kondogbia et Guilavogui.
Didier Deschamps a décidé de faire confiance d'entrée de jeu mercredi soir au petit nouveau Geoffrey Kondogbia. Selon nos informations, le milieu défensif du FC Séville évoluera devant la défense avec le Stéphanois Josuha Guilavogui. Sur l'aile gauche de la défense, Gaël Clichy sera préféré à Patrice Evra. Comme annoncé lundi par le sélectionneur, Eric Abidal sera titulaire dans l'axe de la défense. Devant, ce sera plus classique, Payet, Valbuena et un Ribéry de retour évoluant en soutien de Karim Benzema. En forme lors de la préparation estivale d'Arsenal, Olivier Giroud prendra place sur le banc des remplaçants aux côtés de Samir Nasri.
L'équipe de départ des Bleus contre la Belgique
Lloris - Sagna, Koscielny, Abidal, Clichy - Guilavogui, Kondogbia - Payet, Valbuena, Ribéry - Benzema
Putain derrière et au milieu c'est faible, trixt équipe de Rance.
Avec Guilavogui et Kondogbia
Pogba, Cabaye ou encore Matuidi étant absents contre la Belgique, Didier Deschamps fera confiance aux jeunes Kondogbia et Guilavogui.
Didier Deschamps a décidé de faire confiance d'entrée de jeu mercredi soir au petit nouveau Geoffrey Kondogbia. Selon nos informations, le milieu défensif du FC Séville évoluera devant la défense avec le Stéphanois Josuha Guilavogui. Sur l'aile gauche de la défense, Gaël Clichy sera préféré à Patrice Evra. Comme annoncé lundi par le sélectionneur, Eric Abidal sera titulaire dans l'axe de la défense. Devant, ce sera plus classique, Payet, Valbuena et un Ribéry de retour évoluant en soutien de Karim Benzema. En forme lors de la préparation estivale d'Arsenal, Olivier Giroud prendra place sur le banc des remplaçants aux côtés de Samir Nasri.
L'équipe de départ des Bleus contre la Belgique
Lloris - Sagna, Koscielny, Abidal, Clichy - Guilavogui, Kondogbia - Payet, Valbuena, Ribéry - Benzema
Putain derrière et au milieu c'est faible, trixt équipe de Rance.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 14 Août 2013, 10:48
boban a écrit:On va se faire Edenhazardisé...
Y'a moyen qu'on voit la différence entre une équipe en pleine confiance, avec un beau collectif et des grosses individualités, et cette équipe de France qui ne ressemble plus à rien depuis longtemps. J'vais regarder tiens.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par GilbertSedman » 14 Août 2013, 14:18
djezon-15 a écrit:stress...suivre le match entouré de flamands ce soir...
Tu t'es remis en ménage avec tish ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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